Martine Aubry - Page 3

Tribune de Martine Aubry: le PS est-il au bord de la rupture ?
Anne Rosencher, directrice adjointe de la rédaction de Marianne, Bernard Sananès, président de l'institut Elabe, et Romain Mouton, fondateur de RM conseil, étaient les invités de Thierry Arnaud. - 19h Ruth Elkrief, du vendredi 26 février 2016, sur BFMTV.

Martine Aubry est-elle réellement favorable à une primaire à gauche ? - 26/02
Hier, Martine Aubry est revenue sur ses propos en se déclarant favorable à une primaire de la gauche même si François Hollande est candidat. Pour Hervé Gattegno, dans le fond, la maire de Lille n'a pas changé d'avis, car elle ne veut pas être candidate à une primaire. En effet, cette dernière ne serait favorable ni pour François Hollande ni pour Martine Aubry. - Politique Première, du vendredi 26 février 2016, présenté par Hervé Gattegno, sur BFMTV.

Martine Aubry plaide officiellement pour une primaire à gauche
Elle a changé d'avis. Martine Aubry, lors d'une réunion publique à Lille, s'est positionnée en faveur de primaires à gauche pour désigner le candidat de 2017. "Si, et ça a l’air d’être le chemin, François Hollande est candidat et qu’il est prêt à venir dans cette primaire, c’est formidable", a assuré la maire de Lille.

Carole Barjon face à David Revault d'Allonnes: le PS se fracture après la violente charge de Martine Aubry
Le face à face de Ruth Elkrief a opposé Carole Barjon, rédactrice en chef adjointe à L'Obs, et David Revault d'Allonnes, grand reporter au Monde. Ils ont commenté la tribune assassine de Martine Aubry parue ce jeudi dans Le Monde. Dans cette publication co-signée avec Benoît Hamon et Daniel Cohn-Bendit, la maire de Lille s'en prend sévèrement à la politique menée par l'exécutif. - 19h Ruth Elkrief, du jeudi 25 février 2016, sur BFMTV.

Duel des gauches: Le bras de fer se poursuit entre Manuel Valls et Martine Aubry
Interviewée ce jeudi matin au micro de RTL, Martine Aubry est revenue sur la tribune qu'elle a co-signée notamment avec Benoît Hamon et Daniel Cohn-Bendit, où elle critique sévèrement la politique du gouvernement. Malgré les divergences, elle s'est dit prête pour un débat sur la loi El Khomri avec le chef du gouvernement. "J'ai lu le blog de Manuel Valls sur le projet de loi sur le travail (…) Je suis prête au débat avec lui. Il y a beaucoup de contre-vérités et de méconnaissances", a-t-elle déclaré. Est-ce le début de la fin de la gauche ? - Avec: Anne Rosencher, directrice adjointe de la rédaction de Marianne. Et Bruno Dive, éditorialiste politique à Sud-Ouest et auteur de l'ouvrage "Au cœur du pouvoir" (Ed. Plon). - BFM Story, du jeudi 25 février 2016, présenté par Thomas Misrachi, sur BFMTV.

Après la charge d'Aubry, l'idée d'une primaire relancée
Les initiateurs de l'appel "Notre primaire" tiennent une réunion publique jeudi soir à Lille à laquelle Martine Aubry sera présente.

La guerre des gauches est relancée
La tribune de Martine Aubry dans "Le Monde" mercredi a révélé à nouveau l'opposition entre deux grandes familles à Gauche: celle incarnée par le gouvernement, et une autre Gauche plus sociale. Ces deux Gauches se livrent une guerre sans pitié. Avec dans le viseur la présidentielle de 2017.

La tribune d’Aubry ne fait "aucune proposition" selon Valls
Alors que Martine Aubry s’attaque au gouvernement dans une virulente tribune publiée par Le Monde, "Manuel Valls ne minore pas du tout cet appel", indique Ruth Elkrief sur BFMTV. "Il ne se fait pas d’illusions, il sait très bien que c’est lui qui est visé", précise l’éditorialiste politique. "Mais en même temps, il considère que cet appel ne fait aucune proposition", rapporte Ruth Elkrief.

