Martine Aubry

Après la charge d'Aubry, l'idée d'une primaire relancée
Les initiateurs de l'appel "Notre primaire" tiennent une réunion publique jeudi soir à Lille à laquelle Martine Aubry sera présente.
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La guerre des gauches est relancée

La tribune d’Aubry ne fait "aucune proposition" selon Valls

Une haine lointaine entre Aubry et Hollande

Mais que cherche à faire Martine Aubry?

Martine Aubry et François Hollande sont "à peu près d'accord sur rien", selon Pascal Perrineau

Tribune d'Aubry: une trahison pour le clan Hollande

Que penser de la tribune de Martine Aubry contre le gouvernement ? – 25/02

Tribune d'Aubry: "l'autorité d'Hollande contestée"

Tribune d'Aubry: à l'autre bout du monde, Hollande reste silencieux

Tribune d’Aubry: "L’idée est de sortir Valls le plus vite possible" pour Laurent Neumann

Tribune de Martine Aubry: la gauche est-elle au bord de la rupture ?
Martine Aubry a signé ce mercredi, avec plusieurs responsables socialistes et écologistes, dans Le Monde une tribune à charge contre François Hollande et Manuel Valls. La maire de Lille et ses acolytes ont, en particulier, ciblé le projet de réforme du Code du travail. "C'est toute la construction des relations sociales de notre pays qui est mise à bas en renversant la hiérarchie des normes", grondent-ils. La tribune de l'élue socialiste n'a pas tardé à faire réagir la classe politique. Le secrétaire d'État Jean-Marie Le Guen a notamment dénoncé une "faute politique". La gauche est-elle au bord de la rupture ? - Avec: Guillaume Garot, député PS de Mayenne. Raphaël Liogier, philosophe, sociologue du religieux, auteur de "La guerre des civilisations n'aura pas lieu" (Ed. CNRS). Et Maurice Szafran, éditorialiste à Challenges. - Grand Angle, du mercredi 24 février 2016, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

Tribune de Martine Aubry: "On va assister à un lynchage de la maire de Lille", Jean-François Kahn
Martine Aubry a signé ce mercredi, avec plusieurs responsables socialistes et écologistes, dans Le Monde une tribune à charge contre François Hollande et Manuel Valls. La maire de Lille et ses acolytes ont, en particulier, ciblé le projet de réforme du Code du travail. "C'est toute la construction des relations sociales de notre pays qui est mise à bas en renversant la hiérarchie des normes", grondent-ils. "Que restera-t-il des idéaux du socialisme lorsqu'on aura, jour après jour, sapé ses principes et ses fondements ?". La tribune de l'élue socialiste n'a pas tardé à faire réagir la classe politique. Le secrétaire d'État Jean-Marie Le Guen a notamment dénoncé une "faute politique". - Avec: Yannick Jadot, eurodéputé EELV, signataire de la tribune "Sortir de l'impasse". Et Jean-François Kahn, journaliste, écrivain. - Grand Angle, du mercredi 24 février 2016, présenté par François Gapihan, sur BFMTV.

"Sortir de l'impasse": Martine Aubry sonne la guerre des gauches
Martine Aubry sort de son silence. Dans une tribune publiée dans le journal Le Monde et cosignée avec plusieurs personnalités, elle dénonce l’impasse de la politique menée par le gouvernement. "Trop c’est trop !", lance la maire de Lille, avant de se livrer à un sévère réquisitoire contre le pacte de responsabilité, le débat sur la déchéance de nationalité, le discours de Munich de Manuel Valls sur l’accueil des réfugiés en Europe, et le projet de réforme du Code du travail. Comme il fallait s'y attendre, cette tribune acerbe a déclenché des hostilités dans les rangs du PS. Entre Manuel Valls et Martine Aubry, jamais la fracture n’a semblé aussi grande. Le Parti socialiste est-il au bord de la rupture ? Pire, la gauche est-elle menacée d'implosion ? - Un document "Grand Angle BFMTV" du mercredi 24 février 2016.

Tribune de Martine Aubry: "Quand les résultats ne sont pas au rendez-vous c'est normal qu'il y ait ces débats", Pascal Cherki
Pascal Cherki, député PS de Paris, et Philippe Doucet, député PS du Val d'Oise, étaient les invités de Laurent Neumann dans News & Compagnie sur BFMTV, le mercredi 24 février 2016. Un décryptage original de l'actualité du jour avec le Billet d’Emmanuel Lechypre.

