Donald Trump, s'est dit "très énervé" et "furieux" dimanche 30 mars contre Vladimir Poutine, sur le dossier ukrainien et menace désormais d'imposer de nouvelle taxes sur le pétrole russe. En parallèle, le président américain fait pression sur Volodymyr Zelensky pour qu'il signe un accord permettant aux groupes américains d'exploiter des minerais ukrainiens.
Le ministère ukrainien de la Défense a lancé une "initiative" visant les hommes de 18 à 24 ans, leur offrant des conditions favorables en cas d'engagement dans l'armée.
L'armée ukrainienne a accusé ce samedi 29 mars la Russie d'avoir commis un "crime de guerre" et "violé les normes du droit humanitaire international" en frappant un hôpital militaire à Kharkiv.
Volodymyr Zelensky a estimé ce samedi 29 mars que la Russie n'avait pas "apporté de réponse adéquate" à la "proposition américaine d'un cessez-le-feu inconditionnel".
Selon Volodymyr Zelensky, plus de 170 drones ont été lancés sur l'Ukraine par la Russie dans la nuit de vendredi à samedi. Mocou a également revendiqué ce samedi 29 mars la prise de deux villages ukrainiens.
Nos reporters se sont rendues dans des morgues ukrainiennes, débordées par l'afflux de dépouilles apportées chaque jour par l'armée.
Le président russe Vladimir Poutine a évoqué l'idée d'une "administration transitoire" pour l'Ukraine, sous l'égide de l'ONU, afin d'organiser une "élection présidentielle démocratique" dans ce pays avant un éventuel accord de paix.
Le président russe Vladimir Poutine a évoqué ce vendredi 28 mars l'idée d'une "administration transitoire" pour l'Ukraine, sous l'égide de l'ONU, afin d'organiser une élection présidentielle "démocratique" dans ce pays. À l'issue du sommet de réunion avec 31 pays alliés de l'Ukraine, Emmanuel Macron a évoqué jeudi l'envoi de "forces de réassurance" dans le pays, des troupes militaires de plusieurs États européens qui auront "un caractère de dissuasion".
Le chef de l'État compte envoyer en Ukraine des troupes militaires de plusieurs États européens qui auront "un caractère de dissuasion à l'égard d'une potentielle agression russe". Si les contours de cette force d'intervention restent flou, elle vise à répondre au président ukrainien qui demande à l'UE de "prouver" qu'elle "peut se défendre".
Emmanuel Macron compte envoyer en Ukraine des troupes militaires de plusieurs États européens qui auront "un caractère de dissuasion à l'égard d'une potentielle agression russe". Si les contours de cette force d'intervention restent flou, elle vise à répondre au président ukrainien qui demande à l'UE de "prouver" qu'elle "peut se défendre".
Lors de sa prise de parole à Paris, jeudi 27 mars, Volodymyr Zelensky, le président de l'Ukraine, alerte sur une possible levée des sanctions contre la Russie. "Ce sont des signaux dangereux", affirme-t-il.
Le président ukrainien a exprimé son état d'esprit après le sommet de la "coalition des volontaires" avec les dirigeants de 31 pays alliés de l'Ukraine jeudi 27 mars. Ce sommet a été l'occasion pour lui de souligner l'importance de l'unité internationale dans le soutien à son pays face à l'agression russe.
Le président ukrainien a exprimé la légitimité pour son pays d'utiliser les avoirs gelés russes, dans la construction de son pays, après le sommet de la coalition des volontaires ce jeudi 27 mars.
Jean-Noël Barrot, en visite à Pékin jeudi 27 mars, a rencontré son homologue chinois. Le ministre des Affaires étrangère français a souligné que Paris et Pékin devaient "se coordonner pour promouvoir une paix juste et durable en Ukraine".
Le président français réunit ce jeudi les dirigeants de 31 pays alliés de l'Ukraine pour un sommet qui doit "finaliser" les "garanties de sécurité" à apporter à Kiev en cas d'accord de paix avec la Russie.