Une haine lointaine entre Aubry et Hollande
On ne compte plus les mots fleuris de Martine Aubry à l'égard de François Hollande et vice versa. La tribune signée par la maire de Lille mercredi est alimentée par une inimitié ancienne à l'égard de François Hollande qui mêle conflit idéologique, politique et personnel.

Mais que cherche à faire Martine Aubry?
En publiant une virulente tribune dans Le Monde à l’encontre du gouvernement, Martine Aubry s’est attaquée à son propre camp. Surtout pour barrer la route à Manuel Valls.

Martine Aubry et François Hollande sont "à peu près d'accord sur rien", selon Pascal Perrineau
Au lendemain de la publication de la tribune "Sortir de l'impasse", Pascal Perrineau nous décrypte le conflit personnel et le conflit politique qui opposent Martine Aubry et François Hollande. Cette "hostilité s'enracine dans le long terme", explique le politologue. Il raconte l'affrontement aux primaires de 2011 mais aussi que "sur de multiples dossiers économiques, sociaux ou de politique régalienne, Martine Aubry n'est à peu près d'accord sur rien avec le président de la république et le Premier ministre".

Tribune d'Aubry: une trahison pour le clan Hollande
Actuellement en tournée en Amérique Latine, François Hollande s’est abstenu de tout commentaire sur la tribune de Martine Aubry, parue ce jeudi dans Le Monde. A Paris en revanche, les partisans du chef de l’Etat estiment que ce réquisitoire contre le gouvernement est une trahison. Le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement, Jean-Marie le Guen a dénoncé une "faute politique". La faute, c’est aussi le mot qui revient sur les lèvres du chef de file des socialistes, Bruno Le Roux. Même son de cloche du côté de Stéphane Le Foll. "On ne peut pas utiliser les mots qui ont été utilisés", a critiqué le ministre de l’Agriculture. De quoi nourrir un peu plus les dissensions au sein du PS alors qu'une primaire est à l'étude.

Que penser de la tribune de Martine Aubry contre le gouvernement ? – 25/02
Dans une tribune virulente parue dans le journal Le Monde, Martine Aubry et 17 autres personnalités de gauche se soulèvent contre la politique menée par le gouvernement. Certes, cette action comprend un débat de fond. Mais en réalité, plus isolée qu'on ne le pense et ayant accumulé des défaites, Martine Aubry exprime plus de ressentiments que de stratégies. Il s'agit aussi d'une guerre de gauche. Martine Aubry, de même que beaucoup de proches de François Hollande, pensent en effet que ce dernier ne sera pas candidat à la présidentielle et que Manuel Valls, non plus, ne peut pas représenter la gauche. - Politique Première, du jeudi 25 février 2016, présenté par Hervé Gattegno, sur BFMTV.

Tribune d'Aubry: "l'autorité d'Hollande contestée"
Hervé Gattegno, l'éditorialiste politique de RMC, a examiné la tribune de Martine Aubry parue dans Le Monde, ce jeudi sur BFMTV. Pour lui, ce réquisitoire contre le gouvernement pose une question de fond, celle "de l'identité de la gauche". Le journaliste a exclu l’hypothèse d’une "campagne" de la maire de Lille. En revanche, il a indiqué que c’était Manuel Valls était directement. "Il y a une guerre des gauches et une guerre d'égo", a-t-il ajouté, rappelant au passage les longues années de dissensions entre les deux socialistes. Enfin, ce texte serait symptomatique que "c'est à la fois la majorité et l’autorité" de François Hollande qui sont affaiblis.

Tribune d'Aubry: à l'autre bout du monde, Hollande reste silencieux
En tournée en Amérique Latine, le président de la République ignorait visiblement la sortie à venir de la tribune acerbe de Martine Aubry dans Le Monde. Et s'est refusé à tout commentaire.

Tribune d’Aubry: "L’idée est de sortir Valls le plus vite possible" pour Laurent Neumann
Laurent Neumann, éditorialiste politique de BFMTV, est revenu ce jeudi sur la tribune très critique de Martine Aubry publiée dans le journal Le Monde. "Toute la politique du gouvernement est passée au karcher", a-t-il rappelé. Mais l’idée principale de ce réquisitoire est "de sortir Valls le plus vite possible", estime le spécialiste. Car "l’idée est en train de s’installer à gauche que François Hollande ne sera peut-être pas candidat" en 2017.

