Présidentielle et Covid-19: l'exécutif assure qu'il "n'y a pas de danger à aller voter"

Une carte électorale. - -
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Ce direct consacré à l'actualité politique de ce mardi est terminé. Merci de nous avoir suivi sur BFMTV.com.
"Son bilan est occulté", Pécresse accuse Macron de vouloir "escamoter l'élection"
Dans une interview accordée ce mardi au quotidien 20 Minutes, Valérie Pécresse a vivement critiqué la campagne du président de la République Emmanuel Macron, "son bilan est occulté", attaque-t-elle.
"Là, c’est 'circulez, il n’y a rien à voir'. On ne peut pas parler de la hausse des violences, de l'immigration, de pouvoir d’achat, de souveraineté énergétique… Il veut escamoter l’élection et être élu par tacite reconduction. Il a d’ailleurs donné ordre à ses ministres de refuser tout débat avec moi", assure la candidate.
Dans la suite de son propos, Valérie Pécresse l'assure, "je suis la vraie droite." Pour elle, Emmanuel Macron n'est "pas de droite sur l’ordre, il n’est pas de droite sur les baisses d’impôts, il n’est pas de droite sur la valorisation du travail." Selon elle, sa candidature est synonyme de courage politique.
"Ça a toujours été la droite parce que c’est la seule famille politique qui a le courage d’aller faire des grandes réformes pour le pays", avant d'une nouvelle fois attaquer le chef d'État. "Je le crois, oui", martèle-t-elle a la question d'un manque de courage qui aurait empêché ce dernier de mettre en place sa réforme des retraites lors de son premier mandat.
A Roubaix, Pécresse de retour sur le terrain après le Covid-19
Après quatre jours à l'isolement, la candidate LR s'est rendue dans un quartier de Roubaix devenu un symbole de la montée de l'islamisme pour y promettre plus de sécurité. "Il était important d'avoir une séquence républicaine", a-t-elle justifié.
"Dans cette campagne, il faut parler de la République qui est partout chez elle et lutte contre tous les phénomènes, que ce soit les guerres de bandes ou les phénomènes d'islamisme radical", a-t-elle martelé, épaulée par Xavier Bertrand.
La visite s'est conclue près d'une des librairies citées dans un reportage de M6, qui avait fait grand bruit en révélant la vente de poupées sans visage dans certains commerces. Mais à l'arrivée de la candidate, le rideau métallique achève de se fermer. "L'effet Pécresse-Bertrand", raille-t-elle, avant de déplorer que "rien n'ait été fait depuis le reportage".
Quelques heures auparavant, à Marcq-en-Baroeul où elle intervenait devant des entrepreneurs, Valérie Pécresse avait assuré vouloir "reconstruire des quartiers avec de la mixité sociale réelle, de la sécurité et de l'ascenseur social."
Emmanuel Macron lance son "univers" dans le jeu vidéo Minecraft
Une mairie pour vérifier son inscription sur les listes électorales, un palais des congrès où se tiennent les meetings et même un QG: l'équipe de campagne d'Emmanuel Macron a inauguré mardi son "univers" dans le jeu vidéo en ligne Minecraft, qu'il veut "civique et politique".
La plateforme interactive, propriété du géant Microsoft, revendique 126 millions d'utilisateurs dans le monde dont 24 millions en France. Le jeu permet notamment de construire des villes virtuelles et d'interagir entre joueurs.
"Le public, ce sont les 15-20 ans, une population à laquelle ne s'intéressent pas forcément les politiques", relève l'équipe de campagne du candidat, qui entend "faire participer au débat civique du moment", tout en affirmant être "très modeste sur cette initiative".
"C'est glissant mais on tient": Yannick Jadot lance son sprint final en Bretagne
"C'est glissant mais on tient", s'exclame mardi l'écologiste Yannick Jadot, englué dans la vase sur la plage de Hillion, près de Saint-Brieuc, où il est venu parler du fléau des algues vertes et se projette "en mouvement" vers le premier tour. Dans les sondages aussi, le candidat vert est encalminé, autour des 6% d'intentions de vote, loin de son concurrent à gauche Jean-Luc Mélenchon qui tente de lui soutirer quelques points de vote utile pour rallier, au soir du 10 avril, le second tour de la présidentielle.
