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Dossier

François Fillon - Page 33

Convention sur l’islam: les Républicains divisés

Convention sur l’islam: les Républicains divisés

Est-ce un signal envoyé aux militants qui souhaitent une droitisation du parti? Les Républicains ont choisi pour leur première réunion de travail de se pencher sur l’islam. A la clé, des propositions qui seront inscrites dans le programme présidentiel de 2017. Nathalie Kosciusko-Morizet a qualifié cette rencontre de "mauvaise idée". Alain Juppé et François Fillon, candidats à la primaire à droite, ont quant à eux boudé la convention.

"On a voulu me salir", dénonce François Fillon

"On a voulu me salir", dénonce François Fillon

"On a voulu me salir en pensant que je ne réagirai pas. C’est raté. Je suis devant le tribunal. Je demande à la justice de défendre mon honneur et de défendre ma conception de la vie publique", a indiqué François Fillon jeudi. L’ancien Premier ministre poursuit le secrétaire général de l’Elysée Jean-Pierre Jouyet en diffamation pour avoir affirmé à deux journalistes du Monde que François Fillon lui avait demandé que l’Elysée accélère les poursuites contre Nicolas Sarkozy pour entraver son retour. "Mon nom n’a jamais été cité dans une affaire judiciaire. Je n’ai jamais cherché en trente ans de vie publique à faire pression sur la justice", a poursuivi l’ancien Premier ministre, qui poursuit également les deux reporters du Monde pour diffamation.

Anna Cabana face à Bruno Jeudy: Pourquoi François Fillon insiste-t-il à affirmer sa candidature à la primaire de l'UMP ?

Anna Cabana face à Bruno Jeudy: Pourquoi François Fillon insiste-t-il à affirmer sa candidature à la primaire de l'UMP ?

Le face à face de Ruth Elkrief du jeudi 16 avril 2015, a opposé Anna Cabana, grand reporter au Point et Bruno Jeudy, rédacteur en chef politique à Paris Match. Ils sont revenus sur la candidature de François Fillon à la primaire de l'UMP en 2016. Au lendemain de la présentation de ses propositions sur le numérique, l'ancien Premier ministre a réaffirmé sa volonté de se présenter à cette élection. Il a demandé que l'on arrête avec les campagnes basées uniquement sur les personnes. "Aujourd'hui, je suis le seul à présenter un programme", a-t-il estimé.

Présidentielle 2017: François Fillon ne veut pas d'un "concours de beauté"

Présidentielle 2017: François Fillon ne veut pas d'un "concours de beauté"

Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV, François Fillon a confirmé sa participation à la primaire UMP. L'ancien Premier ministre a également souhaité que l'élection présidentielle de 2017 ne soit pas "un concours de beauté", "un projet politique". "Ce fut un problème par le passé avec Jacques Chirac (en 1995) élu sur la fracture sociale et qui a appliqué une politique différente. Un problème avec François Hollande qui a annoncé sa volonté de combattre la finance en 2012", a jugé le député UMP avant de reconnaître qu'"après 2007 et l'élection de Nicolas Sarkozy, ce fut le même problème puisque les réformes ont été insuffisantes".

Primaire UMP: "Aucune intimidation ne me fera reculer" assure François Fillon

Primaire UMP: "Aucune intimidation ne me fera reculer" assure François Fillon

Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV, François Fillon a assuré que rien ne le ferait renoncer à la primaire UMP. Le député de Paris dénonce même les campagnes de déstabilisation à son encontre. "J'ai lu que François Fillon était mort politiquement", s'amuse-t-il en référence à des propos prêtés à Nicolas Sarkozy contre son ancien "collaborateur". "Aucune intimidation ne me fera reculer, je serai sur la ligne de départ des primaires", a conclu François Fillon.

Futur nom de l'UMP: "Les Républicains? Je n'y vois pas d'inconvénients" déclare François Fillon

Futur nom de l'UMP: "Les Républicains? Je n'y vois pas d'inconvénients" déclare François Fillon

Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV, François Fillon s'est exprimé sur le futur nom de l'UMP. "Les Républicains? Je n'y vois pas d'inconvénients même si je comprends qu'il y ait une sorte de confusion avec les Républicains américains", répond le député de Paris. "D'une certaine façon, ça permettra de dire au Premier ministre que la République, c'est aussi la droite et le centre", a conclu l'élu.

Régionales: François Fillon avait "une préférence pour Ciotti" en Paca

Régionales: François Fillon avait "une préférence pour Ciotti" en Paca

Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV, François Fillon s'est exprimé sur les élections régionales, notamment en Provence-Alpes-Côte d'Azur. "J'avais une préférence pour Éric Ciotti" à la place de Christian Estrosi comme tête de liste UMP, a confié l'ancien Premier ministre. Pourtant, l'UMP a confirmé ce jeudi dans un communiqué que le maire de Nice conduira bien, à la demande de Nicolas Sarkozy, la liste UMP dans la région Paca.

