Le port du masque est désormais obligatoire pour tous, à partir de 11 ans, dans les lieux publics clos. Si on y déroge l'amende s'élève à 135 euros. Mais pour respecter la règle, le budget n'est pas anodin pour les familles.
Pour faire ses courses dès ce lundi, il faut obligatoirement porter un masque. La mesure vise à freiner la propagation du coronavirus, qui reprend dans certaines zones. Malgré certains réfractaires, la mesure est plutôt bien acceptée par les Français.
Le taux de reproduction effectif du virus est actuellement de 3,1 dans le Finistère. Au niveau national, il est d'environ 1,2, selon Santé publique France.
Le ministère de la Santé enregistre une "augmentation modérée" de la circulation du virus sur le territoire français, ce lundi, en cette période de vacances d'été.
Le projet de vaccin britannique a généré "une forte réponse immunitaire" chez les patients testés, tandis que le projet chinois a provoqué une forte réaction en terme d'anticorps chez les participants à l'étude.
Le ministre de la Santé effectue un déplacement dans ce département touché par une nouvelle augmentation du taux de Covid.
Les autorités du Grand-Est appellent les habitants à faire preuve de vigilance alors que le nombre de nouveaux cas diagnostiqués est en augmentation depuis 3 semaines.
En plein coeur de l'été, le masque devient obligatoire, ce lundi, dans les lieux publics clos. Cette mesure répond aux signes d'un léger regain du virus. Les autorités appellent par ailleurs à la vigilance dans le Grand-Est, où le nombre de cas remonte.
Un adolescent affirme avoir reçu un tir de LBD non justifié le soir du 13 juillet, l'IGPN a été saisie.
Sur Twitter, le ministre des Solidarités et de la Santé dénombre près d'une vingtaine de lieux où, dès ce lundi, les Français devront porter le masque sous peine d'amende.
Quatre mois après avoir été jugé "inutile" par les autorités, le port du masque devient obligatoire dans les lieux publics clos, il peut valoir une amende de 135 euros en cas d'infraction.
Alors que les signes de reprise de l'épidémie de coronavirus se multiplient, les spécialistes insistent sur l'importance de ne pas se relâcher dans le respect des gestes barrières.
A partir de ce lundi, le masque sera obligatoire dans les lieux publics accueillant du public.
Dans les hôpitaux, le coronavirus n'est pas oublié. Les établissements se préparent même à l'éventualité d'une seconde vague. Les stocks de masques sont augmentés, et des mesures de sécurité sanitaire sont prises.
Le chef de l'Etat avait annoncé que l'obligation de porter un masque entrerait en vigueur le 1er août. Mais cela a été avancé à ce lundi 20 juillet.
Le port du masque sera obligatoire dans les lieux publics clos dès lundi. Ce sont les commerces, les halls de gare, les salles d'attente et les marchés couverts qui sont principalement concernés. Les entreprises privées ne sont elles pas concernées par ce décret, mais le port du masque y est recommandé.
Les États-Unis sont le pays ayant enregistré le plus de morts au total (140.103) devant le Brésil (78.772), le Royaume-Uni (45.273), Le Mexique (38.888) et l'Italie (35.042).
L'épidémiologiste Catherine Hill a estimé ce dimanche sur BFMTV que le port obligatoire du masque dans les lieux publics clos "est une bonne chose". Elle a cependant regretté que "l'on ne teste pas assez" en France.
Un salarié a été licencié le 11 juin dernier pour non-respect du port du masque sur son lieu de travail. L’homme âgé de 51 a expliqué souffrir de problème respiratoires. L’entreprise, elle, se défend. L'affaire va être portée devant les prud'hommes.
Dès lundi, le port du masque sera obligatoire à l’intérieur de tous les lieux publics clos. Cette mesure,déjà en vigueur dans certaines localités, est un soulagement pour de nombreux restaurateurs qui peinaient jusqu’à présent à faire respecter cette contrainte à leur clientèle.
Si les visières peuvent être utilisées en complément d'un masque, elles ne le doivent pas le remplacer, selon l'Office fédéral de la santé publique suisse.
Le gouvernement doit publiera lundi ou mardi le texte précisant l'obligation du port du masque dans les lieux publics clos.
L’Académie de médecine publie son analyse sur la prise en charge des séquelles liées au Covid-19. Poumons, reins, cerveau… Plusieurs organes peuvent être touchés par des conséquences plus ou moins réversibles.
Déjà obligatoire dans six communes, le port du masque dans les lieux clos recevant du public est étendu depuis vendredi soir à tout le département de la Mayenne.
La mairie d'Alfortville a décidé d'imposer dès maintenant le port du masque dans les lieux publics clos de la ville.
Face à la crainte d'une deuxième vague épidémique, les ventes de masques et de gels hydroalcooliques repartent à la hausse. Bon nombre de pharmaciens parisiens ont en tout cas constaté que leurs clients ont choisi de refaire leurs stocks.
Afin de lutter contre tout rebond de l'épidémie de Covid-19 sur l’île, des caméras thermiques ont été installées dans les halls arrivées des quatre aéroports corses. A l'aéroport Napoléon Bonaparte d'Ajaccio, le plus important de l'île, les passagers sont scannés après leur descente d'avion et dès leur arrivée dans l'aérogare à travers un système de caméras qui fait pré-filtrage.
En France cette semaine, plusieurs indicateurs, du taux d'incidence au nombre de dépistages, sont en hausse, souligne le point épidémiologique hebdomadaire de Santé publique France.
Interrogé sur un éventuel reconfinement en France, à l'instar de celui décrété depuis vendredi à Barcelone, le Premier ministre a fait valoir que "les chiffres à Barcelone sont beaucoup plus dégradés que ce que nous observons" en France, même s'il y a "eu incontestablement un relâchement".
