Emmanuel Macron à son QG de campagne pour remercier ses équipes

Des pancartes "avec vous" à la soirée électorale d'Emmanuel Macron, à Paris, le 24 avril 2022
Ce direct est terminé
Ce direct consacré à l'actualité politique de ce mardi est terminé. Merci de nous avoir suivi sur BFMTV.com.
Nadine Morano reproche à Emmanuel Macron d'avoir "travaillé méthodiquement" pour se retrouver face à Marine Le Pen au second tour
Nadine Morano, qui a expliqué avoir voté blanc au second tour de l'élection présidentielle, s'est attaquée à Emmanuel Macron, en l'accusant d'avoir agi pour se retrouver face à Marine Le Pen au second tour.
"Pendant tout ce quinquennat, il a travaillé méthodiquement pour se retrouver dans ce scénario pour être réélu. (...) Je ne conteste pas l'élection puisqu'elle a eu lieu, je conteste le chemin pour y parvenir", déclare sur BFMTV la députée européenne Les Républicains.
"Ce que collectivement vous avez accompli est inédit": Macron remercie les membres de sa campagne
Deux jours après le second tour de la présidentielle, Emmanuel Macron s'est rendu ce mardi en fin de journée à son QG de campagne, rue du Rocher à Paris, pour remercier bénévoles et salariés qui ont oeuvré à sa réélection pour un second quinquennat.
"Avec Brigitte, on voulait vous dire un immense merci", a déclaré le locataire de l'Élysée au côté de son épouse. "Je voulais marquer mes remerciements et mon affection", a-t-il ajouté, selon l'équipe de campagne à BFMTV.
"Ce que collectivement vous avez accompli est inédit. Normalement, nous n'avions statistiquement, historiquement, aucune chance. Aucune chance. Mais nous l'avons fait", a lancé le dirigeant, en rapport au fait qu'aucun président de la Ve République, hors période de cohabitation, n'avait été réélu pour un second mandat.
Brigitte Macron est à son tour arrivée au QG de campagne d'Emmanuel Macron
Brigitte Macron est à son tour arrivée au QG de campagne d'Emmanuel Macron ce lundi en fin de journée. Le président de la République réélu s'y est rendu pour remercier les équipes de campagne.
Le RN pourrait ne pas présenter de candidat aux législatives face à quatre soutiens d'Éric Zemmour
Si aucun accord d'appareil ne se profile entre le Rassemblement national et Reconquête pour les législatives, le parti de Marine Le Pen pourrait toutefois ne pas présenter de candidat face à quatre membres de reconquête, selon les informations de RMC.
Il s'agirait de Guillaume Peltier, Stanislas Rigault, Dénis Cieslik et Sébastien Pilard, selon nos confrères.
Nadine Morano indique avoir "voté blanc" au second tour de la présidentielle
"J'ai voté blanc. Je ne me voyais pas voter pour Emmanuel Macron", a déclaré mardi soir Nadine Morano sur RTL.
En 2017, la députée européenne Les Républicains avait voté pour le président de la République au second tour.
"Je lui avais laissé ce crédit de dire que c'était un nouveau président, et que, peut-être, il allait vraiment réaliser ce qu'il appelait 'le nouveau monde'. Et en fait, il n'a absolument pas fait ce qu'il avait dit. Il est resté avec des vieilles méthodes de débauchages, sa politique migratoire et de sécurité est un désastre, sa politique économique aussi, sa politique étrangère, il y aurait aussi beaucoup à dire dessus", a justifié Nadine Morano.
Emmanuel Macron à son QG de campagne pour remercier ses équipes
Le chef de l'État s'est rendu ce mardi en fin de journée à son quartier général de campagne pour remercier ses équipes, bénévoles et salariés de la campagne.
Un passage similaire à celui qu'il avait fait en 2017, où il avait fait un déplacement similaire.
Législatives: un bon score à la présidentielle ne rime pas forcément avec une victoire à l'Assemblée
Alors que le RN et la France insoumise voient dans les élections législatives la possibilité d'un troisième tour pour mettre en échec Emmanuel Macron, rien n'est moins sûr.
