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Guerre en Ukraine: Volodymyr Zelensky évoque des signaux "positifs" lors des pourparlers

Guerre en Ukraine: Volodymyr Zelensky évoque des signaux "positifs" lors des pourparlers

Volodymyr Zelensky, le 21 mars 2022 à Kiev

Ce mardi marque le 34e jour de l'offensive russe contre l'Ukraine. Au terme d'un entretien téléphonique entre Emmanuel Macron et son homologue Vladimir Poutine, l'Elysée a déclaré qu'il n'était pas encore possible de mettre en place une aide humanitaire à Marioupol.

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À l'ONU, la Russie accusée d'avoir provoqué une "crise alimentaire mondiale"

Devant le Conseil de sécurité de l'ONU, la Russie a été accusée ce mardi d'avoir provoqué une "crise alimentaire mondiale" voire de faire courir un risque de "famine" en ayant déclenché une guerre contre l'Ukraine, le "grenier à blé de l'Europe".

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Le point sur la situation à 00h30

Volodymyr Zelensky évoque des signaux "positifs" lors des pourparlers russo-ukrainiens de mardi. Il a cependant expliqué qu'il ne comptait pas "relâcher" les efforts militaires de ses troupes.

Une opération humanitaire à Marioupol pas possible "à ce stade", annonce l'Elysée après l'échange entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron. Le président russe a expliqué qu'il allait "réfléchir" aux demandes françaises.

Washington évoque un "repositionnement" des forces russes près de Kiev, "pas un vrai retrait". Les annonces de Moscou ne signifient donc pas que "la menace contre Kiev" est terminée selon les États-Unis.

Johnson, Biden, Macron, Scholz et Draghi mettent en garde contre tout "relâchement de la détermination occidentale". Les dirigeants se sont donc mis d'accord pour maintenir les sanctions contre la Russie jusqu'à la fin du conflit en Ukraine.

La levée des sanctions contre la Russie "envisageable qu'une fois la guerre terminée" selon Zelensky

La levée des sanctions occidentales contre la Russie "ne peut être envisagée qu'une fois la guerre terminée", a déclaré mardi le président ukrainien Volodymyr Zelensky, quelques heures après une nouvelle session de pourparlers russo-ukrainiens en Turquie.

"Il ne faut pas s'attendre à ce que les négociations (entre Kiev et Moscou) entraînent la levée des sanctions contre la Fédération de Russie. Cette question-là ne peut être envisagée qu'une fois la guerre terminée et que nous aurons récupéré ce qui est à nous", a assuré Volodymyr Zelensky dans une vidéo postée sur Telegram.

Volodymyr Zelensky assure que l'Ukraine "n'a pas l'intention de relâcher" ses efforts militaires

Le président Volodomyr Zelensky a assuré ce mardi que l'Ukraine "n'a pas l'intention de relâcher" ses efforts militaires face à la Russie.

Volodymyr Zelensky évoque des signaux "positifs" lors des pourparlers russo-ukrainiens de mardi

Les signaux en provenance des négociations russo-ukrainiennes de mardi en Turquie sont "positifs", mais l'Ukraine n'a pas pour autant "l'intention de relâcher" ses efforts militaires, a déclaré le président ukrainien Volodymyr Zelensky.

"Nous pouvons dire que les signaux que nous entendons dans les négociations sont positifs, mais ils ne taisent pas les explosions ou les obus russes", a-t-il dit dans un message-vidéo posté sur Telegram. "L'armée russe a toujours un potentiel important pour poursuivre les attaques contre notre État", a-t-il relevé.

Washington évoque un "repositionnement" des forces russes près de Kiev, "pas un vrai retrait"

Les forces russes autour de Kiev ont entamé un "repositionnement" mais "pas un vrai retrait", a affirmé mardi le porte-parole du ministère américain de la Défense, John Kirby.

"Nous pouvons confirmer que nous avons vu un petit nombre" de troupes "commencer à se repositionner", a-t-il dit devant la presse. Mais "nous devons être prêts à voir une offensive majeure contre d'autres zones d'Ukraine" et "cela ne signifie pas que la menace contre Kiev est terminée", a-t-il prévenu.

