Vote de confiance: Jordan Bardella assure que les députés RN "voteront évidemment contre"

Jordan Bardella, le 30 août 2025 à Châlons-en-Champagne. - BFMTV
L'ESSENTIEL
- François Bayrou rencontrera différentes forces d'opposition à Matignon à partir de ce lundi, malgré le refus de certains partis de rencontrer le Premier ministre. Lire l'article
- Olivier Faure affirme que le PS "est volontaire" pour succéder à François Bayrou. Lire l'article
- Depuis la foire de Châlons-en-Champagne où il effectue sa rentrée, le président du Rassemblement national Jordan Bardella déclare sur BFMTV que "la France est dans une impasse démocratique". Lire l'article
- Le ministre des Armées Sébastien Lecornu ne sera "pas candidat" à Matignon en cas de chute du gouvernement. Lire l'article
François Bayrou répondra aux questions de BFMTV dimanche à 18 heures
Ce direct est désormais terminé, merci de l'avoir suivi sur BFMTV.com.
François Bayrou débute à partir de ce lundi après-midi des consultations avec l'ensemble des représentants de groupes parlementaires, avant le vote de confiance prévu le 8 septembre.
Plusieurs forces politiques ont déjà annoncé qu'elles voteraient contre.
Jordan Bardella a estimé, sur BFMTV, que la France se trouvait "dans une impasse démocratique".
François Bayrou sera l'invité de Marc Fauvelle dimanche à 18 heures sur BFMTV. Le chef du gouvernement sera aussi interrogé par nos confrères de Franceinfo, LCI et CNews.
Si François Bayrou démissionne, 39% des Français veulent un Premier ministre apolitique
Dans ce cas d'une démission de François Bayrou, l'idée d'avoir un Premier ministre "d'aucun parti politique, issu de la société civile ou du monde de l'entreprise" séduit 39% des Français, selon un sondage Elabe pour BFMTV/La Tribune Dimanche.
Le Rassemblement national et la gauche se trouvent, eux, au coude-à-coude. En effet, 24% des Français voudraient un Premier ministre du RN contre 21% pour la gauche. La droite arrive ensuite avec 10%. Enfin, le camp présidentiel se trouve tout en bas du classement avec seulement 6%.
Le RN largement en tête des intentions de vote en cas de dissolution, selon un sondage BFMTV/La Tribune Dimanche
En cas de dissolution de l'Assemblée nationale et donc de nouvelles élections législatives, le Rassemblement national et ses alliés arriveraient largement en tête avec 31 à 31,5 % des intentions de vote, d'après un sondage Elabe pour BFMTV et La Tribune Dimanche.
Le parti d'extrême droite serait suivi par la gauche, qu'elle soit unie (23,5%) ou désunie avec 16,5 % pour l'alliance PS/EELV/PCF (10% pour LFI).
Jordan Bardella déplore "des économies de bouts de chandelles" "sur le dos des Français"
Le président du Rassemblement national déplore "des économies de bouts de chandelles" qui sont faites "sur le dos des Français"
"Nous entendons proposer un plan d'économie de 100 milliards dans les gaspillages d'argent public", a déclaré Jordan Bardella appelant par exemple à cibler "les aides au développement" accordées à des pays étrangers.
"Pourquoi on laisse l'UE financer le réseau d'eau à Gaza quand un habitant sur trois, dans nos territoires d'outre-mer, n'a pas accès à l'eau potable", questionne-t-il.
Jordan Bardella dit "tendre la main aux orphelins de la droite"
Le président du Rassemblement national déclare sur BFMTV "tendre la main" pour que se forme une union à droite.
"Moi, je veux tendre la main aux orphelins de la droite, à des élus de droite qui ne sont pas solubles dans le macronisme", a-t-il lancé. "LR s'est dissous dans le macronisme".
Jordan Bardella déclare avoir "au moins" pour "ambition d'être Premier ministre"
"L'ambition que j'ai, c'est au moins d'être Premier ministre de notre pays", déclare Jordan Bardella au micro de BFMTV, à condition d'avoir "une majorité absolue" de 289 députés à l'Assemblée nationale.