Tribune de Martine Aubry: la gauche est-elle au bord de la rupture ?
Martine Aubry a signé ce mercredi, avec plusieurs responsables socialistes et écologistes, dans Le Monde une tribune à charge contre François Hollande et Manuel Valls. La maire de Lille et ses acolytes ont, en particulier, ciblé le projet de réforme du Code du travail. "C'est toute la construction des relations sociales de notre pays qui est mise à bas en renversant la hiérarchie des normes", grondent-ils. La tribune de l'élue socialiste n'a pas tardé à faire réagir la classe politique. Le secrétaire d'État Jean-Marie Le Guen a notamment dénoncé une "faute politique". La gauche est-elle au bord de la rupture ? - Avec: Guillaume Garot, député PS de Mayenne. Raphaël Liogier, philosophe, sociologue du religieux, auteur de "La guerre des civilisations n'aura pas lieu" (Ed. CNRS). Et Maurice Szafran, éditorialiste à Challenges. - Grand Angle, du mercredi 24 février 2016, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

Tribune de Martine Aubry: "On va assister à un lynchage de la maire de Lille", Jean-François Kahn
Martine Aubry a signé ce mercredi, avec plusieurs responsables socialistes et écologistes, dans Le Monde une tribune à charge contre François Hollande et Manuel Valls. La maire de Lille et ses acolytes ont, en particulier, ciblé le projet de réforme du Code du travail. "C'est toute la construction des relations sociales de notre pays qui est mise à bas en renversant la hiérarchie des normes", grondent-ils. "Que restera-t-il des idéaux du socialisme lorsqu'on aura, jour après jour, sapé ses principes et ses fondements ?". La tribune de l'élue socialiste n'a pas tardé à faire réagir la classe politique. Le secrétaire d'État Jean-Marie Le Guen a notamment dénoncé une "faute politique". - Avec: Yannick Jadot, eurodéputé EELV, signataire de la tribune "Sortir de l'impasse". Et Jean-François Kahn, journaliste, écrivain. - Grand Angle, du mercredi 24 février 2016, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

"Sortir de l'impasse": Martine Aubry sonne la guerre des gauches
Martine Aubry sort de son silence. Dans une tribune publiée dans le journal Le Monde et cosignée avec plusieurs personnalités, elle dénonce l’impasse de la politique menée par le gouvernement. "Trop c’est trop !", lance la maire de Lille, avant de se livrer à un sévère réquisitoire contre le pacte de responsabilité, le débat sur la déchéance de nationalité, le discours de Munich de Manuel Valls sur l’accueil des réfugiés en Europe, et le projet de réforme du Code du travail. Comme il fallait s'y attendre, cette tribune acerbe a déclenché des hostilités dans les rangs du PS. Entre Manuel Valls et Martine Aubry, jamais la fracture n’a semblé aussi grande. Le Parti socialiste est-il au bord de la rupture ? Pire, la gauche est-elle menacée d'implosion ? - Un document "Grand Angle BFMTV" du mercredi 24 février 2016.

Tribune de Martine Aubry: "Quand les résultats ne sont pas au rendez-vous c'est normal qu'il y ait ces débats", Pascal Cherki
Pascal Cherki, député PS de Paris, et Philippe Doucet, député PS du Val d'Oise, étaient les invités de Laurent Neumann dans News & Compagnie sur BFMTV, le mercredi 24 février 2016. Un décryptage original de l'actualité du jour avec le Billet d’Emmanuel Lechypre.

Tribune de Martine Aubry: "Nous appelons à un changement radical de la politique qui est menée par le gouvernement", Laura Slimani
Jean-Sébastien Ferjou, directeur de la publication d'Atlantico, Matthieu Croissandeau, directeur de la rédaction de L'Obs et Laura Slimani, présidente du Mouvement des Jeunes Socialistes Européens, étaient les invités de Laurent Neumann dans News & Compagnie sur BFMTV, le mercredi 24 février 2016. Un décryptage original de l'actualité du jour avec l'édito "on se dit tout" d'Anna Cabana.

