L'actionnaire n'a pas apprécié de voir la une du Journal du dimanche entièrement consacrée à Marine Le Pen. Et l'a fait savoir.
Un des acteurs clé de l'affaire Bygmalion, Jérôme Lavrilleux, accuse Nicolas Sarkozy de se défausser, de ne pas assumer le présumé système des fausses factures de la campagne présidentielle 2012. L'ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé ajoute que ce n'est pas seulement le budget consacré aux meetings qui aurait dérapé.
Invitée de Jean-Jacques Bourdin mercredi matin sur BFMTV et RMC, Ségolène Royal s'est montrée optimiste sur la COP21. Pour la ministre de l'Écologie, les climato-sceptiques "veulent faire les malins, qu'on entende parler d'eux, mais je crois que c'est en bonne voie, même si c'est difficile". Une petite phrase qui fait écho aux vives critiques prononcées par l’ancienne ministre Nathalie Kosciusko-Morizet, beaucoup plus dure, qui les qualifiait de "connards".
Les tensions sociales et interpellations de l'exécutif par des salariés se multiplient ces derniers jours. "Le gouvernement a voulu dire qu'il aimait les entreprises, qu'il allait les aider et il a aussi voulu rappeler qu'il était un gouvernement de gauche. A force de vouloir poursuivre les deux choses à la fois, il se prend un peu les pieds dans le tapis", explique chef du service politique de BFMTV. Mardi 13 octobre, Emmanuel Macron comme François Hollande ont vécu des moments difficile lors de sorties publiques.
La ministre de l'Écologie était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin mercredi matin sur BFMTV et RMC. Ségolène Royal a affirmé que le groupe Engie, ex-GDF Suez, s’était "engagé à retirer ses investissements dans le charbon". Le groupe avait notamment prévu la construction d'une grande centrale à charbon en Turquie, ce qui avait été vivement critiqué par des associations environnementales.
Le premier cercle du parti Les Républicains, les plus grands donateurs, est de retour. Une centaine de riches mécènes se sont retrouvés au siège du parti pour une rencontre discrète avec Nicolas Sarkozy. Ses membres ont toutefois changé: ils sont désormais une centaine, quand ils étaient plus de 500 en 2007 et ce sont davantage des retraités que des grands chefs d'entreprise aujourd'hui.
Le ministre de la Défense sera tête de liste aux élections régionales en Bretagne. Mais rien n'est décidé sur son maintien ou non au gouvernement.
Le président de la République et le ministre de l'Economie ont été ciblé mardi par des syndicalistes lors de deux déplacements distincts à Saint-Nazaire et Lyon. Une preuve supplémentaire du malaise qui s'épaissit entre la classe ouvrière et le gouvernement de gauche.
Invitée de Jean-Jacques Bourdin mercredi matin sur BFMTV et RMC, Ségolène Royal s'est exprimée sur les tensions entre salariés et dirigeants d'Air France. Interrogée sur les réactions d'Anne Hidalgo et Jean-Luc Mélenchon, elle a jugé que "cela ne sert à rien de jeter de l'huile sur le feu (…) Le poids de ma parole en tant que membre du gouvernement n'est pas le même que celui de celles et ceux que vous venez de citer et qui ne sont pas membres du gouvernement".
La ministre de l'Écologie, était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin mercredi matin sur BFMTV et RMC. Interrogée sur la hausse des tensions sociales entre salariés et patrons, Ségolène Royal s'est demandée: "Si tout le monde commence à dégrader la France, mais que va-t-il rester?". Un salarié des chantiers navals de Saint-Nazaire avait refusé de serrer la main du Président la veille.
"J'appelle la direction et les organisations représentatives d'Air France à reprendre le dialogue" qui "est de la responsabilité des dirigeants de l'entreprise", a expliqué la ministre sans répondre sur l'interpellation de cinq syndicalistes de l'entreprise.
