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Les conditions de transport alarmantes de ces moutons dans un cargo en Australie

Les conditions de transport alarmantes de ces moutons dans un cargo en Australie

Un cargo transportant 50.000 moutons a été immobilisé ce lundi en Australie. Les autorités australiennes ont exigé une inspection du navire après la diffusion d'une vidéo de l'association Animals Australia. En 2017, l’ONG a filmé les conditions de transport des bêtes au cours de cinq voyages entre l'Australie et le Proche-Orient. Ces images montrent des moutons entassés dans des enclos, contraints de rester debout sous une chaleur accablante pendant trois semaines et agonisant dans leurs excréments. Selon l'association, des milliers de moutons ont péri lors de ces trajets.

Près d’Istanbul, ce cargo finit sa course dans une villa ottomane

Près d’Istanbul, ce cargo finit sa course dans une villa ottomane

Un cargo de 225 mètres a percuté ce samedi une villa dans le détroit du Bosphore à Istanbul en Turquie. Le navire a éventré une villa construite par des dignitaires ottomans au 19ème siècle. Le cargo maltais est devenu incontrôlable à la suite d'un problème technique. Les autorités turques ont temporairement interrompu le trafic sur le Bosphore pour remorquer le navire en toute sécurité. Aucun blessé n'a été déploré.

Syrie: l'indignation après les soupçons d’une attaque chimique dans la Ghouta orientale

Syrie: l'indignation après les soupçons d’une attaque chimique dans la Ghouta orientale

Une attaque chimique présumée du régime syrien ayant fait au moins 48 morts dans une zone rebelle près de Damas a soulevé un tollé international ce dimanche. Selon Siraj Mahmoud, porte-parole de la Défense civile syrienne, “des bombes barils contenant des substances toxiques ont été larguées par hélicoptère” sur la Ghouta orientale. 500 personnes au moins souffriraient de difficultés respiratoires et dégageraient une odeur semblable à celle du chlore. À la suite de cette attaque, la Turquie - alliée des rebelles syriens - a appelé l’Occident à réagir. À la demande de neuf pays, le conseil de sécurité de l’ONU se réunira ce lundi. Donald Trump a averti sur Twitter Bachar al-Assad et ses alliés qu'il faudrait “payer le prix fort” pour ce bombardement. Le président américain s’est entretenu au téléphone avec Emmanuel Macron. Selon la Maison-Blanche, les deux chefs d’État se sont prononcés “pour une réponse forte et commune”.