"Attention, il ne faut pas tomber", lance un militant local à l'eurodéputé qui peine à revenir d'un tour dans la vase pour les besoins des caméras.
"Nous on a les pieds dans la terre, dans les éléments", s'amuse Yannick Jadot. "C'est glissant mais on tient, et on avance", ajoute-t-il, bien conscient de la métaphore pour sa propre campagne.
Pour la dizaine de jours qui les séparent du premier tour, les écologistes ont prévu des déplacements tous azimuts: "chaque jour, une matinale radio, puis un déplacement", confie son entourage. "Pour fournir des images aux télés qui en ont besoin".
Malgré la hausse des contaminations, l'exécutif se veut rassurant: "Il n'y a pas de danger à aller voter"
Un Conseil de défense consacré au Covid-19 a eu lieu ce matin, avec en ligne de mire l'élection présidentielle. Un protocole sanitaire dédié au scrutin doit être dévoilé d'ici la fin de la semaine.
"Il n'y a pas de danger à aller voter", insiste l'exécutif, malgré la hausse du nombre de contiminations. "Il n'y a pas de hausse des admissions en soins critiques", tempère-t-on au sommet de l'État: "C'est un rebond, pas une vague."
Vraie crainte ou élément de langage? Le risque d'abstention de l'électorat Macron divise les marcheurs
Certains à la République en marche craignent l'abstention des électeurs de la République en marche comme Edouard Philippe et Bruno Le Maire.
"Les gens nous disent 'on le soutient' quand on discute avec eux. Mais vont-ils vraiment aller voter? Je me pose vraiment la question... On flippe pour de vrai", explique de son côté le député Sacha Houlié (LaRem) à BFMTV.com.
D'autres, dans l'entourage du candidat, ne dramatisent pas son érosion dans les sondages et croient plus que jamais à un très bon score au premier tour.
On vous résume ici l'ambiance autour du candidat à moins de 12 jours du premier tour.
Jadot accuse Mélenchon "d'abandonner les Ukrainiens à la tyrannie de Poutine"
Yannick Jadot qui est distancé dans les sondages par Jean-Luc Mélenchon attaque le candidat insoumis sur ses proximités supposées avec la Russie.
"Ce moment de guerre est très révélateur des principes, des valeurs (...) entre ceux qui défendent la démocratie partout (...) et certains qui considèrent que la démocratie c’est important chez soi mais quand c’est les autres ça peut être relativiser" a estimé le représentant d'Europe Ecologie Les Verts ce midi sur LCI.
Il a également accusé le député de la France insoumise "d'abandonner les Ukrainiens à la tyrannie de Poutine (…) sous couvert de neutralité et de paix".
Fabien Roussel propose des colonies de vacances au Fort de Brégançon, la résidence d'été des présidents
Le candidat communiste a expliqué ce matin vouloir installer des colonies de vacances pour les enfants au Fort de Bregançon, la résidence d'été des présidents.
Anne Hidalgo accuse Emmanuel Macron de faire "le grand dépassement de la droite par la droite"
Alors qu'Emmanuel Macron veut conditionner le RSA à 15 ou 20 heures d'activité en cas de réélection, Anne Hidalgo y est fermement opposée.
"Il saute à cloche-pied avec son pied droit et il fait le grand dépassement de la droite par droite", accuse la candidate du Parti socialiste ce matin sur France inter.
"Macron assassin": Louis Aliot accuse Eric Zemmour de "mettre le feu aux poudres"
Louis Aliot est revenu sur la polémique autour des propos tenus lors du meeting d'Eric Zemmour par des sympathisants.
"Ce sont des propos outranciers. On peut avoir de la critique pour un adversaire politique (...). On sent bien que la société est fragile et ce n'est pas la peine de mettre systématiquement le feu au poudre", estime le maire RN de Perpignan ce matin sur CNEWS.
