Dossier

Election présidentielle 2017 - Page 8

Présidentielle: Delanoë rejoint Macron

Bertrand Delanoë a annoncé ce mercredi qu'il soutiendrait Emmanuel Macron, candidat du mouvement "En Marche!" à la présidentielle. "Le candidat qui se rapproche le plus de mes convictions de socialiste, réformiste, Européen, réaliste, c'est Emmanuel Macron", a déclaré l'ancien maire PS de Paris sur France Inter, ajoutant qu'il fallait "donner le maximum de force au premier tour au candidat qui peut battre Marine Le Pen". - On en parle avec: Bernard Sananès, président de l'institut Elabe. Damien Fleurot, rédacteur en chef adjoint du service politique de BFMTV. Ainsi que notre éditorialiste politique Ruth Elkrief. - 20H 2017, du mercredi 8 mars 2017, présenté par Alain Marschall, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: Bertrand Delanoë rejoint Emmanuel Macron

Alors que la campagne présidentielle de Benoît Hamon peine à décoller, celle du candidat du mouvement "En marche" prend de l'ampleur. Il vient de rallier à sa cause Bertrand Delanöe, ancien maire PS de Paris. Que penser de cette alliance ? - On en parle avec : Jean-Marc Germain, directeur de campagne de Benoît Hamon et député PS des Hauts-de-Seine. Benjamin Griveaux, porte-parole d'Emmanuel Macron, Helene Pilichowski, journaliste politique et Serge Raffy, éditorialiste à L'Obs. - 19h Ruth Elkrief, du mercredi 8 mars 2017, sur BFMTV.

Un ambassadeur refusera de "servir" Le Pen si elle est élue

Thierry Dana, ambassadeur de France au Japon, a affirmé qu'il refuserait de "servir" Marine Le Pen si elle venait à remporter l'élection présidentielle de 2017.

INFOGRAPHIE- Quelle est la couleur politique des parrains de Macron?

Afin de pouvoir se présenter à l'élection présidentielle, Emmanuel Macron a réuni au total 1.829 signatures d’élus locaux. Des soutiens qui viennent de la gauche comme de la droite. BFMTV.com vous propose de visualiser la couleur politique de tous ses parrains en une infographie.

Présidentielle: l'UDI attend "des initiatives de rassemblement" de François Fillon

Conforté par le comité politique des Républicains, François Fillon tenait ce mardi un meeting à Orléans. Il a voulu rassembler son camp et a appelé les centristes à le soutenir. "Nous avons les mêmes valeurs, les mêmes objectifs", a-t-il assuré. L'UDI, qui avait choisi de retirer son soutien à François Fillon suite aux emplois présumés fictifs visant sa famille, se réunissait ce mardi pour se pencher sur la question. A l'issue de la réunion de son Bureau exécutif, le parti centriste a publié une motion au sujet de la campagne de François Fillon. Il dit approuver "l'accord électoral" en vue des Législatives, ainsi que le "projet politique négocié avec le candidat". Par contre, le mouvement dit "attendre des initiatives de rassemblement". - Avec: Christophe Barbier, éditorialiste de BFMTV. Guillaume Roquette, directeur de la rédaction du Figaro Magazine. Et Jean-Baptiste Lemoyne, sénateur LR de l'Yonne. - Grand Angle, du mardi 7 mars 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Présidentielle: Fillon stable selon un sondage Elabe

À 47 jours du scrutin et alors que François Fillon a obtenu hier le soutien du comité politique des Républicains, le candidat LR reste stable dans les intentions de vote pour le premier tour de l'élection présidentielle. Selon les résultats du sondage Elabe pour BFMTV et l'Express publié ce mardi, il se trouve en troisième position avec 19% des intentions de vote et n'a pas reculé par rapport à la semaine dernière. "Ce noyau dur, il ne bougera sans doute pas", selon Bernard Sananès, président de l'institut de sondage Elabe. "Plus de 7 électeurs sur 10 de François Fillon nous disent qu'ils ne changeront pas d'avis", ajoute-t-il. En revanche, il est nettement distancé par Marine Le Pen et Emmanuel Macron, qui sont quasiment au coude à coude au premier tour. La candidate du FN recueille 26% d'intentions de vote et le candidat du mouvement En Marche ! 25,5%. - Grand Angle, du mardi 7 mars 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Les "petits" candidats