Johnson, Biden, Macron, Scholz et Draghi mettent en garde contre tout "relâchement de la détermination occidentale"

Les dirigeants britannique, américain, français, allemand et italien ont mis en garde mardi, lors d'une conversation téléphonique, contre tout "relâchement de la détermination occidentale" face à l'invasion russe de l'Ukraine, selon Downing Street.

Boris Johnson, Joe Biden, Emmanuel Macron, Olaf Scholz et Mario Draghi "sont convenus qu'il ne pouvait y avoir aucun relâchement de la détermination occidentale tant que l'horreur infligée à l'Ukraine ne serait pas terminée", a indiqué un porte-parole du Premier ministre britannique dans un communiqué.

Une opération humanitaire à Marioupol pas possible "à ce stade", annonce l'Elysée après l'échange Macron/Poutine

Les conditions pour lancer dans les prochains jours une opération humanitaire au secours des habitants de la ville ukrainienne de Marioupol, assiégée par l'armée russe, ne "sont pas réunies à ce stade", a annoncé l'Elysée après un entretien entre les présidents Emmanuel Macron et Vladimir Poutine.

Le chef de l'Etat français a présenté cette opération d'évacuation - proposée par la France, la Turquie et la Grèce - à son homologue russe qui a dit "qu'il allait y réfléchir" avant de donner une réponse, a ajouté la présidence.

Les "nationalistes" ukrainiens à Marioupol doivent "déposer les armes", dit Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a affirmé mardi que les forces ukrainiennes défendant le port stratégique de Marioupol, assiégé depuis des semaines par les troupes de Moscou, doivent se rendre pour permettre de venir en aide aux civils sur place.

"Pour trouver une solution à la situation humanitaire difficile dans cette ville, les combattants nationalistes ukrainiens doivent arrêter de résister et déposer les armes", a indiqué Vladimir Poutine, selon un communiqué du Kremlin résumant un échange téléphonique avec son homologue français Emmanuel Macron.

Un nouveau bilan fait état de neuf morts et 28 blessés à Mykolaïv

Neuf personnes ont été tuées et 28 autres blessées dans la frappe russe à Mykolaïv. C'est le dernier bilan annoncé en fin de journée ce mardi par le parquet général ukrainien. Un précédent bilan donné par le président ukrainien Volodymyr Zelensky un peu plus tôt faisait état de sept morts et 22 blessés.

Dans l'après-midi, les pelles mécaniques déblayaient toujours laborieusement le monticule de gravats de l'imposant bâtiment de l'administration régionale, éventré par la frappe.

Le point sur la guerre en Ukraine à 18 heures:

· Emmanuel Macron et Vladimir Poutine échangent en ce moment par téléphone. Plus tôt ce mardi, le président français avait eu un entretien avec Joe Biden et plusieurs dirigeants européens au sujet de l'Ukraine.

· La Russie annonce réduire "radicalement" ses opérations dans les régions de Kiev et Tcherniguiv: à l'issue de nouveaux pourparlers russo-ukrainiens qui se sont tenus ce mardi à Istanbul, la Russie a assuré vouloir réduire son activité militaire dans ces zones. Une annonce reçue avec prudence par Washington et Londres.

· Les conditions sont "suffisantes" pour une rencontre Zelensky-Poutine, selon le négociateur ukrainien: une demande qui date de plusieurs jours côté ukrainien, sans effet jusqu'ici. La Turquie, organisatrice des pourparlers ce mardi, a salué les progès "les plus significatifs" depuis le début de la guerre.

· Au moins sept morts et 22 blessés dans une frappe russe à Mykolaïv: le bombardement a partiellement détruit le bâtiment de l'administration régionale de Mykolaïv, dans le sud de l'Ukraine.

· Decathlon annonce la "suspension" de ses activités en Russie: l'enseigne du groupe Mulliez a expliqué son retrait dans un communiqué, tout en précisant qu'elle continuera à accompagner ses "2500 coéquipiers russes qui, pour certains, sont investis dans l’entreprise depuis 2006".