L'indice de mesure du nombre de personnes contaminées par un malade, le R0, atteint 2,26 à la Réunion, ce qui signifie qu'une personne contaminée en contamine plus de deux autres, selon la carte du ministère de la Santé. Il est de 1,18 en France métropolitaine.
Le Premier ministre Jean Castex a annoncé que le masque serait finalement obligatoire dans les lieux publics clos dès "la semaine prochaine." Cette annonce intervient deux jours après une interview d'Emmanuel Macron, au cours de laquelle il avait annoncé que cette mesure rentrerait en vigueur à partir du 1er août prochain.
Le virus circule toujours en Bretagne. Selon le dernier point de situation sanitaire de l'Agence Régionale de Santé (ARS) Bretagne, 123 nouveaux cas ont été détectés dans la région depuis le 15 juillet, soit en seulement deux jours.
L'épidémie est-elle en train de répartir en Bretagne? Selon le tableau de bord de suivi de l'épidémie de coronavirus en France, mis à jour quotidiennement sur le site du gouvernement, le taux de reproduction du Covid-19 (également appelé R effectif) dans la région a bondi à 2,62 d'après les dernières données datées de mardi. En d'autres termes, 10 personnes infectées en contaminent 26, un chiffre qui a doublé en l'espace d'une semaine et qui se rapproche de ceux d'avant le confinement
L'épidémie est-elle en train de répartir en Bretagne? Selon le tableau de bord de suivi de l'épidémie de coronavirus en France, mis à jour quotidiennement sur le site du gouvernement, le taux de reproduction du Covid-19 (également appelé R effectif) dans la région a bondi à 2,62 d'après les dernières données datées de mardi. En d'autres termes, 10 personnes infectées en contaminent 26, un chiffre qui a doublé en l'espace d'une semaine et qui se rapproche de ceux d'avant le confinement.
L'épidémie est-elle en train de répartir en Bretagne? Selon le tableau de bord de suivi de l'épidémie de coronavirus en France, mis à jour quotidiennement sur le site du gouvernement, le taux de reproduction du Covid-19 (également appelé R effectif) dans la région a bondi à 2,62 d'après les dernières données datées de mardi. En d'autres termes, 10 personnes infectées en contaminent 26, un chiffre qui a doublé en l'espace d'une semaine et qui se rapproche de ceux d'avant le confinement.
Malgré une augmentation du taux de reproduction du virus, la situation sanitaire n'est "pas alarmante" et la diffusion du virus "reste faible", selon l'agence Santé publique France.
L'épidémie est-elle en train de répartir en Bretagne? Selon le tableau de bord de suivi de l'épidémie de coronavirus en France, mis à jour quotidiennement sur le site du gouvernement, le taux de reproduction du Covid-19 (également appelé R effectif) dans la région a bondi à 2,62 d'après les dernières données datées de mardi. En d'autres termes, 10 personnes infectées en contaminent 26, un chiffre qui a doublé en l'espace d'une semaine et qui se rapproche de ceux d'avant le confinement.
L'épidémie est-elle en train de répartir en Bretagne? Selon le tableau de bord de suivi de l'épidémie de coronavirus en France, mis à jour quotidiennement sur le site du gouvernement, le taux de reproduction du Covid-19 (également appelé R effectif) dans la région a bondi à 2,62 d'après les dernières données datées de mardi.
Deux mois après le début du déconfinement, le Covid-19 gagne à nouveau du terrain en France. Plusieurs régions enregistrent une hausse significative de nouvelles contaminations, notamment la Bretagne, où 110 nouveaux cas ont été détectés en 5 jours. Le taux de reproduction vient de grimper à 2,62. Autrement dit, 10 malades du Covid-19 en contaminent 26 en moyenne. Pour l’instant, le taux d’occupation en réanimation reste bas. Mais d’autres signaux de reprise surviennent. Les autorités sanitaires appellent les Français à ne pas relâcher les gestes barrières, même durant les vacances. Le port du masque sera obligatoire dès la semaine prochaine dans tous les lieux publics clos.
Manque de personnel, de zones de dépistage, de lieux d'analyse... Si des centaines de milliers de tests sont disponibles, dans certaines régions, il faut d'abord réussir à obtenir un rendez-vous.
"Il est absolument indispensable, non pas de fermer les frontières, mais que toute personne qui arrive sur le territoire national soit tracée", estime le professeur Eric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié Salpêtrière.
Dans un communiqué, l'Académie a précisé une liste de lieux qui, selon elle, devraient être concernés par le port obligatoire d'un masque.
Le ministre délégué en charge des transports rappelle la nécessité du respect des mesures barrières pendant les vacances.
Si les hôpitaux ne voient pas arriver d'afflux massif de malades, les autorités sanitaires notent que plusieurs indicateurs appelent à la vigilance.
En l'espace de quelques jours seulement, le taux de reproduction, qui est un indicateur de l'avancée de la maladie, a bondi jusqu'à 2,62.
Le département a dépassé le seuil de vigilance. Les hôpitaux observent une augmentation des patients.
Pour Assa Traoré, la soeur d'Adama Traoré, un homme de 24 ans, mort le 19 juillet 2016 à la gendarmerie de Persan, après son interpellation, son frère "est une victime".
De fortes disparités sont constatées en fonction des départements de la région.
L'infectiologue à la Pitié-Salpêtrière est l'invité d'Apolline de Malherbe.
Le Pr Éric Caumes, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière à Paris, était l'invité d'Apolline de Malherbe ce vendredi matin.
