Présidentielle: Mélenchon promet qu'"un autre monde est possible" lors de son meeting à Paris

Jean-Luc Mélenchon, lors de son meeting place de la République à Paris, dimanche 20 mars 2022 - Christophe Archambault - AFP
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Valérie Pécresse reproche à Emmanuel Macron de "fuir" le débat
La candidate des Républicains, invité ce dimanche soir du 20 heures de TF1, a accusé le président-candidat de "fuir" le débat avant le premier tour de l'élection.
"Son bilan c'est son boulet, et il ne veut pas l'affronter", a-t-elle déclaré, reprochant au président d'avoir été "immobile" lors de son quinquennat.
Valérie Pécresse a également appelé les Française "à ne pas se laisser voler cette élection".
Le meeting de Jean-Luc Mélenchon vient de finir
Jean-Luc Mélenchon vient d'achever son discours place de la République à Paris devant des dizaine de milliers de soutiens.
"Le non-alignement n'est pas la neutralité", avance Jean-Luc Mélenchon
Très attaqué par ses concurrents de gauche sur sa vision des relations internationales en pleine guerre en Ukraine, Jean-Luc Mélenchon a détaillé sa vision de la diplomatie.
"Le non-alignement n’est pas la neutralité. Le non-aligment, c’est l’altermondialisme, c’est-à-dire la prise en charge du peuple humain tout entier d’où qu’en vienne , la reconnaissance de l'écocide ou l'accès à l'eau pour toutes et tous", a expliqué le candidat de la France insoumise.
Jean-Luc Mélenchon promet "l'amnistie" pour les Gilets jaunes condamnés et la réintégration des soignants non vaccinés
Jean-Luc Mélenchon a promis que "le gouvernement de l'Union populaire amnistiera tous les gilets jaunes", assurant "le reclassement et l'indemnisation des victimes éborgnées dont la vie a été brisée".
Le candidat insoumis souhaite également "réintégrer les soignants" suspendus pour non respect du pass sanitaire.
Jean-Luc Mélenchon dénonce un "quinquennat marqué par une incroyable dérive autoritaire"
Jean-Luc Mélenchon a dressé un tableau sévère des années Macron.
"Ce quinquennat a été marquée par une incroyable dérive autoritaire (...). La démocratie françaises a été abaissée, sévèrement déclassée", a dénoncé le candidat de la France insoumise place de la République.
Jean-Luc Mélenchon veut "abolir" Parcoursup
Très critiqué, Parcoursup, le logiciel d'inscription dans l'enseignement supérieur pour les lycéens, est dans le viseur de Jean-Luc Mélenchon.
"Parcoursup sera aboli. Tous les diplômes auront une valeur nationale où ils seront supprimé. L'éducation sous l'Union populaire ne sera jamais un marché", a assuré le représentant de la France insoumise ce dimanche à Paris.
L'école est "la prochaine cible" d'Emmanuel Macron, assure Jean-Luc Mélenchon
Emmanuel Macron a multiplié les propositions sur l'éducation jeudi dernier lors de la présentation de son programme. Il souhaite par exemple augmenter les professeurs qui remplacent des collègues malades ou augmenter l'autonomie des établissements scolaires. Au grand dam de Jean-Luc Mélenchon en meeting à Paris ce dimanche.
"L'école est leur prochaine cible. La France n'a pas d'autre puissance que l'intelligence de ses enfants, de ses enseignants. (...) L'école n'est pas une entreprise. (...) A ces conditions, le diplôme ne veut pas plus que l'adresse de votre école", a regretté le candidat insoumis.
Le candidat insoumis propose de "bloquer le prix de l'essence par décret"
Face aux prix des carburants au plus haut depuis des années, Jean-Luc Mélenchon a présenté ses propositions.
"Je bloquerai le prix de l'essence par décret, comme le Code du commerce le propose. (...) Je fais également la mienne la proposition de conseillers régionaux insoumis qui propose la gratuité totale des transports en commun aussi longtemps que dure la crise des carburants", a avancé le représentant de la France insoumise à la présidentielle.