Risque nucléaire: la Roumanie va distribuer des comprimés d'iode à sa population

La Roumanie, pays frontalier de l'Ukraine, va distribuer gratuitement la semaine prochaine des comprimés d'iode à sa population. Le but selon le gouvernement: "préparer" les habitants face à un éventuel incident nucléaire lié à l'invasion russe.

"Nous ne pouvons pas exclure totalement" ce risque et "on sait qu'en cas d'accident, on n'a pas le temps de distribuer les pilules", a déclaré le ministre de la Santé Alexandru Rafila lors d'une conférence de presse.

Le ministre a également insisté sur le fait que ces pastilles "ne doivent pas être prises de manière préventive", annonçant le lancement prochain d'une campagne d'information.

L'entretien téléphonique est "en cours" entre Macron et Poutine

Selon l'Elysée, le nouvel entretien téléphonique entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine au sujet de l'Ukraine est actuellement "en cours", au moment où Washington et Londres ont exprimé des doutes sur l'annonce d'avancées dans les discussions entre Kiev et Moscou à Istanbul.

Le président français Emmanuel Macron avait auparavant déclaré qu'il voulait discuter avec son homologue russe "pour sécuriser l'opération humanitaire à Marioupol", précisant que l'objectif était de la lancer "dans les tout prochains jours", en reprochant à la Russie un "non-respect du droit humanitaire international".

Après les négociations, Londres dit vouloir juger Moscou "sur ses actes, pas ses paroles"

Le gouvernement britannique a averti mardi la Russie qu'il la jugerait "sur ses actes, pas ses paroles" après l'annonce par Moscou d'une réduction "radicale" de ses activités militaires en direction de Kiev et Tcherniguiv, dans le nord-est de l'Ukraine, à l'issue des pourparlers en Turquie.

"Nous jugerons Poutine et son régime sur ses actes, pas ses paroles", a déclaré un porte-parole du Premier ministre Boris Johnson aux journalistes.

Washington ne voit pas de signes de "réel sérieux" de Moscou dans les négociations

Les Etats-Unis doutent encore du "réel sérieux" de la Russie dans les négociations avec l'Ukraine, a affirmé mardi le secrétaire d'Etat américain Antony Blinken après l'annonce d'avancées dans les discussions entre Kiev et Moscou à Istanbul.

"Je n'ai rien vu qui puisse suggérer qu'il y a un véritable mouvement parce que nous n'avons pas vu de signes de réel sérieux de la part de la Russie", a déclaré le secrétaire d'Etat, en visite au Maroc, lors d'une conférence de presse.

Le soldat ukrainien qui avait envoyé un navire russe "se faire foutre" est de retour chez lui

Roman Hrybov est devenu un héros en Ukraine. Il est celui qui avait répondu aux sommations d'un navire de guerre russe, le 25 février dernier, en leur disant "d'aller se faire foutre", sur l'île au Serpents.

Après avoir été faits prisonniers, lui et ses camarades sont de retour au pays.

Près d'Irpin, l'évacuation des civils se poursuit dans la difficulté

L'envoyé spécial de BFMTV Benoît Sarrade, depuis un poste proche d'Irpin, a pu échanger avec Nicolas Bourbouze, un ambulancier français qui multiplie les trajets pour évacuer les civils toujours présents sur place. Celui-ci évoque une situation "très tendue":

"Ca fait deux jours qu'il y a énormément de bombardements au niveau des parkings où l'on stationne les ambulances pour évacuer les civils", témoigne Nicolas Bourbouze.

Interrogé sur la dangerosité de sa présence ici, l'ambulancier assure que les populations civiles ont "besoin de nous". Selon plusieurs observateurs sur place, les forces ukrainiennes seraient parvenues à repousser l'armée russe dans la ville.

Après les pourparlers, la Turquie salue les "progrès les plus significatifs" depuis le début de la guerre

A l'issue des pourparlers entre la Russie et l'Ukraine qui se sont tenus ce mardi à Istanbul, le ministre turc des Affaire étrangères Mevlüt Cavusoglu a salué "les progrès les plus significatifs" réalisés depuis le début de la guerre en Ukraine, précisant que les discussions ne reprendraient pas mercredi.