Affaire McKinsey: Zemmour dénonce un Macron "soumis aux Américains" et l'accuse d'avoir "renvoyé l'ascenseur avec l'argent public"
Alors que l'exécutif est rattrapé par une polémique autour de la consultation du cabinet conseils McKinsey, Eric Zemmour a commenté: "On donne aux Américains des informations précieuses sur la haute administration, notre politique de la Santé". Il a dénoncé la "soumission d'Emmanuel Macron aux Etats-Unis".
Il a alors accusé: "McKinsey a participé gratuitement à la campagne d’Emmanuel Macron en 2017". "On peut accuser Macron d’avoir renvoyé l’ascenseur en leur donnant de l’argent public", a avancé ric Zemmour.
"Si je suis élu, les Corses seront fiers d'être Français", promet Eric Zemmour
"Si je suis élu, les Corses seront de nouveau fiers d'être Français", a promis Eric Zemmour qui a jugé que le régionalisme s'accroissait sur l'île à mesure que l'identité française cessait d'être "respectée".
"Ce désespoir de la France est le lot de tous les Français", a-t-il adit, ajoutant: Le combattre, "c’est le sens de ma candidature", a-t-il assuré.
EHPAD: après le scandale Orpéa, Nathalie Arthaud veut exproprier les groupes privés
Après le scandale Orpéa, Nathalie Arthaud propose d'exproprier les groupes privés qui dirigent les EHPAD en France.
Corse, Sevran: Zemmour voit dans les violences les exemples "typiques de la désintégration du pays"
Après les violences - de registres différents - des derniers jours en Corse et à Sevran, en région parisienne, Eric Zemmour a dénoncé des cas "typiques de la désintégration du pays". "Je comprends bien la mentalité corse, un peuple romain", a-t-il affirmé, enchaînant: "Les Corses n’admirent plus une France décadente donc ils veulent s’en libérer".
"Sevran n’est plus la France, un autre droit y règne appliqué par des milices et les imams", a-t-il jugé d'autre part.
Recours à McKinsey: "si Macron écoutait, il n'en aurait pas besoin", juge Nathalie Arthaud
Un rapport du Sénat a mis en cause le recours du gouvernement à McKinsey, un cabinet de conseil anglosaxon. Les sénateurs ont également regretté l'optimisation fiscale qu'utilise le groupe.
"S'il écoutait les travailleurs à l'école, à l'hôpital, il n'aurait pas besoin de ce cabinet. Il ne veut pas écouter la population. Ce sont nous les experts", a jugé Nathalie Arthaud ce matin sur BFMTV.
Eric Zemmour estime qu'il n'est plus temps de "réformer" mais qu'il s'agit de "sauver" la France
Sur Europe 1, Eric Zemmour a avancé: "Il n’est plus temps de réformer la France, il faut la sauver". "La Ve République est faite pour ça", s'est-il félicité.
Faisant de cette présidentielle, un enjeu de "civilisation", il a appelé à "arracher la France aux partis, au gouvernement des juges, aux institutions européennes".
Zemmour jure qu'il n'abandonnera pas les militants de "Reconquête!" en cas de défaite
Et s'il perdait toutefois, comme le lui promettent les sondages ? "En quatre mois, on a construit un parti de 120.000 adhérents. Ça a sidéré les observateurs honnêtes", a rétorqué Eric Zemmour: "Je ne vais pas les abandonner".
Baisse de 18 centime par litre de carburant: "c'est dérisoire", avance Nathalie Arthaud
Alors que la baisse des 18 centimes d'euro par litre sera déployée le 1er avril, Nathalie Arthaud est peu convaincue par ce geste gouvernemental.
"C'est dérisoire. (...) Il faut augmenter les salaires, c'est la seule solution", a avancé la candidate de Lutte ouvrière ce matin sur BFMTV.
S'il n'est pas élu, Zemmour assure que la France deviendra un "Liban en grand" marquée par la "corruption, la misère, l'islamisation et la violence"
Selon lui, ce sera lui ou le chaos. Eric Zemmour a jugé que s'il n'était pas élu président de la République "le Liban en grand sera l’avenir de la France". "La France sera perdu", a-t-il ajouté plus tard.
