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Régionales: en Île-de-France, une issue incertaine

Régionales: en Île-de-France, une issue incertaine

Dans la région Île-de-France, les résultats du second tour des élections régionales s'annoncent très indécis dimanche. Selon un sondage Odoxa pour BFMTV et Le Parisien, la liste conduite par Valérie Pécresse obtiendrait 42% des suffrages. Elle devancerait de seulement deux points la liste socialiste conduite par Claude Bartolone, crédité de 40% des voix. Le candidat du FN Wallerand de Saint-Just obtiendrait pour sa part 18 % d'intentions de vote. La région détenue par la gauche depuis 17 ans pourrait donc basculer à droite. Mais une forte mobilisation et le jeu du report des voix pourraient encore redistribuer les cartes. À quatre jours du second tour, l’issue du scrutin s’annonce incertaine.

Un projet de loi sur le numérique fait avec des internautes

Un projet de loi sur le numérique fait avec des internautes

Le projet de loi pour une République numérique a été présenté mercredi au Conseil des ministres par la secrétaire d'État chargée du numérique, Axelle Lemaire. Il contient des dispositions concrètes, telles que le droit au maintien de la connexion internet en cas de factures impayées, la possibilité de faire des dons par SMS, le droit à l’oubli pour les mineurs, ou encore l'encouragement de la lettre recommandée électronique. L’originalité de ce projet de loi tient avant tout dans son mode de rédaction. Il s’agit d’une synthèse faite à partir de contributions d’internautes. Plus de 20.000 participants ont proposé d’enlever, ajouter ou réécrire des points du texte. Il sera présenté devant l'Assemblée nationale pour un examen en première lecture à partir du 19 janvier.

Valls: "C'est moi le chef du gouvernement", pas Macron

Valls: "C'est moi le chef du gouvernement", pas Macron

Alors que le gouvernement de Manuel Valls a engagé un chantier de modernisation du régime social des indépendants (RSI), le ministre de l'Économie juge que ces transformations ne suffisent pas. Interrogé sur ces désaccords, le Premier ministre a tranché : "C'est moi le chef du gouvernement". A Jean-Jacques Bourdin qui lui répondait qu'on pouvait parfois en douter, l'invité de BFMTV et RMC a répliqué: "Je ne crois pas qu'on puisse en douter".

Valls : "C'est une arnaque le Front national"

Valls : "C'est une arnaque le Front national"

Manuel Valls était l'invité de Jean-Jacques Bourdin ce mercredi matin sur BFMTV et RMC. Le Premier ministre est revenu sur la décision du Parti socialiste de retirer ses listes dans trois régions pour faire face au Front national. "Face à l'extrême droite, à ses position et ses solutions inefficaces parce que c'est de l'arnaque. Sortir de l'euro c'est une arnaque, ça mettrait à genou le pays" a affirmé le chef du gouvernement. "C'est une arnaque le Front national quand cette formation parle de sécurité, alors qu'à l'Assemblée ou au Sénat, ils ne votent aucune mesures pour lutter contre le terrorisme", s'est justifié Manuel Valls

Valls: "L'interdiction du wifi n'est pas une piste envisagée"

Valls: "L'interdiction du wifi n'est pas une piste envisagée"

Des documents internes au ministère de l’Intérieur publiés par Le Monde révèlent que Beauvau étudie la possibilité d'interdire les connexions wifi libres et partagés. Interrogé sur ce sujet, Manuel Valls a assuré sur BFMTV et RMC "ne pas en avoir entendu parler". "L'interdiction du wifi n'est pas une piste envisagée", a-t-il martelé, tout en convenant qu'Internet était un moyen de communiquer pour les terroristes. La radicalisation se fait "soit dans les mosquées salafistes, soit dans les prisons (...) soit sur Internet", a-t-il argué.