Tribune de Martine Aubry: "Nous appelons à un changement radical de la politique qui est menée par le gouvernement", Laura Slimani
Jean-Sébastien Ferjou, directeur de la publication d'Atlantico, Matthieu Croissandeau, directeur de la rédaction de L'Obs et Laura Slimani, présidente du Mouvement des Jeunes Socialistes Européens, étaient les invités de Laurent Neumann dans News & Compagnie sur BFMTV, le mercredi 24 février 2016. Un décryptage original de l'actualité du jour avec l'édito "on se dit tout" d'Anna Cabana.

"Trop, c'est trop !": Martine Aubry affiche son opposition à la politique du gouvernement
Dans une tribune qu'elle a publiée avec plusieurs personnalités de gauche ce mercredi dans Le Monde, Martine Aubry a lancé une nouvelle charge contre la politique du gouvernement. La maire de Lille a critiqué tour à tour le pacte de responsabilité de janvier 2014, le "désolant débat sur la déchéance de nationalité", "l’indécent discours de Munich" de Manuel Valls sur l’accueil des migrants en Europe, et le projet de réforme du code du travail. L'ancienne ministre du Travail s'est montrée particulièrement virulente envers le projet de loi porté par Myriam El Khomri. "Ce sont des vieilles recettes", a-t-elle scandé. Martine Aubry pousse-t-elle le gouvernement à changer de ligne ? Pourquoi fait-elle pression sur la majorité ? - Avec: Nathalie Schuck, rédactrice en chef adjointe du Parisien-Aujourd'hui en France. Ruth Elkrief, journaliste politique à BFMTV. Et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. - 20H Politique, du mercredi 24 février 2016, sur BFMTV.

Marie-Laure Harel face à Raquel Garrido: Martine Aubry tacle François Hollande et Manuel Valls
Le face à face de Ruth Elkrief a opposé Marie-Laure Harel, conseillère Les Républicains du 3ème arrondissement de Paris, et Raquel Garrido, avocate et co-fondatrice du Parti de gauche. Elles sont revenues sur la charge de Martine Aubry contre le gouvernement. La maire de Lille et plusieurs figures de gauche se sont emportés contre la politique menée par l'exécutif, dans une tribune publiée, ce mercredi, dans Le Monde. L'opposition entre l'ancienne première secrétaire du PS et le tandem Hollande-Valls ne date pas d'aujourd'hui. Mais jamais la charge n'avait été aussi violente et tout particulièrement contre le Premier ministre. "Ce n'est plus simplement l'échec du quinquennat qui se profile, mais un affaiblissement durable de la France qui se prépare, et bien évidemment de la gauche, s'il n'est pas mis un coup d'arrêt à la chute dans laquelle nous sommes entraînés", écrivent les signataires. - 19h Ruth Elkrief, du mercredi 24 février 2016, sur BFMTV.

Martine Aubry: "On vient d'entendre un véritable réquisitoire contre la politique du gouvernement en général et contre Manuel Valls en particulier", Thierry Arnaud
Martine Aubry a signé ce mercredi, avec plusieurs intellectuels, responsables socialistes et écologistes, dans Le Monde une tribune à charge contre le gouvernement. Dans ce texte vitriolé, ils visent notamment le pacte de responsabilité de janvier 2014, le débat sur la déchéance de nationalité, et le "discours de Munich" de Manuel Valls sur l’accueil des réfugiés en Europe. Ce soir, elle s'est expliquée en direct et en a profité pour fustiger la réforme du code du Travail. "Je pense que beaucoup de décisions qui sont prises ne vont pas dans le bon sens et peuvent avoir des effets graves pour notre pays", a-t-elle déclaré. Pour Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV, son discours est un véritable réquisitoire contre la politique du gouvernement en général et contre Manuel Valls en particulier. - BFM Story, du mercredi 24 février 2016, présenté par Thomas Misrachi, sur BFMTV.

