Interrogé par BFMTV mercredi soir, le porte-parole du parti Les Républicains a estimé que l'exclusion de Nadine Morano de la liste électorale LR dans le Grand-est était "logique".
Marine Le Pen a réitéré mercredi sur BFMTV ses propos à l'encontre de François Hollande qualifiant le chef de l'Etat de "vice-chancelier" d'Angela Merkel. La présidente du Front national avait utilisé les mêmes termes un peu plus tôt dans la journée lors de son intervention au Parlement européen à Strasbourg. "On s'est aperçu, depuis déjà un certain nombre de mois, que l'Allemagne souhaitait mettre l'Europe sous sa domination. C'est elle qui dirige l'Europe et impose sa vision, son modèle qui est suivi pas à pas par le président Hollande. On se dit que nous ne sommes plus, aujourd'hui, défendus par un président de la République. En réalité, monsieur Hollande se comporte comme s'il était vice-chancelier de madame Merkel", a-t-elle déclaré.
Le sort de Nadine Morano, dans le collimateur pour ses propos sur la "race blanche", est scellé puisque Nicolas Sarkozy a proposé Valérie Debord comme tête de liste départementale dans la région Grand-est avant que la commission de décide l'exclure complètement.
Le Parlement européen a été le théâtre mercredi d'une joute verbale entre Marine Le Pen et François Hollande. La première accusant le second d'être le "vice-chancelier" d'Angela Merkel. Et le Président français soupçonnant la présidente du FN de vouloir sortir non seulement de l'euro mais aussi de la démocratie.
"La seule voie possible pour celles et ceux qui ne sont pas convaincus de l'Europe c'est de sortir de l'Europe (...), de l'euro, de Schengen, et même si vous pouvez, de sortir de la démocratie. Parfois en vous entendant je me pose la question: est-ce que vous voulez participer à un espace commun?", a répliqué François Hollande à Marine Le Pen et Nigel Farage, mercredi au Parlement européen sous le sourire approbateur d'Angela Merkel.
"Merci Madame Merkel de nous faire le plaisir de venir avec votre vice-chancelier, administrateur de la province France." Marine Le Pen a commencé ainsi son discours mercredi devant le Parlement européen réuni à Strasbourg.
François Hollande a donné, ce mercredi, un discours devant le Parlement européen à Strasbourg. Il a évoqué longuement la crise migratoire à laquelle l'Europe a dû faire face ses dernières semaines. "Je le reconnais bien volontiers. L'Europe a tardé à comprendre que les tragédies au Proche-Orient ou en Afrique ne pouvaient pas être sans conséquence pour elle. L'Europe n'a prodigué avec suffisamment d'ampleur l'aide à des pays qui pourtant accueillaient dans des camps des populations de plus en plus nombreuses. C'est donc dans l'urgence qu'elle a dû s'organiser pour être digne de sa tradition d'asile", a déclaré le président français.
A l'occasion de son discours devant le Parlement européen à Strasbourg, François Hollande a insisté sur l'importance de ne pas céder à la peur. "A chaque crise, des peurs se manifestent. Il faut vivre avec la peur, mais il ne faut pas vivre dominé par la peur. Il n'empêche, il y a une tentation de repli national chaque fois qu'il y a une épreuve. Au contraire, elle justifie une Europe offensive capable d'assurer la protection due à ses citoyens et de tenir son rang conformément à ses intérêts et à ses valeurs", a déclaré le président français.
Le Parlement européen a été le théâtre mercredi d'une joute verbale entre Marine Le Pen et François Hollande. La première accusant le second d'être le "vice-chancelier" d'Angela Merkel. Et le Président français soupçonnant la présidente du FN de vouloir sortir non seulement de l'euro mais aussi de la démocratie.
A quelques mois des régionales, Nadine Morano pourrait perdre sa place de tête de liste en Meurthe-et-Moselle. Plusieurs candidats de la régions Alsace-Champagne-Ardenne-Lorraine ont convoqué la commission nationale d'investiture du parti Les Républicains pour que Nadine Morano ne soit plus tête de liste dans l'Est. Pourtant la député européenne a décidé de ne pas se rendre à cette commission qui va pourtant décider de son sort.
Le président de la République a mis en garde mercredi, lors d'un discours au Parlement européen en compagnie d'Angela Merkel, contre le risque de voir l'Europe disparaître si elle ne parvient pas à s'unir face aux crises comme celle des migrants ou sur la question syrienne.
Présent aux journées parlementaires des Républicains le 23 septembre dernier à Reims, Nicolas Sarkozy aurait préféré passé une nuit à 1.612 euros dans un Relais et Châteaux, plutôt que dans le Best Western réservé par le groupe parlementaire à cette occasion.
