Gouvernement: une réunion entre partis de gauche pour décider de leur présence jeudi à Matignon

L'ESSENTIEL
- Le Premier ministre François Bayrou continue ses consultations en vue de la formation d'un gouvernement.
- Le chef du gouvernement invitera la plupart des présidents de groupes et de partis politiques demain à Matignon. Lire la brève
- Bruno Retailleau, Gérald Darmanin, François Rebsamen... Qui dans le gouvernement Bayrou? Les dernières informations BFMTV
Toujours en quête d'un gouvernement, Bayrou convie les forces politiques jeudi à Matignon
François Bayrou convie ce jeudi à 14 heures à Matignon les forces politiques, hors LFI et RN, avant d'annoncer son gouvernement, un exercice délicat entre les exigences des différentes parties et Les Républicains qui menacent de ne pas y participer.
Le Premier ministre invite les présidents de l'Assemblée Yaël Braun-Pivet et du Sénat Gérard Larcher, ainsi que "les présidents de partis et de groupes qui ont eu la responsabilité des affaires du pays à une période ou à une autre de la Ve République".
"Il aurait dû inviter les partis politiques qui ont eu des responsabilités au cours de la IVe République plutôt. Au moins, ils auraient eu un sujet de conversation", a raillé Marine Le Pen, tandis que la patronne des Ecologistes, Marine Tondelier, veut discuter avec la direction de son parti et ses partenaires politiques du Nouveau Front populaire avant de décider si elle se rendra ou non à Matignon.
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La députée LFI Alma Dufour juge François Bayrou "encore moins légitime que monsieur Barnier"
La députée LFI Alma Dufour juge sur BFMTV François Bayrou "encore moins légitime que monsieur Barnier", "monsieur Bayrou obéit à monsieur Macron".
"On ne croit pas qu'il y aura de compromis vers la gauche tout simplement parce qu'Emmanuel Macron ne veut pas ouvrir son programme vers la gauche", explique la députée LFI sur notre antenne.
Partis politiques conviés à Matignon: Hervé Morin évoque une "mise en scène"
Le président du parti Les Centristes et de la région Normandie Hervé Morin a qualifié la réunion des partis politiques demain à Matignon de "mise en scène".
Une réunion qu'il qualifie toutefois de "toujours utile (...) c'est une mise en scène où en même temps chacun est face à ses responsabilités".
"Je ne me fais pas trop d'illusion, mais la seule chose qui permette d'avancer c'est qu'à un moment ou un autre il y ait un gouvernement", a-t-il poursuivi sur BFMTV.
Une réunion en cours entre les partis de gauche pour décider de leur présence demain à Matignon
Une réunion entre les partis de gauche a lieu en ce moment même pour décider de leur participation ou non à la réunion qui doit se tenir demain autour de François Bayrou.
"Nous sommes en ce moment-même en train de discuter pour savoir ce que nous ferons demain", a confirmé le sénateur communiste Ian Brossat sur BFMTV.
Le Premier ministre a proposé à la présidente de l'Assemblée nationale Yael Braun-Pivet, au président du Sénat Gérard Larcher ainsi qu'aux présidents de groupes et de partis de les recevoir demain à 14h à Matignon.
Le député Alexis Corbière assure qu'"il n'y aura aucun ministre de gauche qui ira dans le gouvernement de François Bayrou"
Invité sur le plateau de BFMTV ce soir, le député Écologiste et social Alexis Corbière assure qu'"il n'y aura aucun ministre de gauche, du NFP, qui ira dans le gouvernement de François Bayrou".
"Pourquoi? Pas par sectarisme. C'est que monsieur François Bayrou va mettre en place une politique conforme à ce qu'il est lui aussi (...) sur l'abrogation de la retraites, là-dessus il ne bouge pas", a-t-il expliqué sur notre antenne.