Le président du Rassemblement national consent qu'il y a "un chemin juridique étroit" pour que Marine Le Pen soit débarrassée de sa condamnation à 5 ans d'inéligibilité pour détournement de fonds publics. "Avec Marine Le Pen, nous ferons campagne main dans la main", assure-t-il.
Jordan Bardella assure que les députés RN "voteront évidemment contre la confiance"
Jordan Bardella assure dans une interview accordée à BFMTV depuis la Foire de Châlons que les députés RN "voteront évidemment contre la confiance" de François Bayrou le 8 septembre prochain.
Le président du Rassemblement national souhaite "dire les yeux dans les yeux à François Bayrou" qui recevra les chefs de parti dans les prochains jours à Matignon, "que la politique qu'il conduit est mauvaise".
"Il condamne le pays à une impasse démocratique", répète le député européen.
Jordan Bardella estime sur BFMTV que la France est "dans une impasse démocratique"
Le président du Rassemblement national, Jordan Bardella, déclare au micro de BFMTV que la France est "aujourd'hui dans une impasse démocratique".
"Je crois que l'on arrive au bout d'un système", assure-t-il depuis la Foire de Châlons. "Je fais partie de ces Français qui considèrent que la situation actuelle ne pourra pas tenir jusqu'en 2027".
"La politique d'Emmanuel Macron fait souffrir nos compatriotes", abonde le député européen. "Nous avons besoin d'une majorité claire, d'un cap clair".
Plus d'informations ici.
"Un devoir lorsque l'extrême droite est aux portes du pouvoir": Lucie Castets appelle à "l'union" de la gauche
La candidate du Nouveau Front populaire à Matignon après la démission de Michel Barnier, Lucie Castets, estime que "l'union est un devoir lorsque l'extrême droite est aux portes du pouvoir en France, et partout dans le monde".
"L'union est essentiel lorsque le pire est en jeu", a abondé la haute fonctionnaire soulignant la nécessité d'obtenir "une majorité absolue" à l'Assemblée nationale.
"Pour avoir une majorité et pour pouvoir gouverner, je vous propose que nous ouvrons grand les portes de la politique", lance Lucie Castets depuis Châteaudun (Eure-et-Loir) où se déroule les journées d'été de Génération·s, L'Après et Debout!. "Investissons des personnes qui ne sont pas des professionnels de la politique".
En cas de dissolution, Clémentine Autain souhaite que le prochain Premier ministre soit issu du NFP
La députée de gauche de Seine-Saint-Denis Clémentine Autain appelle depuis Châteaudun à "l'union" de la gauche.
"L'union, c'est la condition de la victoire", lance-t-elle lors de cette première journée de rentrée rassemblant les partis Génération·s, L'Après et Debout!. "Tourner le dos au rassemblement est irresponsable".
En cas de dissolution et de "nomination d'un Premier ministre à gauche", Clémentine Autain demande à ce qu'il soit "issu du Nouveau Front populaire".
L'ex-élue insoumise appelle également à "la mobilisation" le 10 septembre. "Notre place est dans la rue", affirme-t-elle.
Sébastien Lecornu déclare qu'il "n'y a pas de censure gratuite et sans conséquence"
Le ministre des Armées, Sébastien Lecornu, déclare dans les colonnes du Parisien, qu'il "n'y a pas de censure gratuite et sans conséquence".
"Ce qui me préoccupe, c’est la divergence forte et brutale qui s’installe entre la situation politique intérieure et la situation géopolitique mondiale, mais aussi entre la vie réelle du pays et la vie politique. Chaque parlementaire doit prendre ses responsabilités', a-t-il lancé appelant à "travailler à un compromis entre formations politiques".
Face au contexte mondial, le ministre estime que la "France a besoin d’un budget à l’automne".
En cas de chute de François Bayrou, Sébastien Lecornu souligne par ailleurs ne "pas être candidat" à Matignon.