Le porte-voix du Parti de gauche, Jean-Luc Mélenchon, était l'invité de BFMTV mardi 6 octobre pour réagir aux violences physiques qui ont eu lieu à l'encontre de dirigeants d'Air France la veille. "Ça vous oblige, les médias, à vous préoccuper de la question sociale", a lancé l'ancien candidat à la présidentielle de 2012 lors d'un duplex diffusé en direct à 16h21. L'interview a ensuite été rediffusée à plusieurs reprises dans une version plus courte.
Le patron du PS arrive en queue de peloton des classements des ventes en librairie, juste devant Daniel Fasquelle. François Fillon, lui, prend la première place du classement.
Le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, a annoncé mercredi, à l'issu d'un Conseil des ministres, qu'un arrêté de catastrophe naturelle avait été pris concernant les communes durement touchées par les inondations dans les Alpes-Maritimes. "Nous travaillons à marche forcée pour permettre le retour à la vie normale, pour permette l'indemnisation de ceux qui ont été victimes de cette tragédie", a déclaré le ministre.
Le nombre de morts sur les routes françaises a baissé de 17,4% en septembre, "ce qui montre que ces statistiques sont assez erratiques", a réagi mercredi le ministre de l'intérieur. Bernard Cazeneuve a rappelé l'objectif poursuivi par le gouvernement d'une baisse de la mortalité à la fin de l'année, ce qui n'est "pas encore acquis".
Christiane Taubira propose d'escorter chaque détenu lorsqu'il sort de prison, ce qui n'est pas toujours le cas aujourd'hui. Lundi, un policier a été grièvement blessé par un braqueur fiché en cavale après une permission de sortie.
Nicolas Sarkozy a réitéré son ultimatum à Nadine Morano lors d'un bureau politique mardi soir: elle doit retirer ses propos sur la "race blanche" avant mercredi soir ou elle ne sera pas investie tête de liste pour les régionales. "Elle a réexpliqué l'ensemble de son parcours et de son engagement politique, puis ce qui l'avait conduit à prononcer cette phrase, sans renier la phrase en question", a précisé le député Benoist Apparu.
Invité de Jean-Jacques Bourdin mercredi matin sur RMC et BFMTV, Matthias Fekl, secrétaire d'État au Commerce extérieur, a plaidé pour une nouvelle République en France. "Je considère que la 5e République est au bout du rouleau (…) Il faut une nouvelle République", a jugé le secrétaire d'État.
Invité mercredi matin sur BFMTV et RMC, Matthias Fekl, le secrétaire d'État au Commerce extérieur, a affirmé que la légitimité en politique provenait du suffrage, contrairement à la position d'Emmanuel Macron, ministre de l'Économie, qui avait estimé que l'élection est "un cursus de l'ancien temps". Matthias Fekl a précisé qu'il n'avait "ni le même point de vue, ni le même parcours" qu'Emmanuel Macron.
Invité de Jean-Jacques Bourdin mercredi matin sur RMC et BFMTV, Matthias Fekl, secrétaire d'État au commerce extérieur a exprimé son attachement au rôle du couple franco-allemand au sein de l'Union européenne. "Sans le couple franco-allemand, aujourd'hui la Grèce ne serait plus dans la zone euro", a estimé le secrétaire d'État.
Invité mercredi matin sur BFMTV et sur RMC, Matthias Fekl, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, à la promotion du tourisme et aux Français de l'étranger, a plaidé pour un changement majeur des institutions en France.
Matthias Fekl, secrétaire d'Etat au Commerce extérieur, à la promotion du tourisme et aux Français de l'étranger, était mercredi matin l'invité de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC.
Le chef du gouvernement est favorable à un changement de législation sur les permissions de sortie des prisonniers, après une fusillade en Seine-Saint-Denis dans laquelle un policier a été blessé par un braqueur en cavale.
La ministre de l'Ecologie aurait les faveurs de François Hollande pour remplacer Laurent Fabius, donné partant après la COP21.
François Hollande et Angela Merkel vont s'exprimer conjointement, ce mercredi, devant le Parlement européen à Strasbourg. Une première pour le couple franco-allemand depuis 1989, quand il était alors incarné par François Mitterrand et Helmut Kohl. Tout un symbole, alors que l'UE fait face à de profondes divisions. Comme à l'époque.
