Contacté par BFMTV.com un spécialiste du Moyen-Orient explique pourquoi les Etats-Unis sont réticents à l'envoi d'armes en Syrie, après la levée de l'embargo par l'Union européenne.
Dans une interview à la chaîne Al-Manar du Hezbollah libanais diffusée jeudi, le président syrien n'a pas écarté de se présenter à la présidentielle de 2014, au grand dam de l'opposition politique et militaire qui exige son départ du pouvoir.
Dans une interview à la chaîne du Hezbollah libanais, soutien de Damas, le président syrien a réitéré son intention de ne pas démissionner. Et est même prêt à se représenter en 2014, s'il "sent qu'il y a une nécessité".
Dans une interview donnée à la télévision du Hezbollah, le président syrien reconnaît explicitement que des armes russes ont déjà été livrées au régime.
Le ministre des Affaires Étrangères a donné, mercredi, une estimation chiffrée du nombre de membres du Hezbollah libanais combattant aux côtés des troupes de Bachar al-Assad, en Syrie.
Alors que la communauté internationale craint la propagation régionale du conflit syrien, Washington a appelé le Hezbollah libanais, qui combat aux côtés de l'armée de Bachar al-Assad, à se retirer "immédiatement" du conflit.
Selon un sondage CSA pour BFMTV, près d'un Français sur deux se dit favorable à une intervention militaire des Nations unies en Syrie. Seulement un sur trois y s'y oppose.
Comment l'Union europénne vient de lever l'embargo sur les armes à destination de l'opposition syrienne, sans avoir la moindre intention d'en livrer véritablement avant deux mois.
L'implication du Hezbollah libanais, la contagion du conflit aux frontières et les dernières provocations de Moscou font craindre à l'ONU un risque de propagation régionale de la guerre syrienne.
De nombreux désaccords entravent la bonne organisation de la grande conférence pour la paix en Syrie prévue en juin à Genève malgré les pressions russo-américaines. Les deux puissances sont à l'initiative de l'événement et veulent éviter une résolution armée du conflit.
Les 27 sont tombés d'accord sur une levée de l'embargo sur les armes pour les rebelles syriens, lundi soir, à Bruxelles, alors que des journalistes du Monde ont témoigné de l'utilisation d'armes chimiques sur place par les forces de Bachar al-Assad, dans un article publié le même jour.
Réunis lundi à Bruxelles, les ministres des Affaires étrangères de l'UE sont finalement tombés d'accord sur la question de la fourniture d'armes aux rebelles. Mais seulement au terme d'âpres discussions.
Le ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a réagi aux nouvelles informations publiées par "Le Monde", qui font état de l'utilisation par Damas d'armes chimiques contre les rebelles.
Deux journalistes du "Monde" ont apporté lundi la preuve que le régime syrien avait recours à des gaz toxiques contre les rebelles. La "ligne rouge" posée par Barack Obama a-t-elle été franchie?
Deux journalistes du quotidien "ont été témoins plusieurs jours d'affilée" d'utilisation d'explosifs chimiques sur les combattants près de Damas.
Entrainé par le conflit syrien, le Liban sombrera-t-il à nouveau dans la guerre civile? Tandis que alaouites et sunnites s’affrontent à Tripoli (Liban) et que les négociations de paix tardent en Syrie, le point de vue du spécialiste de géopolitique de BFMTV.
Les préparatifs s'accélèrent en vue de la tenue, en juin à Genève, d'une nouvelle conférence internationale visant à mettre fin au conflit en Syrie, avec des réunions lundi à Bruxelles et Paris au lendemain de l'annonce par Damas de sa participation.
Des soldats israéliens ont ouvert le feu dans la nuit de lundi à mardi après avoir été pris pour cible par des tirs en provenance de Syrie.
L'armée du régime de Bachar al-Assad, après avoir bombardé ville de Qousseir, bastion des rebelles, est entrée dans la ville dimanche.
Khalid al-Hamad, membre de la brigade Omar al-Farouq explique au "Time" que les actes qu'il a commis, et qui ont été diffusés sur Youtube, ne sont qu'une vengeance aux exactions commises par le régime de Damas.
Plus de 94.000 personnes ont été tuées en Syrie depuis le début de la révolte contre le régime du président Bachar al-Assad en mars 2011, selon le bilan d'une ONG syrienne.
L'attentat de Reyhanli en Turquie samedi souligne les risques de l'engagement turc en faveur des rebelles syriens. Et attise les tensions entre les deux pays.
Damas compte répondre à toute nouvelle attaque israélienne. En parallèle, les forces du Hezbollah soutiendront la Syrie dans sa reconquête du plateau du Golan.
"Nous sommes en relation avec les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, avec d'autres pays de la zone pour s'assurer de la réalité des faits", a expliqué le ministre sur BFMTV.
Les belligérants du conflit syrien ont-ils utilisé des armes chimiques? Pour l'heure, ni la Commission indépendante mandatée par l'ONU, ni Washington n'ont de preuves formelles de tels faits.
Les deux raids israéliens de ces derniers jours contre des cibles du Hezbollah en Syrie ont mis le feu aux poudres dans une région qui était déjà au bord de l'implosion. Faut-il craindre une escalade régionale? Éléments de réponse.
Israël a mené deux raids en Syrie en 48 heures, dont le dernier a fait au moins 42 victimes, affirmant vouloir empêcher un transfert d'armes au Hezbollah libanais. Pour Damas, ceci ouvre la porte à toutes les options et rend la situation dans la région plus "dangereuse".
L'ancien procureur du Tribunal pénal international pour l'ex-Yougoslavie a aussi précisé que l'enquête n'est pas terminée et qu'il n'est pas exclu que Bachar al-Assad ait aussi utilisé des armes chimiques.
En seulement 48 heures, Israël a mené deux raids aériens en Syrie, contre des armes destinées au mouvement libanais du Hezbollah. Pour Obama, "Israël a le droit de se protéger d'un transfert d'armes".
Une attaque israélienne, visant des armes iraniennes, a eu lieu contre le centre de recherches scientifiques de Jamraya, à Damas. Pour sa part, l'Iran se dit prêt à "entraîner" l'armée syrienne.