"Trop, c'est trop !": Martine Aubry affiche son opposition à la politique du gouvernement
Dans une tribune qu'elle a publiée avec plusieurs personnalités de gauche ce mercredi dans Le Monde, Martine Aubry a lancé une nouvelle charge contre la politique du gouvernement. La maire de Lille a critiqué tour à tour le pacte de responsabilité de janvier 2014, le "désolant débat sur la déchéance de nationalité", "l’indécent discours de Munich" de Manuel Valls sur l’accueil des migrants en Europe, et le projet de réforme du code du travail. L'ancienne ministre du Travail s'est montrée particulièrement virulente envers le projet de loi porté par Myriam El Khomri. "Ce sont des vieilles recettes", a-t-elle scandé. Martine Aubry pousse-t-elle le gouvernement à changer de ligne ? Pourquoi fait-elle pression sur la majorité ? - Avec: Nathalie Schuck, rédactrice en chef adjointe du Parisien-Aujourd'hui en France. Ruth Elkrief, journaliste politique à BFMTV. Et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. - 20H Politique, du mercredi 24 février 2016, sur BFMTV.

Marie-Laure Harel face à Raquel Garrido: Martine Aubry tacle François Hollande et Manuel Valls
Le face à face de Ruth Elkrief a opposé Marie-Laure Harel, conseillère Les Républicains du 3ème arrondissement de Paris, et Raquel Garrido, avocate et co-fondatrice du Parti de gauche. Elles sont revenues sur la charge de Martine Aubry contre le gouvernement. La maire de Lille et plusieurs figures de gauche se sont emportés contre la politique menée par l'exécutif, dans une tribune publiée, ce mercredi, dans Le Monde. L'opposition entre l'ancienne première secrétaire du PS et le tandem Hollande-Valls ne date pas d'aujourd'hui. Mais jamais la charge n'avait été aussi violente et tout particulièrement contre le Premier ministre. "Ce n'est plus simplement l'échec du quinquennat qui se profile, mais un affaiblissement durable de la France qui se prépare, et bien évidemment de la gauche, s'il n'est pas mis un coup d'arrêt à la chute dans laquelle nous sommes entraînés", écrivent les signataires. - 19h Ruth Elkrief, du mercredi 24 février 2016, sur BFMTV.

Martine Aubry: "On vient d'entendre un véritable réquisitoire contre la politique du gouvernement en général et contre Manuel Valls en particulier", Thierry Arnaud
Martine Aubry a signé ce mercredi, avec plusieurs intellectuels, responsables socialistes et écologistes, dans Le Monde une tribune à charge contre le gouvernement. Dans ce texte vitriolé, ils visent notamment le pacte de responsabilité de janvier 2014, le débat sur la déchéance de nationalité, et le "discours de Munich" de Manuel Valls sur l’accueil des réfugiés en Europe. Ce soir, elle s'est expliquée en direct et en a profité pour fustiger la réforme du code du Travail. "Je pense que beaucoup de décisions qui sont prises ne vont pas dans le bon sens et peuvent avoir des effets graves pour notre pays", a-t-elle déclaré. Pour Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV, son discours est un véritable réquisitoire contre la politique du gouvernement en général et contre Manuel Valls en particulier. - BFM Story, du mercredi 24 février 2016, présenté par Thomas Misrachi, sur BFMTV.

"Sortir de l'impasse": La tribune coup de poing de Martine Aubry contre l'exécutif
Dans une tribune au Monde, datée du 25 février et intitulée "Sortir de l'impasse", Martine Aubry, Daniel Cohn-Bendit ainsi que plusieurs intellectuels ou responsables socialistes et écologistes prennent à partie l'exécutif et livrent un très sévère réquisitoire contre la politique menée. Dans ce texte vitriolé, ils visent notamment le pacte de responsabilité de janvier 2014, le "désolant débat sur la déchéance de nationalité", "l’indécent discours de Munich" de Manuel Valls sur l’accueil des réfugiés en Europe, et le projet de réforme du code du travail. "Il est des vérités désagréables à dire mais (...) trop, c'est trop", jugent-ils également. À terme, cet appel est destiné à devenir une pétition populaire. - Avec: Christian Paul, député PS de la Nièvre, signataire de la tribune "Sortir de l’impasse". Et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. - BFM Story, du mercredi 24 février 2016, présenté par Thomas Misrachi, sur BFMTV.