En cas de victoire, Mélenchon promet "le jour même" l'augmentation du SMIC à 1.400 euros et le blocage des prix
Le candidat insoumis a insisté place de la République à Paris sur les mesures sociales de son programme.
"Si l’Union populaire l’emporte, il y aura le décret sur l’augmentation du smic à 1.400 euros et le décret sur le blocage des prix le jour même. Ces deux décisions ne dépendent que d’un décret, pas d'une loi. Tout cela ne dépend que d'un texte et d'une signature: la mienne", a lancé Jean-Luc Mélenchon sous les applaudissements de ses soutiens.
"Ce vote est un référendum social", assure Jean-Luc Mélenchon qui promet le retour de la retraite à 60 ans
Emmanuel Macron propose l'allongement de l'âge de départ à la retraite à 65 ans. Jean-Luc Mélenchon y est farouchement opposé.
"Ce vote est un référendum social (...). Votez Macron et vous aurez la retraite à 65 ans ou la retraite à 60 ans avec Mélenchon. (...) Pas besoin de faire des grèves qui vous coûtent cher ou qui sont dangereuses avec le préfet Lallement, il vous suffit d'un aller-retour vers le bureau de vote", a estimé le candidat insoumis place de la République à Paris lors de la marche pour la 6ème République.
"Ne vous dérobez pas", exhorte Jean-Luc Mélenchon
Alors que Jean-Luc Mélenchon est convaincu d'avoir frôlé le second tour en 2017, le candidat de la France insoumise sonne l'heure de la mobilisation.
"Chaque personne est personnellement responsable parce que chaque personne a la clef de la tour qui ouvre la porte du second tour. Ne vous cachez pas derrière les divergences derrière les chefs, ne vous dérobez pas", a-t-il lancé place de la République.
Jean-Luc Mélenchon commence son discours place de la République
Le candidat insoumis vient de prendre la parole place de la République à l'issue de la marche pour une 6ème République à Paris.
Des dizaines de milliers de personnes ont déambulé dans les rues de la capitale, de la place de la Bastille à la place de la République.
Jean-Luc Mélenchon a "dédié ce rassemblement au peuple ukrainien et au peuple russe courageux qui résiste contre la guerre".
Les députés de la France insoumise se succèdent place de la République, avant le discours de Mélenchon
Les différents soutiens de Jean-Luc Mélenchon se succèdent à la tribune en attendant la prise de parole du candidat place de la République à Paris.
Les députés Danièle Obono, Mathilde Panot et François Ruffin se sont déjà exprimés.
Plusieurs dizaines de milliers de personnes sont réunies pour cette marche pour une 6ème République, conçue par la France insoumise comme une démonstration de force à 3 semaines du premier tour.
Présidentielle: Bertrand Delanoë, l'ancien mentor d'Anne Hidalgo, soutient Emmanuel Macron
L'ancien maire de Paris, Bertrand Delanoë, a expliqué "en petit comité" qu'il voterait pour Emmanuel Macron le 10 avril prochain.
"J’ai voté pour lui (en 2017, NDLR) en espérant qu'il soit un bon président, je vote pour lui en 2022 en sachant qu'il sera un bon président", a rapporté le JDD ce dimanche.
À la peine dans les sondages, la candidate socialiste aurait pourtant apprécié le soutien de son ancien mentor à qui elle a succédé à l'Hôtel de ville en 2014. Mais les relations entre les deux figures de gauche se sont distendues depuis des années. Anne Hidalgo n'avait d'ailleurs que peu goûté son soutien à Emmanuel Macron en 2017.
On vous résume ici ce qu'il faut retenir de ce soutien.