Il a alors cité les "conséquences" de cette "libanisation" selon lui: "corruption, misère, islamisation, affrontements de bandes ethniques".
"Avec Le Pen au second tour, tout sera bloqué": Zemmour fait valoir sa capacité à rallier des personnalités de droite pour convaincre
Le candidat de "Reconquête!" a une nouvelle fois tenté de damer le pion à sa rivale à l'extrême droite en misant sur sa faculté hypothétique à réaliser une union des droites.
"Admettons que Marine Le Pen soit au second tour, que se passera-t-il ? Aura-t-elle un ralliement de la droite LR ? Non et la situation restera bloquée. Macron gagnera et les dirigeants de LR seront soulagés, pourront garder leur boutique".
Zemmour admet "avoir baissé dans les sondages" mais indique d'autres "signes" l'incitant à l'optimisme
"J’ai baissé dans les sondages, je ne le nie pas", a admis Eric Zemmour sur Europe 1 mais a enchaîné: "Les sondeurs sont perdus, l'abstention fausse tout".
Il a d'aqilleurs dit se fier à d'autres "signes" plus positifs pour sa campagne, citant l'"enthousiasme dans (ses) meetings", assurant que 7 millions de personnes l'avaient écoutés au Trocadéro dimanche via Internet. "Je fais les plus grosses audiences", a-t-il poursuivi.
"Une droite de droite qui en a marre d'être trahie": Zemmour définit la "droite Trocadéro"
Eric Zemmour a défini ce que serait son électorat qu'il a baptisé la "droite Trocadéro".
"La droite Trocadéro qu'est-ce que c'est?" a-t-il introduit: "Une droite de droite qui en a marre d’être trahie par des gens soi-disant de droite qui sont en fait des centristes". Il a alors fait de Valérie Pécresse une de ces "centristes" et de Marine Le Pen une "socialiste en économie".
"Macron assassin": Marion Maréchal dénonce "une grande lassitude" des Français
Soutien d'Eric Zemmour et présente ce dimanche au meeting du Trocadéro, Marion Maréchal est revenu sur la polémique autour de la phrase "Macron assassin".
"Si une foule pacifique scande ce genre de choses, c'est qu'il y a une grande lassitude et indignation sur ce qu'il se passe en France, notamment sur le plan sécuritaire", a jugé l'ancienne députée ce matin sur Sud Radio.
"Macron assassin": le président "n'a jamais fait de meeting devant 100.000 personnes", tacle Eric Zemmour qui répète n'avoir "rien entendu"
Dénonçant une polémique "surdimensionnée" au micro d'Europe 1 dont il est l'invité ce matin, Eric Zemmour a réagi à la controverse née de son meeting dimanche au Trocadéro quand ses partisans ont, pour certains, crié "Macron assassin".
"Il n'a jamais fait de meeting devant 100.000 personnes, on n’entend rien", a taclé Eric Zemmour après qu'Emmanuel Macron lui a conseillé hier de porter des prothèses auditives. "Sur le fond, il a beau employer un ton railleur, révélateur de son mépris des Français", a-t-il poursuivi.
Le candidat a enchaîné: "Pourquoi les gens ont crié ça ? Je parlais de gens qui ont vu leur vie être brisée par le jihadisme". "Il se moque des Français et de leurs souffrances", a-t-il ajouté.
"Les Français considèrent que l’Etat est responsable de ce qui leur arrive donc oui il y a des cris excessifs, évidemment pas qu’il ne faut pas dire ça mais l’important n’est pas là. La vérité est que c’est grave pour lui et pour ce qu’il est", a martelé Eric Zemmour.
"Macron assassin": Nicolas Dupont-Aignan dénonce une "polémique débile"
Nicolas Dupont-Aignan est revenu sur "Macron assassin", la phrase scandée par des partisans d'Eric Zemmour lors de son meeting au Trocadéro.
"J’en ai assez de ces polémiques débiles. Je suis en désaccord avec l’esprit qui règne dans ses meetings mais c'est la seule chose dont vous parlez à longueur d'antenne. Vous victimisez le président", a estimé le candidat de Debout la République sur RTL ce matin.