Martine Aubry sur la loi El Khomri: "Ce sont de vieilles recettes"
Martine Aubry a commenté la tribune contre le gouvernement qu'elle a publié avec d'autres personnalités de gauche. La maire de Lille l'assure: "La gauche moderne, c'est nous."

La tribune de Martine Aubry est "une faute politique" pour Jean-Marie Le Guen
Jean-Marie Le Guen, invité de BFM Story ce mercredi, a dénoncé "une faute politique" après la parution dans Le Monde d’une tribune signée par plusieurs personnalités de la gauche, dont Martine Aubry. "Je vois une posture moralisante, mais est-ce qu'elle ne représente pas une gauche fatiguée de gouverner?", a lancé le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement. Très critique, il a affirmé que les signataires de la tribune faisaient partie d'une gauche "qui refuse d'accepter les responsabilités douloureuses du pouvoir."

Martine Aubry: "La gauche progressiste, la gauche moderne, c'est nous"
La maire socialiste de Lille Martine Aubry a justifié mercredi la tribune qu'elle signe dans le Monde avec d'autres élus de gauche et intellectuels, critiquant la politique du gouvernement. "La gauche de gouvernement, c'est nous", a-t-elle affirmé. "Cette tribune nous l'avons signée avec des hommes et des femmes qui sont des réformistes, des progressistes", a-t-elle ajouté, critiquant des mesures comme le projet de réforme du Code du travail, ou la déchéance de nationalité.

Pour Le Guen, la charge d'Aubry contre Hollande et Valls est "une faute politique"
La fracture entre les défenseurs et soutiens de la réforme du code du travail s'aggrave. Sur BFMTV, Jean-Marie Le Guen a dénoncé les "donneurs de leçons", s'adressant sans la nommer, à Martine Aubry.

Martine Aubry, le coup de la tribune permanent
Sans mandat politique national et sans avoir mené campagne pour les élections régionales ou pour la présidence du PS, la maire de Lille a plusieurs fois, depuis l'accession à l'Elysée de François Hollande, fait entendre son point de vue, divergent. Souvent par le biais de tribunes ou de longs entretiens donnés à la presse.

Martine Aubry et Manuel Valls, les dessous d'une rivalité ancienne
La tribune de l'ancienne ministre est un véritable réquisitoire contre le locataire de Matignon. Mais la rivalité entre les deux personnalités socialistes est loin d'être nouvelle.

Hamon constate un "divorce entre les choix du Premier ministre et la gauche"
Benoît Hamon avait claqué la porte du gouvernement Valls en août 2014. Il fait partie des signataires de la tribune impulsée par Martine Aubry pour s'opposer à la politique menée par le gouvernement. Citant la loi el Khomri et la déchéance de nationalité, le député socialiste explique que ces choix politiques "amènent à constater une forme de divorce entre les choix du Premier ministre notamment et la gauche, de divorce avec les valeurs et les principes de la gauche, de divorce même avec l'idée de progrès".

Lienemann va plus loin que les signataires de la tribune Aubry
La sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann accueille favorablement la tribune de Martine Aubry contre le gouvernement. "Je me réjouis que cette dynamique de prise de conscience des risques de la politique suivie arrive et s'élargisse", déclare la frondeuse de la première heure, qui regrette simplement que ça n'ait pas eu lieu "plus tôt". Elle va plus loin que les signataires de la tribune et pense qu'il "faudrait un autre Premier ministre".

Dans une tribune au Monde, la gauche exprime son ras-le-bol
Martine Aubry en tête, la gauche a fait part de son ras-le-bol envers le gouvernement, dans une tribune publiée dans « Le Monde » daté du 25 février. "Trop, c'est trop", écrivent-ils, s'attaquant entre autre au pacte de responsabilité, au "désolant débat sur la déchéance de nationalité", l' "indécent discours" de Manuel Valls à Munich sur l'accueil des réfugiés, ou bien le projet de réforme du code du travail. A propos de ce dernier point, les signataires estiment que la menace du recours au 49-3 est "insupportable" et que "la démocratie est atteinte".

