BFMTV
Les Républicains

Copé donné gagnant, Fillon conteste, Sarkozy observe

Jean-François Copé, Nicolas sarkozy et François Fillon

Jean-François Copé, Nicolas sarkozy et François Fillon - -

La crise à l'UMP semble toujours loin d'être réglée malgré la proclamation de nouveaux résultats en faveur de Jean-François Copé. Ceux-ci ont été immédiatement récusés par François Fillon. Revivez la journée de lundi sur BFMTV.com.

La crise à l'UMP semblait toujours loin d'être réglée lundi avec la proclamation de nouveaux résultats en faveur de Jean-François Copé, immédiatement récusés par François Fillon. "Je pense que rien n'est réglé", résume même Alain Juppé, qui avait échoué la veille à jouer les médiateurs entre les deux rivaux.

Nicolas Sarkozy, qui a déjeuné avec François Fillon, estime de son côté qu'il serait préférable d'appeler les adhérents à voter une nouvelle fois et a déconseillé à son ancien Premier ministre de saisir la justice. L'ancien chef de l'Etat ne s'est toujours pas exprimé officiellement.

François Fillon a fait savoir, par la voix de son porte-parole Jérôme Chartier, que la création d'un nouveau groupe à l'Assemblée nationale était envisagée.

21h - Nicolas Sarkozy estime qu'il est préférable de revoter selon l'AFP citant des sources concordantes. L'ancien chef de l'Etat déconseille aussi à François Fillon, lors de leur déjeuner en commun ce midi, de saisir la justice.

Nicolas Sarkozy privilégie la solution de nouvelles élections "pour éviter l'escalade du conflit", a déclaré l'une de ces sources.

20h - Eric Ciotti : "Il faut de nouvelles élections". Le directeur de campagne de François Fillon a déclaré au Figaro qu'il fallait organiser de "nouvelles élections" car "la démocratie interne a été bafouée dans ce scrutin" contesté des adhérents, le 18 novembre. "Le seul moyen de laver cet affront est d'organiser un nouveau scrutin exemplaire qui donnera à l'équipe élue sa légitimité et qui permettra de reconstruire l'unité de toute notre famille".

19h30 - NKM persiste pour l'organisation d'un nouveau vote. Sur BFMTV, l'élue politique a insisté sur sa pétition lancée dans la nuit, Jeveuxrevoter.fr, qui comptabilise à l'heure actuelle près de 16.578 signatures. "Je ne veux pas que mon parti meurt otage de guerres de clans. Moi, ce que je sens sur le terrain, c'est que les militants souhaitent revoter."

19h15 - "On veut que les militants revotent." Eric Ciotti député UMP (filloniste), refuse d'accorder du crédit aux résultats de la commission nationale des recours, qu'il juge "illégitime" sur Europe 1. "Nous allons poursuivre ce combat par toutes les voies de droit".

19h10 - "Il est temps d'arrêter le crépage de chignons." Roger Karoutchi, sénateur UMP (copéiste) a appelé "à l'apaisement"."On peut changer le peuple si les résultats ne vous plaisent pas mais cela ne s'appelle pas la démocratie", a-t-il lancé à l'adresse des Fillonistes.

19h05 - "Ca arrive dans toutes les élections de se tromper, il faut regarder les choses à froid". Sur I>Télé, Guillaume Peltier, secrétaire national de l'UMP, relativise les errements de la Cocoe. "Nous devons maintenant consacrer notre énergie à nous opposer à la gauche."

18h45 - "Les militants en ont marre qu'on se batte entre nous." Patrick Balkany, proche de Copé, a martelé sur BFMTV son ras-le-bol face au refus de Fillon de s'incliner. "Il y a un moment où il faut savoir s'arrêter. il y a eu des élections, il y a eu deux commissions, il y a eu validation : maintenant, stop !"