La ministre démissionnaire Geneviève Darrieussecq estime que "la santé a besoin de stabilité"
Geneviève Darrieussecq ne fait pas "acte de candidature". Dans un entretien accordé au Parisien, la ministre démissionnaire de la Santé estime que "la santé a besoin de stabilité".
"Je suis à ce poste depuis trois mois et je sais que le ministère souffre de la valse à sa tête: je suis la septième en deux ans", déclare-t-elle.
Marine Tondelier estime que "dans trois mois, François Bayrou ne sera sûrement plus là"
Pour la secrétaire nationale des Écologistes, François Bayrou "doit faire un geste fort, concret pour les Français" d'ici la fin de l'année, au risque sinon d'être censuré.
"Les Français ont besoin de concret. Dans trois mois, François Bayrou ne sera sûrement plus là", a-t-elle déclaré sur BFMTV, "est-ce qu'il est capable dans la semaine qui vient d'annoncer un truc où les Français disent 'merci'? Pour l'instant non".
"Il multiplie les faux pas": Marine Tondelier estime que François Bayrou est "la risée des Français"
"François Bayrou est en train de paver le chemin de sa propre censure". La secrétaire nationale des Écologistes Marine Tondelier estime que François Bayrou est "la risée des Français".
"Je pense que malheureusement oui c'est le cas (...) Il multiplie les faux pas, les fautes politiques, ce n'est pas crédible", a-t-elle déclaré, indiquant n'avoir pas encore reçu le courrier d'invitation du Premier ministre pour une réunion à Matignon demain à 14 heures.
Marine Tondelier précise n'avoir pas encore pris de décision sur sa présence ou non, disant vouloir s'entretenir avec les "instances internes" des Écologistes et ses "partenaires politiques" avant de faire un choix.
François Bayrou propose aux présidents de groupes et de partis de les recevoir demain à 14h à Matignon
Le Premier ministre François Bayrou propose à la présidente de l'Assemblée nationale Yael Braun-Pivet, au président du Sénat Gérard Larcher ainsi qu'aux présidents de groupes et de partis de les recevoir demain à 14h à Matignon.
François Bayrou a quitté l'Élysée
Après son départ de l'Élysée, un proche de François Bayrou - cité par l'AFP - a expliqué que le Premier ministre avait soumis une liste de potentiels nouveaux ministres pour son gouvernement.
Quelques minutes plus tard, Matignon a démenti cette information.
François Bayrou est arrivé à l'Élysée pour sa rencontre avec Emmanuel Macron
François Bayrou est arrivé à l'Élysée pour sa rencontre avec Emmanuel Macron. Ils doivent s'entretenir pour avancer sur la composition du futur gouvernement.
"Un critère à respecter": des inquiétudes sur le respect de la parité dans le futur gouvernement
Le nouveau casting gouvernemental devrait bientôt être dévoilé. Plusieurs noms sont déjà sur la table, de ceux qui resteraient comme Bruno Retailleau (Intérieur) à des nouveaux comme Gérald Darmanin (Affaires étrangères) ou Pierre Moscovici (Bercy).
Mais les femmes se font rares dans cette liste, laissant craindre que la parité ne soit pas respectée.
"La présence de femmes à la tête de ministères importants est un critère à respecter", s'inquiète l'entourage d'une ministre sortante auprès de BFMTV.
"Nous n'avons pas de doutes que le futur gouvernement sera paritaire", veut cependant croire l'une des proches d'une ministre démissionnaire.
Retrouvez ici notre article qui résume nos informations sur le futur gouvernement.
Éric Ciotti affirme qu'il censurera le prochain budget s'il alourdit les charges des entreprises et des ménages
À sa sortie de Matignon, Éric Ciotti a évoqué un "échange cordial" avec François Bayrou, un Premier ministre "à l'écoute". "Il est conscient de ne pas réitérer les erreurs commises précédemment, à savoir l'absence de dialogue et d'écoute", a-t-il affirmé.