Julliard signataire de la tribune Aubry: "Je ne veux pas revivre le 21 avril"
Déchéance de nationalité, gestion de la crise des migrants et maintenant la loi Travail. L'adjoint au maire de Paris explique à BFMTV "l'accumulation" qui s'est transformée en "colère" et qui l'a conduit à signer la tribune de Martine Aubry dénonçant la politique conduite par le gouvernement. "Nous considérons que la rupture avec ce que nous sommes - notre identité, les valeurs de la gauche - est trop profonde pour que nous puissions les soutenir", développe Bruno Julliard. "Je ne veux pas en avril prochain revivre le 21 avril", "si on ne change rien on court à nouveau vers cette catastrophe politique", prévient le socialiste.

Remaniement: Martine Aubry a "cru à un gag"
"Je n'ai jamais rien demandé dans ma vie. Je ne vais pas commencer maintenant", a répondu la maire de Lille, démentant l'information du Parisien selon laquelle elle avait proposé ses services pour le ministère des Affaires étrangères.

Aubry au Quai d’Orsay? "Ça permettrait qu’elle ne parle pas de politique intérieure"
Martine Aubry serait bel et bien candidate pour remplacer Laurent Fabius au ministère des Affaires étrangères lors du prochain remaniement. "Elle s’est mise à rêver d’international, elle s’est découverte une passion pour la Chine où elle est une forme d’ambassadrice bis", a remarqué Apolline de Malherbe, l’éditorialiste politique de BFMTV. "Ça permettrait qu’elle ne parle pas des questions de politique intérieure", a-t-elle conclu.

"Quand on est politique on ne raisonne pas avec l'opinion", rappelle Aubry à Hollande
Dans un réquisitoire contre l'extension de la déchéance de nationalité, Martine Aubry a rappelé jeudi les mots de François Mitterrand sur la peine de mort: "quand on est un politique, on ne raisonne pas avec l'opinion". La maire de Lille a également souligné que "c'est ce qui fait la différence entre un homme politique et un homme d'Etat".

Martine Aubry appelle à "combattre" la déchéance de nationalité
Opposée de longue date à la déchéance de nationalité, Martine Aubry a décroché quelques flèches l'encontre de François Hollande jeudi.

"L'obstination est mauvaise conseillère", lance Aubry à Hollande
"Non la déchéance de nationalité n'est pas un symbole et je crois qu'il faut véritablement la combattre et se dire que l'obstination est mauvaise conseillère." C'est une Martine Aubry une fois de plus remontée contre l'exécutif qui faisait ses vœux à la presse jeudi. La maire de Lille appelle à "renoncer à ce qui est ni efficace ni opérant, c'est le Premier ministre lui-même qui le dit".

Martine Aubry réclame "l'inflexion de la politique économique" promise lors du Congrès du PS
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire avait lâcher le mot d'"inflexion" de la politique gouvernementale qui mettrait l'accent sur les questions de précarité. En arrivant au bureau politique du PS, vers 18 heures, Martine Aubry a estimé que "cela fait des mois que nous demandons une inflexion pour qu'il y ait des commandes, des investissements, (...) non pas un changement de la politique économique gouvernementale". La maire de Lille a rappelé que cette "l'inflexion" avait été entérinée lors du dernier Congrès du Parti socialise et que les ministres y avaient souscrit.

Régionales: "Je ferai mieux que Martine Aubry", affirme Saintignon
Pierre de Saintignon était l'invité de Ruth Elkrief ce vendredi sur BFTMV. A deux jours du premier tour des élections régionales, le candidat socialiste dans la circonscription Nord-Pas-de-Calais-Picardie a affirmé qu'il était un meilleur choix que Martine Aubry. "C'est une grande dame d'État. C'est celle qui montre ce que doit être le chemin pour notre pays et notre région, mais je ferai mieux qu'elle", a soutenu la tête de liste

Martine Aubry: "Marine Le Pen ne sera pas présidente de région"
Martine Aubry, maire PS de Lille et soutien de Pierre de Saintignon, la tête de liste socialiste pour les régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, était jeudi matin l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC.

