Le Premier ministre britannique s'est rendu ce samedi à Kiev, pour une visite surprise faite en "solidarité" avec le peuple ukrainien. Il s'est entretenu en tête-à-tête avec le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Le Premier ministre Boris Johnson à Kiev a rencontré, ce samedi, le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans la capitale ukrainienne.
Des civils continuent de fuir cette ville du Donbass, après l'attaque vendredi qui a fait au moins 102 morts. Certains font le choix de partir vers des territoires prorusses.
En visite à Kiev, la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen a remis ce vendredi au président ukrainien Volodymyr Zelensky un questionnaire qui servira de "base" aux discussions dans les prochaines semaines à l'adhésion de son pays à l'Union européenne. Elle lui déclare que "l'Ukraine appartient à la famille européenne" et que l'UE a "entendu vos demandes très clairement".
Vendredi, un tir attribué à l'armée russe a causé la mort d'au moins 52 personnes, dont cinq enfants. La gare qui a été visée est située dans le Donbass.
Selon l’hebdomadaire “Der Spiegel”, les services secrets de Berlin auraient dévoilé des écoutes de soldats russes. Celles-ci confirmeraient que les meurtres de civils et de prisonniers militaires font partie d’une stratégie délibérée de l’armée russe.
Ce samedi marque le 45e jour de guerre. Vendredi, une attaque contre la gare de Kramatorsk a fait au moins 52 morts, suscitant une nouvelle fois les condamnations internationales.
Le président de la République a expliqué que la France allait aider à rassembler des preuves pour prouver que la Russie avait bien commis des crimes de guerre en Ukraine.
Emmanuel Macron a assuré ce vendredi que ses appels avec le maître du Kremlin n'étaient pas des moments faciles.
Un bombardement dans une gare bondée à Kramatorsk a choqué le monde entier ce vendredi. La France estime qu'il s'agit d'un "crime contre l'humanité".
L'armée russe concentre désormais son offensive sur l'est et le sud de l'Ukraine, où se trouve la ville portuaire d'Odessa.
Jean-Yves Le Drian a déclaré ce vendredi que le bombardement à Kramatorsk, qui a fait au moins 50 morts, est un "crime contre l'humanité".
Le chef de l'État français a assuré que l'Europe prendrait de nouvelle mesures pour sanctionner la Russie et soutenir l'Ukraine.
Les troupes russes se sont aujourd'hui retirées de cette ville du nord du pays.
Invité de BFMTV ce vendredi, Oleksiy Arestovitch, conseiller militaire du président ukrainien, s'est exprimé sur les accusations d'exactions commises par des soldats ukrainiens à l'encontre de prisonniers russes.
Le président ukrainien a dénoncé les méthodes "inhumaines" des forces russes et a appelé à "punir" les responsables de ces actions.
De retour de Moscou, Cédric Faiche explique avoir eu du mal à trouver le mot "guerre", qui est interdit en Russie où les autorités parlent d'une "opération militaire spéciale" en Ukraine.
Ce vendredi matin, la gare de Kramatorsk, dans le Donbass, a été la cible de tirs de roquettes, faisant plusieurs dizaines de morts.
À Irpin, en Ukraine, BFMTV a rencontré l'un des soldats du très sulfureux bataillon Azov, souvent pointé du doigt par Moscou.
Le président ukrainien, qui a récemment accusé les troupes russes de commettre un génocide, a assuré que le bilan humain serait bien plus élevé à Borodyanka qu'à Boutcha.
La procureure générale d'Ukraine a estimé que Borodyanka était la ville "la plus détruite" près de Kiev alors que 26 corps ont été retrouvés dans les décombres d'immeubles.
Dmitri Peskov, le porte-parole du Kremlin, a également affirmé que le retrait des troupes russes des régions ukrainiennes de Kiev et de Tchernihiv était un acte de "bonne volonté".
Alors que les images de Boutcha continuent de marquer les esprits à l'internationale, les conséquences se font sentir pour la Russie. Moscou a en effet été sanctionné par un vote à l'ONU ce jeudi, au 43ème jour du conflit.
Emmanuel Macron, qui avait annoncé tenir sa soirée électorale dans le 19e arrondissement de Paris, organisera finalement l'événement à la porte de Versailles, dans le sud-ouest de Paris.