Le mode de scrutin rend très incertain le déferlement au Palais-Bourbon de députés proches de Marine Le Pen et de Jean-Luc Mélenchon.
On vous explique dans cet article pourquoi.
Jean-Luc Mélenchon lance déjà sa campagne pour les législatives
Après sa performance au premier tour (21,95% des voix), l’ancien candidat LFI jette ses forces dans la bataille des législatives du 12 et du 19 juin prochain.
Un tract résumant les grandes mesures du programme de LFI qui appelle à "élire Jean-Luc Mélenchon Premier ministre" va être distribué à 2 millions d’exemplaires. Les militants seront à l'œuvre dès ce soir à Colombes (Hauts-de-Seine).

Le patron de la France insoumise devrait également reprendre le chemin des médias en multipliant les interviews après la convention d’investiture des candidats. Plusieurs meetings nationaux sont également dans les tuyaux.
On vous résume ici la stratégie de campagne de Jean-Luc Mélenchon.
Emmanuel Macron se rendra en fin de journée au QG de campagne
Deux jours après sa victoire, Emmanuel Macron passera au QG de campagne, rue du Rocher à Paris pour saluer les bénévoles et les salariés de campagne, d'après une information du Parisien, confirmée par BFMTV.
"Un grand rendez-vous social": Laurent Berger appelle le président à dialoguer avec les syndicats
Le secrétaire général de la CFDT, Laurent Berger, demande mardi au président réélu Emmanuel Macron l'organisation d'un "grand rendez-vous social" dans les colonnes du Monde, à quelques jours du 1er mai.
Le député européen LREM Bernard Guetta a plaidé lundi pour un "infléchissement à gauche" de la politique d'Emmanuel Macron, et suggéré que Laurent Berger soit nommé à Matignon pour l'incarner.
Sa nomination, peu probable, aurait valeur de symbole alors que la réforme des retraites inquiète sur les bancs de la macronie.
Plus que 10 jours pour s'inscrire sur les listes électorales avant les législatives
Le premier tour des législatives aura lieu le 11 juin prochain et il n'est pas encore trop tard pour s'inscrire sur les listes électorales. Les inscriptions sont possibles en ligne jusqu'au 4 mai et en mairie jusqu'au 6 mai inclus.
Pour le faire à distance, il suffit de se rendre sur service-public.fr, de remplir un formulaire puis joindre une pièce d'identité et un justificatif de domicile pour prouver que l'on vit bien dans la commune sollicitée pour s'inscrire.
On vous résume toute la procédure pour vous inscrire ici.
Ni "avec un parti unique", ni "avec les extrêmes", les LR, "indépendants" aux législatives
"On ne peut pas être Les Républicains et LaRem. On ne peut pas être Les Républicains et Reconquête, on ne peut pas être Les Républicains et Horizon...", a énuméré Christian Jacob à la sortie du conseil stratégique des Républicains ce matin.
Le président des LR a affirmé que son parti sera d'une "indépendance totale" aux législatives.
"Il n'y a pas de double appartenance et il n'y en aura jamais", affirme la tête du parti.
"Enraciné solidement au niveau local", comme il l'a expliqué lors d'un micro-tendu, Christian Jacob revendique un ancrage territorial des Républicains.
Le 7 mai aura lieu "un grand rassemblement du conseil national avec nos alliés centristes et UDI pour lancer la campagne des législatives".À l'occasion, le parti présenter un texte avec leurs positions.
"Il y aura un débat le lendemain des législatives": Christian Jacob renvoie les d chez les LR au 20 juin
Alors que la température est montée d'un cran sur les bancs des LR après les appels du pied de Jean-François Copé et Damien Abad, Christian Jacob calme le jeu.
"Il y aura un débat au lendemain des législatives, la ligne est claire et nous rassemble. On ne peut pas dire que ce soit l’éclatement, notre ligne est très claire", avance le président du parti, à la sortie d'un comité stratégique à Paris.