18h40 - Le clan Fillon commence à se diviser. A l'initiative du député pro-Fillon David Douillet, et du député pro-Copé Marc Le Fur, les parlementaires UMP lancent un appel, déjà co-signé par une cinquantaine de députés. Ils refusent "la scission" du groupe parlementaire UMP, contrairement à ce que souhaiterait François Fillon si Copé est maintenu à la tête de l'UMP.

18h20 - "Je pense que rien n'est réglé", estime Alain Juppé quelques dizaines de minutes après la proclamation de la victoire de Jean-François Copé. L'élu bordelais a tenté dimanche de mener une médiation, en vain.


18h15 - "Jamais Fillon ne se fera l'artisan de la division de l'UMP", affirme Jérôme Chartier, soutien proche de François Fillon, à la presse.


18h04 - Fillon dénonce "un coup de force" de Copé et récuse à nouveau les résultats, dans un communiqué. Cette décision "est illégale car elle est issue d'une Commission dont la composition n'offre aucune garantie d'impartialité. (...) Ceux qui soutenaient Jean-François Copé n'ont pas voulu se mettre en réserve et ont siégé", insiste l'ancien Premier ministre.

17h50 - "La fin de la récréation est sifflée" : le sénateur Pierre Charon, soutien de Jean-François Copé, réagit à la confirmation de son leader à la tête de l'UMP au micro de BFMTV. "Maintenant, on va faire de la politique, et celle de Jean-François Copé sera accueillante, sympathisante. Mais il fallait d'abord qu'il y ait un résultat."


17h45 - "Je vais proposer de nouveau à François Fillon de participer" à un comité collégial pour reconstruire le parti, poursuit Jean-François Copé. "Nous avons besoin de lui. Je ne peux imaginer qu'il continue ses poursuites contre sa propre famille."

17h41 - "J'invite chacun à choisir le pardon plutôt que la division, le travail d'équipe plutôt que l'ambition personnelle, l'avenir plutôt que la rancoeur. Il n'y a ni vainqueur, ni vaincu, mais une seule famille, l'UMP. Le temps de la compétition interne est derrière nous", déclare Jean-François Copé, qui se pose désormais en rassembleur.

17h40 - Jean-François Copé s'exprime devant la presse, quelques minutes après l'annonce de sa confirmation au poste de président de l'UMP par la commission des recours. Une intervention à suivre en direct sur BFMTV.


17h20 - Un communiqué officiel des résultats vient d'être distribué. Après vingt-deux heures de délibérations, la commission confirme Jean-François Copé au poste de président de l'UMP, avec 86.911 voix pour Copé, contre 85.959 pour Fillon.

17h15 - Jean-François Copé serait confirmé dans son poste de président à l'UMP, selon un membre de la commission qui s'est confié à BFMTV. Il l'emporterait de 952 voix sur François Fillon, alors que les votes de Nouvelle-Calédonie et de Nice auraient été jugés invalides par la commission.

17h10 - La décision de la commission a été notifiée à Jean-François Copé, selon les journalistes de BFMTV présents au siège de l'UMP. Le verdict n'est pas encore connu publiquement, mais l'entourage de Copé parlerait d'ores et déjà d'une victoire de leur leader.

16h50 - Sarkozy n'a "ni découragé ni encouragé François Fillon dans ses démarches", selon un proche de Fillon. L'ancien chef de l'Etat et son ex-Premier ministre "ont ensemble évoqué toutes les solutions possibles pour sortir l'UMP de l'ornière", a confié le filloniste, qui ajoute que "l'ambiance pendant le déjeuner était détendue, décontractée, empreinte de confiance réciproque".

16h30 - "Les travaux de la commission des recours sont terminés", selon l'un des membres de la commission, qui précise que l'annonce du résultat est attendue à 17h.

16h10 - Le verdict de la commission des recours est imminent. Selon les journalistes de BFMTV sur place au siège de l'UMP, "les membres de la commission sont en train de signer le procès-verbal".

16h00 - La conférence de presse du camp Fillon aura lieu juste après le verdict. Initialement prévu à 17h30, ce point avec la presse aura lieu "dans la demi-heure suivant l'annonce de la commission des recours", selon le député UMP Jérôme Chartier. Celle-ci ne devrait pas tarder, car selon des proches de Jean-François Copé, les membres de la commission étaient, vers 13h00, en train de "rédiger leur décision".