"Il s'agit des progrès les plus significatifs depuis le début des négociations", a estimé le ministre au terme de trois heures de discussions entre les délégations russe et ukrainienne.

Un nouvel échange entre Joe Biden et des dirigeants européens ce mardi

Le président américain Joe Biden s'entretiendra à nouveau avec des dirigeants européens mardi au sujet de la guerre en Ukraine, a annoncé la Maison Blanche.

L'appel téléphonique, prévu à 15h15 heure française, avec les dirigeants français, britannique, allemand et italien, vise à "discuter des derniers développements concernant l'invasion russe de l'Ukraine", a précisé un porte-parole.

L'Elysée a également confirmé cet échange pour Emmanuel Macron, qui interviendra juste avant celui qu'il aura avec Vladimir Poutine.

Les conditions sont "suffisantes" pour une rencontre Zelensky-Poutine, selon le négociateur ukrainien.

Selon le négociateur ukrainien présent à Istanbul, les conditions sont "suffisantes" pour envisager une rencontre entre Vladimir Poutine et Volodymyr Zelensky.

"Les résultats de la réunion d'aujourd'hui sont suffisants pour une rencontre au niveau des chefs d'Etat", a déclaré David Arakhamia.

Patrick Sauce, éditorialiste pour BFMTV sur les questions internationales, rappelle néanmoins que cette rencontre est une demande qui date de plusieurs jours côté ukrainien, sans effet jusqu'ici.

"La réponse du négociateur en chef russe: une rencontre entre Poutine et Zelensky est possible, mais seulement si un projet de traité est signé entre les deux parties." poursuit-il sur son compte Twitter.

La barre des 4 millions de réfugiés possiblement franchie dans les tout prochains jours, selon l'ONU

La barre symbolique des 4 millions de réfugiés ukrainiens pourrait être franchie dans les tout prochains jours au regard du dernier décompte de l'ONU, publié ce mardi.

Si le flux de réfugiés s'est nettement ralenti depuis le 22 mars, le Haut-commissariat aux réfugiés recensait exactement 3 millions 901.713 réfugiés ukrainiens sur son site internet ce mardi matin. Ce sont 38.916 de plus que lors du précédent pointage lundi.

Toujours selon l'ONU, plus de dix millions de personnes, soit plus d'un quart de la population, ont déjà dû quitter leur foyer depuis le début de l'invasion russe, soit en traversant la frontière pour trouver refuge dans les pays limitrophes, soit en trouvant refuge ailleurs en Ukraine.

Kiev demande un "accord international" pour garantir sa sécurité

L'Ukraine réclame un "accord international" pour garantir la sécurité du pays, dont seraient signataires plusieurs pays garants. C'est ce qu'a indiqué ce mardi le négociateur en chef ukrainien après plusieurs heures de pourparlers russo-ukrainiens à Istanbul. Et c'est la conditions pour que Kiev accepte de devenir neutre.

"Nous insistons pour qu'il s'agisse d'un accord international qui sera signé par tous les garants de la sécurité, a déclaré David Arakhamia. "Nous voulons un mécanisme international de garanties de sécurité où les pays garants agiront de façon analogue au chapitre 5 de l'Otan et même de façon plus ferme", a-t-il ajouté.

L'article 5 du traité de l'Alliance atlantique stipule qu'une attaque contre l'un de ses membres est une attaque contre tous.

Les pourparlers ont été "significatifs" selon le négociateur russe

Les pourparlers entre la Russie qui se sont tenus ce mardi à Istanbul se sont révélés "significatifs" selon le négociateur russe présent sur place.

La Russie annonce réduire "radicalement" ses opérations dans les régions de Kiev et Tcherniguiv

Alors que de nouveaux pourparlers russo-ukrainiens se tiennent ce mardi à Istanbul, la Russie a annoncé réduire "radicalement" son activité militaire dans les régions de Kiev et Tcherniguiv en Ukraine.

"Les négociations sur un accord sur la neutralité et le statut non-nucléaire de l'Ukraine entrant dans une dimension pratique (...), il a été décidé, pour accroître la confiance, de réduire radicalement l'activité militaire en direction de Kiev et Tcherniguiv", a déclaré à Istanbul le vice-ministre russe de la Défense, Alexandre Fomine.

