
Budget 2025: Éric Lombard "salue" l'accord trouvé par les sénateurs et les députés qui "permet à notre pays d’avancer"
Le ministre de l'Economie et la ministre des Comptes publics ont salué l'accord entre les députés et sénateurs.
Le ministre de l'Economie et la ministre des Comptes publics ont salué l'accord entre les députés et sénateurs.
En visite à Mayotte, le ministre des Outre-mer a estimé le coût de la reconstruction après le passage du cyclone Chido à environ un milliard d'euros, en soutenant que l'Etat serait "au rendez-vous" financièrement.
La CMP s'est mise d'accord sur une baisse de 111 millions d'euros des crédits dédiés à l'aide médicale d'Etat par rapport au budget initial, maintenant ainsi les crédits alloués à cette aide à leur niveau de 2024.
Ce matin sur TF1, le ministre de l'Economie et des Finances a réagit à la colère des grands patrons qui s'insurgent contre une surtaxe des entreprises. Il a rappelé que la situation économique de la France appelait à un "effort collectif" auquel "chacun doit participer".
Invité ce jeudi matin sur BFM Business, le nouveau président de la CPME Amir Reza-Tofighi a déploré les conséquences de "six mois d'incertitudes politiques" sur les entreprises.
L'institution estime que le projet de loi de finances "amorcerait l’indispensable trajectoire de réduction du déficit mais offre peu de marges de sécurité". Elle appelle le gouvernement "à être prêt à prendre les dispositions nécessaires en cas de moins-values de recettes ou de dérapage de certaines dépenses en cours d’année".
Selon le dernier sondage Elabe pour BFMTV, les priorités des Français sont le pouvoir d’achat, devant la santé et la sécurité. La maîtrise de la dette publique n'arrive que cinquième.
A l'automne, le gouvernement de Michel Barnier avait proposé un effort de quatre milliards d'euros, réduit à trois milliards par le Sénat.
Jeudi, l'Insee va dévoiler les chiffres de la croissance pour le dernier trimestre 2024. L'institut table sur une croissance nulle à cette période, après une hausse de 0,4% au troisième trismestre grâce aux JO de Paris.
Le principal syndicat français de fabricants, le Gemme, publie une étude sur le prix des génériques alors que l'examen du projet de loi de finances de la Sécurité sociale reprend cette semaine en commission des affaires sociales à l'Assemblée nationale.
Invitée de Franceinfo dimanche soir, Marie Barsacq a indiqué qu'un amendement voté par les sénateurs sous le gouvernement de Michel Barnier doit permettre à la taxe sur les paris sportifs de générer 113 millions d'euros de plus.
Le projet de loi de financement de la Sécurité sociale est de nouveau examiné par la commission des Affaires sociales de l'Assemblée nationale à partir de lundi.
Invitée de BFM Politique, la ministre des Comptes publics a indiqué que le texte voté par le Sénat remplissait "la condition de réduire le déficit" mais pas celle "d'être le budget du compromis".
Après l'adoption du projet de loi de finances par le Sénat, jeudi 23 janvier, le gouvernement doit désormais convaincre l'Assemblée de voter le Budget 2025, où à minima de ne pas censurer en cas d'utilisation du 49.3.
Invitée de la matinale de Franceinfo, Amélie de Montchalin s'est montré confiante dans la capacité des partenaires sociaux à parvenir un raccord lors du conclave consacrée à la réforme des retraites de 2023.
Suspendu en décembre par la censure du gouvernement Barnier et repris en janvier, le texte sera ensuite soumis le 30 janvier à la Commission mixte paritaire.
Du fait de recettes fiscales un peu meilleures que les anticipations, le déficit public s'est finalement établi à 6% du PIB contre 6,1% attendu.
Invité sur BFMTV-RMC, le premier président de la Cour des comptes a appelé au redressement des finances publiques par un "budget d'effort".
Invité de la matinale de France 2, le ministre de l'Economie a confirmé qu'il n'y aurait pas de hausses d'impôts pour les ménages, "que ce soit les retraités ou les salariés".
A l'occasion des voeux des Départements de France, le président de l'association a rappelé que ces collectivités étaient confrontées à trois milliards d'euros de dépenses en plus et autant de recettes en moins.
Approuvée par la Commission européenne, la nouvelle trajectoire budgétaire française doit désormais être validée par les ministres des Finances de l'UE.
La commission d'enquête sur les agences de l'État pourrait débuter ses investigations "dès février" et devrait se dérouler "sur cinq à six mois" selon le président du groupe LR au Sénat.
Catherine Vautrin, la ministre du Travail et de la Santé, et Amélie de Montchalin, ministre des Comptes publics, estiment que la mesure votée en novembre par le Sénat dans le PLFSS pour financer le secteur de l'autonomie est sur la table.
Pour le ministre de l'Économie, la censure du gouvernement Barnier a coûté 0,3 point de croissance à l'économie française.
François Bayrou a réussi à éviter sa première motion de censure. Mais à quel prix?