Plutôt Mélenchon que Macron: Aurélien Taché, soutien de Yannick Jadot, appelle à voter LFI au second tour
Si Yannick Jadot tape tous azimuts sur Jean-Luc Mélenchon, qui le distance nettement dans les sondages, Aurélien Taché, membre du conseil politique de la campagne, tient un tout autre langage
"Si Jean-Luc Mélenchon est face à Emmanuel Macron, il ne doit pas manquer une voix" pour faire battre le président sortant, a jugé le député du Val d'Oise, élu sous les couleurs de LREM en 2017, avant de se rapprocher des écologistes, d'après un écho rapporté par le JDD ce dimanche.
La Marche pour la 6ème République de Jean-Luc Mélenchon va commencer dans une demi-heure
Comme en 2017, Jean-Luc Mélenchon propose à ses soutiens de marcher dans Paris dès 14 heures, de la place de la Bastille à la place de la République pour réclamer la mise en place d'une 6ème République.
Le candidat de la France insoumise tiendra un discours à 15 heures pour développer son projet d'une Assemblée constituante qui plancherait, en cas de victoire à l'Elysée, sur la rédaction d'une nouvelle Constitution.
Vous pourrez suivre en direct la manifestation puis ce discours sur BFMTV.com
Revirement d'Eric Zemmour sur l'accueil des réfugiés ukrainiens: Nicolas Bay défend sa "sincérité"
Eric Zemmour, un temps très rétif à l'accueil des réfugiés ukrainiens, a finalement assoupli son discours. Un revirement qu'assume son lieutenant Nicolas Bay.
"Ce qui le caractérise, c'est sa sincérité, même ses adversaires le reconnaissent, il dit ce qu'il pense. Il n'est pas un politicien professionnel. C'est une preuve d'humilité que de dire 'je me suis exprimé maladroitement, aujourd'hui, je ne le dirai pas comme ça'", a expliqué le vice-président de Reconquête ce midi dans Questions politiques sur France inter/France info/Le Monde.
"Macron est fébrile": Jadot s'interroge sur "la légitimité" de son programme en cas de réélection
Alors qu'Emmanuel Macron refuse de débattre au premier tour avec ses concurrents, Yannick Jadot le regrette.
"Le président de la République, en refusant le débat, ne participe pas à ce moment démocratique (...). S'il n'y pas vraiment de débat, il aura quelle légitimité sur son programme. Il ne veut meme pas débattre de son bilan tellement il est fébrile", a estimé le candidat écologiste ce midi sur le Grand Jury/RTL/LCI/Le Figaro.
Willy Schraen, le président de la fédération des chasseurs, est "pour le plaisir de tuer", juge Yannick Jadot
Yannick Jadot qui propose d'interdire la chasse les week-ends, les jours feriés et les vacances scolaires attaque Willy Schraen, le président de la fédération nationale des chasseurs.
"Willy Schraen dit qu’il est pas là pour réguler mais pour le plaisir de tuer (...). Quand les familles vont en forêt, vous avez des accidents qui sont insupportable, moi je dis que le weekend, on dit pouvoir aller pour la nature (...). On ne peut pas avoir 900.000 chasseurs qui prennent en otage tout le reste de la société", a jugé le candidat écologiste ce midi sur Le Grand Jury RTL/LCI/Le Figaro.
Le député européen n'a pas été convié aux grand oral des chasseurs ce mardi à Paris.
Pour Eric Ciotti, "l'autonomie de la Corse n'est pas un gros mot"
Le député élu dans les Alpes-Maritimes ne verrait pas d'un si mauvais oeil l'autonomie de la Corse ouvertement envisagée par l'exécutif.
"Les Corses avec lesquels je discute sont très attachés à la France", a-t-il commencé. Il a toutefois ajouté: "Mais il y a une spécificité, une identité qu'il faut prendre en compte". "Donc pour moi l'autonomie n'est pas un gros mot", a-t-il dit, insistant: "Ce n'est pas un tabou".
Il a cependant reproché au gouvernement de faire ce pas dans un climat de tensions: "Une nouvelle fois, Emmanuel Macron réagit après des violences, comme lorsqu'il avait cédé à Notre-Dame-des-Landes".