Le chef de la délégation russe, Vladimir Medinski, a quant à lui fait état de "discussions substantielles" en Turquie.

Marseille: des réfugiés ukrainiens prêts à être accueillis à bord du "Méditerranée"

118 réfugiés ukrainiens sont arrivés par bus à la Joliette à Marseille ce mardi. Ils vont être logés sur le ferry "Le Méditerranée" de la compagnie Corsica Linea.

Deux bus de réfugiés ukrainiens sont arrivés ce mardi 29 mars à Marseille à proximité du ferry "Le Méditerranée"
Deux bus de réfugiés ukrainiens sont arrivés ce mardi 29 mars à Marseille à proximité du ferry "Le Méditerranée" © BFM Marseille

Le ferry pourra accueillir jusqu'à 1700 personnes et sera le plus grand centre d'accueil de réfugiés ukrainiens de France.

Ces derniers jours, le bateau a été réorganisé pour pouvoir héberger ces réfugiés, principalement des femmes et des enfants.

Au moins sept morts et 22 blessés dans la frappe russe à Mykolaïv

Au moins sept personnes ont été tuées et 22 autres blessées mardi dans la frappe russe ayant partiellement détruit le bâtiment de l'administration régionale de Mykolaïv, dans le sud de l'Ukraine, selon un nouveau bilan donné par le président ukranien Volodymyr Zelensky.

"Il n'y avait pas de visées militaires à Mykolaïv, les habitants de Mykolaïv ne présentaient aucune menace contre la Russie. Et malgré cela, comme tous les Ukrainiens, ils sont devenus les cibles des troupes russes", a-t-il affirmé lors d'une adresse au Parlement danois.

Ukraine: les attaques russes contre Marioupol sont un "crime contre l'humanité"

Les attaques russes contre Marioupol sont un "crime contre l'humanité", a dénoncé ce mardi le président ukrainien Volodymyr Zelensky dans un discours devant le Parlement danois.

"Ce que les troupes russes font à Marioupol est un crime contre l'humanité, qui se déroule en direct sous les yeux de la planète", a-t-il dit lors d'une intervention en visioconférence, les accusant de bombarder volontairement les abris des civils dans cette ville assiégée.

Decathlon annonce la "suspension" de ses activités en Russie

L'enseigne du groupe Mulliez annonce dans un communiqué susprendre ses activités en Russie.

"Respectant scrupuleusement les sanctions internationales, Decathlon constate que les conditions d'approvisionnement ne sont plus réunies pour poursuivre son activité en Russie. Decathlon est amené à suspendre l'exploitation de ses magasins".

Le géant français des articles de sport précise qu'il continuera à accompagner "nos 2500 Coéquipiers russes qui, pour certains, sont investis dans l’entreprise depuis 2006".

Appel entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine ce mardi à 16h30

En marge des négociations à Istanbul ce mardi, Emmanuel Macron et Vladimir Poutine s'entretiendront par téléphone à 16h30.

Le président français a déclaré qu'il voulait discuter avec son homologue russe "pour sécuriser l'opération humanitaire à Marioupol", précisant que l'objectif était de la lancer "dans les tout prochains jours", en reprochant à la Russie un "non-respect du droit humanitaire international".
Emmanuel Macron et Vladimir Poutine.
Emmanuel Macron et Vladimir Poutine. © GONZALO FUENTES, Mikhail Klimentyev / POOL / SPUTNIK / AFP

Au moins deux morts dans la frappe russe sur l'administration de Mykolaïv

Deux corps sans vie ont été sortis ce mardi matin des gravats après une frappe russe sur le bâtiment de l'administration régionale de Mykolaïv, ont constaté des journalistes de l'AFP.

Les autorités avaient annoncé précédemment que les secours cherchaient huit civils et trois militaires sous les décombres.

Le gouverneur régional de cette ville proche d'Odessa dans le sud-ouest de l'Ukraine, Vitaly Kim, a précisé sur Facebook que les secours cherchaient "huit civils et trois militaires" sous les décombres. Il a assuré que la plupart des personnes qui se trouvaient à l'intérieur au moment de la frappe étaient indemnes.