Le sénateur-maire socialiste de Lyon, Gérard Collomb, était mardi soir l'invité de Ruth Elkrief sur BFMTV. Il a réagi aux violences commises à l'encontre de dirigeants d'Air France lors du comité central d'Air France lundi. "Personne n'accepte les violences. Demain la compagnie peut disparaître. C'est peut-être parce qu'Air France n'a pas pris le tournant low-cost qu'on connait ses difficultés. Si Air France repart demain, il y aura de nouvelles embauches. Très souvent on veut défendre un modèle du passé et plus on se réveille tard et plus c'est douloureux. Manuel Valls essaie d'encourage la mutation d'Air France", a-t-il expliqué.
Alexis Corbière, le secrétaire national du Parti de Gauche s'est exprimé mardi soir sur BFMTV. L'occasion pour lui de revenir sur les chaotiques événements qui secouent Air France depuis plusieurs jours. Il accuse le gouvernement d'avoir ouvert le ciel français à la compagnie Qatar Airways: "Quand Hollande est allé au Qatar pour vendre 24 Rafale, il y a eu un accord passé avec Qatar Airways qui a eu pour conséquence d'ouvrir le ciel français à cette compagnie". Pour lui c'est une concurrence totalement déloyale par rapport à Air France.
Face au bureau politique, l'eurodéputée, qui a reçu le soutien de Jean-François Copé, a, selon nos informations, reconnu avoir "été maladroite". Nicolas Sarkozy a lui de nouveau demandé de retirer ses propos.
Invité de BFM Story mardi, Geoffroy Didier a sévèrement condamné les violences survenues au CCE d’Air France la veille. Le délégué national Les Républicains demande "des sanctions exemplaires" pour les responsables, qu'il qualifie de "voyous".
Le président de la République, François Hollande, a donné un discours à Paris mardi après-midi à l'occasion du 70e anniversaire de la Sécurité sociale. Faisant références aux dirigeants d'Air France malmenés lors du comité central de la compagnie ce lundi, il a souhaité rendre hommage au "paritarisme" faisant le distinguo entre les auteurs des faits et les organisations qui représentent les salariés. "Je veux rendre aux hommages aux partenaires sociaux. Je le dis au moment où il s'est passé des actes inqualifiables à Air France qui ne doivent pas discréditer le syndicalisme mais discréditer les auteurs. Je ne m'en prendrai jamais aux intermédiaires, aux corps sociaux. Il nous faut des intermédiaires parce que l'Etat ne peut pas décider de tout", a-t-il déclaré.
Geoffrey Didier, conseiller régional d'Ile-de-France les Républicains, était l'invité de BFM Story mardi, il est revenu sur les événements qui ont entaché le comité central d'Air France ce lundi. Pour lui, "les images sont honteuses", elles salissent l'image de la France. Il soutient le plan de restructuration d'Air France: "S'il ne se passe rien, l’entreprise sera obligée de mettre la clé sur la porte".
L'ancien candidat à la présidentielle préfère "dire merci" aux salariés d'Air France qui ont mis en lumière la violence faite à ceux "condamnés à la mort sociale". Jean-Luc Mélenchon en a également profité pour critiquer l'attitude du Premier ministre, Manuel Valls, prompt à défendre la direction d'Air France.
Mise en cause par la droite et des syndicats de police, Christiane Taubira envisage de mieux encadrer les sorties de détenus, au lendemain d'un braquage ayant laissé un policier dans un état grave en Seine-Saint-Denis.
Le conflit à Air France permet aux Républicains d'exprimeur leur grogne contre le gouvernement. Pour le parti de l'opposition, l’impasse des négociations dans le conflit à Air France et les incidents de la manifestation sont la conséquence de l’impuissance du gouvernement. Les Républicains attendent désormais une réaction de l'exécutif.
"Quand allez-vous vous remettre en cause madame la ministre et écouter les Français déboussolés et exaspérés par votre laxisme?", a lancé mardi le député Les Républicains, Georges Fenech à Christiane Taubira après qu'un braqueur multirécidiviste, radicalisé et en cavale, a grièvement au policier lundi. "La circonstance ne permet pas de polémique indue", lui a répondu la ministre de la Justice qui a annoncé envisager des escortes systématiques pour certains détenus en permission.
Le ministre de l'Intérieur a donné un coup d'accélérateur à la lutte antiterroriste. Il a annoncé mardi, devant l'Assemblé nationale, qu'il avait demandé que soient déchus de la nationalité française cinq terroristes impliqués dans les attentats de Casablanca en 2003.
Christiane Taubira a déclaré mardi qu'elle envisageait de mettre en place "systématiquement" des "escortes" pour certains détenus en permission, après la fusillade en Seine-Saint-Denis dans laquelle un policier a été grièvement blessé par un braqueur évadé de prison à la faveur d'une sortie.