Emmanuel Macron réunit ce jeudi 27 mars à Paris les dirigeants de près de 30 pays alliés de l'Ukraine. Ce nouveau sommet rassemble une "coalition des volontaires" qui doit "finaliser" les "garanties de sécurité" à apporter à Kiev en cas d'accord de paix avec la Russie.
Olaf Scholz, Keir Starmer, Giorgia Meloni... Emmanuel Macron réunit ce jeudi 27 mars à Paris 31 pays alliés de l'Ukraine pour un sommet de la "coalition des volontaires" qui doit "finaliser" les "garanties de sécurité" à apporter à Kiev.
Emmanuel Macron a jugé ce mercredi que la Russie démontre "sa volonté de guerre", en multipliant les conditions à un cessez-le-feu. Le président français s'est exprimé aux côtés de son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky, reçu à l'Élysée avant un sommet des "volontaires" alliés à l'Ukraine ce jeudi à Paris.
Le président de la République a pris la parole aux côtés de son homologue Volodymyr Zelensky ce mercredi 26 mars, à la veille d'un sommet européen organisé à Paris sur la question du conflit en Ukraine.
Le président de l'Ukraine Volodymyr Zelensky "considère" ce mercredi que les États-Unis "se trouvent très souvent sous l'influence du narratif russe", s'attaquant notamment à Steve Witkoff, l'émissaire de Donald Trump.
Le président français, s'exprimant à côté de son homologue ukrainien, a appelé la Russie à accepter un cessez-le-feu "sans conditions".
L'Ukraine et la Russie ont accepté par l'intermédiaire des États-Unis une trêve en mer Noire, aux contours encore bien flous. Si c'est une première étape, elle reste minime. Les Russes semblent vouloir "jouer la montre" pour obtenir davantage de concessions.
Emmanuel Macron organise un nouveau sommet sur l'Ukraine pour mettre en place des garanties de sécurité pour Kiev dans le cadre d'un éventuel futur accord de paix avec la Russie, que tentent d'arracher les États-Unis. Le président ukrainien veut notamment savoir "qui est prêt" à participer à un contingent de la paix en Ukraine.
La Russie et l'Ukraine ont accepté mardi de cesser les hostilités en mer Noire, après des discussions avec les États-Unis en Arabie Saoudite. Le Kremlin a toutefois a prévenu que cet accord ne pourra entrer en vigueur qu'après la "levée" des restrictions occidentales sur le commerce de céréales et d'engrais russes.
Emmanuel Macron recevra ce mercredi 25 mars au soir son homologue ukrainien Volodymyr Zelensky à l'Élysée pour "préparer" le sommet du lendemain à Paris des pays de la "coalition des volontaires" prêts à apporter des garanties de sécurité à l'Ukraine, a annoncé ce mardi 25 mars la présidence française.
Kiev, Moscou et Washington se sont notamment accordés ce mardi sur une cessation des hostilités en mer Noire afin "de garantir une navigation sûre".
L'administration Trump a annoncé s'être mise d'accord avec l'Ukraine et la Russie pour que les hostilités cessent en mer Noire.
Il s'agira pour Emmanuel Macron, selon l'Élysée, de "redir(e) au président Zelensky que la France fera de la poursuite et du renforcement du soutien militaire et financier à l'Ukraine une priorité absolue." Le lendemain, le président français organise un nouveau sommet sur "la paix et la sécurité pour l'Ukraine".
La Russie et l'Ukraine ont accepté de cesser les hostilités en mer Noire a annoncé la Maison Blanche après les discussions de groupes de travail en Arabie Saoudite. Kiev demande toutefois des "consultations" pour s'accorder sur les "détails" des accords annoncés par Washington.
Les discussions entre Washington et Moscou ont duré toute la journée ce lundi, mais le communiqué commun des deux pays ne sera publié que que ce mardi.
Une frappe russe a fait au moins 101 blessés à Soumy, au nord de l'Ukraine ce lundi, selon les autorités régionales. Parmi les victimes figurent 23 enfants.
Thierry Arnaud, éditorialiste international à BFMTV, aborde la réunion à Paris des centristes européens qui planchent sur la saisie des avoirs russes face à la guerre en Ukraine. "Cette question est sur la table depuis longtemps", rappelle-t-il.