Le chef de l'AIEA en Ukraine pour discuter de la sécurité des sites nucléaires

Alors que des négociations sont en cours à Istanbul ce mardi matin entre russes et ukrainiens, le chef de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), Rafael Grossi, se trouve en Ukraine "pour des discussions avec des responsables du gouvernement" afin de fournir "une assistance technique" garantissant la sécurité des installations nucléaires, selon un communiqué de l'instance onusienne publié ce mardi.

"Le conflit militaire pose un danger sans précédent pour les centrales et autres sites du pays. Nous devons prendre des mesures urgentes pour nous assurer qu'elles continuent à fonctionner en toute sûreté et réduire le risque d'un accident", a déclaré Rafael Grossi, directeur général de l'Agence, cité par le communiqué.

Roman Abramovitch aperçu à Istanbul lors des négociations pour la paix entre la Russie et l'Ukraine

L'oligarque russe Roman Abramovitch, qui tente de jouer les médiateurs entre Moscou et Kiev pour faire cesser la guerre en Ukraine, est à Istanbul ce mardi 29 mars dans le cadre des négociations entre les deux pays.

Roman Abramovitch mardi 29 mars à Istanbul lors des négociations entre la Russie et l'Ukraine
Roman Abramovitch mardi 29 mars à Istanbul lors des négociations entre la Russie et l'Ukraine © BFM

Le milliardaire propriétaire du club de football anglais Chelsea est par ailleurs au coeur de l'actualité car il pourrait avoir été victime d'un empoisonnement comme le rapportaient ce lundi le Wall Street Journal, le Guardian et le site d'investigation Bellingcat.

L'administration régionale de Mykolaïv dans le sud touchée par une frappe russe en marge des négociations

Alors que les négociations viennent tout juste de s'ouvrir à Istanbul ce mardi matin peu après 9h30 entre la Russie et l'Ukraine à Istanbul, une frappe russe a touché le siège de l'administration régionale de Mykolaïv, ville proche d'Odessa qui connaissait un répit dans les bombardements ces derniers jours, a indiqué le gouverneur de cette région du sud de l'Ukraine sur Facebook.

"Le bâtiment de l'administration régionale touché", a écrit le gouverneur Vitaly Kim, assurant que la plupart des personnes se trouvant à l'intérieur étaient indemnes. "On cherche huit civils et trois militaires", a précisé le responsable.

Ouverture des pourparlers directs entre la Russie et l'Ukraine à Istanbul

Les pourparlers entre les délégations russe et ukrainienne à Istanbul ont commencé mardi peu après 9H30 heure de Paris, a rapporté l'agence officielle turque Anadolu.

Le maire de Marioupol en appelle à la communauté internationale pour la mise en place de couloirs humanitaires

Sur BFMTV ce mardi matin, Vadym Boytchenko a déclaré: "100.000 habitants sont encore sur place mais la ville est encerclée"

C'est pourquoi il en appelle à la communauté internationale pour la mise en place de couloirs humanitaires, dont trois ont été validés pour aujourd'hui en Ukraine selon la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk dans une vidéo diffusée sur Telegram.

Reprise des évacuations par les couloirs humanitaires après une suspension

L'Ukraine a annoncé ce mardi une reprise des évacuations de civils via trois couloirs humanitaires, notamment depuis la ville assiégée de Marioupol, après une journée de suspension par crainte de "provocations" russes.

"Trois couloirs humanitaires ont été validés pour aujourd'hui", a déclaré la vice-Première ministre ukrainienne Iryna Verechtchouk dans une vidéo diffusée sur Telegram.