15h20- Les saisies repoussées à plus tard ? L'UMP va demander lundi soir en référé à la justice de retarder la saisie à titre conservatoire des données électorales du scrutin, selon Me Jean-Pierre Versini-Campinchi. Présidée par Jean-François Copé, l'UMP va demander que cette saisie n'intervienne qu'après la fin des travaux de la commission des recours car une telle saisie "paralyserait l'activité du parti", a précisé l'avocat. Cette demande devrait être examinée vers 17h00.

15h - La pétition de NKM dépasse les 14.000 signatures. Lancée en ligne dans la nuit, elle réclame l'organisation d'un nouveau vote. A noter que la pétition permet de voter autant de fois qu'on le souhaite, à condition d'entrer une adresse mail différente.

14h45 - Fin de la rencontre entre Fillon et Sarkozy. Les deux hommes politiques ont déjeuné ensemble lundi à la mi-journée dans les bureaux parisiens de l'ancien chef de l'Etat, rue de Miromesnil, dans le VIIIe arrondissement. Aucune information n'en a filtré pour le moment. Nicolas Sarkozy est-il en mesure de venir à la rescousse de l'UMP ?


14h00 - Conférence de presse du camp Fillon à 17H30 à l'Assemblée nationale. Le député UMP Jérôme Chartier tiendra une conférence de presse au nom de l'équipe Fillon, sans doute après que la commission de recours de l'UMP ait proclamé le nom du vainqueur de la présidence du parti "lundi après-midi".

13h40 - La commission nationale des recours est en train de délibérer. Elle pourrait donc officialiser sa décision dans les heures qui viennent.

13h24 - Alain Juppé "a tourné la page". De retour à Bordeaux lundi midi, l'élu a refusé de commenter la crise à l'UMP. "La page est tournée, là je m'occupe de Bordeaux", a-t-il déclaré selon nos reporters sur place, en marge d'une intervention prévue de longue date au pôle gestion de l'université Montesquieu.

13h20 - François Fillon est arrivé au bureau de Nicolas Sarkozy. Les deux hommes se retrouver autour d'un déjeuner pour évoquer la crise au sein del'UMP.

13h10 - Dominique Dord accuse Copé d'utilisation "abusive" des moyens de l'UMP. Dans un communiqué transmis lundi, le filloniste, qui a démissionné de son poste de trésorier de l'UMP, dénonce des dérives au sein du clan Copé. "On peut évaluer à plus de 200.000 euros l'avantage représenté sur quatre mois, par la prise en charge de cette équipe salariée par le mouvement", accuse-t-il.

Sur l'antenne de BFMTV, Dominique Dord a fait part de son "ras-le-bol". Ses explications en vidéo :


12h55 - La commission de recours va proclamer le nom du vainqueur lundi après-midi, annoncent des proches de Copé.

12h25 - Démission du trésorier de l'UMP. Dominique Dord, proche de François Fillon, annonce sa démission du poste de trésorier de l'UMP. Dans un communiqué envoyé à la presse, il liste tous les "dérapages" qu'il a constaté durant la campagne interne, et cite en substance l'égalité de traitement entre les candidats "non respectée", et le "mélange des genres effarant" avec les frais dépensés par le président sortant Copé pour sa propre campagne en "utilisant les fonds de l'UMP".

12h15 - Sarkozy et Copé se sont parlés par téléphone. Les deux hommes politiques ont eu une "longue et chaleureuse conversation téléphonique", selon l'entourage de Jean-François Copé.

11h45 - Echec de la saisie des documents de vote. L'avocat de François Fillon, Me François Sureau, affirme sur BFMTV que l'huissier mandaté par le TGI de Paris s'est vu refuser l'accès aux documents de votes, et est reparti du siège de l'UMP les mains vides. "Les dirigeants ont refusé délibérément d'exécuter une décision de justice (...). En politique, le mépris de la justice laisse assez mal augurer de la qualité des dirigeants."