"Sortir de l'impasse": La tribune coup de poing de Martine Aubry contre l'exécutif
Dans une tribune au Monde, datée du 25 février et intitulée "Sortir de l'impasse", Martine Aubry, Daniel Cohn-Bendit ainsi que plusieurs intellectuels ou responsables socialistes et écologistes prennent à partie l'exécutif et livrent un très sévère réquisitoire contre la politique menée. Dans ce texte vitriolé, ils visent notamment le pacte de responsabilité de janvier 2014, le "désolant débat sur la déchéance de nationalité", "l’indécent discours de Munich" de Manuel Valls sur l’accueil des réfugiés en Europe, et le projet de réforme du code du travail. "Il est des vérités désagréables à dire mais (...) trop, c'est trop", jugent-ils également. À terme, cet appel est destiné à devenir une pétition populaire. - Avec: Christian Paul, député PS de la Nièvre, signataire de la tribune "Sortir de l’impasse". Et Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. - BFM Story, du mercredi 24 février 2016, présenté par Thomas Misrachi, sur BFMTV.

Martine Aubry sur la loi El Khomri: "Ce sont de vieilles recettes"
Martine Aubry a commenté la tribune contre le gouvernement qu'elle a publié avec d'autres personnalités de gauche. La maire de Lille l'assure: "La gauche moderne, c'est nous."

La tribune de Martine Aubry est "une faute politique" pour Jean-Marie Le Guen
Jean-Marie Le Guen, invité de BFM Story ce mercredi, a dénoncé "une faute politique" après la parution dans Le Monde d’une tribune signée par plusieurs personnalités de la gauche, dont Martine Aubry. "Je vois une posture moralisante, mais est-ce qu'elle ne représente pas une gauche fatiguée de gouverner?", a lancé le secrétaire d'Etat chargé des relations avec le Parlement. Très critique, il a affirmé que les signataires de la tribune faisaient partie d'une gauche "qui refuse d'accepter les responsabilités douloureuses du pouvoir."

Martine Aubry: "La gauche progressiste, la gauche moderne, c'est nous"
La maire socialiste de Lille Martine Aubry a justifié mercredi la tribune qu'elle signe dans le Monde avec d'autres élus de gauche et intellectuels, critiquant la politique du gouvernement. "La gauche de gouvernement, c'est nous", a-t-elle affirmé. "Cette tribune nous l'avons signée avec des hommes et des femmes qui sont des réformistes, des progressistes", a-t-elle ajouté, critiquant des mesures comme le projet de réforme du Code du travail, ou la déchéance de nationalité.

Pour Le Guen, la charge d'Aubry contre Hollande et Valls est "une faute politique"
La fracture entre les défenseurs et soutiens de la réforme du code du travail s'aggrave. Sur BFMTV, Jean-Marie Le Guen a dénoncé les "donneurs de leçons", s'adressant sans la nommer, à Martine Aubry.

Martine Aubry, le coup de la tribune permanent
Sans mandat politique national et sans avoir mené campagne pour les élections régionales ou pour la présidence du PS, la maire de Lille a plusieurs fois, depuis l'accession à l'Elysée de François Hollande, fait entendre son point de vue, divergent. Souvent par le biais de tribunes ou de longs entretiens donnés à la presse.

Martine Aubry et Manuel Valls, les dessous d'une rivalité ancienne
La tribune de l'ancienne ministre est un véritable réquisitoire contre le locataire de Matignon. Mais la rivalité entre les deux personnalités socialistes est loin d'être nouvelle.

Hamon constate un "divorce entre les choix du Premier ministre et la gauche"
Benoît Hamon avait claqué la porte du gouvernement Valls en août 2014. Il fait partie des signataires de la tribune impulsée par Martine Aubry pour s'opposer à la politique menée par le gouvernement. Citant la loi el Khomri et la déchéance de nationalité, le député socialiste explique que ces choix politiques "amènent à constater une forme de divorce entre les choix du Premier ministre notamment et la gauche, de divorce avec les valeurs et les principes de la gauche, de divorce même avec l'idée de progrès".

Lienemann va plus loin que les signataires de la tribune Aubry
La sénatrice socialiste Marie-Noëlle Lienemann accueille favorablement la tribune de Martine Aubry contre le gouvernement. "Je me réjouis que cette dynamique de prise de conscience des risques de la politique suivie arrive et s'élargisse", déclare la frondeuse de la première heure, qui regrette simplement que ça n'ait pas eu lieu "plus tôt". Elle va plus loin que les signataires de la tribune et pense qu'il "faudrait un autre Premier ministre".