Le gouvernement au grand complet convoqué jeudi pour le probable dernier Conseil des ministres de Castex
Jeudi, tous les ministres, ministres délégués et secrétaires d'Etat sont convoqués pour le conseil des ministres à 11 heures, d'après des informations de BFMTV.
La règle veut pourtant que seuls les ministres de plein exercice y assistent, sauf si les ministres délégués et les secrétaires d'Etat évoquent leurs dossiers.
De quoi laisser penser que ce Conseil des ministres serait le dernier du gouvernement Castex avant un très probable remaniement la semaine prochaine.
On vous résume ici les noms des potentiels ministrables.
"Ceux qui veulent travailler avec Macron, il y a un parti pour ça, c'est LaREM", assure Bellamy
Alors que la droite se déchire sur l'opportunité de soutenir ou non Emmanuel Macron aux législatives, François-Xavier Bellamy s'oppose à tout geste en faveur du président.
"S'ils veulent travailler avec Emmanuel Macron, ils ont le droit, et il y a un parti pour ça, ça s'appelle La République en Marche", avance le député européen ce matin sur France inter en faisant référence à ceux qui comme Damien Abad et Jean-François Copé appellent à soutenir le président.
"Nicolas Sarkozy est inclus dans ce constat : il a construit son parcours politique sur l'idée qu'il fallait assumer ce choix. Si Nicolas Sarkozy pense qu'il faut soutenir Emmanuel Macron, j'ai le plus grand respect pour lui, il faut que chacun fasse un choix qui soit clair", juge encore l'élu LR.
Présidentielle: Sandrine Rousseau a bien voté Yannick Jadot au premier tour
C'est un petit oui, mais un oui. Sandrine Rousseau confirme sur notre antenne avoir bien voté Jadot au premier tour ainsi qu'elle l'avait annoncé.
La femme politique investie chez les Verts pour la neuvième circonscription de Paris reconnait toutefois que "la moitié du score qui manque" à Jadot est probablement allée chez les Insoumis.
"Je rappelle que Jadot était à 9, il est tombé à 4,6% des voix", constate-elle.
"A peu près tout mon électorat est allé chez Jean-Luc Mélenchon", a déclaré l'écologiste. Contrairement à cette dernière, la majorité des personnes de sa campagne ont voté pour l'Union populaire au premier tour, comme Alice Coffin qui l'avait annoncé sur notre antenne.
Macron voulait faire scintiller la Tour Eiffel dimanche soir ? Hidalgo a dit non
Alors que le président avait demandé une dérogation à la ville de Paris pour faire scintiller la Tour Eiffel à 21h30 à titre exceptionnelle pour son discours de victoire au Champ-de-Mars, Anne Hidalgo a refusé net, d'après des informations du Figaro.
"C'est ce qui s'appelle 1,75% de pouvoir de nuisance", a ironisé un marcheur auprès du journal, en référence au score de la maire de Paris à la présidentielle.
Rousseau: "Je reconnais le leadership de Mélenchon, il est arrivé premier!"
Sandrine Rousseau, invitée de Bruce Toussaint sur notre antenne n'a pas tenu la même ligne que Yannick Jadot sur l'Union populaire.
"J'ai entendu ce matin Yannick Jadot, mais moi je reconnais le leadership de Jean-Luc Mélenchon, il est arrivé premier à la fin du premier tour de la présidentielle!", a-t-elle déclaré dans le "Le Live Toussaint", inquiète de cette gauche "qui n'est pas prête à un accord avec LFI".
Sur France Inter, quelques minutes auparavant le candidat écologiste estimait que le leader insoumis n'était pas "le chef" à gauche.
Sans accord sur l'Europe notamment, les législatives, "ce sera sans moi", prévient Jadot
"Je soutiens une coalition très ouverte réunie autour d'un projet", explique Yannick Jadot. Mais derrière Jean-Luc Mélenchon, "ça ne marchera", prévient l'écologiste pour qui le leader de La France insoumise n'est pas "le chef" à gauche.