Valls: "Ce qui est immoral, ce sont les positions du FN"

Valls: "Ce qui est immoral, ce sont les positions du FN"

Alors que Nicolas Sarkozy a estimé que le vote FN n'était pas immoral, Manuel Valls préféré prendre ses distances avec cette position. "Ce qui est immoral, ce sont les positions du Front national. L'extrême droite française ll-plonge dans ce qu'il y a de pire dans notre Histoire", a-t-il jugé. Et d'estimer que Nicolas Sarkozy n'était "pas clair". "Moi, je n'ai eu aucune hésitation. Nous appelons à voter pour Xavier Bertrand, Philippe Richert ou Christian Estrosi. Et ce que je reproche à Nicolas Sarkozy, c'est l'absence de clarté. Et lorsqu'il y a absence de clarté, on brouille les valeurs." Le Premier ministre estime que le patron de les Républicains "devrait se reprendre".

Régionales:  Masseret sera bien candidat dans le Grand-Est

Régionales: Masseret sera bien candidat dans le Grand-Est

Jean-Pierre Masseret sera bien candidat au second tour des élections régionales. Arrivé en troisième position dans le Grand-Est, le socialiste a refusé de se retirer pour faire barrage au FN comme lui demandait l'état-major de son parti. Sa liste ne sera donc pas soutenue par le PS. Pour que la liste de Jean-Pierre Masseret soit retirée, il fallait 95 démissions, 71 co-listiers ont fait la démarche, insuffisant pour aller au bout de la procédure. Jean-Pierre Masseret retrouve donc sur sa liste de nombreuses personnes qui ne veulent plus le soutenir. Des socialistes qui ont fait campagne avec lui mais qui désormais appellent à voter contre eux, pour la droite.

Apparu ne croit pas à la "droitisation de la droite" pour contrer le FN

Apparu ne croit pas à la "droitisation de la droite" pour contrer le FN

Benoist Apparu était l'invité de News et Compagnie sur BFMTV ce mardi soir pour commenter les résultats du premier tour des élections régionales. Le Front national est arrivé en tête, devant son parti. "Nous vivons depuis 2007 sous un théorème qui est: la droitisation de la droite républicaine permet d'être un rempart par rapport au Front national (…) Pour ce qui me concerne, je ne crois pas à cette thèse", a affirmé le député LR.

Régionales dans les Pays de la Loire: la fusion des listes de gauche raillée par la droite

Régionales dans les Pays de la Loire: la fusion des listes de gauche raillée par la droite

Le Parti socialiste est arrivé deuxième dans les Pays de la Loire au premier tour des élections régionales, derrière le parti Les Républicains. La fusion avec la liste des écologistes a donc été choisie pour tenter de ravir la première place au second tour. Les deux partis sont pourtant fermement opposés sur le dossier de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes, ce que n'a pas manqué de relever la droite. "La cuisine politicienne, ça ne marche plus. Les gens en ont marre. Les revirements, c'est ce qui énerve le plu les gens", a estimé Bruno Retailleau, arrivé en tête au premier tour.

Maintien de Jean-Pierre Masseret dans le Grand Est: Philippe Richert est "surpris pour ne pas dire choqué"

Maintien de Jean-Pierre Masseret dans le Grand Est: Philippe Richert est "surpris pour ne pas dire choqué"

Philippe Richert, tête de liste de droite dans le Grand Est, a réagi sur BFMTV à l'annonce son concurrent socialiste qui a décidé de se maintenir au second tour. Pourtant, le PS lui avait demandé de se retirer pour faire barrage du Front national. Le candidat du parti Les Républicains s'est dit "surpris pour ne pas dire choqué" de cette décision de celui qui est arrivé troisième derrière le FN et LR.

Malek Boutih: Jean-Pierre Masseret "c'est papi qui collabore"

Malek Boutih: Jean-Pierre Masseret "c'est papi qui collabore"

Malek Boutih était l'invité de Ruth Elkrief ce mardi soir sur BFMTV pour commenter les résultats des élections régionales. Le député socialiste a fortement réagi à l'annonce de Jean-Pierre Masseret de se maintenir au second tour dans le Grand Est. Pourtant le PS avait appelé à son retrait pour faire barrage au Front national qui est arrivé en tête devant la droite. "On a dit que c'est papi qui fait de la résistance, mais en fait c'est papi qui collabore. La vérité, c'est qu'il collabore ouvertement à la victoire du Front national et il le sait", a jugé l'élu socialiste.