Concernant le futur budget, l'ancien président des Républicains a demandé à François Bayrou de ne pas "accabler les Français d'impôts et les entreprises de charges et de normes" et souhaite "une politique de baisse des dépenses publiques".
"J'ai censuré le précédent budget car c'était un budget socialiste qui alourdissait les charges des entreprises et des ménages", a-t-il dit, disant que "si le prochain budget va dans le même sens, nous le censurerons".
Emmanuel Macron va recevoir à nouveau François Bayrou à l'Élysée dans l'après-midi
Emmanuel Macron va recevoir à nouveau François Bayrou à l'Élysée dans l'après-midi pour avancer sur la composition du gouvernement, avant de quitter Paris jusqu'à dimanche pour se rendre à Bruxelles, Mayotte, Djibouti et en Éthiopie, a annoncé l'entourage du président.
L'entretien entre Ciotti et Bayrou s'est achevé
Il était un peu avant 12h lorsque l'entretien entre le nouveau Premier ministre et Éric Ciotti, président de l'Union des droites pour la République, s'est achevé à l'hôtel de Matignon.
L'entretien entre Bayrou et Retailleau est terminé
Après un rendez-vous d'une heure, l'entretien à l'hôtel de Matignon entre le Premier ministre François Bayrou et le ministre de l'Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau s'est achevé.
Chenu agite la menace de censure contre Bayrou
Le vice-président du Rassemblement national Sébastien Chenu a menacé mercredi François Bayrou de censure si ce dernier "ne tient pas compte des erreurs qu'a pu commettre Michel Barnier, tant sur la forme que sur le fond" dans la confection de son budget.
"Si François Bayrou ne tient pas compte des erreurs qu'a pu commettre Michel Barnier, tant sur la forme que sur le fond, il se dirigera lui aussi vers les mêmes conséquences, c'est à dire tôt ou tard vers une censure", a affirmé sur Europe 1-Cnews le député du Nord.
"Le sablier est retourné, nous lui dirons au moment où les derniers grains s'écouleront, s'il a rempli sa mission ou s'il mérite lui aussi de partir", a-t-il tranché.
Dupond-Moretti dit "non pour le moment" à une entrée au gouvernement
Sur France Inter, l’ancien garde des Sceaux dit "espérer de tout cœur" le succès de François Bayrou à son poste de Premier ministre. Selon lui, il faut un gouvernement "consensuel pour sortir le pays" de la crise politique actuelle.
En outre, Éric Dupond-Moretti assure qu’il dirait "non" dans l’hypothèse où François Bayrou songerait à lui pour son équipe gouvernementale. "Je ne dis pas 'fini' mais je dis non pour le moment", explique-t-il.
En ce qui concerne une potentielle nomination au Conseil constitutionnel, ce dernier assure: "Je n’attends pas le Conseil constitutionnel, si je m’embarque au théâtre c’est que je n’envisage pas le Conseil constitutionnel."
Hollande veut "des garanties" afin "qu’il n’y ait pas de censure du groupe socialiste"
Sur Franceinfo, l’ancien président de la République et actuel député de Corrèze déconseille au Premier ministre François Bayrou de se soumettre à un vote de confiance dans les semaines à venir.
"Je ne pense pas que ce soit la bonne méthode, il sait qu’il n’a pas de majorité et ne peut pas recevoir de confiance de cette Assemblée fragmentée. Il doit ouvrir des pistes de travail en commun de manière à lui éviter une censure."
En outre, François Hollande affirme que le Parti socialiste ne participera pas au gouvernement "qui va sans doute ressembler au précédent. Nous ne partageons pas les positions politiques de cette majorité très étroite", et met en garde sur une éventuelle motion de censure.
"Pour qu’il n’y ait pas de censure du groupe socialiste, il faut des garanties sur l'état de droit, la justice fiscale, et puis des avancées des gestes sur les retraites, sur l’éducation nationale", indique-t-il encore.
