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"Je ne suis pas votre assureur", interpellé par une habitante de Saint-Martin, Édouard Philippe réplique

"Je ne suis pas votre assureur", interpellé par une habitante de Saint-Martin, Édouard Philippe réplique

Edouard Philippe, en déplacement ce lundi à Saint-Martin, a été pris à partie par une habitante de l'île, qui s'est plainte de la lenteur de l'intervention de la métropole. "Comment expliquez-vous que vous n'avez toujours pas un centime sur votre compte pour reconstruire au bout de deux mois?", a-t-elle demandé au Premier ministre, qui lui a rétorqué qu'il "n'est pas (son) assureur". "On a parfois des difficultés à démontrer que la personne qui demande l'indemnisation est effectivement propriétaire", a-t-il ajouté, assurant avoir évoqué avec le président de la République "des procédures pour avancer plus vite".

Paradise Papers: "Nos amendements de lutte contre la fraude fiscale ont été tous rejetés", déplore Mélenchon

Paradise Papers: "Nos amendements de lutte contre la fraude fiscale ont été tous rejetés", déplore Mélenchon

Jean-Luc Mélenchon, qui tient ce lundi une conférence de presse suite aux révélations des Paradise Papers, a estimé que "c'était Emmanuel Macron, lorsqu'il était conseilleur du président Hollande, qui avait la responsabilité de prendre des dispositions qu'il n'a jamais prises" concernant la fraude fiscale. "On pourrait dire que ça lui est passé depuis qu'il est président de la République, mais pas du tout, puisque nous avons pu constater dans le débat sur le Projet de Loi Finance que nos amendements de lutte contre la fraude fiscale ont été tous rejetés", a-t-il poursuivi.

"On ne retrouvera pas les milliards donnés aux grandes fortunes par la suppression de l'ISF", estime Mélenchon

"On ne retrouvera pas les milliards donnés aux grandes fortunes par la suppression de l'ISF", estime Mélenchon

Le leader de la France Insoumise Jean-Luc Mélenchon, durant une conférence de presse ce lundi, s'est demandé "pourquoi le gouvernement ne veut pas interrompre le trafic des banques avec les paradis fiscaux" en instaurant l'impôt universel. "Je suis prêt à prendre le pari qu'on ne retrouvera pas dans l'économie française les milliards qui ont été donnés si généreusement aux grandes fortunes par la suppression de l'ISF et de la taxe à 30%", a-t-il lancé.

Suppression de l’ISF, moralisation de la vie publique… retour sur six mois de Macron à l’Élysée

Suppression de l’ISF, moralisation de la vie publique… retour sur six mois de Macron à l’Élysée

Depuis son arrivée à l’Élysée il y a six mois, Emmanuel Macron a lancé plusieurs chantiers. Le premier étant celui de la moralisation de la vie publique qui met notamment fin aux emplois familiaux. Ensuite, la réforme du code du travail qui malgré quelques journées de mobilisation est passée comme une lettre à la poste. Il y a eu aussi le vote du budget avec notamment la suppression de l’ISF, remplacé par un impôt sur la fortune immobilière.

Macron, six mois au pouvoir et déjà de nombreux couacs

Macron, six mois au pouvoir et déjà de nombreux couacs

Arrivé au pouvoir il y a six mois, Emmanuel Macron cumule les couacs qui écornent son image. De la crise ouverte avec l’armée aux soupçons qui portent sur d’anciens membres du gouvernement en plein chantier de moralisation de la vie publique en passant par des réformes qui passent mal. Et puis il y a aussi le style du Président qui a parfois tenu des propos qui ont fait polémique comme lorsqu’il a affirmé qu’il n’était pas le "Père Noël" ou qu’il a tenté une boutade sur le "Kwassa kwassa".

EDITO - "DSK a raison, le PS ne se relèvera pas"

EDITO - "DSK a raison, le PS ne se relèvera pas"

Au lendemain des propos de Dominique Strauss-Kahn sur le PS, Christophe Barbier a estimé que l’ancien directeur du FMI faisait preuve de "clairvoyance". DSK avait estimé que "le PS n’a pas d’avenir" et que c’était "une bonne chose". Si l’éditorialiste politique de BFMTV est d’accord avec la première affirmation, car selon lui, "le parti ne se relèvera pas" après les déroutes électorales de cette année, il n’approuve pas pour autant la seconde. En effet, le journaliste émet des doutes sur la capacité de LREM à prendre la place du Parti socialiste dans la "défense des plus démunis".