Régionales dans le Grand Est: un nouveau colistier PS de Jean-Pierre Masseret jette l'éponge

Régionales dans le Grand Est: un nouveau colistier PS de Jean-Pierre Masseret jette l'éponge

Un nouveau colistier PS de Jean-Pierre Masseret a jeté l'éponge ce mardi, dans l'entre-deux tour des élections régionales. Le parti avait demandé à la tête de liste de dans le Grand Est de se désister pour faire barrage au Front national, mais celui-ci a résisté. "L'électrochoc, ça a été quand j'ai décidé de relire la liste des compétences du Conseil régional sur Wikipédia. Quand on voit tout ce qu'il y a, pour moi il est inconcevable que Florian Philippot puisse être à la tête de ces compétences", a expliqué Maxime Munschy.

Régionales: Dominique Reynié se maintient sinon c'est dire que "droite et gauche c'est pareil"

Régionales: Dominique Reynié se maintient sinon c'est dire que "droite et gauche c'est pareil"

Dominique Reynié, candidat du Parti Les Républicains dans la région Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, s'est exprimé ce mardi sur BFMTV à propos de son maintien pour le second tour. Il refuse d'opter pour le barrage au Front national. Louis Aliot, de l'extrême droite, est arrivé en première position devant le Parti socialiste dans la région. "Si nous laissons croire que tout se vaut, nous disons publiquement à tous nos concitoyens qu'en France, droite et gauche c'est pareil et que la seule opposition si vous n'êtes pas content, c'est le Front national", a expliqué le candidat LR.

COP21: une taxe européenne sur les transactions financières pour financer le climat

COP21: une taxe européenne sur les transactions financières pour financer le climat

Les négociations se poursuivent au Bourget pour la COP21 et l'Union européenne vient de montrer un nouveau signe de son engagement pour le climat. Dix pays membres se sont mis d'accord sur une taxe sur les transactions financières afin de financer des fonds pour la lutte contre le réchauffement climatique. "Cette taxe européenne va prendre la place de la taxe française qui existe déjà mais qui est plus limitée (…) Ça peut évidemment avoir un impact positif sur les négociations ici au Bourget", a estimé Pascal Canfin, ancien ministre délégué au Développement.

Charlotte sur la tête, Marine Le Pen prend en photo la presse

Charlotte sur la tête, Marine Le Pen prend en photo la presse

Marine Le Pen était hilare mardi en visitant une usine près de Lens, spécialisée dans la découpe de bardes de porc. La candidate FN aux élections régionales y poursuivait sa campagne d’entre deux tours, entourée de caméras et d’appareils photo. Coiffée d'une charlotte en plastique, la leader frontiste a emprunté un téléphone portable pour prendre en photo eux les journalistes qui étaient dans la même tenue. "Il n'y pas de raison qu'il y ait que nous", a lancé celle dont on connaît méfiance sinon la défiance envers la presse. Le choix de l'usine n'était dû au hasard, l’entreprise est durement impactée par l’embargo russe. Du fait de l’impossibilité d’exporter vers la Russie, ses frigos sont actuellement pleins à 98 %.

Régionales: comment se fait la fusion des listes?

Régionales: comment se fait la fusion des listes?

La Normandie réunifiée va connaître au second tour des élections régionales une triangulaire très incertaine après un premier tour où la droite a été talonnée par le FN. Pour tenter de remporter la région, les listes PS, EELV et FDG ont fusionné après plus de 24 heures de négociation. Dans la pratique, une fusion ne se réalise pas simplement, les négociations virent souvent au casse-tête. Il faut déterminer qui reste sur la liste, qui en sort et qui l'intègre. Une tâche difficile quand les listes avoisinent les 200 noms. Grace à cette fusion, la gauche peut encore espérer l’emporter en Normandie. Le dépôt des nouvelles listes pour le second tour doit être effectué avant ce mardi à 18 heures.