Ciotti reconnaît avoir "souvent adhéré au discours" de Macron mais dénonce l'absence des "actes"
"J'ai souvent adhéré en esprit au discours d'Emmanuel Macron", a admis Eric Ciotti sur notre plateau, enchaînant: "Le problème c'est la mise en oeuvre. Derrière les mots, il n'y a jamais les actes".
"Le président Macron a menti aux Français, permettez-moi de ne pas croire le candidat", a-t-il posé.
"On ne sait pas ce que c'est que le macronisme", assure Ciotti
La droite marche désormais sur une curieuse ligne de crête. Eric Ciotti a ainsi affirmé sur notre plateau que Valérie Pécresse était la seule à avoir une "politique de rupture", alors que son camp a dénoncé un décalque de son projet par le sortant. "il n'a pas de vision de l'avenir, on ne sait pas ce que c'est que le macronisme", a-t-il voulu justifier, dénonçant un "désordre dans les comptes publics, dans la rue", et une "lâcheté insigne face à l'islamisme".
Il a encore reproché à Emmanuel Macron de faire campagne "chéquier ouvert".
"Marine Le Pen a beaucoup sacrifié dans sa vie", juge Jordan Bardella
A 3 semaines jour pour jour du premier tour, Jordan Bardella joue sur la corde sensible pour vanter les mérites de Marine Le Pen.
"Elle a beaucoup sacrifié dans sa vie pour défendre les Français quand d'autres ont sacrifié la France et les intérêts nationaux pour défendre leur carrière", a jugé le patron par intérim du Rassemblement national ce midi sur France Inter/France info/Le Monde.
Ciotti "souhaiterait" un Sarkozy "engagé" derrière Pécresse mais respecte son silence
Nicolas Sarkozy rechigne à apporter son soutien à Valérie Pécresse. Eric Ciotti, qui a dit voir en l'ex-président de la République une "référence", a commenté: "Je souhaiterais qu il soit engagé mais il a pris du recul, c'est son choix". mais ce silence ne vaut-il pas désaveu, voire soutien à Emmanuel Macron ? "Non", a répondu Eric Ciotti, apparemment sûr de son fait. "Le silence est un silence", a-t-il observé.
Ciotti ne veut pas de "5 ans d'impuissance et d'erreurs accumulées de plus"
Eric Ciotti a durci le ton sur le mandat du président sortant: "Je ne veux pas de cinq ans de plus d'impuissance, d'erreurs accumulées, de non-décisions".
Son intervention succède à une séquence qui a vu sa famille politique accuser Emmanuel Macron de copier son programme.
"Qui pourrait contester cette phrase ?": Ciotti n'en veut pas à Zemmour d'avoir récupéré son slogan lors de la primaire
Visiblement, Eric Ciotti ne tient pas grief à Eruic Zemmour d'employer le même slogan que lui lors de la primaire à droite dans sa nouvelle affiche de campagne: "Pour que la France reste la France".
"Qui pourrait contester cette phrase ?" a-t-il lancé. Il a également posé: " C'est une phrase qui porte des objectifs, il faut voir ce qu'on met derrière. Il y a des sujets sur lesquels on peut se retrouver. La question, c'est de savoir par quel moyen on y arrive".
Larcher accuse Macron de vouloir "enjamber la présidentielle": Le Maire l'accuse d'être "irresponsable"
Alors que Gérard Larcher, le président LR du Sénat, a accusé Emmanuel Macron de vouloir "enjamber" la présidentielle, Bruno Le Maire monte au créneau.
"Je trouve sa position décevante et irresponsable", a d'abord jugé le ministre de l'Economie ce midi dans Le Grand Jury sur RTL/LCI/Le Figaro.
"Qu'est-ce qui le motive à part des calculs politiciens ? (...) Est-ce qu'on ne peut pas atteindre qu'il renforce la démocratie au lieu de l'abîmer ?", s'est encore interrogé le patron de Bercy.