Ils sont une trentaine à vouloir se présenter à l'élection présidentielle. Ils ont moins d'une semaine pour déposer leur 500 parrainages et peut-être concrétiser leur rêve. Au milieu des têtes d'affiche il y a ces autres candidats, moins connus et qui se battent pour faire entendre leurs idées. Les équipes de BFMTV sont allées à la rencontre de certains d'entre eux: Charlotte Marchandise, mère de 5 enfants, Philippe Poutou, ouvrier chez Ford le matin, ou encore Rama Yade. Tout d'abord, la première est la candidate de la primaire citoyenne organisée sur Internet. Le second est, lui, pour la deuxième fois le candidat du NPA. Quant à la troisième, l'ancienne secrétaire d'Etat sous la présidence Sarkozy, elle se lance dans l'aventure en solo au nom de "la France qui ose". - Un document "Grand Angle BFMTV" du mardi 7 mars 2017.

Hamon, le tournant ?

Benoît Hamon tente de rassembler et cela semble compliqué. Le candidat de la gauche à la présidentielle était ce mardi soir dans les Bouches-du-Rhône. Un peu plus tôt dans la journée, il a promis qu'il allait rassurer sur le financement de sa mesure phare. Benoît Hamon doit en effet donner du gage à toutes les sensibilités du PS. Il veut alors proposer une nouvelle version de son revenu universel. Cependant, il ne veut pas dénaturé son programme, qui l'a fait gagner lors de la primaire. Si le candidat PS n'arrive pas à séduire et à convaincre une grande partie de son parti, certains ténors partiront chez Emmanuel Macron. Alors, au cours de ce meeting, il a voulu se montrer loyal. Toutefois, il n'est pas certain que cela suffise à rassembler toute sa famille politique. Les équipes de BFMTV sont revenues sur le début de la campagne de Benoît Hamon en images. - Un document "Grand Angle BFMTV" du mardi 7 mars 2017.

Sondage Elabe: Macron fait jeu égal avec Le Pen au premier tour

Selon les résultats du sondage Elabe pour BFMTV et l'Express publié ce mardi, Marine Le Pen et Emmanuel Macron arriveraient nettement en tête et quasiment au coude à coude au premier tour de l'élection présidentielle. La candidate du FN recueille 26% d'intentions de vote et le candidat du mouvement En Marche ! 25,5%. Par ailleurs, il accentue son avance sur François Fillon, qui reste stable avec 19%. Benoît Hamon, lui, arrive en quatrième position avec 13,5% des intentions de vote, devant Jean-Luc Mélenchon (12%). - On en parle avec: Serge Raffy, éditorialiste à l'Obs. Alexandre Devecchio, journaliste au FigaroVox. Bernard Sananès, président de l'institut de sondage Elabe. Et Aurélie Filippetti, porte-parole de Benoît Hamon, députée PS de Moselle. - BFM Story, du mardi 7 mars 2017, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Présidentielle: François Fillon en campagne malgré tout

La campagne présidentielle est repartie pour François Fillon, qui a eu lundi le soutien des ténors de son parti. Ce mardi soir, le candidat de la droite et du centre est en meeting à Orléans. Toutefois, il doit faire face aux nouvelles révélations du Canard enchaîné, qui seront publiées mercredi. D'après le journal satirique, l'ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy aurait obtenu de Marc Ladreit de Lacharrière un prêt de 50 000 euros non déclaré, en 2013. - Pour en parler: Bernard Accoyer, secrétaire général des Républicains. Jean-Christophe Buisson, directeur adjoint du Figaro Magazine. Et Christophe Barbier, notre éditorialiste politique. - BFM Story, du mardi 7 mars 2017, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: Fillon soutenu à l'unanimité par le comité politique des Républicains

