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Dossier

Benoît Hamon - Page 12

Hamon constate un "divorce entre les choix du Premier ministre et la gauche"

Hamon constate un "divorce entre les choix du Premier ministre et la gauche"

Benoît Hamon avait claqué la porte du gouvernement Valls en août 2014. Il fait partie des signataires de la tribune impulsée par Martine Aubry pour s'opposer à la politique menée par le gouvernement. Citant la loi el Khomri et la déchéance de nationalité, le député socialiste explique que ces choix politiques "amènent à constater une forme de divorce entre les choix du Premier ministre notamment et la gauche, de divorce avec les valeurs et les principes de la gauche, de divorce même avec l'idée de progrès".

Primaire à gauche: Hamon sera "probablement candidat"

Primaire à gauche: Hamon sera "probablement candidat"

Invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC mercredi, Benoît Hamon s’est prononcé pour l’organisation d’une primaire à gauche. "On a l'impression que nos idées sont minoritaires et d'avoir laissé quelques valeurs en route", a-t-il expliqué. Le député des Yvelines a annoncé qu'il serait "probablement candidat", sans pour autant être "un acteur supplémentaire de la division". "Le camp qui est celui que je voudrais incarner avec d'autres, il peut être incarné par d'autres que moi", a-t-il estimé. Selon lui, la primaire de gauche doit faire "écho", à la primaire de droite en ayant lieu aux mêmes dates.

Benoît Hamon veut l'abandon du texte de la réforme constitutionnelle

Benoît Hamon veut l'abandon du texte de la réforme constitutionnelle

Invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC mercredi, Benoît Hamon a exprimé son opposition à la réforme constitutionnelle. Le député des Yvelines a estimé que ce texte avait créé de la "division", dans les familles politiques. Selon lui, François Hollande n'a pas respecté le "serment de Versailles". Si le président était censé être le "garant de l'unité nationale", il l’aurait mise à mal par ce texte. L’ancien ministre de l’Education nationale n’a envisagé qu’une solution à ces dissensions. "La voie qui ramène à l'unité nationale c'est l'abandon de ce texte", a-t-il déclaré.

Régionales: "La décision de Jean-Pierre Masseret divise beaucoup notre camp", Benoît Hamon

Régionales: "La décision de Jean-Pierre Masseret divise beaucoup notre camp", Benoît Hamon

Arrivé en troisième position en Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine, Jean-Pierre Masseret maintient sa liste, contre la consigne du PS pour cette région considérée comme "à risque FN". Le candidat socialiste a réaffirmé ce matin sa volonté de se maintenir au second tour des élections régionales. "Nous ne lâcherons rien, mais strictement rien", a-t-il lâché en conférence de presse. Pour Benoît Hamon, "cette décision nous divise beaucoup". "On risque d'avoir un camp plus fracturé", s'inquiète le candidat PS dans les Yvelines. - Édition spéciale du lundi 7 décembre sur les régionales, présentée par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Grèce: "Un accord insoutenable mais il fallait maintenir le pays dans zone euro", estime Hamon

Grèce: "Un accord insoutenable mais il fallait maintenir le pays dans zone euro", estime Hamon

Invité ce lundi d’Apolline de Malherbe sur BFMTV et RMC, Benoît Hamon s’est dit favorable à l’accord visant à sauver la Grèce, même s’il en désapprouve le contenu. "Si j'avais voté non, cela aurait voulu dire que j'étais pour la sortie de la Grèce de la zone euro", explique le député socialiste. "Or ce n'était pas envisageable. J'assume de dire que cet accord est insoutenable, mais il fallait maintenir la Grèce dans la zone euro", a-t-il ajouté. Benoît Hamon rejoint ainsi l'analyse de Dominique Strauss-Kahn, qui a adressé une lettre samedi à ses "amis allemands", en les appelant à avoir une "vision commune" avec la France au sujet de la Grèce.

Présidentielle 2017: Hamon sceptique sur les chances du PS au premier tour

Présidentielle 2017: Hamon sceptique sur les chances du PS au premier tour

Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Benoît Hamon a évoqué la prochaine présidentielle. "Si nous ne laissons pas une empreinte sociale, je pense que nous ne passerons pas le cap du premier tour", a estimé le député PS. "Je regarde les sondages et toutes les élections, nous sommes aujourd’hui dans une situation très difficile. Il n’y a pas un sondage qui nous met au second tour de l’élection présidentielle, quel que soit notre candidat", note l’ancien ministre.