11h35 - Bruno Le Maire demande que celui qui sera élu président de l'UMP renonce à la présidentielle de 2017. L'ancien ministre UMP estime sur Canal + que "le ver est dans le fruit". Et ce ver serait selon lui "le lien qui existe entre cette présidence de l'UMP et la présidence de la République".

10h35 - Copé : "On ne doit pas instrumentaliser Sarkozy". Selon le président proclamé du parti, qui affirme avoir des "contacts très fréquents" avec l'ex-chef de l'Etat, Nicolas Sarkozy, qui déjeune lundi avec François Fillon, "a dit qu'il n'a pas du tout envie d'être au milieu de la mêlée".

10h30 - Le tribunal de grande instance de Paris demande la saisie à titre conservatoire de tous les documents de vote. Des huissiers ont été envoyés par le tribunal de grande instance de Paris au siège de l'UMP après avoir été saisi par François Fillon. Le tribunal a decidé d'agir car les documents du scrutin ne sont pas disponibles pour l'équipe Fillon.

11h30 - Quel avenir pour la suite du conflit UMP ? Alors que la situation s'enlise d'heure en heure au sein de l'UMP, plus que jamais fracturée, quel pourrait être le scénario de ces prochaines heures ? Retrouvez l'analyse de BFMTV.com sur les issues possibles de ce lundi.


11h20 - "Copé se comporte comme Bokassa". Dominique Paillé, ex-porte-parole adjoint de l'UMP, accuse sur RFI Jean-François Copé de se comporter "comme le faisait Bokassa", empereur auto-proclamé de Centrafrique. Jean-François Copé "me semble porter l'intégralité des responsabilités de la situation d'aujourd'hui", a-t-il tranché.

11h10- Les huissiers ne seraient pas interdits d'accès à l'UMP. Tandis que le clan Fillon affirmait il y a quelques dizaines de minutes que les huissiers ne pouvaient pas effectuer leur saisie, le président de la Commission nationale des recours réfute l'information et affirme qu'il ne "refuse pas l'accès aux documents aux huissiers", selon une source interne de la commission.

10h15 - Jean-Louis Borloo s'érige en leader de l'opposition. Interrogé lundi matin sur France Inter, le président de l'Union des démocrates et indépendants s'est placé en première ligne sur l'échiquier politique. "Je constate l'affaiblissement de l'UMP, et c'est le devoir de l'UDI d'incarner le leadership de l'opposition."

10h10 - "Jeveuxrevoter.fr" dépasse les 3.000 signatures. La pétition lancée dans la nuit par NKM pour organiser une nouvelle élection vient de franchir le cap des 3.000 signatures.

10h - La CONARE se remet au travail. La commission des recours de l'UMP a repris ses travaux lundi peu après 9h00 au siège du parti à Paris, dans le XVe arrondissement, a indiqué un proche de Jean-François Copé. Elle pourrait annoncer dès aujourd'hui le nom du vainqueur.

9h50 - Marine Le Pen : "L'UMP, c'est terminé". La présidente du Front national, est catégorique face aux querelles internes du plus grand parti d'opposition : "Je constate, comme responsable politique, que l'UMP n'existe plus. L'UMP, c'est terminé", a-t-elle fait savoir sur France 2.

8h40 - UMP: Copé rejette la proposition d'un nouveau vote. "Ce n'est pas responsable de revoter", a lancé Jean-François Copé sur BFMTV et RMC, lundi matin. "Ce que l'on attend de la Commission nationale des recours, c'est qu'elle proclame le résultat du vote", a-t-il insisté, réaffirmant : "bien sûr, je suis le vainqueur".

8h29 - Claude Guéant propose deux solutions pour sortir de l'impasse. "Ce qu'il faut c'est trouver une solution et une solution rapide. Ce qui est en cause c'est l'existence, la survie de l'UMP et sa capacité à incarner une alternative à la politique désastreuse de la majorité", a affirmé lundi sur BFMTV l'ancien ministre de l'Intérieur.