Ciotti dénonce le "Pécresse bashing"
Décrivant sa candidate comme "déterminée et courageuse", Eric Ciotti a dénoncé une forme de "pécresse bashing", expliquant: "Elle a été prise pour cible. Emmanuel Macron a mesuré que Valérie Pécresse était la seule qui, au départ, pouvait le battre".
Il a ajouté que la présidente du Conseil régional d'île-de-France était proteuse d'un programme de "rupture".
Eric Ciotti a "confiance en la qualification au second tour" de Valérie Pécresse
La campagne de Valérie Pécresse est particulièrement mal en point mais Eric Ciotti s'est voulu serein.
"J'ai confiance dans sa qualification au second tour", a-t-il promis. "On peut acter la présence d'Emmanuel Macron au second tour, mais pour savoir qui sera au second tour face à lui le match n'est pas joué. La place au second tour est plus que jamais ouverte", a-t-il affirmé.
Pour Ciotti, "certains ont dévoyé le statut de réfugiés"
Eric Ciotti a affirmé": "Certains ont dévoyé le statut de réfugiés".
"Le statut est donné dans un peu plus d'un tiers des demandes à l'OFPRA", a-t-il ajouté: "Quand on vient de Tunisie ou de Côte d'Ivoire et qu'on demande le statut de réfugiés c'est faux".
Interrogé sur un éventuel distingo dans l'accueil des réfuugiés afghans et ukrainiens, il a exposé: "Le taux de protection des Afghans est de 90% donc c'est assez similaire".
Ciotti assure que sa famille politique aurait "une autre crédibilité" diplomatique si elle était au pouvoir
"Nous aurions une autre crédibilité". Interrogé au sujet de la différence que sa famille politique aurait marqué dans le dossier ukrainien avec l'exécutif, Eric Ciotti a assuré qu'elle aurait eu une voix plus puissante auprès des bélligérants.
"L'isolement diplomatique depuis 10 ans dans lequel nous avons entretenu la Russie fut je pense une erreur", a-t-il expliqué: "Maintenant, c'est trop tard."
"Emmanuel Macron n'a besoin de personne pour inspirer son programme", estime Bruno Le Maire
Alors que Valérie Pécresse a jugé que le programme d'Emmanuel Macron était "une pâle copie" du sien, Bruno Le Maire le réfute.
"Macron n’a besoin de personne pour inspirer son programme (...). Je me fiche qu’il penche plus à droite ou à gauche. Ce qui compte, c’est que ce soit un bon programme pour la France", a estimé le ministre de l'Economie sur RTL ce midi dans Le Grand Jury sur RTL/LCI/Le Figaro.
Retrouvez en direct BFM Politique avec notre invité, le Républicain Eric Ciotti, dès maintenant
C'est parti pour notre émission BFM Politique. Nous recevons ce dimanche Eric Ciotti, député LR élu dans les Alpes-Maritimes, ex-finaliste de la primaire à droite et lieutenant de Valérie Pécresse.
Il évoquera les difficultés de sa famille politique alors que sa candidate est désormais située dans les basses eaux des sondages, en 4e voire 5e position.
Avant la marche "pour la VIe République" de Jean-Luc Mélenchon, Eric Coquerel évoque "la plus grande mobilisation populaire de la campagne"
Ce dimanche après-midi, Jean-Luc Mélenchon organise sa traditionnelle grande marche de campagne présidentielle. Placée sous le signe d'une aspiration à la "VIe République", celle-ci rejoindra la Place de la République à Paris depuis la Place de La Bastille. Son discours sera retransmis en direct sur BFMTV à partir de 15h30. Avant l'événement, Eric Coquerel, député insoumis élu en Seine-Saint-Denis, est intervenu sur notre antenne.
Il a évoqué "la plus grande mobilisation populaire de la campagne". rappelant la bonne forme de son candidat dans les sondages, qui le font apparaître en troisième homme, le parlementaire a expliqué: "L'objectif est de montrer notre force".