Invitée de BFMTV, Ioulia Timochenko estime que la guerre en Ukraine ne peut plus se résoudre "sur le chemin de la diplomatie".
Accompagnée du chef de la diplomatie de l'Union européenne Josep Borrell, elle doit notamment rencontrer le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
Un responsable de l'ONU s'est rendu à Boutcha ce jeudi pour annoncer qu'une enquête était une enquête. Il a notamment rencontré un membre de la mairie.
David Amess, élu britannique conservateur, avait été poignardé en octobre dernier près de Londres. Le meurtre avait bouleversé le Royaume-Uni.
Plusieurs organismes de défense des droits humains dénoncent le recours au viol comme arme de guerre en Ukraine.
L'influenceuse ukrainienne Mariana Vishegirskaya a minimisé dans une vidéo le bombardement de la maternité de Marioupol, affirmant que ce n'était "rien de sérieux". Les conditions dans lesquelles l'interview a été tournée interrogent.
A l'ouest de la capitale ukrainienne, des civils sont encore sous les décombres des immeubles bombardés il y a plus d'un mois par les forces russes.
La Forêt rouge, située à proximité immédiate de la centrale de Tchernobyl, possède un des taux de contamination les plus élevé au monde. C'est là que les débris ont atterri lors de l'explosion du réacteur nucléaire en 1986.
Selon des activistes ukrainiens, Azatbek Omurbekov est le lieutenant-colonel à la tête des opérations menées par l'armée russe à Boutcha.
Selon Washington, le président russe pourrait utiliser ses filles comme prête-noms pour cacher une partie de sa fortune et ainsi échapper aux sanctions économiques.
Annoncée lundi, la fin de l'obligation d'isolement pour les personnes infectées a immédiatement suscité des critiques d'associations et de l'opposition, obligeant le gouvernement à revoir sa copie.
Des militants ukrainiens affirment avoir identifiés quels soldats russes et quel chef militaire se trouvaient à Boutcha lorsque des centaines de civils ont été tués.
À Boutcha, en Ukraine, un enfant de 6 ans vient fleurir régulièrement la tombe de sa mère, morte pendant la présence des troupes russes dans la ville.
Vitali Klitschko, maire de Kiev, craint que le départ de troupes russes de certaines localités près de la capitale n'entraîne la découverte d'autres massacres semblable à celui de Boutcha.
Critiqué pour ses appels téléphoniques avec Vladimir Poutine, Emmanuel Macron a répondu au Premier ministre polonais. Selon le chef de l'État, Mateusz Morawiecki soutient Marine Le Pen.
Le sexagénaire est accusé d'avoir vendu de faux certificats à des personnes non-vaccinées.
Les troupes russes concentrent désomais leur offensive sur la région du Donbass.
L'Otan se prépare à ce que la guerre en Ukraine s'inscrive dans le temps long. Selon le secrétaire général de l'Alliance, Jens Stoltenberg, le conflit pourrait s'étendre sur des années.
La scène, tournée en Biélorussie, montre plusieurs soldats envoyant des colis contenant de l'électroménager, mais aussi une trotinette électrique.
Olga, une jeune réfugiée ukrainienne de 26 ans a reconnu sa mère, morte à Boutcha, grâce à une photo de sa main postée sur les réseaux sociaux.
Le média britannique Sky News a dévoilé des images de drones dans lesquelles des tanks tirent sur un civil ukrainien à Boutcha. Un nouvel élément accablant contre la Russie.
L'intervention du président ukrainien devant le Conseil de sécurité des Nations unies ainsi que les nouvelles sanctions européennes prises contre des diplomates russes ont notamment marqué ces dernières 24 heures de conflit.
Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky ont évoqué la possibilité de travailler conjointement avec la Cour pénale internationale sur les crimes de guerre russes commis en Ukraine.
Le président ukrainien a pris la parole ce mardi devant le Conseil de sécurité des Nations unies, quelques jours seulement après la découverte de centaines de cadavres de civils à Boutcha près de Kiev.
Peu après son discours devant le Conseil de sécurité de l'ONU, Volodymyr Zelensky s'entretiendra avec Emmanuel Macron par téléphone ce mardi soir.
Cette démarche, coordonnée avec d'autres pays européens, vise des membres du personnel diplomatique russe soupçonnés d'activité d'espionnage.