Le candidat des Verts n'est pas prêt à s'opposer à l'Europe, nécessaire pour promulguer les lois de protection du climat, d'après lui.
Si l'Union populaire prône la désobéissance européenne, ces législatives, "ce sera sans moi", prévient Jadot.
Pour avoir beaucoup de députés et faire bloc, "il faut respecter les identités et les différences (...) et les additionner", estime le candidat écologiste.
"Je suis le seul qui s'est battu pour l'union il y a un an" estime Jadot
Rassembler la gauche? "Qui il y a un an s'est battu pour qu'il y ait l'union? Je suis le seul, je suis le seul qui a voulu mettre autour de la table Jean-Luc Mélenchon, Anne Hidalgo et tous les autres...Mais ils n'ont pas voulu!", s'est exclamé Yannick Jadot.
Sur les réseaux sociaux , le candidat des Verts a été beaucoup raillé et accusé d'avoir empêché l'accession de la gauche au second tour.
Sur le climat, Jadot regrette "d'avoir été trop sérieux"
"Il aurait fallu renverser la table, désigner les coupables", s'est emporté le candidat écologiste regrettant sa posture trop sage et sérieuse pendant sa campagne. Celle-là même que les radicaux de son parti lui ont reproché.
"Le diagnostic (le rapport du GIEC, NDLR) nous impose à ce point des transformations radicales", explique Yannick Jadot reconnaissant toutefois que la situation géopolitique et sociale est telle qu'il lui aurait été difficile d'être moins modéré et prudent.
Pour les Verts, le premier tour a été "une sale gueule de bois"
Comment va Yannick Jadot après son score de 4,9% des voix au premier tour de la présidentielle?
"On ne va pas se le cacher, c'est une sale gueule de bois", confie le candidat malheureux des Verts.
"J'ai fait ce que j'avais à faire pendant les jours qui ont suivi: me mobiliser pour que Marine Le Pen perde, mais je ne vais pas vous cacher que c'est une déception", a-t-il ajouté.
Jadot ne pourra donc pas se faire rembourser les principaux frais de sa campagne. En difficulté financière, son parti doit trouver deux millions d’euros en cinq semaines.
Pour Raffarin, "être réélu dans ces conditions c'est extrêmement brillant"
Emmanuel Macron a "fait une performance politique très importante", déclare sur LCI l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin. "Etre réélu dans ces conditions c'est extrêmement brillant, et puis il a un vote quand même qui est d'adhésion".
"58% des gens qui ont voté pour lui ont voté par adhésion et pas par rejet de Le Pen, il a un vrai socle dans le pays" selon lui, et "il a des atouts considérables pour son deuxième mandat: il est le plus jeune, il est expérimenté, il a une stature internationale".
"Nous ne demandons ni ralliement ni hégémonie": Quatennens veut "le rassemblement" aux législatives
A 7 semaines des législatives, Adrien Quatennens assure vouloir faire avancer le sujet de l'union à gauche.
"On fait le rassemblement tous azimuts. S'il y a un accord stratégique, s’il y a un accord programmatique, il peut y avoir stratégique. Nous ne demandons ni ralliement ni hégémonie", avance le député LFI ce matin sur BFMTV.
"Ça ne veut pas dire que chacun avale son chapeau. Avec EELV et PC, c’est déjà bien avancé. Avec le PS, on a une rencontre demain. On ne va pas renoncer à la retraite à 65 ans, on ne va pas renoncer à l’abrogation de la loi El Khomri", juge encore le coordinateur de la campagne de Jean-Luc Mélenchon.
Jadot à Matignon ? "Les débauchages, ça ne sert à rien!"
Et si c'était Jadot, le Premier ministre d'Emmanuel Macron chargé de la planification écologiste? Le candidat EELV ne veut pas de Matignon si jamais on lui propose, a-t-il déclaré sur France Inter ce mardi.
"Les débauchages, ça ne sert à rien, ça n'a jamais fait une politique. Ce à quoi je crois en politique, ce sont les rapports de force. Il nous faut un groupe écologiste puissant à l'Assemblée nationale si nous oulons que la voie écologique soit portée", a expliqué Yannick Jadot qui préfère se concentrer sur les législatives.
