
Tombouctou: affrontements entre soldats français et jihadistes
Deux jihadistes ont été tués dimanche par des soldats maliens appuyés par des soldats français à Tombouctou, (nord-ouest du Mali), où des combats se poursuivaient en fin de matinée.
Deux jihadistes ont été tués dimanche par des soldats maliens appuyés par des soldats français à Tombouctou, (nord-ouest du Mali), où des combats se poursuivaient en fin de matinée.
Cette mission de maintien de la paix au Mali devra être appuyée par une "force parallèle" pour combattre les islamistes, ont toutefois exigé les Nations Unies.
Dimanche, Gao s'est enflammée pour la première fois après plusieurs semaines d'accalmie. Dans un même temps, Aqmi a annoncé la désignation d'un nouveau chef en remplacement d'Abou Zeid.
L'Elysée confirme: Abou Zeid, l'un des principaux chefs d'AQMI, a bien été tué lors d'opérations menées par les armées française et tchadienne au Nord Mali.
Un attentat à la voiture piégée a causé la mort d'un militaire malien dans la nuit de mercredi à jeudi, poussant les forces françaises et maliennes à riposter.
L'assassinat, encore non confirmé officiellement, d'un des quinze otages français détenus en Afrique, rappelle l'extrême dangerosité de leur situation.
Les autorités françaises cherchaient toujours à vérifier mercredi si Aqmi avait bien tué l'otage français Philippe Verdon. Le point sur les motivations du groupe terroriste.
Le Quai d'Orsay a contacté la famille de Philippe Verdon mais a demandé la plus grande prudence tant qu'aucune information sur la mort d'un otage français au Mali n'est confirmée.
La famille de Philippe Verdon, enlevé en 2011 dans le nord du Mali, a été informée dans la nuit de mardi à mercredi du communiqué d'Aqmi annonçant la mort d'un otage. L'Elysée ne confirme pas l'information.
Le jihadiste français de 37 ans arrêté au Mali au début du mois de mars n'a jamais servi dans la police, contrairement à ce qu'affirmaient certains médias plus tôt dans la journée.
La France a annoncé dimanche la mort de son cinquième soldat depuis le début de son intervention armée au Mali. Sur le terrain, les jihadistes s'accrochent à la zone de Gao. Le décryptage de notre spécialiste en géopolitique.
Le drapeau tricolore en berne et une rose déposée devant le 1er régiment d'infanterie de marine d'Angoulême, d'où est originaire le cinquième soldat mort depuis le début de l'intervention militaire française au Mali.
François Hollande a annoncé dans un communiqué dimanche la mort d'un caporal français dans les combats au Mali.
Edmond Mulet, le sous-secrétaire général aux opérations de maintien de la paix de l'ONU, a indiqué ce samedi à Bamako la présence d’une mission de stabilisation de l’ONU au Mali d’ici le mois juillet.
Le brigadier-chef Wilfried Pingaud était âgé de 37 ans. Ses obsèques se dérouleront jeudi, dans l'Ain.
Après l’arrestation d’un jihadiste français au Mali, une question se pose: existe-t-il une filière jihadiste française dans la région du Sahel?
L’interpellation d’un Français soupçonné de jihad au Mali relance la question de la surveillance des apprentis terroristes qui voudraient s’entraîner à l’étranger. Un suivi plus difficile depuis qu'ils n’agissent plus en filière organisée, mais en petits groupes.
Victimes de blessures légères ou de coups de chaleurs, ils ont atterri jeudi soir à Roissy.
Du massif des Ifoghas à Gao, le ministre de la Défense a partagé (un peu) le quotidien des militaires français déployés sur place.
Les soldats français commenceront à quitter le Mali dès le mois d'avril, mais pour les experts, ce n'est qu'un début, tant le travail à accomplir sur place reste grand.
Le jeune Franco-Malien, soupçonné d'avoir voulu rejoindre des groupes jihadistes, voyageait sous une fausse identité. Il a été expulsé cette semaine vers la France.
Les soldats français, qui ratissent depuis plusieurs jours le massif des Ifhogas à la recherche de combattants islamistes, viennent de capturer des enfants soldats, indique jeudi matin Europe1.
Le ministère de la Défense a officialisé jeudi la visite du ministre Jean-Yves Le Drian auprès des militaires français au Mali, ce jeudi.