Dans une tribune au Monde, la gauche exprime son ras-le-bol
Martine Aubry en tête, la gauche a fait part de son ras-le-bol envers le gouvernement, dans une tribune publiée dans « Le Monde » daté du 25 février. "Trop, c'est trop", écrivent-ils, s'attaquant entre autre au pacte de responsabilité, au "désolant débat sur la déchéance de nationalité", l' "indécent discours" de Manuel Valls à Munich sur l'accueil des réfugiés, ou bien le projet de réforme du code du travail. A propos de ce dernier point, les signataires estiment que la menace du recours au 49-3 est "insupportable" et que "la démocratie est atteinte".

Julliard signataire de la tribune Aubry: "Je ne veux pas revivre le 21 avril"
Déchéance de nationalité, gestion de la crise des migrants et maintenant la loi Travail. L'adjoint au maire de Paris explique à BFMTV "l'accumulation" qui s'est transformée en "colère" et qui l'a conduit à signer la tribune de Martine Aubry dénonçant la politique conduite par le gouvernement. "Nous considérons que la rupture avec ce que nous sommes - notre identité, les valeurs de la gauche - est trop profonde pour que nous puissions les soutenir", développe Bruno Julliard. "Je ne veux pas en avril prochain revivre le 21 avril", "si on ne change rien on court à nouveau vers cette catastrophe politique", prévient le socialiste.

Remaniement: Martine Aubry a "cru à un gag"
"Je n'ai jamais rien demandé dans ma vie. Je ne vais pas commencer maintenant", a répondu la maire de Lille, démentant l'information du Parisien selon laquelle elle avait proposé ses services pour le ministère des Affaires étrangères.

Aubry au Quai d’Orsay? "Ça permettrait qu’elle ne parle pas de politique intérieure"
Martine Aubry serait bel et bien candidate pour remplacer Laurent Fabius au ministère des Affaires étrangères lors du prochain remaniement. "Elle s’est mise à rêver d’international, elle s’est découverte une passion pour la Chine où elle est une forme d’ambassadrice bis", a remarqué Apolline de Malherbe, l’éditorialiste politique de BFMTV. "Ça permettrait qu’elle ne parle pas des questions de politique intérieure", a-t-elle conclu.

"Quand on est politique on ne raisonne pas avec l'opinion", rappelle Aubry à Hollande
Dans un réquisitoire contre l'extension de la déchéance de nationalité, Martine Aubry a rappelé jeudi les mots de François Mitterrand sur la peine de mort: "quand on est un politique, on ne raisonne pas avec l'opinion". La maire de Lille a également souligné que "c'est ce qui fait la différence entre un homme politique et un homme d'Etat".

Martine Aubry appelle à "combattre" la déchéance de nationalité
Opposée de longue date à la déchéance de nationalité, Martine Aubry a décroché quelques flèches l'encontre de François Hollande jeudi.

"L'obstination est mauvaise conseillère", lance Aubry à Hollande
"Non la déchéance de nationalité n'est pas un symbole et je crois qu'il faut véritablement la combattre et se dire que l'obstination est mauvaise conseillère." C'est une Martine Aubry une fois de plus remontée contre l'exécutif qui faisait ses vœux à la presse jeudi. La maire de Lille appelle à "renoncer à ce qui est ni efficace ni opérant, c'est le Premier ministre lui-même qui le dit".

Martine Aubry réclame "l'inflexion de la politique économique" promise lors du Congrès du PS
Jean-Christophe Cambadélis, premier secrétaire avait lâcher le mot d'"inflexion" de la politique gouvernementale qui mettrait l'accent sur les questions de précarité. En arrivant au bureau politique du PS, vers 18 heures, Martine Aubry a estimé que "cela fait des mois que nous demandons une inflexion pour qu'il y ait des commandes, des investissements, (...) non pas un changement de la politique économique gouvernementale". La maire de Lille a rappelé que cette "l'inflexion" avait été entérinée lors du dernier Congrès du Parti socialise et que les ministres y avaient souscrit.