"Ce que nous dit la réalité du terrain, c'est qu'il n'y pas d'écologie sans écologiste. C'est clair au niveau des villes, c'est clair au niveau des villages, c'est clair au niveau de l'Europe, c'est clair au niveau des régions. S'il n'y a pas d'écologistes à l'Assemblée nationale, il n'y aura malheuresement pas d'écologistes pendant ce quinquennat",a-t-il ajouté.
"Injuste, cruel et pas nécessaire": Adrien Quatennens dénonce la réforme de la retraite à 65 ans
Alors qu'Elisabeth Borne et Bruno Le Maire ont évoqué dès le lendemain de la victoire d'Emmanuel Macron la réforme des retraites, Adrien Quatennens s'y oppose fermement.
"C'est injuste, cruel et nécessaire", juge le député LFI du Nord ce matin sur BFMTV.
Un "mandat réussi sera une succession réussie", déclare Jean-Pierre Raffarin
Un "mandat réussi sera une succession réussie", a lancé Jean-Pierre Raffarin sur LCI ce mardi, car si "le Rassemblement National venait au pouvoir après ce ne serait pas brillant pour Emmanuel Macron". Selon l'ex-Premier ministre, Emmanuel Macron doit "protéger la république du populisme (...) Qu'il prépare le passage de témoin pour qu'un républicain soit élu après lui."
Le fils d'Anne Hidalgo explique n'avoir pas voté pour sa mère
"Je n’ai pas voté pour ma mère. J’ai voté pour Jean-Luc Mélenchon, pas par grosse conviction en réalité. Ce n’était pas parce que je trouvais que ce qu’il disait était génial. Mais son idée de faire une VIe République, ça pouvait être un moyen pour que les gens se posent des questions sur la globalité" a expliqué Arthur Germain, sportif et fils d'Anne Hidalgo, ce mardi matin sur RMC.
Le scrutin présidentiel est "une mauvaise méthode" a précisé le nageur qui avait déjà fait part sur les réseaux sociaux de son intention de s'abstenir au second tour.
"Macron est élu dans un océan d'abstention": Quatennens dénonce un système à "bout de souffle"
Adrien Quatennens porte un regard sévère sur le scrutin du second tour.
"Emmanuel Macron est élu dans un océan d’abstention (...) et à la faveur d’institutions qui sont à bout de souffle", juge le coordinateur de la campagne de Jean-Luc Mélenchon ce matin sur BFMTV.
Le taux d'abstention s'est élevé à 28%, le score le plus élevé depuis 1969.
Louis Aliot sur Eric Zemmour: "Il ne peut pas jouer sur tous les tableaux"
Le maire RN de Perpignan est revenu sur Cnews ce mardi matin sur le discours du candidat Reconquête dimanche, appelant à une union nationale avant les élections législatives.
"Il ne peut pas jouer sur tous les tableaux. Il faut être cohérent, modeste et avoir un peu d'humilité ce qui manque à Eric Zemmour".
Sur RTL ce matin, Marion Maréchal, la vice-présidente du parti Reconquête, disait: "S'il y a alliance entre Debout la France, Reconquête et le Rassemblement national, nous pouvons atteindre la majorité relative".
Il faut qu'Emmanuel Macron "partage son leadership", déclare Jean-Pierre Raffarin
Pour son nouveau quinquennat, l'ancien Premier ministre Jean-Pierre Raffarin conseille ce mardi sur LCI à Emmanuel Macron de davantage déléguer. "Tout ne doit pas remonter au président, il faut qu'il partage son leadership" même si le chef de l'Etat a "un vrai impact". Emmanuel Macron doit partager son leadership "avec le parlement, avec la démocratie sociale, avec la démocratie territoriale".
Sinon "on use [le président de la République], on le fatigue, et à ce moment la République elle est fragile".