Dans la polémique sur la France, "pays de race blanche", l'eurodéputée Les Républicains a perdu son investiture pour les régionales mais semble s'être attirée la sympathie d'une partie des Français...
"Les grands chefs sont ceux qui assument", assène l'ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé dans un entretien à L'Obs.
Invité de BFMTV ce mardi, Pierre Laurent, le secrétaire national du Parti communiste, est revenu sur l'affaire Air France. Pour lui, les interpellations menées au domicile de plusieurs employés du groupe sont inacceptables: "On traite les salariés comme des criminels, on est allé les chercher chez eux à six heures du matin". Pierre Laurent demande "qu'on arrête de jeter de l'huile sur le feu" et qu'on étudie la proposition du délégué syndical CGT d'ouvrir des négociations triparties entre la direction, les syndicats et l'État.
Dans l'après-midi, lors d'une rencontre avec les quatre syndicats de STX (FO, CFDT, CFE-CGC et CGT), les deux représentants de la CGT avaient refusé de serrer la main du chef de l'Etat, précisément parce qu'ils lui reprochaient de ne pas dénoncer la "violence patronale" dans le dossier Air France.
Mardi, lors d'une table ronde sur le thème "des nouvelles opportunités économiques", le ministre de l'Economie a été apostrophé par une personne dans l'assistance qui a aussi jeté un yaourt dans sa direction.
En visite sur les chantiers navals de Saint-Nazaire, François Hollande a été pris à partie par un militant CGT qui a, au début, refusé de serrer la main au chef de l'Etat. Le salarié a dénoncé une "violence patronale de plus en plus imposante sur le territoire". Le syndicaliste a apporté son soutien aux salariés d'Air France avant de critiquer "le chantage à l'emploi" trop présent selon lui en France.
Emmanuel Macron était, ce mardi, en déplacement à Lyon à l'occasion des journées de l'économie. A la Bourse du travail, le ministre de l'Economie a présidé dans l'après-midi une table ronde sur le thème des "nouvelles opportunités économiques". Alors qu'il était sur scène, un yaourt a été lancé atterrissant sur le sol et une femme l'a violemment pris à partie. "Tu assassines des chômeurs", a-t-elle crié avant d'être évacuée par le service d'ordre.
Lors d'une visite sur les chantiers navals de Saint-Nazaire, le président de la République François Hollande est revenu sur l'épineux dossier du dialogue social. "Faut-il garder les syndicats? Faut-il garder des instances représentatives du personnel? Est-ce qu'il faut chercher le compromis? Je réponds oui à toutes ces questions", a notamment déclaré le chef de l'Etat.
L'examen du projet de budget 2016 a débuté mardi à l'Assemblée nationale, où des frictions à gauche peuvent ressurgir autour d'une initiative de Jean-Marc Ayrault en vue d'une réforme fiscale, tandis que la droite conteste la réalité d'une baisse d'impôts.
"Le moins que l'on puisse dire c'est que vous ne manquez pas de toupet (…) Je pense que les policiers préfèrent notre considération à la vôtre", a répondu mardi le ministre de l'Intérieur Bernard Cazeneuve à Eric Ciotti. Le député Les Républicains l'avait interpelé sur "le malaise des policiers et leur colère", à la veille d'un rassemblement prévu mercredi par tous les syndicats de police sous les fenêtres de la garde des Sceaux Christiane Taubira.
Véronique Louwagie a fait une attaque en règle mardi contre le projet de budget lors des questions au gouvernement. "Vous renoncez une nouvelle fois à vous attaquer au véritable sujet", a reproché la députée Les Républicains dénonçant également un flou sur les 16 milliards d'économies. "A chaque fois que nous proposons de faire une économie vous êtes contre et au même moment vous nous dîtes vous ne faîtes pas assez d'économies, alors expliquez-moi comment vous faîtes? C'est du n'importe quoi de votre côté", lui a répliqué le ministre des Finances Michel Sapin.