Le Haut conseil pour le financement de la protection sociale alerte sur les conséquences de l'absence de Budget pour la Sécurité sociale dont le déficit pourrait plonger à 28,4 milliards d'euros en 2025.
Le premier ministre François Bayrou a confirmé au PS que le projet de taxe sur les hauts revenus sera maintenu dans la proposition de budget 2025.
Selon Jean-Luc Tavernier, plusieurs cercles de réflexions économiques comme l'IPP, l'OFCE, Rexecode devraient travailler sur ces sujets.
La Chambre haute a repris l'examen du projet de loi de finances là où il s'était arrêté avec la dissolution du gouvernement Barnier, le 4 décembre.
Selon les informations qui circulent, le gouvernement envisagerait notamment d'augmenter la taxe de solidarité additionnelle, versée par les complémentaires santé.
LES OFF DE LEGENDRE. Le déficit de l'État sera publié dans les prochains jours. Il pourrait être sensiblement supérieur aux prévisions.
Le secrétaire général de l'Élysée va être auditionné à l'Assemblée nationale dans le cadre de la commission d'enquête sur le dérapage des finances publiques.
La ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, a indiqué ce mercredi que le projet de Budget du gouvernement pour 2025 visait "plus de 30 milliards" d'euros d'économies de dépenses.
Lors de son discours de politique générale ce mardi après-midi à l'Assemblée nationale, François Bayrou a affirmé que l'objectif de retour à 3% de déficit public en 2029 était maintenu.
Dès les premières minutes de son discours de politique générale, le Premier ministre a évoqué l'accélération de l'endettement de la France depuis plus de quarante ans.
Après avoir rejeté ce texte le 4 décembre - en censurant le gouvernement de Michel Barnier qui avait engagé sa responsabilité sur ce projet - , les députés repartiront de la copie validée par le Sénat le 26 novembre.
Présentant ses voeux devant un millier de personnes, le président du Medef a tenu un discours offensif, alors que reviennent prochainement devant le Parlement le projet de loi de Finances (PLF) et le projet de financement de la Sécurité sociale (PLFSS).
Invité de BFMTV, le premier président de la Cour des comptes a cependant déploré une France "qui s'italianise" et souligné l'importance de réaliser des économies de dépenses publiques.
Pour couvrir le coût d'une éventuelle suspension de la réforme relevant l'âge de départ à 64 ans, le Parti socialiste suggère de piocher dans le Fonds de réserve pour les retraites. Initialement conçue pour anticiper les conséquences du "papy-boom" sur l'équilibre financier du régime, cette cagnotte contribue depuis 2010 au remboursement de la dette sociale.
Après une semaine de consultations, le ministre de l'Économie Éric Lombard a indiqué qu'il "transmettra demain au Premier ministre la synthèse de ces travaux", précisant que ce sera à François Bayrou de "trancher."
Selon L'Opinion, la piste de nouvelle taxe avancée par Amélie de Montchalin serait une nouvelle taxation réservée aux patrimoines les plus élevés, sans qu'il soit spécifié si elle inclurait également le patrimoine financier, qui n'est pas pris en compte dans le calcul de l'IFI.
Dans un rapport paru ce jeudi 9 janvier, la Cour des comptes préconise de réduire voire de supprimer certains dispostifs "exceptionnels" mis en place entre 2020 et 2022 pour répondre aux différentes crises.
"Cela signifierait s'attaquer au pouvoir d'achat des Français. Et pour nous, c'est vraiment le sujet le plus important", déclare le président des sénateurs LR Mathieu Darnaud.
Invité de France 2 mercredi soir, François Villeroy de Galhau a estimé que la réduction du déficit public pourrait d'abord comporter "certaines hausses d'impôts ciblées" mais qu'elle devrait ensuite "reposer sur des dépenses mieux maîtrisées et plus efficaces".
Le patron du Medef a appelé à réduire le déficit public en taillant dans les dépenses, et notamment les dépenses sociales.
LES OFF DE LEGENDRE. Le principal objectif des hauts fonctionnaires de Bercy est de terminer le plus vite possible l'examen du PLF 2025, et donc de toucher le moins possible la copie au Parlement.
Sur BFMTV, Marine Le Pen a été interrogée sur les propos du ministre de l'Économie Éric Lombard qui dit voir plus de "perspectives d'un dialogue fécond" avec les partis de gauche qu'avec l'extrême droite.
C'est au lendemain du discours de politique générale de François Bayrou, soit le 15 janvier, que les discussions sur le Budget 2025 reprendront. Ce sera au Sénat.
Invité sur France inter, le ministre de l'Économie, Éric Lombard, a annoncé viser un déficit public compris "entre 5 et 5,5%" du PIB cette année. Soit un effort d'environ 50 milliards d'euros.
Invitée de Télématin, Amélie de Montchalin estime qu'une majorité existe au Parlement aifn de lutter contre la "suroptimisation" et la fraude fiscales.