"Vaut mieux perdre dans l'honneur que gagner dans la trahison": Gilles Platret, vice-président des Républicains, refuse tout accord d'appareil pour les législatives
Le maire de Chalon-sur-Saône Gilles Platret a fermé la porte sur Sud Radio ce mardi à tout accord d'appareil entre LR et la macronie en vue des élections législatives.
"Peut-être qu'on perdra, mais vaut mieux perdre dans l'honneur que gagner dans la trahison", a-t-il déclaré, appelant les députés LR à ne pas "manger dans la gamelle des adversaires".
"Moi je souhaite qu'il n'y ait pas d'accord", a-t-il martelé. Il a néanmoins appelé à "continuer de discuter avec Zemmour", regrettant cependant que l'ex candidat d'extrême droite se soit entouré de personnes "réactionnaires".
"Il faut que Macron ne garde pas le pouvoir": Quatennens espère la victoire de LFI aux législatives
Adrien Quatennens est revenu sur la victoire du président sortant dimanche soir.
"Marine Le Pen n’a pas pris le pouvoir c’est une bonne chose, maintenant il faut faire que Macron ne le garde pas. Ce qui le porte, c'est un projet social d’une violence sans nom', assure le député LFI ce matin sur BFMTV.
Jadot demande une convention citoyenne pour réformer les institutions
"Mettre les chantiers de nos institutions en oeuvre." La formule sybilline est de Yannick Jadot. Invité de la matinale de France Inter ce mardi pour sa première interview depuis le premier tour de l'élection présidentielle, le candidat malheureux des écologistes exhorte Macron a restaurer les institutions en consultant les citoyens.
"Il faut faire une convention citoyenne pour le renouveau démocratique (...) 150 citoyens qui pensent la réforme de nos institutions", propose-t-il comme mesure la plus urgente pour le quinquennat qui vient.
"Il y a une telle défiance envers les politiques, un tel manque de sentiment de représentation", estime Jadot, qu'il faut remettre les Français au c œur des processus démocratiques et sortir d'un modèle "technocratique".
La proportionnelle, la place des cabinets privés, l'exemplarité des élus, la démocratie à l'échelle locale soumise à la réflexion des Français.
Pour Jean-François Copé, il est "hors de question de fusionner avec LaREM"
Invité ce mardi matin sur l'antenne d'Europe1, Jean-François Copé a évoqué la situation de son parti, les Républicains, dont le parti stratégique se réunit ce mardi en vue des élections législatives. Si le maire de Meaux s'attend à "une ambiance contrastée" pour l'occasion, il estime également important de poser les jalons en vue de ce futur scrutin.
"Il est hors de question de fusionner avec LaREM, d'ailleurs ça n'a aucun sens", a-t-il martelé, assurant qu'il était question "de montrer en français qu'on est capable d'apporter quelque chose d'utile. Être des opposants grognons pendant 5 ans, cela veut dire ne pas se montrer de manière positive."
Selon lui, il est important pour son parti de rester groupé afin de peser dans la campagne. "Il n'y a pas pire que les débauchages individuels, c'est grotesque de voir un certain nombre de personnalité de grande qualité partir tout seul du côté de la majorité en Marche, ça veut dire diluer et renoncer à ses idées", assure-t-il.
"On sentait la catastrophe arriver": Gilles Platret, vice-président des Républicains, étrille la campagne de Valérie Pécresse, dont "n'émanait pas l'envie de gagner"
Invité de Sud Radio, le maire de Chalon-sur-Saône et vice-président des Républicains Gilles Platret a fustigé ce mardi la campagne de Valérie Pécresse, dont il s'était mis en retrait.
"On sentait la catastrophe arriver. Il y avait un problème d'entourage de la candidate, un problème programmatique, qui n'évoquait pas le problème de l'islamisme", a-t-il indiqué.
Il a notamment critiqué une "candidate dont n'émanait pas l'envie de gagner", et a précisé qu'il était sensible "à une partie du discours" d'Éric Zemmour.