Le comité politique du parti Les Républicains a décidé de faire bloc derrière François Fillon, au lendemain de la démonstration de force du candidat LR au Trocadéro. "Après un large échange, le comité politique a renouvelé à l'unanimité son soutien et sa confiance à François Fillon", a affirmé Gérard Larcher à la sortie du comité politique ce lundi soir. Plus tôt dans la matinée, Alain Juppé a confirmé qu'il ne serait pas "le plan B" et "qu'une bonne fois pour toutes", il ne serait pas candidat à la présidence de la République. - On en parle avec: Cécile Cornudet, éditorialiste politique aux Echos. Carole Barjon, chef du service politique intérieure à L'Obs. Et Nadine Morano, député européenne Les Républicains. - Grand Angle, du lundi 6 mars 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: Fillon impose sa candidature

Après le renoncement définitif d'Alain Juppé ce lundi matin, François Fillon a rappelé devant les cadres de son parti qu'il n'y avait "pas de plan B" et estimé le sujet "clos". Le comité politique des Républicains a ainsi décidé de faire bloc derrière le candidat. "Après un large échange, le comité politique a renouvelé à l'unanimité son soutien et sa confiance à François Fillon", a affirmé Gérard Larcher, ce lundi soir. Peu après le comité politique, François Fillon s'est rendu au dîner de Valeurs Actuelles, où il a reçu un accueil digne d'une "rockstar", selon Geoffroy Lejeune, le directeur de la rédaction de l'hebdomadaire. - On en parle avec: Cécile Cornudet, éditorialiste politique aux Echos. Et Carole Barjon, chef du service politique intérieure à L'Obs. - Grand Angle, du lundi 6 mars 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: La droite dans l'impase ? (3/3)

Après les défections et les désolidarisations, François Fillon a rassemblé ses militants ce dimanche au Trocadéro. Lors de son discours, le candidat a présenté ses excuses à son auditoire et expliqué qu'il n'y a pas de "plan B" pour le remplacer. Toutefois, on constate clairement un changement de ton. Ce soir sur France 2, il a assuré qu'il est ouvert à la discussion. Par ailleurs, les tractations vont bon train à droite. Christian Estrosi a révélé sur BFMTV qu'il allait proposer une "initiative" pour garantir une alternance. Les proches d'Alain Juppé et de Nicolas Sarkozy s'étaient parlé pour étudier d'éventuelles "sorties de crise". Alors, la droite est-elle dans une impasse ? - Avec: Yves Jégo, vice-président de l'UDI, député de Seine-et-Marne. Philippe Karsenty, adjoint LR au maire de Neuilly, soutien de François Fillon. Clément Forestier, délégué national des Jeunes Républicains. Et Serge Raffy, éditorialiste à L'Obs. - Édition spéciale, du dimanche 5 mars 2017, présentée par Philippe Gaudin, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: La droite dans l'impase ? (2/3)

François Fillon a rassemblé ses militants ce dimanche au Trocadéro. Lors de son discours, le candidat a présenté ses excuses à son auditoire et expliqué qu'il n'y a pas de "plan B" pour le remplacer. Toutefois, on constate clairement un changement de ton. Ce soir sur France 2, il a assuré qu'il est ouvert à la discussion. Par ailleurs, les tractations vont bon train à droite. Christian Estrosi a révélé sur BFMTV qu'il allait proposer une "initiative" pour garantir une alternance. Les proches d'Alain Juppé et de Nicolas Sarkozy s'étaient parlé pour étudier d'éventuelles "sorties de crise". Alors, la droite est-elle dans une impasse ? - Avec: Annie Genevard, députée-maire LR de Morteau (Doubs), membre du comité politique des Républicains, soutien de François Fillon. Soazig Quéméner, rédactrice en chef politique à Marianne. Serge Raffy, éditorialiste à L'Obs. Et Geoffroy Lejeune, directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles. - Édition spéciale, du dimanche 5 mars 2017, présentée par Philippe Gaudin, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: La droite dans l'impase ? (1/3)