Commémorations des crimes de Merah: "Les musulmans patriotes sont nos frères d'armes contre l'islamisme" déclare Marion Maréchal
Alors que nous commémorons les 10 ans des crimes de Merah à Toulouse et Montauban, Marion Maréchal a déclaré: "Les musulmans assimilés et patriotes sont les premiers à vouloir que la France reste la France".
Elle a fait de ces derniers "des alliés dans ce combat" contre l'islamisme: "Ils sont nos frères de combat".
"Fin du cordon sanitaire": Marion Maréchal célèbre une "victoire symbolique immense" d'Eric Zemmour
Marion Maréchal a taclé la candidature de sa tante qui domine pourtant son candidat dans la campagne: "Après deux campagnes présidentielles, le scénario semble écrit à l'avance pour Marine Le Pen. Ce n'est pas le cas d'Eric Zemmour", a-t-elle jugé.
Elle a ensuite évoqué une "victoire symbolique immense" du fait de son candidat, parlant de la "fin du cordon sanitaire" autour de l'extrême droite et la "fin de 30 ans d'interdits moraux à droite".
Marion Maréchal craint une "France africaine" d'ici 2060
"Je vais vous parler cash", a glissé ensuite en préambule Marion maréchal évqouant une "course contre la montre démographique": "Ce que je crois, c'est que si nous continuons sur cette courbe d'ici 2060 les natifs seront minoritaires sur son sol".
Elle a enchaîné: "On pourrait avoir une France africaine".
Marion Maréchal fait d'Emmanuel Macron le "président de l'immigration massive"
Marion Maréchal est passé à l'offensive contre Emmanuel Macron, le qualifiant de "président de l'immigration massive".
"Ce président est le président de l'immigration massive", a-t-elle initié citant "moins 13% d'éloignement que sous François Hollande", une agmentation de "48% du budget d'immigration", et "plus de 30.000 régularisations chaque année."
Pour Maréchal, si Zemmour chute dans les sondages c'est parce que "le sujet civilisationnel est passé au second plan"
Marion Maréchal a reconnu par ailleurs la mauvaise passe traversée par son candidat. Elle a donné son explication sur la chute d'Eric Zemmour dans les enquêtes explorant les intentions de vote: "Le sujet civilisationnel passe au second plan".
"Les Français pensent à la fois à la fin du mois et à la fin de la France", a-t-elle pourtant assuré, lançant: "C'est une absurdité de vouloir décorréler les deux sujets".
Marion Maréchal commente la cote d'Emmanuel Macron dans les sondages qu'elle juge "assez surprenante"
"C'est assez surprenant". Marion Maréchal a commenté la bonne forme du président sortant dans les sondages d'intentions de vote qu'il domine outrageusement dans les projections envisageant le premier tour.
Elle l'a expliquée par un "réflexe légitimiste dans un moment d'incertitude et de doute" au plan international et par "l'insaisissabilité du président Emmanuel Macron" dont les positions politiques seraient illisibles.
"Il n'est plus considéré comme un interlocuteur crédible": Maréchal tacle Macron sur la Russie
Marion Maréchal a attaqué un Emmanuel Macron qui ne serait "plus considéré comme un interlocuteur crédible" par les parties prenantes de la guerre russo-ukrainienne.
"La France n'est plus perçue comme une voix indépendante", a-t-elle encore regretté, craignant une France "noyée dans l'atlantisme".
Marion Maréchal défend Eric Zemmour sur Poutine: "Il ne faut pas renoncer au dialogue avec la Russie"
Marion maréchal a succédé à Adrien Quatennens sur le plateau du Grand Rendez-Vous d'Europe 1 et CNEWS. Récemment ralliée à Eric Zemmour, elle a répondu aux questions soulevées par les propos passés de son candidat sur la Russie de Vladimir Poutine.