Retailleau arrive à Matignon pour s'entretenir avec Bayrou
Le ministre de l'Intérieur démissionnaire Bruno Retailleau arrive à l'hôtel de Matignon pour s'entretenir avec le Premier ministre François Bayrou.
Retailleau estime que "les conditions ne sont pas réunies" pour une entrée de LR au gouvernement
Sur BFMTV et RMC, le ministre démissionnaire de l'Intérieur Bruno Retailleau estime que pour l'heure "les conditions ne sont pas réunies pour une entrée de LR au gouvernement."
"On essaiera de voir dans les jours prochains si un certain nombre d’obstacles sont levés", appuie-t-il.
"Il est évident que si ce gouvernement part à gauche alors qu’une majorité des Français sont de droite, et qu’en plus les Français qui votent à gauche sont moins à gauche sur les questions d’autorité que leurs propres députés, ce serait un comble", ironise-t-il.
Retailleau souhaite rester au gouvernement "si on (lui) donne les moyens" de mener "la politique que veut la majorité des Français"
Sur BFMTV et RMC, le ministre démissionnaire de l'Intérieur Bruno Retailleau dit ignorer s'il va conserver sa place au sein du gouvernement, alors qu'il doit rencontrer le Premier ministre François Bayrou à partir de 9h30. "Au moment où je vous parle je ne le sais pas et ça ne dépend pas de moi", affirme-t-il.
Cependant, ce dernier dit souhaiter vouloir conserver son poste, sous certaines conditions.
"Je ne pourrai rester au gouvernement que si je suis en mesure de mener la politique que veulent la majorité des Français, c'est à dire restaurer l’autorité, la fermeté et l'ordre public dans la rue et aux frontières", martèle Bruno Retailleau.
Et le ministre d'ajouter: "Je me suis fait une promesse: ne pas me trahir et ne pas tromper les Français. (...) J’ai commencé un travail que je souhaite mener à bien, je suis d’ailleurs heureux de voir que les mesures de fermeté proposées sont soutenues majoritairement par les Français de droite et de gauche."
"Bien sûr c'est le moment": Retailleau assume ses propos sur "la question migratoire" à Mayotte
Sur BFMTV et RMC, le ministre démissionnaire de l'Intérieur Bruno Retailleau est revenu sur son message publié mardi sur X, dans lequel il pointe du doigt la situation migratoire à Mayotte après le passage du cyclone Chido.
"Bien sûr c'est le moment. Je me suis rendu dans une réunion improvisée à la mairie de Mamoudzou où il y avait la population et des élus de l’île. Qu’est-ce qu’on m’a demandé? De ne pas recommettre les mêmes erreurs", dit-il.
"Si on reconstruit sur du sable, les même causes produiront les mêmes effets. On a laissé les Mahorais seuls devant leur malheur avec cette immigration incontrôlée. On ne peut pas faire comme avant", estime encore le ministre.
"Ça va être compliqué": Chenu critique les premiers jours de Bayrou comme Premier ministre
Sur Europe 1, le vice-président du Rassemblement national Sébastien Chenu revient sur les premiers jours de François Bayrou comme Premier ministre et son intervention de mardi face aux députés de l'Assemblée nationale hier.
"C’était poussif, pas très convaincant, ça n'envoie pas du rêve. J'avais l'impression d'être à un croisement entre Raymond Barre et Édouard Balladur, très décalé par rapport à la société d'aujourd'hui", dit-il.
Selon Sébastien Chenu, les débuts de François Bayrou à son poste ne sont pas "tout à fait ce qu'on attend d'un Premier ministre." "Je ne veux pas l’accabler, il prend ses marques, mais on sent que ça va être compliqué", ajoute-t-il.
Pour Tondelier, "les Français ont besoin qu'il y ait un pilote dans l'avion"
Invitée sur Public Sénat, la Secrétaire nationale des Écologistes - EELV a vivement critiqué le Premier ministre François Bayrou, indiquant que ce dernier a "raté ses premières 48h où vous devez nouer la confiance avec les Français."