"Je note que dans l’histoire, à chaque remaniement, les anciens ministres de la Défense, comme Michèle Alliot-Marie et Jean-Yves Le Drian, étaient donnés 'premier-ministrables', et ils ne sont jamais allés à Matignon", abonde le ministre.
"Situation financière compliquée": Édouard Philippe dit partager le "constat" de François Bayrou
Depuis l'université d'été de son parti Horizons à Saint-Maur-des-Fossés (Val-de-Marne) Édouard Philippe affirme être "d'accord" avec le constat dressé par le Premier ministre": "notre État est dans une situation financière compliquée".
Se disant "surpris" et "intrigué" par la décision de François Bayrou de "solliciter un vote de confiance à l'Assemblée nationale", l'ancien Premier ministre a appelé les chefs de parti "à ne pas renoncer à leurs responsabilités".
"Notre responsabilité au sens le plus noble du terme, c’est de ne pas nuire (...) Nous devons nous parler", a ajouté le candidat à la présidentielle en 2027.
Alexis Corbière déclare que le "8 septembre, François Bayrou, c'est fini"
Depuis Châteaudun (Eure-et-Loir) à l'occasion des journées d'été de Génération·s, L'Après et Debout, le député Ecologiste et social Alexis Corbière estime que le "8 septembre", date à laquelle le Premier ministre se soumettra à un vote de confiance, "François Bayrou, c'est fini".
"La discussion sur laquelle François Bayrou place la grande conversation nationale, c'est la question fiscale. Ils veulent que l'on discute de qui doit payer la crise, nous avons la réponse, c'est aux plus puissants de le faire", a-t-il déclaré souhaitant que "les riches et les plus puissants payent plus que les plus modestes".
Aux côtés de François Ruffin, Clémentine Autain, Lucie Castets ou encore Benoît Hamon, l'élu a appelé à la mobilisation le 10 septembre prochain ou encore à "l'unité" à gauche, sous les acclamations du public.
Emmanuel Macron "devrait avoir honte devant les Français", estime François Ruffin
François Ruffin, député Debout de la Somme, a estimé qu'Emmanuel Macron "devrait avoir honte devant les Français". "Qui doit payer les dégâts d'Emmanuel Macron, le chaos qu'il a instauré?", s'est-il interrogé sur notre antenne depuis Châteaudun, à l'occasion des journées d'été de Génération·s, L'Après et Debout.
"Ce qui serait le plus logique, c'est que le 9 septembre, le président de la République présente sa démission", a-t-il ajouté.
Laurent Wauquiez ne veut pas "signer de chèque en blanc" à François Bayrou
"Nous avons assumé d'être au gouvernement pour arrêter l'extrême gauche, mais les Républicains ne peuvent pas renoncer à défendre leurs idées et leurs convictions", a lancé Laurent Wauquiez depuis le mont Mézenc, où il fait sa rentrée politique.
"Les Républicains ne doivent pas signer un chèque en blanc à François Bayrou. La question de confiance ne doit pas nous amener à fermer les yeux sur ce qui ne va pas ou ce que nous voulons changer", a ajouté le chef des députés LR, qui rencontrera le Premier ministre la semaine prochaine pas "pour lui signer un chèque en blanc, mais pour lui dire qu'il doit entendre la France qui travaille et corriger tant qu'il est temps ce qui ne va dans son budget".
Avant le vote de confiance, le patron des députés LR a appelé sa formation politique à organiser une consultation numérique des plus de 120.000 adhérents sur la question de confiance à François Bayrou à l'occasion du congrès qui aura lieu les 6 et 7 septembre prochain en région parisienne.
Retrouvez notre article sur la position de Laurent Wauquiez ici.
Le PS propose de diviser par deux l'effort de réduction du déficit
Le PS a présenté à Blois son projet de budget alternatif, prévoyant une réduction du déficit l'année prochaine deux fois moindre que celle de François Bayrou, à 21,7 milliards d'euros, avec pour ambition un déficit à 5% du PIB pour 2026 et 2,8% en 2032.