D'après elle, Eric Zemmour entendait seulement "s'inscrire dans la droite ligne du général de Gaulle", appellant à "un dialogue soutenu avec la Russie". "Je ne crois pas qu'il faille y renoncer définitivement", a-t-elle avancé, justifiant son assertion par l'"émergence d'un monde multipolaire".
Des cicatrices qui "ne se referment jamais complètement": l'hommage d'Adrien Quatennens aux victimes de Merah
Ce dimanche marque les 10 ans des crimes de Merah à Toulouse et Montauban, contre des militaires, le personnel et les enfants d'une école juive. Emmanuel Macron et ses prédécesseurs participeront cet après-midi aux cérémonies de commémoration. Sur Europe 1, Adrien Quatennens a évoqué des "cicatrices qui ne se referment jamais complètement". Il a encore appelé à "renforcer nos anticorps démocratiques".
Marine Le Pen, du "Macron repeint en bleu marine" brocarde Adrien Quatennens qui raille "l'autre candidate des riches"
Adrien Quatennens a durci le ton contre Marine Le Pen qu'il a accusé d'avoir "capitulé" face au libéralisme au plan social. "Marine Le Pen c'est l'autre candidate des riches", a-t-il estimé.
"C'est du Macron repeint en bleu marine", a-t-il ajouté.
L'appel d'Adrien Quatennens aux abstentionnistes: "Si voter ne sert à rien pourquoi les autres y vont?"
Le lieutenant de Jean-Luc Mélenchon s'est adressé aux abstentionnistes: "Si vous croyez que ça ne sert à rien de voter pourquoi les autres y vont?".
Dans une phase ascendante à travers les sondages, son leader a estimé dans un entretien paru dimanche dans Le Parisien qu'il lui fallait encore grapiller "cinq points en trois semaines".
Ukraine: "Tout criminel de guerre doit être jugé", lance Quatennens au sujet de Poutine
Adrien Quatennens a poursuivi son propos au sujet de Vladimir Poutine. "S'il s'avère" qu'il est coupable de crime de guerre, le président russe devra être jugé selon le parlementaire. "Tout criminel de guerre doit être jugé", a-t-il observé.
"Tout doit aller à la diplomatie": Quatennens appelle au retrait des troupes russes en Ukraine et à l'accroissement des sanctions
Adrien Quatennens, député élu dans le Nord, est l'invité politique de CNEWS et Europe 1. interrogé sur la situation en ukraine, il a lancé: "Entre la guerre totale et la diplomatie pas d alternative tout doit aller à la diplomatie".
Plus précisément, il a livré ses propositions pour "isoler Vladimir Poutine": "Il faut accroître la pression sur lui, via un accroissements des sanctions à l'égard des oligarques", pour "lisoler de la clique qui fait son pouvoir".
Retrouvez notre invité Eric Ciotti en direct dans BFM Politique ce dimanche à 12h
Eric Ciotti, député élu dans les Alpes-Maritimes sera notre invité en direct à partir de midi dans BFM Politique, présenté par notre journaliste Jean-Baptiste Boursier.
L'ex-candidat à la primaire de la droite rallié à Valérie Pécresse évoquera les difficultés de la campagne de cette dernière, qui tangue dangereusement à la baisse dans les sondages.
Emploi: quel bilan pour le quinquennat d'Emmanuel Macron?
Baisse du taux de chômage, loi travail, réforme de la formation professionnelle: au bout de cinq ans, quel est le bilan économique du président sortant ?
Notre analyse point par point.
La droite accuse Macron de copier son programme ? Castaner préfère parler de "dépassement"
Christophe Castaner, patron des députés LaREM, est l'invité de Franceinfo ce dimanche. Tandis qu'Emmanuel Macron est accusé par la droite de copier son programme dans l'urgence, il a défendu son patron: "La marque d'Emmanuel Macron est celle du dépassement politique".
"Nous avons systématiquement cherché les mesures qui nous semblent les meilleures pour le pays", a-t-il ajouté.