"Les Français ont besoin qu’il y ait un pilote dans l’avion, de se dire d’accord ou pas d‘accord, mais au moins on a un Premier ministre", estime-t-elle.
"Je pense que les entrées en matière ratées ne se rattrapent pas. Un Premier ministre pour être connecté doit avoir travaillé, doit faire ses courses au supermarché, c’est ça connaître la vie des Français, pas être maire. La rencontre avec les Français n’a pas marché", souligne encore Matine Tondelier.
Marine Le Pen se dit prête "à une présidentielle anticipée" en cas de démission de Macron
La présidente du groupe Rassemblement national à l'Assemblée nationale a déclaré ce mardi 17 décembre au Parisien se "préparer à une présidentielle anticipée", dans le cas d'une démission du président de la République.
La leader d'extrême droite dit se préparer à cette hypothèse "par précaution, compte tenu de la fragilité d’Emmanuel Macron, du peu de leviers institutionnels qu’il lui reste."
"Sa situation est très fragile. Les problématiques pourraient même venir de son propre bloc central, qui pourrait être en désaccord avec son Premier ministre, ou des marchés financiers", a jugé Marine Le Pen.
Bruno Retailleau est invité de BFMTV et RMC à 8h30
Le ministre démissionnaire de l'Intérieur, Bruno Retailleau, est l'invité de BFMTV et RMC à 8h30 ce mercredi.
Il sera entre autres interrogé que la situation actuelle à Mayotte, archipel violemment frappé par le cyclone Chido.
Qui dans le gouvernement Bayrou? Retrouvez les dernières informations de BFMTV
Alors qu'il espère former un gouvernement d'ici les prochains jours, le Premier ministre François Bayrou poursuit ce mercredi ses consultations avec comme objectif de former une équipe qui ne sera pas censurée dès janvier par l'opposition.
Pour faire partie du Gouvernement Bayrou I, les critères sont relativement simples. Le Premier ministre veut une équipe de "poids lourds" avec des "personnalités d’expérience aux manettes", a appris BFMTV auprès de plusieurs sources.
Selon nos informations, François Bayrou a évoqué un équilibre par "tiers", avec un tiers du gouvernement issu de la droite, un tiers issu du centre et un tiers... de la gauche. Ce qui pourrait provoquer des remous au sein des Républicains.
François Bayrou annonce qu'il se rendra à Mayotte dès que son gouvernement "sera formé"
François Bayrou, présent à une soirée spéciale mardi en solidarité à la catastrophe qui a touché Mayotte, a annoncé qu'il se rendra sur l'archipel dès que son "gouvernement sera formé".
"Dès l'instant que le président de la République aura quitté (Mayotte), que le gouvernement sera formé, j'irai évidemment pour mobiliser la totalité des moyens de l'État",a déclaré le Premier ministre.
Emmanuel Macron et François Bayrou se sont entretenus ce mardi
Le président de la République Emmanuel Macron et le Premier ministre François Bayrou se sont entretenus à nouveau mardi soir alors que le chef du gouvernement poursuit ses consultations avec la plupart des forces politiques représentées à l'Assemblée nationale.
Le député Mathieu Lefèvre souhaite un accord de non-censure pour "ne plus dépendre du maître-chanteur qu'est le RN"
Mathieu Lefèvre, député de la coalition présidentielle, soutient l'objectif d'un accord de non-censure entre le futur gouvernement de François Bayrou et la plupart des oppositions à l'Assemblée nationale. Un "objectif" afin de "ne plus dépendre du maître-chanteur qu'est le Rassemblement national et qui peut décider de baisser le pouce à un moment qui lui sied", a déclaré le député sur BFMTV.
Le parlementaire a notamment salué les propos du maire socialiste de Saint-Ouen Karim Bouamrane et son appel à la stabilité du pays.