Le propriétaire de SFR Patrick Drahi espère retirer autour de 23 milliards d’euros pour la vente de son opérateur. Orange veut aussi profiter d’une éventuelle consolidation.
Henri Proglio milite pour un arrêt des énergies renouvelables et du programme actuel des EPR2. Il préconise de concevoir un nouveau modèle de réacteur de moyenne puissance.
Malgré le coup de tonnerre de l'annonce dimanche soir, le départ de Luca de Meo tournait depuis quelques jours chez Renault. Après avoir redressé le constructeur, il rêvait de diriger le grand rival Stellantis.
Le constructeur français a envisagé de recapitaliser son partenaire japonais Nissan en début d’année. Renault multiplie les réflexions stratégiques pour résister à la concurrence chinoise.
Xavier Girre a été choisi pour diriger le spécialiste de l’eau et des déchets. Les actionnaires de Suez cherchaient un patron depuis six mois.
Le fonds français a discuté avec Bouygues Telecom en vue d’une alliance. Le fonds américain KKR se serait rapproché de Free.
Robert Peugeot passe le relais à son fils Édouard à la présidence de la société familiale. Dix ans après avoir participé au sauvetage de Peugeot, il n’est plus question d’investir dans l’automobile.
Le PDG de la RATP n’a pas acté sa candidature pour remplacer Jean-Pierre Farandou. Mais son entourage assure qu’il reste disponible si Emmanuel Macron veut le nommer.
Philippe Petitcolin a annoncé qu’il démissionnera de son poste d’administrateur de l’entreprise publique d’ici la fin de l’année. L’actuel président d’Alstom était un fervent soutien du PDG que l’Etat vient d’évincer.
Le groupe de luxe pourra prendre le contrôle de Valentino à partir de l’année prochaine. En échange, il pourrait offrir une place de grand actionnaire au Qatar, propriétaire de la marque italienne.
Le patron de Nestlé, Laurent Freixe, est auditionné ce mercredi au Sénat sur le traitement de ses eaux en bouteille. Sa filiale Nestlé Waters cherche dans le même temps à attirer des investisseurs.
Deux dirigeants du groupe sont candidats pour remplacer Philippe Wahl. Stéphane Dedeyan, président du directoire de la Banque Postale et proche du ministre de l’Économie Éric Lombard tient la corde.
L’opérateur télécom boucle ce soir la restructuration de ses 25 milliards d’euros de dette. Il enclenche en parallèle la vente de sa filiale XP Fibre pour poursuivre son désendettement.
Le patron de Getlink a aussi été sélectionné par les actionnaires du groupe d’environnement. Ils peinent à s’entendre sur la stratégie à mener par le futur directeur général.
Le milliardaire est proche d’un accord avec ses créanciers pour restructurer la dette de l’opérateur télécom. Il leur propose 31% du capital et de nouveaux emprunts aux taux d’intérêt élevés.
L’Assemblée nationale vote aujourd’hui sur la nomination du PDG d’Aéroports de Paris. Viendront ensuite celles des patrons de la Caisse des Dépôts, La Poste et de la SNCF. Des candidats proches du camp présidentiel craignent de faire les frais des jeux politiques.
Le nom d’Antonio Filosa, responsable des activités américaines de Stellantis, circule avec insistance pour la direction générale du groupe automobile. L’option du directeur général de Renault, Luca de Meo, semble enterrée.
Selon nos informations, les résultats du joaillier américain, racheté à prix d’or il y a quatre ans, sont décevants. Sa relance prend du temps.
Patrick Pouyanné donne des gages à son conseil d’administration pour maintenir l’ancrage français du groupe.
Les deux groupes s'apprêtent à fusionner une partie de leurs activités. La gouvernance de la nouvelle entité sera équitablement répartie entre les directions de la banque française et de l'assureur italien.
Le groupe Bolloré a lancé une vaste réorganisation de ses holdings avec trois retraits de la Bourse de Paris. Des fidèles investisseurs de la famille Bolloré s’insurgent d’être mal traités.
Bercy va effacer 120 millions d’euros de dettes dans le cadre du plan de restructuration qui est présenté ce mercredi au Tribunal de commerce. Deux investisseurs français participent à la reprise.
Les discussions entre le groupe BPCE et Generali se précisent pour créer un géant de la gestion d'actifs de 2.000 milliards d'euros. Les deux groupes se partageraient leur coentreprise et sa gouvernance.
Ce groupe familial est prêt à débourser 300 millions d’euros pour la totalité du capital de son concurrent. Trois fonds d’investissement sont aussi sur les rangs.
Le propriétaire Fosun fait trainer la vente de 30% du capital alors que Temasek et Bpifrance sont prêts à investir. Le groupe chinois a posé les bases de la succession de son emblématique patron, Henri Giscard d’Estaing.
Les négociations sont interrompues depuis que le milliardaire a séquestré le réseau de fibre de l’opérateur. En contrepartie, il est prêt à leur offrir jusqu’à 25% du capital de l’opérateur.
Les discussions entre l'Etat et Atos sur la reprise de ses activités stratégiques avancent mais sur un périmètre plus restreint qu'attendu.
La banque publique veut mobiliser à nouveau 5 milliards d’euros pour investir dans les grandes entreprises françaises. Elle fera appel aux assureurs français et à des investisseurs du Moyen-Orient.
Le groupe de pub va se doter d’un mécanisme de défense, une fondation, pour bloquer toute offensive. Une alliance avec l’américain Interpublic est dans tous les esprits.
Le groupe Vivendi va introduire en Bourse le groupe de chaînes payantes ainsi qu’Havas. L’homme d’affaires breton poursuit l’éclatement de l’empire qu’il dirige depuis dix ans.