"Je vois deux solutions: mettre en place une commission d'anciens magistrats pour dépouiller et recompter les bulletins ou faire revoter les militants dans les trois semaines qui viennent."

8h22 - NKM lance une pétition appelant à un nouveau vote. "Je lance une pétition jeveuxrevoter.fr pour revoter. La légitimité politique (de l'élection du 18 novembre) n'est pas acquise. Elle est trop douteuse, trop contestée", a-t-elle affirmé lundi sur Europe1.

8h05 - Quel rôle pour Nicolas Sarkozy ? Alors que l'ancien président déjeune ce midi avec François Fillon, Alain Juppé estime qu'il est justement "le seul à avoir aujourd'hui l'autorité suffisante" pour sortir l'UMP de l'impasse. Un rôle sur-mesure pour Nicolas Sarkozy qui s'investit déjà en coulisses, comme le montre la vidéo ci-dessous.


7h51 - Pour Juppé, recourir à la justice "aggraverait la fracture" à l'UMP. Interrogé par RTL sur cette initiative annoncée par François Fillon, Alain Juppé a répondu : "J'ai tout fait pour l'éviter. Transférer cette querelle aux mains de la justice, tout à fait à l'extérieur du mouvement, c'est aggraver la cassure et augmenter les risques d'explosion".


Crise à l'UMP : "C'est à Nicolas Sarkozy de... par rtl-fr

7h50 - "Je comprends l'amertume et la déception, mais on ne peut pas être éternellement jusqu'au-boutiste". Rachida Dati espère encore un retrait définitif de François Fillon. Interrogée sur le rôle que pourrait tenir Nicolas Sarkozy lors du déjeuner avec François Fillon, Rachida Dati a estimé qu'il "pouvait simplement rappeler les règles de ce parti à François Fillon".

7h45 - La guerre à l'UMP agite la presse française. "UMP, ton univers impitoyable", "suicide en direct" ou encore "UMPlosion", découvrez ici les principaux titres de ce lundi matin.

7h25 - Valérie Rosso-Debord ferme la porte à un nouveau vote. "Nous écoutons tous les autres militants, qui sont plus nombreux que ceux qui réclament un nouveau vote", a-t-elle assuré lundi matin sur BFMTV.

7h21 - L'entourage de François Fillon confirme le déjeuner avec Nicolas Sarkozy. Ce rendez-vous avait été pris "il y a plusieurs jours", donc avant l'échec d'Alain Juppé dans sa tentative de médiation pour faire cesser la guerre à l'UMP.

6h50 - "Je ne veux pas rester dans cette situation". Lundi matin sur BFMTV, Christian Estrosi, soutien de François Fillon, a appelé de ses voeux un nouveau vote des militants pour départager les deux candidats à la présidence de l'UMP. "Aujourd'hui à l'UMP, la priorité c'est de redonner la parole aux militants", a-t-il fait valoir.

6h45 - Une impasse et une scission ? La journée de dimanche a-t-elle signé la mort de l'UMP ? Après l'échec de la médiation d'Alain Juppé, certains proches de François Fillon appellent ouvertement à la scission au sein du groupe UMP à l’Assemblée nationale. On fait le point sur les différents scénarios possibles par ici.

6h - Nicolas Sarkozy doit déjeuner avec François Fillon. A peine rentré de Shangai où il a donné une conférence, Nicolas Sarkozy doit déjeuner lundi avec son ancien Premier ministre, François Fillon. Selon les information du Parisien, Nicolas Sarkozy devrait lui signifier qu'un recours devant la justice -la solution choisie par François Fillon-, serait une erreur.

0h15 - La commission nationale des recours de l'UMP suspend ses travaux. Cette instance, chargée d'examiner les "irrégularités" de l'élection à la présidence du parti, les reprendra lundi matin à 9h, a-t-elle annoncé dans un communiqué.

La rédaction de BFMTV.com