Le parti a également proposé la suspension immédiate de la réforme des retraites avec l'objectif d'un retour à 62 ans, la mise en place d'une taxe pour les plus hauts patrimoines et une baisse de la CSG pour soutenir le pouvoir d'achat.
"Il nous faut d'évidence reprendre la main" face "au budget de souffrance" du Premier ministre, a estimé le chef des députés Boris Vallaud, au dernier jour des universités d'été socialiste à Blois.
“Nous sommes volontaires”: chez les socialistes, une alternative à François Bayrou et plusieurs inconnues
Depuis Blois, où se déroulaient leurs universités d’été, les socialistes se sont dit “prêts” à exercer le pouvoir face à la très probable chute de François Bayrou. Un scénario qui dépend d’Emmanuel Macron et pose plusieurs questions.
Devant les militants du Parti socialiste, réunis pour les traditionnelles universités d’été, le Premier secrétaire a présenté un “chemin” : celui d’un gouvernement de gauche.
Car pour les socialistes, il est déjà acté que François Bayrou tombera le 8 septembre prochain. Ils se rendront à Matignon lundi pour les consultations organisées par le Premier ministre, mais cela ne les empêchera pas de se prononcer contre le vote de confiance sollicité par ce dernier.
>> Retrouvez notre article “Nous sommes volontaires”: chez les socialistes, une alternative à François Bayrou et plusieurs inconnues
"Nous sommes volontaristes et contre le catastrophisme": Carole Delga revient sur les ambitions du PS
Interrogée par BFMTV, ce samedi 30 août, Carole Delga, présidente PS de la région Occitanie, est revenue sur les ambitions son parti qui se dit prêt à prendre la suite de François Bayrou.
"Nous sommes lucides sur la situation de la France mais surtout nous sommes volontaristes", a-t-elle déclaré à notre antenne. "Nous ne serons jamais du côté du catastrophisme", a-t-elle ajouté.
"Ceux qui sont au pouvoir sont des facteurs d'instabilité", dénonce Jordan Bardella en déplacement à Châlons-en-Champagne
Alors qu'il arrivait à la foire de Châlons-en-Champagne, le président du Rassemblement national, est revenu devant les journalistes sur la situation actuelle du pays.
"Ceux qui sont au pouvoir sont des facteurs d'instabilité", a-t-il cinglé. "La seule solution pour sortir de cette crise, c'est de se tourner vers les Français", a-t-il ajouté.
"La seule façon de se sortir de cette situation, c'est de retourner aux urnes", indique Philippe Ballard, porte-parole du RN
Invité de BFMTV, ce samedi 30 août, Philippe Ballard, porte-parole du Rassemblement national, a réagi à la situation politique actuelle du pays depuis l'annonce de Premier ministre qui souhaite se soumettre à un vote de confiance.
"La seule façon de se sortir de cette situation, c'est de retourner aux urnes", a-t-il indiqué sur notre antenne.
La sénatrice Modem, Isabelle Florennes, estime que les Français "en ont ras-le-bol des jeux politiques"
Invitée de BFMTV, ce samedi 30 août, la sénatrice Modem, Isabelle Florennes est revenue sur la décision du Premier ministre de se soumettre à un vote de confiance de l'Assemblée.
"On est rentré dans un jeu politique", a-t-elle déploré sur notre antenne. "Les Français en ont ras-le-bol des jeux politiques et moi, je les comprends", a-t-elle ajouté.
La rentrée politique percutée par la chute probable de François Bayrou
Comme toutes les fins de mois d'août, les partis politiques se mettent en ordre de bataille pour l'année qui s'ouvre. Mais ces universités d'été prennent un goût très particulier avec le spectre de la dissolution qui menace et la course à Matignon qui agitent les esprits.
"Cette année, ça va être encore assez sympa. L'année prochaine, ça risque d'être un peu plus sanglant". Voilà comment un ponte de la macronie résumait fin juin ces rendez-vous de la fin du mois d'août où, chaque année, l'ensemble de la classe politique reprend le chemin du travail.