Primaire UMP: "Aucune intimidation ne me fera reculer, je serai sur la ligne de départ" assure Fillon

Primaire UMP: "Aucune intimidation ne me fera reculer, je serai sur la ligne de départ" assure Fillon

Invité ce jeudi de Jean-Jacques Bourdin sur RMC et BFMTV, François Fillon a assuré que rien ne le ferait renoncer à la primaire UMP. Le député de Paris dénonce même les campagnes de déstabilisation à son encontre. "J'ai lu que François Fillon était mort politiquement", s'amuse-t-il en référence à des propos prêtés à Nicolas Sarkozy contre son ancien "collaborateur". "Aucune intimidation ne me fera reculer, je serai sur la ligne de départ des primaires", a conclu François Fillon.

Nicolas Sarkozy a déjeuné avec les anciens Premiers ministres de l'UMP

Nicolas Sarkozy a déjeuné avec les anciens Premiers ministres de l'UMP

Au menu politique, la présentation des nouveaux statuts de l'UMP. Nicolas Sarkozy a invité à déjeuner les anciens chefs du gouvernement Alain Juppé, François Fillon, Dominique de Villepin et Jean-Pierre Raffarin ce mardi midi. Les cinq hommes ont discuté de l'avenir du parti de droite à quelques heures d'un bureau politique qui doit entériner de nouveaux statuts. L'UMP, dont le nom devrait être modifié, sera fondé sur le triptyque «décentralisation, démocratisation, modernisation», a affirmé mercredi dernier Nathalie Kosciusko-Morizet.

Départementales: "Un coup de tonnerre" pour la gauche selon François Fillon

Départementales: "Un coup de tonnerre" pour la gauche selon François Fillon

François Fillon, s'est exprimé après les résultats des élections départementales dimanche, évoquant un "coup de tonnerre pour la gauche" et "un succès pour la droite républicaine". "C'est un coup de tonnerre pour la gauche qui voit une nouvelle fois, après les élections municipales, sa politique condamnée par les Français. C'est surtout un succès pour la droite républicaine et pour le centre qui vont pouvoir mettre en œuvre dans ses départements les valeurs, les principes qui sous-tendent notre action politique: baisser la dépense publique, pratiquer une vraie politique de justice sociale", a indiqué l'ancien Premier ministre.

Menus dans les cantines scolaires: Juppé prend de la distance avec Sarkozy

Menus dans les cantines scolaires: Juppé prend de la distance avec Sarkozy

Au cours d'un meeting mené au côté de François Fillon, Alain Juppé n'a pas manqué de souligner une distance avec Nicolas Sarkozy, sur le thème des menus de substitution dans les cantines scolaires, où, selon lui, il faut se garder de "maximalisme". A Bordeaux, a-t-il glissé lundi soir, "on sert depuis très longtemps des repas où on peut choisir entre viande ou poisson, viande ou pas viande... Cela n'emm... personne".

La Syrie menacée par Daesh: "Il faut parler avec Assad", estime François Fillon

La Syrie menacée par Daesh: "Il faut parler avec Assad", estime François Fillon

Dans Direct Bourdin ce mercredi matin sur BFMTV et RMC, François Fillon a donné son avis sur l'épineuse question des relations diplomatiques entre la France et la Syrie. "Il faut parler avec toutes les parties, il faut parler avec Assad", juge Fillon, même si "c'est allé trop loin" et qu' "il y a eu trop de sang". C'est une condition indispensable pour ne pas "donner le pouvoir à l'Etat islamique et aux fondamentalistes", estime l'ancien ministre. "Il n'y a pas d'avenir pour Assad en Syrie", a-t-il ajouté, mais "il faut trouver quelqu’un qui fasse une transition entre le régime de Bachar Al-Assad et une évolution plus positive de la Syrie", a déclaré François Fillon.

"FNPS": "une formule réductrice", juge François Fillon

"FNPS": "une formule réductrice", juge François Fillon

Jean-Jacques Bourdin recevait ce mercredi matin François Fillon sur BFMTV et RMC. Le député UMP de Paris juge que la formule "FNPS" employée par Nicolas Sarkozy est "réductrice" et trouve la déclaration de Gérald Darmanin sur Christiane Taubira "un peu leste". Ce dernier l'avait qualifiée de "tract ambulant pour le FN". "Il y a une exaspération dans le pays sur le laxisme de la politique pénale", a cependant ajoutée l'ancien Premier ministre. S'il considère que la politique menée par la gauche fait monter le Front national, François Fillon "ne dirait pas que le Front national et le parti socialiste ont la même histoire politique et s'inspirent des mêmes valeurs".