Les députés doivent étudier lundi des scénarios alternatifs de sortie de l'Union européenne, après avoir échoué mercredi à rassembler une majorité sur huit options qui leur étaient présentées.
Le ministre allemand des Affaires étrangères s'est exprimé à la suite du nouveau rejet par les députés britanniques ce vendredi de l'accord conclu entre Theresa May et l'Union européenne.
Devant des élus des Hauts-de-France ce vendredi, le chef de l'État a assuré que la France était, "sans aucun doute", "le pays le plus prêt" à affronter un Brexit sans accord.
Le président du Conseil européen Donald Tusk va réunir les chefs d'État et de gouvernement de l'Union le mercredi 10 avril.
L'accord a été rejeté pour la troisième fois par les députés britanniques ce vendredi. Le prochain épisode de la saga du Brexit aura lieu lundi, les députés devant tenter de s'accorder sur une alternative au plan de Theresa May. La Première ministre est plus que jamais sur la sellette.
Les députés britanniques se prononcent une troisième fois ce vendredi sur l'accord de retrait entre le Royaume-Uni et l'Union européenne. Voici ce qu'il prévoit.
D'après un sondage Opinionway-Tilder pour Les Échos, les Français sont partagés entre le choix d'un Brexit "dur" ou "doux": 46% des Français sont favorables à un Brexit "rapide et sans accord". Ils sont 49% à préférer une sortie en douceur.
La patronne du FMI a appelé ce jeudi à renforcer le système bancaire de la zone euro.
La ministre des Relations avec le Parlement, Andrea Leadsom, a annoncé ce jeudi la tenue d'un nouveau vote sur l'accord conclu avec l'Union européenne. Le speaker John Bercow a donné son feu vert.
Les députés britanniques ont rejeté tard mercredi soir toutes les options sur le Brexit qu'ils avaient eux-mêmes proposées. Quelques heures auparavant, Theresa May avait mis sa démission dans la balance pour les convaincre de voter son accord de retrait de l'UE qu'elle compte soumettre au vote une troisième fois vendredi. Que peut-il désormais se passer?
La Première ministre britannique s'est engagée à démissionner auprès des députés conservateurs, en échange de leur soutien à l'accord de divorce qu'elle a négocié avec Bruxelles.
Une dizaine de catégories de produits seront interdits s'il existe des alternatives.
La Première ministre britannique espère toujours faire approuver à la Chambre des Communes l'accord de retrait négocié avec Bruxelles. Pour y parvenir, elle pourrait s'engager auprès des députés conservateurs à démissionner, à condition que ces derniers approuvent le texte en cas de nouveau vote.
Après avoir repris le contrôle de l'agenda parlementaire, les députés britanniques se prononcent ce mercredi sur une série d'alternatives à l'accord de retrait négocié entre Theresa May et Bruxelles. Des votes qui ne sont toutefois pas contraignants.
À quelques jours de la date fatidique, le Royaume-Uni n’exclut aucune option, pas même la pire. Bien qu’il se soit vu accorder un sursis de l’Union européenne en obtenant un report du Brexit au 12 avril au plus tôt, le spectre d’une sortie sans accord plane toujours outre-Manche.
Estimant que le Brexit pourrait avoir inversé la tendance depuis le scrutin de 2014, la Première ministre écossaise Nicola Sturgeon a fait savoir qu'un nouveau référendum sur l'indépendance aurait lieu.
Dans le cadre de "l'opération Yellowhammer", le Royaume-Uni a prévu plusieurs mesures d'urgence en cas de divorce brutal avec l'Union européenne le 12 avril prochain.
Le député DUP en charge du Brexit a qualifié de "toxique" l'accord signé entre Theresa May et Bruxelles.
Porte-parole de l'aile europhobe du Parti conservateur, Jacob Rees-Mogg a fait savoir ce mardi que les députés devront désormais choisir entre l'accord conclu entre Theresa May et Bruxelles et "pas de Brexit". Partisan d'un Brexit dur, il a dit préférer l'option d'une sortie avec un mauvais accord que ne pas sortir "du tout".
Devant la Chambre des Communes, la Première ministre britannique a reconnu que l'accord de Brexit négocié avec Bruxelles n'avait pas le soutien nécessaire pour être soumis une troisième fois au vote Parlement.
La Commission européenne a affirmé ce lundi avoir terminé ses préparatifs en cas de divorce sans accord avec le Royaume-Uni, notamment dans les domaines sensibles de la pêche, les services financiers et les transports aériens. Si ce scénario n'est "pas souhaitable", il est "de plus en plus vraisemblable", a fait savoir Bruxelles.
Le 26 mai, les Français sont appelés à voter pour les européennes. BFMTV.com récapitule les modalités du scrutin, ses objectifs et les conditions pour voter ou être candidat.
Fragilisée, la Première ministre britannique tenait ce lundi matin une réunion avec son gouvernement pour évoquer la stratégie à adopter à l'entame d'une semaine cruciale pour le Brexit. Attaquée de toutes parts, la dirigeante conservatrice doit également faire face à un vent de fronde qui pourrait la pousser vers la sortie. Selon les médias britanniques, elle aurait d'ailleurs promis de démissionner si les Brexiters votent son accord.
Alors qu'un accord européen a été conclu jeudi pour améliorer le cadre de surveillance des banques et des établissements financiers, le ministre français estime qu'il reste encore beaucoup à faire.
Toujours bloquée par le refus du parlement d'accepter son projet d'accord de sortie, la Première ministre britannique bénéficie d'une dernière fenêtre de tir grâce au délai accordé par l'Union européenne.