Régionales: "Je ferai mieux que Martine Aubry", affirme Saintignon
Pierre de Saintignon était l'invité de Ruth Elkrief ce vendredi sur BFTMV. A deux jours du premier tour des élections régionales, le candidat socialiste dans la circonscription Nord-Pas-de-Calais-Picardie a affirmé qu'il était un meilleur choix que Martine Aubry. "C'est une grande dame d'État. C'est celle qui montre ce que doit être le chemin pour notre pays et notre région, mais je ferai mieux qu'elle", a soutenu la tête de liste

Martine Aubry: "Marine Le Pen ne sera pas présidente de région"
Martine Aubry, maire PS de Lille et soutien de Pierre de Saintignon, la tête de liste socialiste pour les régionales en Nord-Pas-de-Calais-Picardie, était jeudi matin l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et sur RMC.

Martine Aubry face à Jean-Jacques Bourdin en direct
Jean-Jacques Bourdin reçoit Martine Aubry, maire PS de Lille, dans "Bourdin Direct" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 3 décembre 2015.

Martine Aubry: "L'état d'urgence est nécessaire"
Invitée de de Jean-Jacques Bourdin ce jeudi matin sur BFMTV et RMC, Martine Aubry a salué le gouvernement pour les décisions prises après les attentats de Paris. Elle juge l'instauration de l'état d'urgence "nécessaire" et justifie les perquisition et assignations des derniers jours. "Les terroristes, ces fanatiques, ces fous, ils sont liés au trafic de drogue, au trafic d'armes et en mettant en garde à vue des gens, le gouvernement a réussi à obtenir des renseignements y compris sur ces fanatiques. Les assignations à résidence, il faut les réaliser quand en plus on reçoit la COP21. Quand il y a encore des risques, car il y a encore des risques", a déclaré la maire de Lille

Martine Aubry prédit "la gueule de bois" si Marine Le Pen est élue
Martine Aubry était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin ce jeudi sur BFMTV et RMC. La maire PS de Lille a vivement critiqué la candidature de Marine Le Pen aux élections régionales. "Si jamais madame Le Pen est présidente dans ma région, le lendemain, c'est la gueule de bois. Il n’y a pas un chef d'entreprise qui reviendrait là" a estimé l'ancienne première secrétaire du parti socialiste. "Vous imaginez que demain, puisqu'elle se voit déjà présidente de la République, elle puisse, comme François Hollande l’a fait, discuter avec Obama, Poutine, Cameron et Merkel, pour pouvoir porter la guerre contre Daesh? Bien sûr que non" a affirmé la maire de Lille.

"Qu'on nous foute la paix!", lance Aubry sur les fusions de liste
"On est en train de faire campagne. Si on pouvait nous laisser tranquille ce serait bien. On voudrait faire gagner le FN qu'on ne s'y prendrait pas autrement. Qu'on nous foute la paix!", a lancé vendredi Martine Aubry après les propos de Manuel Valls évoquant une possible fusion des listes droite-gauche au second tour des régionales face à Marine Le Pen en Nord-Pas-de-Calais/Picardie. "On sera au second tour et on sera en tête au premier tour", a martelé la maire de Lille en présence de la tête de liste Pierre de Saintignon.

Fusion pour les régionales: "Qu'on nous foute la paix!", répond Aubry à Valls
Martine Aubry a une fois de plus répondu avec son franc-parler aux propos de Manuel Valls sur une fusion des listes de droite et de gauche au second tour des régionales face au FN.

Fusionner les listes PS-LR aux Régionales? "Tout le monde est hypocrite", estime Apolline de Malherbe
Martine Aubry et Manuel Valls ne s'entendent pas, c'est bien connu. Leur relation ne risque pas de s'améliorer avec la position de la maire socialiste de Lille qui rejette la proposition du Premier ministre de fusionner les listes du Parti socialiste et du parti Les Républicains au deuxième tour des élections régionales si le Front national est en tête. "Dans cette histoire, on le sent bien, tout le monde est hypocrite. Manuel Valls pourra rejeter la faute sur Les Républicains en disant 'ils n'ont pas voulu fusionner les listes'. Martine Aubry pourra rejeter la faute sur Manuel Valls (…) Et la droite espère tout de même les voix des électeurs de gauche", a estimé Apolline de Malherbe, éditorialiste politique à BFMTV.