Après les défections et les désolidarisations, François Fillon a rassemblé ses militants ce dimanche au Trocadéro. Lors de son discours, le candidat a présenté ses excuses à son auditoire et expliqué qu'il n'y a pas de "plan B" pour le remplacer. Toutefois, on constate clairement un changement de ton. Ce soir sur France 2, il a assuré qu'il est ouvert à la discussion. Par ailleurs, les tractations vont bon train à droite. Christian Estrosi a révélé sur BFMTV qu'il allait proposer une "initiative" pour garantir une alternance. Les proches d'Alain Juppé et de Nicolas Sarkozy s'étaient parlé pour étudier d'éventuelles "sorties de crise". Alors, la droite est-elle dans une impasse ? - Avec: Camille Langlade, notre journaliste politique. Jean-Baptiste Lemoyne, sénateur LR de l'Yonne. Damien Abad, député LR de l'Ain, porte-parole de François Fillon. Et Laurent Joffrin, directeur de la publication de Libération. - Édition spéciale, du dimanche 5 mars 2017, présentée par Philippe Gaudin, sur BFMTV.

Qu'en sera-t-il du revenu minimum universel de Benoît Hamon ?

Benoît Hamon a annoncé qu'un nouveau projet plus ambitieux et moins coûteux remplacera le fameux "revenu minimum universel". Sans donner plus de détails sur ce projet, le candidat socialiste à la présidentielle a donc révisé sa mesure phare à 750 euros par mois, accessible à partir de 18 ans, et le remplacera peut-être par le "revenu décent". Ce dernier est un dispositif concocté par Manuel Valls en complément salarial. - L'édito Eco de Nicolas Doze, du mardi 7 mars 2017, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: qu'en pensent les enfants?

502 enfants, âgés de 6 à 12 ans, ont été interrogés au sujet de la prochaine élection présidentielle, et leur avis est plutôt tranché sur la question.

Juppé "confirme une bonne fois pour toutes" qu'il ne sera pas candidat

Pressenti pour être candidat à la place de François Fillon, Alain Juppé a affirmé lundi qu'il ne serait pas candidat à la présidentielle de 2017.

Élection présidentielle: "Il n'y a pas de plan B", selon Jean-François Lamour

Marine Le Pen: "La France ce n'est pas le burkini, la France c'est Brigitte Bardot"

La candidate Front national à la présidentielle s'est de nouveau opposée au port du voile dans l'espace public lors de la fameuse émission américaine 60 minutes, diffusée sur la chaîne CBS.

Présidentielle 2017: Une campagne surréaliste vue de l'étranger

Ce vendredi 3 mars 2017, Melissa Bell, correspondante de CNN à Paris, Christian Schubert, correspondant du Franckfurter Allgemeine Zeitung à Paris, et Pierre-Yves Bournazel, conseiller régional LR d'Île-de-France et conseiller de Paris, étaient les invités de BFMTV. Ils ont notamment livré la façon dont la campagne pour la présidentielle est vue de l'étranger. En effet, cette course à l'Élysée est surréaliste puisque deux des prétendants à l'investiture suprême pourraient être mis en examen dans les prochains jours. - Week-end Direct, du vendredi 3 mars 2017, présenté par Philippe Gaudin, sur BFMTV

Présidentielle 2017: Juppé bientôt candidat ?

Ce vendredi 3 mars 2017, Chantal Jouanno, sénatrice UDI de Paris, Fabienne Keller, sénatrice du Bas-Rhin, ancienne porte-parole d'Alain Juppé, et Sylvain Courage, rédacteur en chef à L'Obs, étaient les invités de BFMTV. Ils se sont notamment intéressés à la possible candidature d'Alain Juppé à la présidentielle. En effet, le finaliste malheur de la primaire de la droite et du centre apparaît de plus en plus comme le futur remplaçant de François Fillon. D'ailleurs, les appels au maire de Bordeaux se sont multipliés depuis l'annonce du maintien de la candidature de François malgré sa possible mise en examen. - Week-end Direct, du vendredi 3 mars 2017, présenté par Philippe Gaudin, sur BFMTV.