Présidentielle: "cette élection est truquée de A à Z", avance Nicolas Dupont-Aignan
Nicolas Dupont-Aignan jette un regard sévère sur la présidentielle.
"Cette élection est truquée de A à Z sur les parrainages (...). Jamais on n'a aussi peu abordé les problèmes, jamais on n'a eu autant de propagande pour Macron", a estimé le candidat de Debout la République sur RTL, dans un entretien très tendu avec les journalistes.
Nicolas Dupont-Aignan ce mardi à Forbach avec Florian Philippot
Le candidat souverainiste ira ce mardi à Forbach, dans le Grand Est, pour organiser un meeting à partir de 18h30 avec Florian Philippot, ancien numéro 2 du Front National, qui l'a rejoint faute d'avoir pu présenter sa candidature.
Jean Lassalle dénonce une campagne "caviardée"
Le candidat Résistons! à l'élection présidentielle a dénoncé l'organisation d'un débat avec six candidats "plus médiatisés" que lui sur Europe 1, alors que la campagne officielle signifie l'égalité des temps de parole à la radio et à la télévision.
Emmanuel Macron devant les médaillés aux Jeux olympiques
Emmanuel Macron, qui a enfilé son costume de candidat lundi à Dijon pour son premier vrai déplacement de terrain depuis l'annonce de sa candidature, retrouve, ce mardi, un agenda "présidentiel."
Il présidera dans la matinée un Conseil de défense sanitaire, au moment où l'épidémie de Covid connaît un rebond, et doit s'entretenir au téléphone avec le président russe Vladimir Poutine à propos de l'évacuation de civils de Marioupol, en Ukraine.
Le chef de l'État doit également recevoir à l'Élysée les athlètes français médaillés aux Jeux olympiques et para-olympiques d'hiver.
Testée négative au Covid-19, Valérie Pécresse reprend sa campagne
Après plusieurs jours de campagne à distance, à cause d'une contamination au Covid-19, Valérie Pécresse va pouvoir reprendre son programme comme prévu. La candidate a été testée négative ce lundi.
Elle est attendue ce mardi dans la métropole lilloise, où elle rencontrera des chefs d'entreprise sur le thème du pouvoir d'achat.
Entre Macron et Le Pen, l'écart se resserre dans les sondages
Selon le dernier rolling Ifop publié ce lundi, l'écart entre le président sortant et la candidate du Rassemblement national se resserre. En effet, Emmanuel Macron serait crédité de 53% des voix en cas d'affrontement au second tour avec Marine Le Pen (47%).
Début janvier, Emmanuel Macron était donné à 58%, contre 42% pour sa rivale.
Pour le président de la République, l'écart se réduit également avec Jean-Luc Mélenchon. En cas de second tour, l'insoumis obtiendrait 40,5%, soit six points de plus que son score mesuré le 10 mars.
Nathalie Arthaud invitée de "Questions de confiance" sur BFMTV-RMC
La candidate de Lutte ouvrière répondra aux questions d'Apolline de Malherbe à partir de 8h30 sur BFMTV-RMC dans "Questions de confiance", le nouveau rendez-vous quotidien de cette campagne présidentielle.
Dans les autres matinales, les invités politiques seront:
• à partir de 7h20, sur RFI: Philippe Poutou (NPA)
• à partir de 7h35, sur RTL: Nicolas Dupont-Aignan (DLF)
• à partir de 7h38, sur France 2: Christian Estrosi (LREM)
• à partir de 8 heures, sur Public Sénat: Delphine Batho (EELV)
• à partir de 8h15, sur Europe 1: Éric Zemmour (R!)
• à partir de 8h15, sur Sud Radio: Marion Maréchal (R!)
• à partir de 8h20, sur France Inter: Anne Hidalgo (PS)
• à partir de 8h30, sur France Info: Fabien Roussel (PCF)
Bonjour à tous!
Et bienvenue sur ce live consacré à l'actualité de la campagne présidentielle de ce mardi.