
Tunisie: le chef du principal groupe armé jihadiste tué
Alo Alors que des milliers de personnes défilent à Tunis contre le terrorisme,
Alo Alors que des milliers de personnes défilent à Tunis contre le terrorisme,
Dix jours après l'attentat du musée du Bardo, des milliers de Tunisiens sont descendus dans la rue pour marcher contre le terrorisme. De nombreux responsables politiques, dont François Hollande, participent également.
Le chef de l'Etat annonce la mort d'une quatrième Française après l'attentat du musée du Bardo à Tunis, le 18 mars dernier.
23 personnes ont été arrêtées et 4 sont en fuite. d'après le ministère de l'Intérieur tunisien, ils auraient été dirigés par un chef appartenant à Aqmi.
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Le jeune rappeur tunisien Emino a rejoint le groupe Etat Islamique, rompant radicalement avec son discours anti-violent et son style de vie débridé.
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MSC Croisières et Costa Croisières, deux opérateurs italiens, ont annoncé la suspension de leurs escales à Tunis, certains de leurs passagers ayant été touchés dans l'attaque du musée du Bardo dans la ville, la semaine dernière. Une tragédie pour nombre de Tunisiens dont les emplois dépendent de ces milliers de touristes hebdomadaires.
Le musée du Bardo devait réouvrir ses portes mardi, six jours seulement après l'attaque terroriste. Il va finalement rester fermé pour une durée indéterminée, pour des raisons de sécurité.
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Les paquebots de Costa Croisières et MSC Croisières n’accosteront plus à Tunis. La décision a été prise alors qu’une quarantaine de leurs passagers ont été blessés ou tués lors de l'attaque terroriste perpétrée mercredi au musée du Bardo à Tunis. En escale à Barcelone, certains touristes en profitent pour quitter le navire et rentrer chez eux. Et pour ceux qui ont décidé de poursuivre le voyage, le drame occupe encore toutes leurs pensées.
Erigée en modèle après la réussite de sa transition démocratique post-révolutionnaire, la Tunisie est aujourd'hui sous le choc. D'après notre éditorialiste Harold Hyman, le message de Daech avec cette attaque s'adresse aussi, et surtout, aux musulmans.
Un troisième Français a été identifié parmi 21 personnes tuées dans l'attaque du musée du Bardo mercredi à Tunis, a confirmé vendredi François Hollande. "Il y a des raisons de penser que les terroristes qui ont frappé en Tunisie aient été formés en Libye", a également déclaré le Président.
Trois autres victimes n'ont pas encore été identifiées, mais il est désormais certain que trois Français sont morts dans l'attentat du Bardo, à Tunis, a confirmé l'Elysée.
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La Tunisie s’est réveillée meurtrie, jeudi. Après l’attaque meurtrière de la veille au musée du Bardo, la situation s’éclaircit peu à peu, même si le bilan des victimes fluctue toujours.
Les deux Français tués lors de l'attaque de Tunis venaient de Midi-Pyrénées. Ils étaient âgés de 71 et 59 ans.
Si l'attaque de Tunis n'a pas encore été revendiquée, l'attentat qui a coûté la vie à 21 personnes pourrait peser lourd sur la démocratie tunisienne née du Printemps arabe.
Les terroristes qui ont attaqué mercredi le musée du Bardo à Tunis, tuant 20 personnes, s'en sont pris au tourisme, mais aussi à un symbole culturel de l'Afrique du nord.
"Il existait déjà forte une tendance islamiste en Tunisie au moment de la révolution de janvier 2011 qui a renversé Ben Ali", rappelle François-Bernard Huyghe sur BFMTV au lendemain de l'attaque de Tunis. Et "elle ne s'est pas seulement manifestée dans les urnes", indique le directeur de recherche à l'Iris, qui explique que "la situation de la Tunisie est très complexe du point de vue du terrorisme", avec des groupes qui traversent les frontières voisines de l'Algérie et de la Libye.
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A l'aéroport d'Orly, les passagers du vol en provenance de Tunis ont réagi à l'attaque contre le musée du Bardo qui a fait 20 victimes, dont deux Français, mercredi. "C'est une ambiance très tendue. Il s'agit d'un fléau international, cela peut frapper n'importe où", explique un Tunisien. Les voyageurs qui font le chemin inverse ne veulent pas sombrer dans la peur. "Ça reste du terrorisme. Il faut faire avec, être solidaire et trouver des solutions", explique un passager.
Depuis la révolution de janvier 2011 et la chute du régime de Ben Ali, la Tunisie a vu émerger une mouvance jihadiste avec l'arrivée au pouvoir du parti Ennahdha." Il y a des gens qui ne veulent peut-être pas que la Tunisie réussisse ou que l'islam puisse se comporter convenablement avec la démocratie", a réagi Mohammed Sahby Basly, ancien ambassadeur diplomate. Après le printemps arabe, la Tunisie a été le seul pays à avoir réussi sa transition vers un système démocratique.