Présidentielle: François Fillon peut-il rester le candidat de la droite ?

Philippe Karsenty, soutien de François Fillon et adjoint au maire de Neuilly-sur-Seine, Anne Rosencher, directrice déléguée de la rédaction de L'Express, Céline Bracq, directrice générale de l'institut Odoxa, et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV, sont revenus sur le maintien de la candidature de François Fillon. Est-il toujours le meilleur candidat pour la droite ? Quid de l'alternative Juppé ? - BFM Story, du vendredi 3 mars 2017, présenté par Thomas Misrachi, sur BFMTV.

Présidentielle: la justice s'acharne-t-elle sur François Fillon et Marine Le Pen ?

Dans l'offensif que mènent François Fillon et Marine Le Pen contre les juges, il y a une bataille de l'opinion. Les Français ne partagent pas l'idée d'une justice politique. Selon un sondage Elabe/BFMTV publié cette semaine, l'argument de l’acharnement des juges contre les politiques ne convainc que le quart de l'opinion. Les 3/4, quant à eux, pensent que la justice doit faire son travail et que les politiques sont des justiciables comme les autres. - Les bonnes opinions, du samedi 4 mars 2017, présenté par Bernard Sananès, sur BFMTV.

Quand les "Jeunes avec Fillon" s'écharpent entre eux

Après la publication d’un premier communiqué appelant au retrait du candidat LR, le directeur du collectif de jeunes militants et sympathisants soutenant la candidature de François Fillon à l’élection présidentielle a démenti et dénoncé l’utilisation frauduleuse du compte Twitter du groupe par des "membres démissionnaires".

Élection présidentielle: ces élus qui parrainent Alain Juppé

Jean-Pierre Grand, Georges Fenech, Franck Riester ou encore Marie-Claude Jarrot ont annoncé qu'ils parraineront, non pas François Fillon, mais Alain Juppé. Sur le site du conseil constitutionnel, le maire de Bordeaux comptabilise officiellement un soutien.

Pour 7 français sur 10, François Fillon à tort de se maintenir

Sept Français sur dix jugent que François Fillon, a tort de maintenir sa candidature pour l'élection présidentielle 2017.

Présidentielle: vers un duel Macron-Le Pen, Fillon distancé

Marine Le Pen et Emmanuel Macron sont solidement installés en tête des intentions de vote selon un dernier sondage Elabe pour Radio Classique et Les Échos, publié ce jeudi. Derrière, François Fillon perd du terrain sur ses concurrents.

Parrainages: quel candidat à la présidentielle est soutenu par vos élus locaux?

INTERACTIF. Le Conseil constitutionnel a dévoilé la liste complète des parrainages ce samedi. En tout, 14.296 élus locaux ont donné leur sésame pour la présidentielle dans toute la France. Pour qui ont signé les vôtres?

Présidentielle: des élus de droite en appellent (de nouveau) à Juppé

Georges Fenech et Fabienne Keller, qui ont annoncé leur retrait de la campagne de François Fillon, appellent Alain Juppé à prendre le relais en vue de la présidentielle. Des élus locaux lui ont déjà adressé leur parrainage.

Présidentielle: François Fillon va poursuivre sa campagne jusqu'au bout

La campagne électorale a connu un tournant ce mercredi. François Fillon a annoncé qu'il maintenait sa candidature, malgré une convocation par les juges le 15 mars prochain, en vue d'une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il dit, dénonçant "un assassinat politique". Le 26 janvier dernier, François Fillon avait pourtant déclaré qu'il se retirerait s'il était mis en examen. S'indignant d'une justice à charge, le candidat en appelle ainsi au peuple. Les soutiens de François Fillon s'organisent, en effet, pour un grand rassemblement populaire, prévu ce dimanche 5 mars à Paris. - On en parle avec: Bernard Sananès, président de l'Institut de sondages Elabe. Ruth Elkrief, éditorialiste politique de BFMTV. Thierry Arnaud, notre chef du service politique. Et Cécile Danré, journaliste au service police-justice de BFMTV. - 20H 2017, du mercredi 1er mars 2017, présenté par Alain Marschall, sur BFMTV.