Le maire de Marioupol sur BFMTV: "Les forces ukrainiennes continuent de tenir la ville, c'est une défense héroique"

Vadym Boytchenko s'est exprimé sur BFMTV ce mardi matin dans l'émission de Bruce Toussaint : "Les forces ukrainiennes continuent de tenir la ville, c'est une défense héroique"

Vadym Boytchenko, maire de Marioupol: "Au moins 300 personnes sont mortes dans le bombardement du théâtre"

Le maire de Marioupol, Vadym Boytchenko est l'invité de Bruce Toussaint ce matin sur BFMTV. A l'antenne il confirme :

"Au moins 300 personnes sont mortes dans le bombardement du théâtre"

"Les deux parties ont des préoccupations légitimes", affirme Erdogan devant les délégations à Istanbul

Alors que de nouvelles tractations débutent ce mardi à Istanbul pour tenter de mettre fin à la guerre en Ukraine, le président turc Recep Tayyip Erdogan s'est exprimé devant les délégations russes et ukrainiennes affirmant :

La Russie et l'Ukraine ont toutes deux "des préoccupations légitimes", a déclaré le président turc en accueillant les délégations de négociateurs des deux pays à Istanbul, les appelant à "mettre un terme à cette tragédie".

Les pourparlers entre les deux délégations doivent commencer après cette réception, dans le palais de Dolmabahçe à Istanbul où la présidence turque dispose de bureaux.

La neutralité de l'Ukraine, un des points importants des pourparlers russo-ukrainiens

Condition sine qua non russe à un éventuel accord de paix, désormais reprise par Kiev, la question d'une neutralité de l'Ukraine va obnubiler la nouvelle session de négociations entre les belligérants ce mardi en Turquie. Mais que signifierait une "neutralité" de l'Ukraine? Les exemples suédois, autrichien et suisse.

Les images à l'intérieur du théâtre en ruine de Marioupol, bombardé par l'armée russe

Trois semaines après le début de la guerre en Ukraine, le 16 mars dernier, le théâtre de Marioupol a été bombardé par l'aviation russe, faisant près de 300 morts selon les autorités locales. Le théâtre abritait des centaines de civils, et notamment des femmes et des enfants. Ici les images des murs noircis et du sol jonché de gravats.

Des pourparlers russo-ukrainiens s'ouvrent à Istanbul

De nouvelles tractations débutent ce mardi à Istanbul, tandis que les forces ukrainiennes affirment résister aux assauts russes sur de grandes villes et même avoir repris du terrain.

Les négociateurs russes sont arrivés ce lundi en Turquie, où une précédente séance de négociations avait déjà eu lieu le 10 mars, au niveau des ministres des Affaires étrangères, mais n'avait débouché sur aucune avancée. Les discussions se sont ensuite poursuivies par visioconférence.

Un des points importants des négociations porte sur "les garanties de sécurité et la neutralité, le statut dénucléarisé de notre État", a déclaré dimanche le président ukrainien Volodymyr Zelensky à des médias russes.

Le groupe Wagner déployé dans l'est de l'Ukraine

Des mercenaires russes du groupe Wagner se sont déployés dans l'est de l'Ukraine, a indiqué ce lundi le ministère britannique de la Défense, qui estime que plus de 1.000 combattants de la sulfureuse société paramilitaire pourraient être amenés à combattre dans le pays.

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Zelensky confirme "la libération" de la ville d'Irpin

Dans une vidéo diffusée sur les réseaux sociaux, le président ukrainien Volodymyr Zelensky confirme la libération d'Irpin, ville située à une vingtaine de kilomètres de la capitale.

"Aujourd'hui, nous avons de bonnes nouvelles. Nos soldats avancent dans la région de Kiev, et reprennent le contrôle du territoire ukrainien. Nous avons libéré Irpin. Bon travail."

Pour Amnesty International, l'invasion russe en Ukraine est une "répétition" de la guerre en Syrie

L'invasion russe en Ukraine est une "répétition" de la Syrie avec une "multiplication des crimes de guerre" depuis plus d'un mois de conflit, a alerté Amnesty International lors de la présentation ce mardi à Johannesburg de son rapport 2021-2022.

"Ce qui se passe en Ukraine est la répétition de ce qu'on a pu voir en Syrie", a déclaré la secrétaire générale de l'ONG, Agnès Callamard. "Nous sommes dans des attaques intentionnelles d'infrastructures civiles, d'habitations", des bombardements d'écoles, a-t-elle fustigé, accusant la Russie de permettre des couloirs humanitaires pour les transformer en un "piège mortel".

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Bonjour à tous!

Et bienvenue dans ce live consacré au 34e jour de la guerre en Ukraine.

Par BFMTV