Oui mais voilà, François Bayrou a changé la donne en annonçant l'organisation d'un vote de confiance à l'Assemblée nationale le 8 septembre. Le centriste n'a guère de chances de se maintenir à son poste alors que le Rassemblement national tout comme l'ensemble de la gauche ont annoncé voter contre.
>> Retrouvez notre article La rentrée politique percutée par la chute probable de François Bayrou
69% des Français soutiennent une dissolution de l'Assemblée nationale en cas d'échec du vote de confiance, selon un sondage
Selon un sondage Elabe pour BFMTV, 69% des Français soutiennent une dissolution de l'Assemblée nationale en cas d'échec du vote de confiance. Le Premier ministre a 9 jours pour convaincre et éviter une crise institutionnelle.
Le PS présente son budget alternatif ce samedi
Le Parti socialiste, qui s'est dit "volontaire" pour prendre la relève de François Bayrou et gouverner la France, présente ce samedi 30 août ses propositions budgétaires pour prouver qu'"une autre voie" est possible, au dernier jour des universités d'été du parti à Blois.
Les propositions du PS mettront la priorité sur "l'investissement et la justice fiscale", a insisté Olivier Faure dans son discours, affirmant que la gauche prouverait ainsi "qu'il est possible de désendetter le pays sans enfoncer les classes populaires et moyennes", et "que le désendettement ne peut signifier l'asphyxie de l'activité".
Jordan Bardella sera-t-il le grand gagnant du départ annoncé de François Bayrou?
Le président du RN Jordan Bardella pousse Emmanuel Macron à dissoudre à nouveau l'Assemblée nationale avec l'espoir de devenir Premier ministre.
"Je plaide pour un retour aux urnes, que ce soit par la dissolution ou la démission d'Emmanuel Macron", a-t-il déclaré jeudi devant l'université d'été du Medef, se disant "prêt à incarner l'alternance".
Si une éventuelle dissolution avait bien lieu dans les prochaines semaines et que le RN en sortait gagnant, resterait cependant à s'assurer qu'une arrivée au pouvoir de Jordan Bardella sera vraiment une bonne nouvelle pour lui à l'approche de la présidentielle.
>> Retrouvez notre article Jordan Bardella sera-t-il le grand gagnant du départ annoncé de François Bayrou?
Bruno Retailleau, la principale victime du vote de confiance?
Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau pourrait bien voir ses plans être contrariés par le vote de confiance du 8 septembre.
Peu après l'annonce du Premier ministre, le président des Républicains a acté son soutien au gouvernement, malgré la position embarrassante pour son parti qui compte plusieurs personnalités dans le gouvernement de François Bayrou.
Jordan Bardella répondra aux questions de BFMTV ce samedi à 19 heures
Depuis la foire de Châlons, Jordan Bardella répondra aux questions de BFMTV. Le président du Rassemblement national a déjà annoncé que les députés de son parti n'accorderont pas leur confiance à François Bayrou le 8 septembre. Mais restera-t-il aussi inflexible sur cette position ou les consultations de François Bayrou ces prochains jours peuvent changer l'avis du Rassemblement national?
François Bayrou répondra aux questions de BFMTV dimanche à 18 heures
Le Premier ministre François Bayrou répondra aux questions de BFMTV ce dimanche à 18 heures, alors que ses jours à Matignon sont comptés. Le chef du gouvernement sera aussi interrogé par nos confrères de Franceinfo, LCI et CNews.
François Bayrou débute ses consultations à partir de ce lundi
Bonjour à tous et bienvenue sur ce direct consacré à l'actualité politique, à moins de dix jours du vote de confiance prévu le 8 septembre. François Bayrou débute à partir de ce lundi après-midi des consultations avec l'ensemble des représentants de groupes parlementaires. Mais plusieurs forces politiques ont déjà annoncé leur refus de se rendre à Matignon, à l'instar de La France insoumise ou des Écologistes.