Fillon bientôt mis en examen: Il dénonce "un assassinat politique"

François Fillon maintient sa candidature coûte que coûte. Il est pourtant convoqué devant les juges le 15 mars prochain, en vue d’une mise en examen. "Je ne céderai pas", a-t-il dit, dénonçant "un assassinat politique". Un nouveau rebondissement qui ternit un peu plus la campagne du candidat, déjà mal en point. Le parti centriste UDI, a par ailleurs, décidé de "suspendre" sa participation à la campagne présidentielle de François Fillon. Plus tôt dans l'après-midi, Bruno Le Maire a annoncé qu'il démissionnait de ses fonctions auprès de ce dernier. - Avec: Philippe Houillon, député LR du Val-d'Oise et soutien de François Fillon. Benjamin Blanchet, magistrat, ancien substitut au parquet financier de Nanterre et membre de l'Union syndicale des magistrats. Virginie Le Guay, chef-adjoint du service politique de Paris Match. Et Bernard Sananès, président de l'institut Elabe. - Édition spéciale du mercredi 1er mars 2017, présentée par Olivier Truchot, sur BFMTV.

François Fillon: "La France est plus grande que mes erreurs"

François Fillon, candidat à l'élection présidentielle, a annoncé mercredi qu'il serait convoqué "le 15 mars par les juges d'instruction afin d'être mis en examen", une convocation à laquelle il se rendra.

Présidentielle 2017: une campagne inédite

À moins de deux mois de l'élection présidentielle, l'issue du scrutin reste très incertaine. L'alliance passée par Emmanuel Macron avec François Bayrou rebat les cartes. La campagne est aussi marquée par la montée en puissance du Front national. - L’analyse de: Sophie Coignard, éditorialiste politique au Point et auteure de "Ça tiendra bien jusqu'en 2017…" (Éd. Albin Michel). Gérard Courtois, éditorialiste au Monde et auteur de "Parties de campagne" (Éd. Perrin). Ainsi que Laurent Fargues, journaliste à Challenges et auteur de "Le procès interdit de Marine Le Pen" (Éd. First). - 19h Ruth Elkrief, du mardi 28 février 2017, sur BFMTV.

Présidentielle: Macron en dit plus sur les 7,5 millions de dons récoltés par En Marche!

Poussé par Benoît Hamon à la transparence sur ses dons, le candidat d'En Marche! en a dit plus sur les dons récoltés.

Présidentielle: le Parti socialiste au bord de la crise de nerfs

Les socialistes sont au bord de la crise de nerfs. Les partisans de Manuel Valls se réunissent ce soir à l'Assemblée nationale autour de l'ex-Premier ministre. Des discussions qui devraient revêtir une importance particulière dans le camp des Vallsistes, inquiets de la campagne de Benoît Hamon et tentés par le vote Macron. De nombreux élus du PS manifestent en effet leur mécontentement envers Benoît Hamon et critiquent sa stratégie. Ils lui reprochent d'être "en rupture avec sa famille politique". Jean-Marie Le Guen a ainsi décidé de ne pas donner son parrainage au candidat officiel du PS pour la présidentielle, estimant qu'il doit "rectifier l'orientation de sa campagne". D'autres ont décidé de rejoindre Emmanuel Macron, comme le député Christophe Caresche, ancien soutien de Manuel Valls. - Avec: Bruno Cautrès, politologue, chercheur au Cevipof. Et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. - BFM Story, du mardi 28 février 2017, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: la campagne sera-t-elle violente ?