Le ministre de l'Intérieur a rencontré mardi matin les forces de sécurité, à la veille d'une manifestation, alors que la colère gronde face à la dégradation des conditions de travail.
L'examen du projet de budget 2016 démarre mardi à l'Assemblée. Le patron des députés Les Républicains y voit un "jeu de massacre sur les classes moyennes". "On assiste à hyper concentration de l'impôt sur les classes moyennes", selon Christian Jacob pour qui "on est vraiment parti dans une doctrine d'extrême gauche".
L'examen du projet de budget 2016 démarre mardi à l'Assemblée, où des frictions à gauche peuvent ressurgir autour d'une initiative de Jean-Marc Ayrault. L'ancien Premier ministre et Pierre-Alain Muet ont déposé un amendement vue d'une réunification à terme de l'impôt sur le revenu et la CSG. Il a défendu au micro de BFMTV une "réforme qui irait dans le sens de la justice et de la simplicité".
Pour le patron des Républicains, le chiffre de 10.000 bureaux de vote en France ne serait "pas réaliste". Une phrase que ses rivaux n'acceptent pas.
A l'occasion de son discours devant le Parlement européen à Strasbourg, François Hollande a insisté sur l'importance de ne pas céder à la peur. "A chaque crise, des peurs se manifestent. Il faut vivre avec la peur, mais il ne faut pas vivre dominé par la peur. Il n'empêche, il y a une tentation de repli national chaque fois qu'il y a une épreuve. Au contraire, elle justifie une Europe offensive capable d'assurer la protection due à ses citoyens et de tenir son rang conformément à ses intérêts et à ses valeurs", a déclaré le président français.
Les récentes prises de parole d'Emmanuel Macron irritent les socialistes. Au point que certaines veulent lui imposer le silence pour la campagne des régionales.
Invité de Jean-Jacques Bourdin mardi matin sur RMC et BFMTV, Jean-Luc Mélenchon a défendu les six salariés d'Air France mis en examen pour violence à l'encontre de deux dirigeants de la compagnie. Cette étape de la procédure a été prolongée pour cinq d'entre eux pour 24 heures. "On n'a pas été chercher monsieur Cahuzac dans son lit. On n'a pas été chercher monsieur Sarkozy dans son lit. Mais quand c'est un travailleur (…) alors on va le chercher comme un bandit", a déploré le député européen du Front de gauche.
Jean-Luc Mélenchon était l'invité de Jean-Jacques Bourdin mardi matin sur RMC et BFMTV. Interrogé sur les violences à Air France à l'encontre de deux dirigeants, le député européen a répondu: "Je dis aux gens: recommencez! Il ne faut pas céder. Il ne faut pas avoir peur". La garde à vue de six salariés du groupe a été prolongée le jour même.
Invité de Jean-Jacques Bourdin mardi matin, Jean-Luc Mélenchon a défendu les salariés d'Air France mis en examen pour violence à l'encontre de deux dirigeants de la compagnie, dont les chemises ont été arrachées lors d'une manifestation. Le député européen a réagi aux propos de Manuel Valls qui les a traités de voyou. "Le seul voyou qu'il y a là-dedans, c'est celui qui parle comme ça", a jugé l'élu du Front de gauche.
Sur BFMTV et RMC, l'eurodéputé du Front de gauche qualifie de "honte" l'arrestation de salariés d'Air France, après les violences contre le DRH. Et égratine au passage Manuel Valls.
François Baroin, pourtant chiraquien assumé, soutient très officiellement Nicolas Sarkozy pour 2017 et n'hésite pas à égratigner Alain Juppé, rival de ce dernier dans la course à l'Elysée.
Depuis Ryad en Arabie Saoudite, le Premier ministre s'est exprimé en direct sur BFMTV, revenant ainsi sur les frappes françaises menées en Syrie contre le groupuscule terroriste de l'Etat islamique, Daesh.