De nouvelles négociations entre États-Unis et Russie, sur une trêve en Ukraine, ont démarré ce lundi en Arabie saoudite. Il n'y a "rien de spectaculaire à attendre", prévient Thierry Arnaud, éditorialiste international à BFMTV.
Le président américain Donald Trump est déterminé à obtenir un cessez-le-feu rapide. De leur côté, les Russes arrivent à la table des négociations avec des conditions jugées irréalistes par les Européens.
Responsables russes et américains rencontrent ce lundi 24 mars en Arabie saoudite pour de nouveaux pourparlers concernant la guerre en Ukraine. La veille, des discussions "productives et ciblées" entre Ukrainiens et Américains ont eu lieu à Riyad. Volodymyr Zelensky a appelé à "pousser" son homologue russe Vladimir Poutine "à donner un véritable ordre pour arrêter les frappes".
Des discussions très attendues ont commencé dimanche 23 mars à Riyad, en Arabie saoudite, entre Washington et Moscou. Elles interviennent à la veille de pourparlers qui réuniront Américains et Russes.
Les discussions entre Ukrainiens et Américains sur une éventuelle trêve de la guerre avec la Russie auront lieu dimanche 23 mars à Ryad, en Arabie saoudite.
Le Kremlin estime que les discussions visant à parvenir à une fin de conflit en Ukraine n'en sont qu'à leur "début" et s'annoncent "difficiles", avant les pourparlers en Arabie saoudite.
Des frappes russes ont tué au moins personnes à Kiev dans la nuit du samedi 22 au dimanche 23 mars, avant des pourparlers en Arabie saoudite sur la résolution du conflit.
La Russie dit attendre "quelques progrès" sur le dossier ukrainien lors des négociations prévues en Arabie saoudite avec les Américains.
Une frappe de drone russe a tué vendredi une famille ukrainienne à Zaporijjia, dans le sud du pays.
Malgré l'accord entre Donald Trump et Vladimir Poutine, validé par Kiev sous la pression américaine, pour une trêve limitée aux frappes sur les infrastructures énergétiques des deux camps, les bombardements visant ces sites ont continué ces derniers jours.
Malgré l'accord entre Trump et Poutine, validé par Kiev sous la pression américaine, pour une trêve limitée aux frappes sur les infrastructures énergétiques des deux camps, les bombardements des deux camps visant ces sites ont continué ces derniers jours.
Les civils ukrainiens sont ciblés par les drones russes, et particulièrement dans la région de Kherson où l'hôpital de la "reçoit 90 à 100 patients blessés par les attaques de drone chaque mois".
Les discussions diplomatiques se poursuivent alors qu’en Ukraine la guerre ne cesse pas avec, la nuit dernière, pas moins de 171 drones lancés depuis la Russie selon les ukrainiens. Des engins qui visent des soldats et des objectifs militaires, mais plus seulement. Certains d’entre eux ciblent spécifiquement de simples civils que les pilotes semblent prendre un malin plaisir à terroriser.
Des responsables russes et américains se rencontreront lundi 24 mars en Arabie saoudite pour de nouveaux pourparlers concernant la guerre en Ukraine, alors que le président américain Donald Trump est déterminé à obtenir un cessez-le-feu rapide.
C'est un appel impromptu reçu par Volodymyr Zelensky ce mercredi 19 mars. Alors qu'il répondait à des journalistes lors d'une visioconférence, le président ukrainien a été interrompu par un appel d'Emmanuel Macron.
Avant le Conseil européen, Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, a pris la parole en amont de la réunion du parti PPE. "Nous discuterons de l'Ukraine et de la manière d'atteindre une paix juste et durable", explique-t-elle.
Les inititatives se sont multipliées en Europe face au basculement stratégique opéré par la diplomatie américaine sous l'égide de Donald Trump.
Le président américain Donald Trump a suggéré mercredi, dans un appel avec son homologue ukrainien, Volodymyr Zelensky, que les États-Unis prennent "possession" des centrales électriques ukrainiennes. Le président ukrainien, qui se rendra en France cette semaine, assure n'avoir "ressenti aucune pression" de son homologue américain pour le pousser à des concessions.