À moins de deux mois du premier tour, le ton se durcit. François Fillon a dénoncé la "passivité" du gouvernement face aux "violences" survenues en marge de la campagne présidentielle. Le Premier ministre Bernard Cazeneuve a immédiatement réagi en estimant que ces propos n'étaient "pas responsables". François Hollande a aussi répondu aux attaques de Marine Le Pen à l'encontre des fonctionnaires. En effet, la candidate du FN, dont le camp est au coeur de plusieurs enquête judiciaires, avait appelé la veille les magistrats à "ne pas contrecarrer la volonté du peuple". "Je n'accepterai jamais que l'on puisse mettre en cause les fonctionnaires dans notre République République au prétexte qu'ils appliquent la loi et qu'ils font en sorte que la justice puisse travailler", a répondu le président. - L'analyse de Gilles Finchelstein, directeur général de la Fondation-Jean Jaurès. Et Maurice Szafran, éditorialiste à Challenges. - Grand Angle, du lundi 27 février 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: le ton se durcit (2/2)

À moins de deux mois du premier tour, le ton se durcit. François Fillon a dénoncé la "passivité" du gouvernement face aux "violences" survenues en marge de la campagne présidentielle. Le Premier ministre Bernard Cazeneuve a immédiatement réagi en estimant que ces propos n'étaient "pas responsables". François Hollande a aussi répondu aux attaques de Marine Le Pen à l'encontre des fonctionnaires. En effet, la candidate du FN, dont le camp est au coeur de plusieurs enquête judiciaires, avait appelé la veille les magistrats à "ne pas contrecarrer la volonté du peuple". "Je n'accepterai jamais que l'on puisse mettre en cause les fonctionnaires dans notre République République au prétexte qu'ils appliquent la loi et qu'ils font en sorte que la justice puisse travailler", a répondu le président. - Pour en parler: Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. Et Cécile Cornudet, éditorialiste politique aux Échos. - Grand Angle, du lundi 27 février 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: le ton se durcit (1/2)

À moins de deux mois du premier tour, le ton se durcit. François Fillon a dénoncé la "passivité" du gouvernement face aux "violences" survenues en marge de la campagne présidentielle. Le Premier ministre Bernard Cazeneuve a immédiatement réagi en estimant que ces propos n'étaient "pas responsables". François Hollande a aussi répondu aux attaques de Marine Le Pen à l'encontre des fonctionnaires. En effet, la candidate du FN, dont le camp est au coeur de plusieurs enquête judiciaires, avait appelé la veille les magistrats à "ne pas contrecarrer la volonté du peuple". "Je n'accepterai jamais que l'on puisse mettre en cause les fonctionnaires dans notre République République au prétexte qu'ils appliquent la loi et qu'ils font en sorte que la justice puisse travailler", a répondu le président. - Pour en parler: Grégoire Biseau, rédacteur en chef adjoint à Libération. Et notre éditorialiste politique Bruno Jeudy. - Grand Angle, du lundi 27 février 2017, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: Jean-Luc Mélenchon en solitaire

Malgré les déclarations qui ont laissé penser que des négociations et même un accord serait possible, Jean-Luc Mélenchon et Benoît Hamon en sont toujours au point mort. Les deux hommes ont dîné ensemble vendredi dernier, mais apparemment les choses n'ont pas du tout avancé. - Un document "Grand Angle BFMTV" du lundi 27 février 2017.

Présidentielle 2017: Le ton de la campagne se durcit

Le ton de la présidentielle 2017 s'est durci. Et pour cause, la course de ces dernières 24 heures a été marquée par des phrases chocs et des attaques tous azimuts contre le gouvernement, l'État, les médias ainsi que les magistrats. Pire, des menaces à peine voilées ont même été proférées à l'intention des fonctionnaires. - On en parle avec: Guillaume Durand, journaliste. Éric Decouty, directeur délégué à Marianne. Raphaël Stainville, rédacteur en chef à Valeurs actuelles. Et notre éditorialiste Bruno Jeudy. - News & Compagnie du lundi 27 février 2017, présenté par Nathalie Levy, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: Le ton se durcit