Martine Aubry face à Jean-Jacques Bourdin en direct
Jean-Jacques Bourdin reçoit Martine Aubry, maire PS de Lille, dans "Bourdin Direct" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 3 décembre 2015.

Martine Aubry: "L'état d'urgence est nécessaire"
Invitée de de Jean-Jacques Bourdin ce jeudi matin sur BFMTV et RMC, Martine Aubry a salué le gouvernement pour les décisions prises après les attentats de Paris. Elle juge l'instauration de l'état d'urgence "nécessaire" et justifie les perquisition et assignations des derniers jours. "Les terroristes, ces fanatiques, ces fous, ils sont liés au trafic de drogue, au trafic d'armes et en mettant en garde à vue des gens, le gouvernement a réussi à obtenir des renseignements y compris sur ces fanatiques. Les assignations à résidence, il faut les réaliser quand en plus on reçoit la COP21. Quand il y a encore des risques, car il y a encore des risques", a déclaré la maire de Lille

Martine Aubry prédit "la gueule de bois" si Marine Le Pen est élue
Martine Aubry était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin ce jeudi sur BFMTV et RMC. La maire PS de Lille a vivement critiqué la candidature de Marine Le Pen aux élections régionales. "Si jamais madame Le Pen est présidente dans ma région, le lendemain, c'est la gueule de bois. Il n’y a pas un chef d'entreprise qui reviendrait là" a estimé l'ancienne première secrétaire du parti socialiste. "Vous imaginez que demain, puisqu'elle se voit déjà présidente de la République, elle puisse, comme François Hollande l’a fait, discuter avec Obama, Poutine, Cameron et Merkel, pour pouvoir porter la guerre contre Daesh? Bien sûr que non" a affirmé la maire de Lille.

"Qu'on nous foute la paix!", lance Aubry sur les fusions de liste
"On est en train de faire campagne. Si on pouvait nous laisser tranquille ce serait bien. On voudrait faire gagner le FN qu'on ne s'y prendrait pas autrement. Qu'on nous foute la paix!", a lancé vendredi Martine Aubry après les propos de Manuel Valls évoquant une possible fusion des listes droite-gauche au second tour des régionales face à Marine Le Pen en Nord-Pas-de-Calais/Picardie. "On sera au second tour et on sera en tête au premier tour", a martelé la maire de Lille en présence de la tête de liste Pierre de Saintignon.

Fusion pour les régionales: "Qu'on nous foute la paix!", répond Aubry à Valls
Martine Aubry a une fois de plus répondu avec son franc-parler aux propos de Manuel Valls sur une fusion des listes de droite et de gauche au second tour des régionales face au FN.

Fusionner les listes PS-LR aux Régionales? "Tout le monde est hypocrite", estime Apolline de Malherbe
Martine Aubry et Manuel Valls ne s'entendent pas, c'est bien connu. Leur relation ne risque pas de s'améliorer avec la position de la maire socialiste de Lille qui rejette la proposition du Premier ministre de fusionner les listes du Parti socialiste et du parti Les Républicains au deuxième tour des élections régionales si le Front national est en tête. "Dans cette histoire, on le sent bien, tout le monde est hypocrite. Manuel Valls pourra rejeter la faute sur Les Républicains en disant 'ils n'ont pas voulu fusionner les listes'. Martine Aubry pourra rejeter la faute sur Manuel Valls (…) Et la droite espère tout de même les voix des électeurs de gauche", a estimé Apolline de Malherbe, éditorialiste politique à BFMTV.

Aubry trouve "effrayant" le ressenti de migrants rencontrés dans un train
Martine Aubry, la maire de la ville, s'est exprimée lundi après avoir rencontré des réfugiés dans un train en revenant de Paris. Elle a discuté avec eux, leur a demandé où ils allaient, d'où ils venaient, et pourquoi ils ne voulaient pas rester en France. "Ils ont l'impression que la France n'a pas d'emplois pour les accueillir et, surtout, et cela m'a fait beaucoup de mal, que la France n'est pas hospitalière. Ces jeunes nous ont dit: 'La France ne veut pas de nous' et j'ai trouvé cela effrayant parce quand on dit aux gens ce qu'ils ont vécu, ils sont là les Français", a-t-elle expliqué aux journalistes.