Louis Aliot sur les législatives: "Je ne veux pas qu’on rentre dans une logique de marchandage entre partis politiques"
La maire Rassemblement National (RN) de Perpignan Louis Aliot était ce mardi matin invité de Laurence Ferrari dans la matinale de Cnews. Sur la bataille des législatives et des hypothétiques alliances, il a affirmé:
"Je ne veux pas qu'on rentre dans une logique de marchandage entre partis politiques". Pas d'alliances en vue donc, même s'il a évoqué des "candidats qui seront soutenus" dans certaines circonscriptions.
Marion Maréchal: "S'il y a alliance, nous pouvons atteindre la majorité relative"
Invitée de la matinale de RTL au surlendemain de la réélection d'Emmanuel Macron à l'Élysée, la vice-présidente de Reconquête Marion Maréchal est revenu sur l'appel à l'union des droites nationales lancé par son candidat Éric Zemmour.
"S'il y a alliance entre Debout la France, Reconquête et le Rassemblement national, nous pouvons atteindre la majorité relative", a-t-elle lancé.
"Qu'on le regrette ou pas qu'on le déplore ou pas, on ne peut pas gagner seul. Il faut comprendre ce qui est en jeu, ça n'est pas seulement de défendre sa boutique, c'est d'empêcher qu'Emmanuel Macron ait les pleins pouvoirs puisque nous n'avons pas réussi à faire en sorte qu'il ne soit pas réélu", a-t-elle poursuivi.
Adrien Quatennens invité d'Apolline de Malherbe à 8h35 sur BFMTV-RMC
Le coordinateur de La France insoumise et député du Nord Adrien Quatennens sera l'invité ce mardi d'Apolline de Malherbe à 8h35 sur BFMTV-RMC.
Dans les autres matinales politiques:
- 7h40, RMC: Philippe Martinez, secrétaire général de la CGT
- 7h40, RTL: Marion Maréchal, vice-présidente de Reconquête
- 7h50, France Inter: François-Xavier Bellamy, eurodéputé LR
- 8h00, Public Sénat: Stéphane Le Foll, maire PS du Mans
- 8h13, Europe 1: Jean-François Copé, maire LR de Meaux
- 8h15, CNews: Louis Aliot, maire RN de Perpignan
- 8h15, Sud Radio: Gilles Platret, maire LR de Châlon-sur-Saône
- 8h20, France Inter: Yannick Jadot, eurodéputé EELV et ancien candidat à la présidentielle
- 8h30, France Info: Pascal Canfin, eurodéputé LREM
- 8h30, LCI: Jean-Pierre Raffarin, ancien Premier ministre (Horizons)
LFI, RN, LREM, LR... Comment les partis préparent les législatives
La France insoumise et le Parti socialiste ont acté une première rencontre pour discuter d'éventuelles alliances locales. Le Rassemblement national a, de son côté, écarté l'idée d'accords avec Reconquête et promis d'opposer un bulletin RN face à une éventuelle candidature d'Éric Zemmour.
Chez LR, l'heure est à la survie. Balayé au premier tour de la présidentielle, lourdement endetté par le mauvais score de Valérie Pécresse, le parti gaulliste se réunit pour un conseil stratégique explosif, tiraillé entre ceux qui sont prêts à travailler avec Emmanuel Macron et ceux qui refusent d'en entendre parler. Enfin, du côté du parti présidentiel, la décision viendra d'en haut: le chef de l'État travaille à la liste des investitures depuis sa retraite versaillaise de La Lanterne.
La campagne des législatives bat (déjà) son plein
A peine réélu, Emmanuel Macron voit déjà ses anciens rivaux préparer "le coup d'après". Au surlendemain de la réélection du président sortant à l'Élysée, les principaux partis se lancent à corps perdu dans la bataille des législatives, qui se tiendront les 12 et 19 juin prochains.
Dépôt de candidatures, campagne, scrutins... Retrouvez les grandes dates de l'échéance électorale qui donnera sa couleur politique à l'Assemblée nationale dans notre article.
Bonjour à tous !
Bienvenue dans ce direct consacré à l'actualité politique de ce 26 avril 2022.