John Bercow est le "speaker" de la Chambre des communes. Avec son fameux cri "Orddeeeerrr" il a commencé à se faire connaitre lors des débats sur le Brexit. Mais savez vous pourquoi il pousse ce cri?
En déplacement à Bruxelles pour le Sommet européen, le chef de l'État s'en est pris aux Brexiters qui, selon lui, sont responsables de l'impasse actuelle après avoir diffusé "une quantité considérable de mensonges" lors du référendum de 2016.
En ayant dépassé le million de signataires en moins d'un jour, la pétition avait déjà fait parlé d'elle. Avec trois millions de signataires, sera-t-elle suffisante pour remettre en cause le Brexit?
Le chef de l'État ne croit pas que la Première ministre britannique parviendra à faire valider l'accord à la Chambre des Communes. Il appelle néanmoins les Britanniques à "lever les ambiguïtés".
Les Britanniques ont jusqu'au 12 avril pour voter l'accord de divorce avec l'UE. En cas de nouveau rejet, le pays devra organiser des élections européennes s'il veut repousser à nouveau le Brexit.
Les 27 se sont dits prêts à accorder au Royaume-Uni un report du Brexit au 22 mai, à condition que les députés britanniques votent l'accord de retrait la semaine prochaine. La date du 7 mai circulait également à Bruxelles. Theresa May demandait initialement un report de trois mois.
Le chef de l'État s'est félicité de la prise de conscience européenne alors que la Chine dont les investissements massifs dans l'UE, en particulier dans les pays de l'Est et du Sud, en demande de capitaux, inquiètent les dirigeants européens.
En déplacement à Bruxelles pour le Conseil européen, le président de la République a rappelé qu'un nouveau rejet de l'accord sur le Brexit par le Parlement britannique entraînerait une sortie sans accord.
En Grande-Bretagne, c'est la loi: une pétition officielle qui dépasse 100.000 signatures oblige le Parlement à examiner la question posée lors d'un débat. Une de ses pétitions remporte un franc succès et a dépassé le million de signataires: elle demande de révoquer l'article 50 et de rester dans l'UE.
Syndicats et patronat britanniques ont demandé à être reçus par Theresa May et réclament un "plan B" pour éviter de choisir entre l'accord de Brexit et une sortie sans accord.
Selon une étude de l'institut Bertelsmann, un Brexit sans accord coûterait 57,3 milliards d'euros par an au Royaume-Uni et 40,4 milliards à l'Union européenne. La France serait l'un des pays les plus touchés avec une perte estimée à 7,73 milliards d'euros par an, juste derrière l'Allemagne (9,5 milliards d'euros).
A une très large majorité, le Parti populaire européen a décidé de suspendre temporairement le dirigeant populiste hongrois et son parti, le Fidesz.
Le président du Conseil européen Donald Tusk fait pression: il vient de rappeler que les 27 Etats membres de l'UE seraient prêts à accorder une extension au Brexit, à condition seulement que l'accord initialement conclu entre Londres et Bruxelles soit validé par le Parlement britannique d'ici la semaine prochaine.
La "demande claire" de Theresa May est, selon le porte-parole d'Angela Merkel, une bonne base pour discuter de nouvelles conditions de la sortie de la Grande-Bretagne de l'UE.
Le coordinateur national pour la préparation du Brexit Vincent Pourquery de Boisserin a assuré que les ports et aéroports français étaient "prêts" à affronter une sortie du Royaume-Uni de l'UE sans accord.
Theresa May veut décaler la date de sortie de la Grande-Bretagne de l'UE de trois mois. Le gouvernement, via son ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian, n'est pas convaincu par la stratégie de la Première ministre britannique.
Dans l'impasse suite au blocage de son projet d'accord, la Première ministre britannique a demandé un délai de trois mois supplémentaires à l'Union européenne.
Inquiets de ne plus en trouver en rayon dans les mois à venir, les foyers britanniques achètent en masse des produits importés, tels que du papier toilette et des conserves. Les économistes s'inquiètent de ces achats en quantité, qui pourraient conduire à une pénurie dans les magasins.
La Commission européenne dévoile que les états membres participeront à un projet visant à développer une eurodéfense. Ce cofinancement s'élève à 525 millions d'euros. Sur ce montant, 182 millions d'euros seront consacrés à la cyberdéfense et à la cybersécurité.
La Première ministre britannique va écrire une lettre à Donald Tusk, président du Conseil européen, pour demander un report du Brexit alors qu'elle fait face à une impasse avec le Parlement.
Paris exige que Londres propose une "alternative crédible, des les tous prochains jours" alors que les conditions de sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne sont toujours incertaines.
La chancelière allemande a fait part ce mardi de sa volonté de "se battre jusqu'au bout" pour une sortie ordonnée du Royaume-Uni de l'Union européenne.
Le président de la Chambre des Communes John Bercow a annoncé ce lundi que le gouvernement britannique ne pourra pas soumettre une troisième fois au vote du Parlement l'accord de divorce conclu avec l'UE si celui-ci ne comportait aucun changement.
La Première ministre britannique pourrait soumettre son accord de retrait au vote du Parlement une troisième fois, à condition qu'elle soit certaine de l'emporter. Pour y parvenir, le gouvernement redoublait d’efforts ce lundi pour faire pencher la balance de son côté, notamment en tentant de convaincre les députés du DUP et les pro-Brexit du Parti conservateur.