Aubry trouve "effrayant" le ressenti de migrants rencontrés dans un train
Martine Aubry, la maire de la ville, s'est exprimée lundi après avoir rencontré des réfugiés dans un train en revenant de Paris. Elle a discuté avec eux, leur a demandé où ils allaient, d'où ils venaient, et pourquoi ils ne voulaient pas rester en France. "Ils ont l'impression que la France n'a pas d'emplois pour les accueillir et, surtout, et cela m'a fait beaucoup de mal, que la France n'est pas hospitalière. Ces jeunes nous ont dit: 'La France ne veut pas de nous' et j'ai trouvé cela effrayant parce quand on dit aux gens ce qu'ils ont vécu, ils sont là les Français", a-t-elle expliqué aux journalistes.

Anna Cabana face à Bruno Jeudy: Emmanuel Macron a-t-il voulu mettre fin à la polémique après les critiques de Martine Aubry ?
Le face à face de Ruth Elkrief a opposé Anna Cabana, grand reporter au Point, et Bruno Jeudy, rédacteur en chef politique à Paris Match. - 19h Ruth Elkrief, du jeudi 24 septembre 2015, sur BFMTV.

Marine Le Pen: "Le lendemain de la fessée électorale, Martine Aubry dira 'c'était de la faute de Macron'"
Invitée de Jean-Jacques Bourdin jeudi matin sur BFMTV, Marine Le Pen s'est exprimée sur les tensions au sein du Parti socialiste entre la maire de Lille Martine Aubry et Emmanuel Macron. "Le lendemain de la fessée électorale, Martine Aubry dira 'c'était de la faute de Macron'", a affirmé la présidente du Front national.

"Martine Aubry critique Emmanuel Macron pour mieux masquer ses échecs !" - 24/09
Apolline de Malherbe est revenue sur le coup de gueule de Martine Aubry contre Emmanuel Macron. Elle estime que la maire PS de Lille fait "beaucoup de bruits pour rien". En réalité, l'élue socialiste s'en prend au ministre de l'Economie pour masquer sa perte de vitesse sur les régionales. - Politique Première, du jeudi 24 septembre 2015, sur BFMTV.

La charge d'Aubry contre Macron: "Nos téléspectateurs retiennent ce désaccord profond chez les socialistes", Thierry Arnaud
Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV, a commenté le "ras-le-bol" de Martine Aubry vis-à-vis d'Emmanuel Macron. Il estime que les propos de la maire de Lille sont très violents et soulèvent un certain nombre de questions. Au vu du résultat du sondage Elabe pour BFMTV, "c'est le patron de Bercy qui gagne la bataille dans cette affaire, même si le ministre de l’Économie joue, d'une autre manière, l'opinion contre son parti", a-t-il souligné. Il a mentionné par ailleurs que les déclarations d'Emmanuel Macron sur le statut des fonctionnaires n'étaient évidemment pas maîtrisées. - Grand Angle, du mercredi 23 septembre 2015, présenté par Jean-Baptiste Boursier, sur BFMTV.

Martine Aubry exprime son "ras-le-bol" contre Emmanuel Macron
Alain Marschall et ses invités se sont penchés sur les déclarations de Martine Aubry lors de sa conférence de presse de rentrée. La maire de Lille a rebondi sur la polémique suscitée par les propos d'Emmanuel Macron sur la nécessaire réforme du statut des fonctionnaires. "Macron, comment vous dire ? Ras-le-bol ! Il faut qu'il mette toute son énergie à accélérer la croissance et l'emploi. Qu'il s'occupe de son ministère", a-t-elle déclaré. En effet, celle-ci exige une inflexion du cap économique du gouvernement en faveur d'une politique de la demande et une réforme fiscale permettant de rendre l'impôt plus juste. "Après trois ans d'efforts, nous devons passer dans la redistribution ", a-t-elle rajouté. Avec : Thierry Arnaud, chef du service politique de BFMTV. Laurent Neumann, éditorialiste politique de BFMTV. Et Nathalie Schuck, grand reporter au Parisien. - 20H Politique, du mercredi 23 septembre 2015, sur BFMTV.