Samy Ghorbal explique qu'il y a eu "un affaiblissement de l'Etat après la révolution de 2011" en Tunisie. Quand ils étaient au pouvoir, les islamistes ont sous-évalué le danger du jihadisme, estime le journaliste à Jeune Afrique. Et ce dans un contexte régional qui a déstabilisé le pays.
Deux assaillants ont été tués, trois arrêtés et un quatrième est toujours recherché après l'attaque du musée du Bardo, en Tunisie, mercredi. Agés d'une vingtaine d'années, ils ne semblaient pas être connus des services de police. L'action n'a pas été revendiquée.
Après l'attaque sanglante contre le musée du Bardo, à Tunis, le journaliste et réalisateur Serge Moati a affiché son soutien au peuple tunisien, sur BFMTV mercredi soir.
"La Tunisie de l'intérieur ne voit rien venir depuis la révolution, il y a un chômage massif. Les jeunes n'ont qu'un espoir: venir en France. Et une frange de cette jeunesse se tourne vers le jihadisme", explique au lendemain de l'attaque de Tunis, Nicolas Beau, rédacteur en chef du site Mondeafrique.com. "Il faut absolument que la France aide la Tunisie", ajoute le réalisateur du documentaire "La Tunisie des oubliés", qui explique les ponts qui existent entre les deux rives de la Méditerranée. Il rappelle ainsi que les frères Kouachi y avaient séjourné en 2011 et 2012 à leur sortie de prison.
De 12h37 à 15h30, la vie s'est arrêtée au centre de Tunis dans le quartier du Bardo mercredi. Au lendemain de l'attaque terroriste, le bilan est lourd. Les rescapés, cachés dans les salles du musée, racontent.
Marilyne et Yvon, deux Français présents au moment de l'attentat au musée du Bardo, mercredi à Tunis, témoignent et reviennent sur le drame qui a fait 20 morts.
Dix-neuf personnes, dont deux Français, ont été tuées mercredi dans l'attaque du musée du Bardo à Tunis. Deux terroristes armés de kalachnikovs ont pris pour cible des touristes qui descendaient de leur bus. Les visiteurs ont fui à l'intérieur du musée, suivis par des terroristes qui ont ouvert le feu sur les personnes situées à l'intérieur. A 15 heures, la mort de deux assaillants a été annoncée par le ministère de l'Intérieur tunisien. Parmi les otages libérés, on retrouve de nombreux Français.
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La Tunisie s'est réveillée meurtrie ce jeudi, au lendemain de l'attaque sanglante contre le musée du Bardo, à Tunis, dans laquelle 21 personnes, dont deux Français, ont trouvé la mort. Alors que l'attentat aurait été revendiqué par l'Etat Islamique, la solidarité avec le peuple tunisien s'est organisée.
L'attaque terroriste perpétrée mercredi en Tunisie contre le musée du Bardo, à Tunis, a fait 19 morts, parmi lesquels 17 touristes, un policier et un civil. L'événement a provoqué de vives réactions de la part des Tunisiens.
"On ne savait pas trop ce qu'il se passait, ça courait partout." Marilyne, une touriste française, se trouvait à l'intérieur du musée Bardo, à Tunis, lorsque l'attaque terroriste qui a fait au moins 19 morts a éclaté, ce mercredi. Elle livre un témoignage glaçant.
Au moins 17 touristes et deux policiers tunisiens ont été tués, ce mercredi, lors d'une attaque terroriste sanglante menée au Musée du Bardo à Tunis. Le récit d'une journée d'horreur, avec l'équipe de Grand Angle - BFMTV.
L'attaque sanglante qui a fait 22 morts à Tunis était crainte dans le pays. Sa situation démocratique ainsi que sa proximité avec la Libye en font une cible privilégiée du terrorisme.
L'attaque sanglante qui a fait 22 morts à Tunis était crainte dans le pays. Sa situation démocratique ainsi que sa proximité avec la Libye en font une cible privilégiée du terrorisme.
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"J'ai immédiatement appelé le Président tunisien pour exprimer notre solidarité et notre soutien", a réagi mercredi François Hollande aux attaques de Tunis. Le Président était au Louvre pour lancer un "cri d'alerte et de solidarité" face au saccage de sites archéologiques et d'antiquités perpétré par le groupe Etat islamique (EI) ou le régime syrien. Des œuvres "détruites par les mêmes fanatiques, qui s'attaquent à l'histoire comme ils s'attaquent aux personnes".