L'exécution, mardi, de huit condamnés à mort pour trafic de drogue, et celle, possible, du Français Serge Atlaoui, a démontré l'intolérance toute particulière de l'Indonésie vis-à-vis du trafic de stupéfiants. Pourquoi cette politique de tolérance zéro, constatée dans toute l'Asie du Sud-Est? Explications.
Quatre jours après le violent séisme au Népal, des centaines de Français attendent d’être rapatriés. Mais la situation est compliquée. Au-delà du traumatisme, ils jugent la prise en charge de l’ambassade insuffisante. Mathieu, un rescapé, pense que l’organisation "laisse à désirer". "On est très déçu, très stressé, très fatigué. On commence vraiment à en avoir marre". Le tremblement de terre reste présent dans toutes les têtes. Pour la plupart, cette inquiétude ne disparaîtra qu’à leur retour en France.
Les images de cette mère qui est allée chercher son fils parmi les émeutiers de Baltimore ont fait le tour du monde. "Je ne voulais pas que mon fils soit un Freddie Gray", explique Toya Graham.
Au lendemain de l'exécution de huit condamnés à mort en Indonésie, mardi, l'entourage de Serge Atlaoui, qui attend l'examen de son dernier recours, repose tous ses espoirs sur la clémence du président indonésien, Joko Widodo.
Les autorités new-yorkaises doivent faire face à la présence de plus en plus fréquente de coyotes, qui s'acclimatent à la vie urbaine. Ces animaux ne seraient pas dangereux pour l'homme, selon les spécialistes.
La police a lancé du gaz au poivre, mardi soir, à Baltimore, pour disperser les manifestants bravant le couvre-feu instauré dans la ville pour une semaine. Bien que moins violente que la veille, la situation sur place est restée tendue dans la soirée.
Près de 300 filles et femmes ont été libérées d'un fief du groupe islamiste Boko Haram, a annoncé ce mardi l'armée nigériane. Il n'a pas été confirmé pour l'heure s'il s'agissait des lycéennes enlevées à Chibok en avril 2014, il y a tout juste un an.
Cinquante-cinq humanitaires et 20 tonnes d’aide. Un deuxième avion français a décollé ce mardi après-midi de Paris pour Katmandou, la capitale du Népal. Trois jours après le puissant séisme qui a dévasté le pays et fait au moins 5.000 morts, les secouristes ont l’espoir de retrouver quelques survivants. A bord de l’avion, des médecins, des techniciens de catastrophe, des humanitaires, mais aussi deux chiens. Leur odorat est précieux pour avoir une chance de sortir des rescapés de sous les décombres.
VIDEOCARTE - Plus de 5.000 morts et 8 millions de personnes affectées. Le séisme qui a frappé samedi 25 avril le Népal a provoqué une catastrophe humanitaire majeure mais aussi culturelle. Les dégâts sont considérables, notamment à Katmandou, la capitale du pays. Les joyaux architecturaux historiques sont en partie détruits.
Huit des dix condamnés à mort dans une affaire de drogue en Indonésie ont été exécutés mardi soir par un peloton d'exécution, affirment les médias indonésiens. Le sursis du Français Serge Atlaoui avait déjà été confirmé, et le président philippin a arraché un sursis à la dernière minute pour la ressortissante de son pays.
Une attente insoutenable. De nombreux proches de touristes et de Français expatriés au Népal surveillent de près leur téléphone dans l’attente d’un signe de vie. Paris reste sans nouvelles de 560 de ses ressortissants depuis le violent séisme qui a frappé le Népal ce samedi 25 avril. Un troisième Français a probablement trouvé la mort lors du tremblement de terre, a indiqué le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius.
170 passagers ont été évacués d'un ferry en flamme, qui reliait Palma de Majorque à Valence, dans l'Est de l'Espagne.
L’espoir de retrouver des rescapés dans les décombres diminue d’heure en heure au Népal. Quatre jours après le séisme meurtrier qui a fait au moins 5.000 morts, les fouilles se poursuivent. Secouristes, habitants, expatriés et touristes: tout le monde tente d’apporter son aide. Les équipes progressent souvent à mains nues au milieu des gravats.
Trois jours après le séisme dévastateur qui a frappé de plein fouet le Népal, les habitants de Katmandou fuient la capitale, dans la crainte de répliques. Conséquence: des milliers de personnes se retrouvent sur les routes de l'exode.
Une mère a été filmée lundi alors qu'elle allait récupérer son fils, repéré parmi les émeutiers de Baltimore malgré sa capuche. "Dégage d'ici maintenant, tu m'entends?", lui crie-t-elle à plusieurs reprises alors que l'adolescent, penaud, s'exécute.
Les proches de deux condamnés Australiens, Myuran Sukumaran, 34 ans, et Andrew Chan, 31 ans, n'ont pas pu contenir leur émotion mardi en arrivant à la ville portuaire de Cilacap reliant l'île de la "prison de la mort", certains éclatant en sanglots, d'autres criant "clémence".
Une mère a été filmée lundi alors qu'elle allait récupérer son fils, repéré parmi les émeutiers de Baltimore malgré sa capuche. "Dégage d'ici maintenant, tu m'entends?", lui crie-t-elle à plusieurs reprises alors que l'adolescent, penaud, s'exécute.
La ville de Baltimore aux États-Unis a une nouvelle fois été le théâtre de scènes de violences et d’affrontements avec les forces de l’ordre. Ces émeutes ont atteint leur apogée après les funérailles ce lundi d’un jeune Noir de 25 ans, mort à la suite de son interpellation par la police. Pour François Durpaire, historien et spécialiste des États-Unis, "il y a bien une violence policière qui est plus importante que dans d’autres villes américaines de même taille." A Baltimore, "les deux tiers de la population sont noirs tandis que les policiers sont majoritairement blancs", remarque le maître de conférences à l'université de Cergy-Pontoise.
Deux Français sont morts dans le séisme qui a frappé le Népal samedi et 676 autres ressortissants sont recherchés par les autorités. Ce mardi, il y a de "fortes présomptions qu'un troisième ait été emporté par une avalanche", a déclaré Laurent Fabius. BFMTV.com fait le point sur la situation.
Invité ce mardi matin de BFMTV et RMC, l'ancien président de Médecins Sans Frontières, Rony Brauman, est revenu sur l'urgence de la situation au Népal, trois jours après le séisme meurtrier qui a frappé le pays.
"Dévasté" par le séisme qui a frappé samedi le Népal où il vit depuis une trentaine d'années, le moine bouddhiste Matthieu Ricard, de passage en France, raconte que la population était préparée à une telle catastrophe, se demandant simplement quand elle allait arriver. "J'ai vécu plusieurs tremblements de terre, plus petits. On se disait: le gros, quand est-ce qu'il arrive?", témoigne Matthieu Ricard. Le moine bouddhiste a quitté le pays "juste avant" que le tremblement de terre tue des milliers de personnes et en affecte des millions d'autres. Ses frères du monastère de Shéchèn étaient "prêts" à une telle éventualité: "On a fait plusieurs répétitions générales au monastère, on a des réserves d'eau, de nourriture."
La Cour suprême des Etats-Unis examine ce mardi la constitutionnalité du mariage homo, pour statuer si les couples de même sexe peuvent s'unir quel que soit l'Etat.
A l'heure où de violents affrontements entre protestataires et forces de l'ordre émaillaient la ville de Baltimore, aux Etats-Unis, lundi, un homme a décidé de s'opposer pacifiquement à la police, avec des chorégraphies de Michael Jackson.