Burn-out: avec les nouvelles technologies, "on ne déconnecte pas du travail" pour Hamon

Burn-out: avec les nouvelles technologies, "on ne déconnecte pas du travail" pour Hamon

Invité ce mercredi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC, Benoît Hamon est revenu sur le burn-out (ou l’épuisement professionnel). Le député socialiste aimerait l’inscrire dans la loi comme une maladie professionnelle. Pour l’ancien ministre, l’irruption des nouvelles technologies favorise ce fléau. "Aujourd’hui, on ne déconnecte pas de son travail", estime l’élu des Yvelines. "Quand on quitte l’entreprise, on est toujours connecté. On reçoit des mails, des SMS, des injonctions à préparer un travail pour le lendemain", et ce dès le matin ou au retour du travail. "Qu’est-ce qui est à l’origine du fait que vous craquez? Ce trop-plein de pressions", a estimé Benoît Hamon.

Le burn-out est devenu un fléau dans le monde du travail

Le burn-out est devenu un fléau dans le monde du travail

Depuis quelques années, plusieurs cas d'épuisement professionnel ont été recensés en France. Le député socialiste Benoît Hamon ainsi a déposé des amendements au projet de loi sur le dialogue social. Il veut faire reconnaître le burn-out comme maladie professionnelle. Selon lui, c'est "une exigence naturelle" au plan politique et "une nécessité économique", car ce trouble touche de plus en plus de salariés, notamment des cadres. En effet, ces employés sont principalement jugés à l'aune de leur contribution à la performance globale. Le texte a donc été examiné, cet après-midi, par les parlementaires à l'Assemblée nationale. Alors, faut-il reconnaitre le burn-out comme une maladie professionnelle ?. Un document "Grand Angle BFMTV" du mardi 26 mai 2015.

Hamon veut inciter les entreprises à "prévenir" le burn-out

Hamon veut inciter les entreprises à "prévenir" le burn-out

Le député PS des Yvelines Benoît Hamon veut faire reconnaître le burn-out ou syndrome d'épuisement professionnel comme maladie professionnelle. L'ex-ministre a ainsi déposé des amendements au projet de loi sur le dialogue social, dont l'examen débute mardi après-midi dans l'hémicycle de l'Assemblée. " Si les entreprises sont mises à contribution pour réparer un burn-out, elles seront invitées à le prévenir", estime-t-il.

Benoît Hamon attendrait d'être "accompagné" s'il était chômeur

Benoît Hamon attendrait d'être "accompagné" s'il était chômeur

Jean-Jacques Bourdin a reposé, jeudi matin sur BFMTV et RMC, à Benoit Hamon la même question qu'il avait demandée ce mercredi à Emmanuel Macron: "Si vous étiez chômeur dans quel état d'esprit seriez-vous aujourd'hui?". Le député PS des Yvelines a répondu "si j'étais chômeur dans le réel, selon les forces qu'ils me restent, j'attendrais aussi, pas seulement de ma propre énergie, que ceux qui dirigent ce pays non pas qu'ils m'aident, qu'ils m'assistent mais qu'ils m'accompagnent dans la recherche de ce travail".

Loi Macron:"Je ne suis pas le roi des frondeurs", estime Benoît Hamon

Loi Macron:"Je ne suis pas le roi des frondeurs", estime Benoît Hamon

L'ancien ministre et député socialiste Benoît Hamon a réagi sur RMC et BFMTV jeudi, à son refus de voter la loi Macron et sa position de frondeur. "Je ne suis pas le roi des frondeurs. Je suis socialiste. J'essaie à ma place d'être fidèle à des engagements collectifs pris devant les électeurs et à des convictions que je mets dans le débat. Je sais faire des compromis, j'en ai fait, mais il me semble qu'on a raté l'occasion de se rassembler autour de ce texte à un moment où des compromis étaient possibles", a-t-il indiqué.

"Quand on est un député de la majorité on prend sa responsabilité", estime Macron

"Quand on est un député de la majorité on prend sa responsabilité", estime Macron

Le ministre de l'Economie, Emmanuelle Macron a réagi mercredi sur RMC et BFMTV à la décision prise par le député socialiste, Benoît Hamon de voter contre son projet de loi. " Il est arrivé sur un point du débat qui était les compensations du travail le dimanche. Je considère que quand on n'est pas d'accord avec une disposition d'un texte qui contient 200 articles, et qu'on est un député de la majorité on prend sa responsabilité quand on décide de voter contre. Mais vous me permettrez de penser que cette raison est un peu dérisoire", indique le ministre.

"Le dimanche est un jour où l'on peut se consacrer aux loisirs, à la famille", selon Hamon

"Le dimanche est un jour où l'on peut se consacrer aux loisirs, à la famille", selon Hamon

"Moi je suis favorable à ce qu'il y ait par principe, un jour où pour l'immense majorité des Français, on ne produit pas, on ne travaille pas et on ne consomme pas" a déclaré ce vendredi, chez Jean-Jacques Bourdin, Benoît Hamon, député PS des Yvelines. En tant qu'ancien ministre de la Consommation, il a estimé, sur BFMTV et RMC, que "le dimanche est un jour où l'on peut se consacrer aux loisirs, à la famille".