Grande marche pour Mélenchon et ses partisans à Paris cet après-midi, en direct sur BFMTV à 15h30
Désormais troisième dans les sondages, Jean-Luc Mélenchon joue son va-tout ce dimanche pour tenter de gagner les quelques points qui le séparent encore d'un hypothétique second tour. Ce dimanche, à compter de 14h, son camp organise ainsi une marche à Paris, entre les places de la Bastille et de la République, suivie d'un discours.
Notre antenne diffusera d'ailleurs ce discours en direct à partir de 15h30.
"Macron propose son quinquennat en pire" selon le porte-parole de Jean-Luc Mélenchon qui dénonce la "cruauté extrême" du programme du sortant
Manuel Bompard a repris sur notre plateau les principaux points du programme de Jean-Luc Mélenchon: contrôle et blocage des prix du carburant, le départ à la retraite à 60 ans, le SMIC à 1400 euros. "Seul Jean-Luc Mélenchon défend ces mesures parmi les 5 qui peuvent se qualifier au second tour", a-t-il remarqué.
"Un second tour entre Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon permettra d'aborder ces sujets", a posé Manuel Bompard. Celui-ci a attaqué le sortant: "Ilpropose son premier quinquennat en pire!"
Il a dénoncé au passage l'idée de conditionner le RSA à un minimum d'activité: "C'est d'une cruauté extrême".
Le porte-parole de Jean-Luc Mélenchon suggère un "vote efficace" aux électeurs de gauche
Manuel Bompard, porte-parole de Jean-Luc Mélenchon, est notre invité ce dimanche. En prélude à la marche parisienne de son candidat ce dimanche, entre Bastille et République, le député européen n'a pas repris l'expression de "vote utile" à gauche, que son patron domine dans les sondages. Mais il a parlé de vote "efficace".
"Une partie des électeurs de gauche peuvent se poser la question de savoir si un vote est plus efficace que les autres", a-t-il dit, tentant de les persuader: "On a la possibilité de chasser l'extrême droite dès le premier tour.
"Je m'adresse aussi aux abstentionnistes", a-t-il enchaîné: "On vous a dit pendant des mois que la gauche serita éliminée. Notre adversaire principal c'est la résignation". "L'élection est le seul moment où votre voix vaut la même chose que celle de Vincent Bolloré", a poursuivi Manuel Bompard.
Journée décisive pour Jean-Luc Mélenchon
Rencontre avec les lecteurs du Parisien et entretien publié dans le quotidien ce dimanche, marche de Bastille à République à Paris: Jean-Luc Mélenchon met les bouchées doubles aujourd'hui.
Le candidat de la France insoumise est troisième dans les sondages explorant les intentions de vote des Français. Son porte-parole, Manuel Bompard, est notre invité à 8h15.
En refusant la confrontation avec ses rivaux, Emmanuel Macron "anesthésie le débat public" d'après le porte-parole de Valérie Pécresse
Othman Nasrou a reproché à Emmanuel Macron de "refuser de débattre", contribuant à installer "un rideau de fumée" sur la campagne et à "anesthésier le débat public".
"Je considère que c'est une forme de mépris", a-t-il ajouté.
Le bilan du mandat d'Emmanuel Macron ? "5 années d'immobilisme", selon le porte-parole de Valérie Pécresse
Othman Nasrou, porte-parole de Valérie Pécresse, était notre premier invité politique ce dimanche. Il a accusé une nouvelle fois Emmanuel Macron de décalquer le programme de la candidate de la droite et ce faisant, de "dire l'inverse de ce qu'il a fait pendant 5 ans sur bien des sujets". Et le porte-parole de citer "les retraites, le nucléaire".
"Comment le croire ? J'y vois une volonté de brouiller les pistes, de dire à chacun ce qu'il veut entendre", a poursuivi Othman Nasrou qui a résumé le mandat d'Emmanuel Macron à "cinq années d'immobilisme".