Le ton de la présidentielle 2017 s'est durci. Et pour cause, la course de ces dernières 24 heures a été marquée par des phrases chocs et des attaques tous azimuts contre le gouvernement, l'État, les médias ainsi que les magistrats. Pire, des menaces à peine voilées ont même été proférées à l'intention des fonctionnaires. Alors, la campagne présidentielle prend-elle un air inquiétant à 8 semaines du 1er tour ? - On en parle avec: Françoise Degois, conseillère politique notamment de Ségolène Royal. Jérôme Begle, directeur adjoint de la rédaction du Point. Gaël Sliman, président de l'Institut Odoxa. Et Jean-Sébastien Ferjou, directeur de la publication d'Atlantico. - 19h Ruth Elkrief, du lundi 27 février 2017, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

Présidentielle 2017: va-t-on vers un duel Marine Le Pen/Emmanuel Macron ?

Marine Le Pen et Emmanuel Macron creusent l'écart avec François Fillon au premier tour de la présidentielle, selon un nouveau sondage. Avec 25% d'intentions de vote, le candidat d'En Marche ! gagne 4 points par rapport au précédent sondage fin janvier. Il talonne la présidente du Front national, qui reste en tête avec 27% (+2 points). À noter que cette enquête a été réalisée au lendemain de l'annonce du ralliement de François Bayrou à l'ancien ministre de l'Économie. Alors, va-t-on vers un duel Marine Le Pen/Emmanuel Macron au second tour ? - Les décryptages de: Thierry Arnaud, chef de service politique de BFMTV. Et Céline Bracq, directrice générale de l'institut Odoxa. - BFM Story, du lundi 27 février 2017, présenté par Olivier Truchot, sur BFMTV.

Présidentielle: ces Français ont déjà fait leur choix, ce sera Obama

Et si c’était lui, le nouveau président de la République ? L’initiative ne vient pas de lui mais de quatre jeunes Parisiens qui ont créé le site internet obama2017.fr et lancé une pétition pour que Barack Obama se lance dans la course. A l'origine aussi : le ras-le-bol de choisir un candidat par défaut.

Les camps Fillon et Le Pen désirent une trêve judiciaire pour la présidentielle

Gérard Larcher appelle à "la retenue", Marine Le Pen estime que la justice ne doit pas "contrecarrer la volonté du peuple". Alors que les candidats FN et LR souhaitent une trêve judiciaire, le ministre de la Justice a estimé que "rien" ne la justifierait.

Fillon maintient ses attaques, Cazeneuve réplique

Le Premier ministre a réagi aux accusations de François Fillon à l'égard du gouvernement de laisser "se développer dans le pays un climat de quasi-guerre civile" qui perturbe, selon lui, la campagne présidentielle.

Sondage: Macron talonne Le Pen et distance Fillon au 1er tour

Marine Le Pen et Emmanuel Macron creusent l'écart avec François Fillon au premier tour de la présidentielle, selon un nouveau sondage. Au second tour, le candidat d'En Marche l'emporterait avec 58% des voix.

Les électeurs écologistes approuvent l'accord Jadot-Hamon pour la présidentielle

Elysée 2017: Les campagnes de François Fillon et Marine Le Pen sont-elles entachées ?

A deux mois de la présidentielle, la campagne de Marine Le Pen et François Fillon est rythmée par les affaires judiciaires. Tous les deux veulent maintenir leur candidature. Malgré la révélation de l'affaire Penelope Gate, le candidat de la droite et du centre poursuit sa campagne. La présidente du FN, quant à elle, a été convoquée par la police judiciaire sur des soupçons d'emplois fictifs d'assistants au Parlement européen. Elle n'a pas voulu être entendue jusqu’à l’issue des scrutins de la présidentielle et des législatives. Ces affaires ont-elles des impacts dans les sondages ? - Avec: Jean-Rémi Baudot, journaliste du service politique de BFMTV. - Elysée 2017, du dimanche 26 février 2017, sur BFMTV.

Présidentielle: "Les choses seraient plus simples sans Macron", estime Vallaud-Belkacem

A moins de deux mois du premier tour de l'élection présidentielle, la ministre de l'Education nationale estime que la situation est délicate pour le PS.

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