François Hollande a annoncé le départ des troupes françaises du Mali début avril. Mais les soldats français sont-ils prêts à partir si vite? Pourront-ils être remplacés si rapidement par l'armée malienne? Les experts sont partagés.
Le 4e soldat mort mercredi matin au Mali faisait partie du 68e régiment d’artillerie d’Afrique de La Valbonne, indique l'Elysée.
Dernier rempart contre l’occupant, la radio avait cessé d’émettre au mois d’août sous la pression des islamistes. De retour sur les ondes, elle sensibilise la population.
En affirmant avoir abattu deux chefs d’Aqmi, le Tchad d’Idriss Déby affiche son rôle dans l’intervention militaire au Mali. Pour quelles raisons? Décryptage avec Philippe Hugon, directeur de recherche à l’Iris en charge de l’Afrique.
L'armée française a découvert un impressionnant arsenal de guerre, lundi au Mali. Une cinquantaine de caches d'armes ont été trouvées, ainsi que dix ateliers de fabrication de bombes artisanales.
RFI a publié, lundi soir, sur son site Internet, une photo présentée comme celle du cadavre de Mokhtar Belmokhtar, alors que les autorités françaises et tchadiennes livrent toujours une version différente des faits.
Après les combats intenses de la semaine dernière, les soldats maliens de Gao tentent toujours de sécuriser la ville et les alentours, notamment l'île de Kadji, d'où ils pensent que les islamistes venaient.
Alors que l'armée française évoque la mort "probable" d'Abou Zeid, un membre d’Aqmi confirme la mort de son chef tout en démentant celle du dirigeant islamiste Mokhtar Belmokhtar. On fait le point.
C'est dans les massifs montagneux du nord-est du Mali qu'un troisième soldat français a été tué samedi. Dans cette zone, les combats entre militaires et combattants islamistes sont devenus particulièrement violents. Jamais les deux camps ne se sont battus à si courte distance.
Le gouvernement n'avait pas confirmé la mort d'Abou Zeid, annoncée jeudi soir. Lundi, l'armée a évoqué la mort "probable" du cadre d'Aqmi.
Un caporal français a trouvé la mort samedi soir au nord du Mali, indique l'Elysée.
Le chef jihadiste qui était à l’origine de la prise d’otages meurtrière sur un site gazier en Algérie au mois de janvier 2013 aurait été tué par l’armée tchadienne au Mali.
La mort du chef d'Al-Qaïda au Maghreb (Aqmi) n'a toujours pas été formellement confirmée par les autorités algériennes ou occidentales.
Dans la ville de Gao libérée de l'occupation islamiste, les habitants retrouvent petit à petit leurs habitudes d'antan, comme jouer au football dans la rue.
Ce terroriste était l'un des fondateurs d'Aqmi. Sa mort probable pourrait avoir des conséquences importantes sur l'organisation terroriste. Décryptage.
PORTRAIT - Selon le président tchadien, l'un des chefs d'al-Quaïda au Maghreb islamique a été tué par ses soldats, a-t-il annoncé vendredi. Qui est ce chef islamiste aux méthodes radicales?
Événement du jour, document exclusif, phrase choc ou image insolite... BFMTV.com vous a sélectionné le top 10 des vidéos de la journée. A ne pas manquer: la prudence du gouvernement sur la mort du terroriste Abou Zeid, un homme avalé par un trou géant et les tarifs SNCF épluchés à la loupe.
L'émir d'Aqmi, Abou Zeid, pourrait avoir été tué par un raid de l'armée française dans le massif des Ifoghas. Les vérifications sont toujours en cours mais ce serait un "succès" pour les militaires en cas de confirmation.
Najat Vallaud-Belkacem refuse de confirmer la mort du chef d'Al-Qaïda au Maghreb islamique, qui aurait été tué au Nord du Mali selon des médias algériens. Les Américains jugent, eux, ces informations "très crédibles".
A Gao, les armées françaises et maliennes se battent contre un ennemi bien connu en ville : le Mujao. Pendant près d'un an, ce mouvement jihadiste a terrorisé les habitants au nom de la Charia, n'hésitant pas à couper les mains des innocents. Rencontre avec une population traumatisée.