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Google : moteur de recherche de Alphabet - Page 25

La révolution technologique au service des moyens de paiement

La révolution technologique au service des moyens de paiement

À San Francisco, Google teste le paiement sans les mains. Tout se fait à partir du smartphone, bien caché dans votre poche ou votre sac à main. L'application, baptisée Hands Free, vous géolocalise et se connecte à la caisse du magasin. Il suffit alors de dire "je paye avec Google" pour que le vendeur valide la transaction et votre compte est automatiquement débité. Demain c'est votre corps qui servira de moyen d'authentification. Les veines de la main, avec le système PalmSecure de Fujitsu: passez la paume de la main dans le terminal pour enregistrer la transaction. Les traits de votre visage, avec la technologie de reconnaissance faciale d'Uniqul. Mastercard, lui, teste le paiement par selfie. Le principe: à la caisse d'un magasin, vous prenez une photo de vous et c'est elle qui va permettre de valider le paiement. - Culture Geek, du vendredi 4 mars 2016, présenté par Anthony Morel, sur BFMTV.

Le fisc français réclame 1,6 milliards d'euros à Google

Le fisc français réclame 1,6 milliards d'euros à Google

Google est dans le viseur du fisc français, qui réclame au géant du web 1,6 milliards d'euros pour arriérés d'impôts. Sans être dans l'illégalité, Google a joué avec les règles en ayant eu recours à de l'optimisation fiscale agressive. Le groupe a fait remonter ses bénéfices au sein de filières irlandaise puis hollandaise, avant de les transférer vers des paradis fiscaux. Sur 10,7 milliards de bénéfices, sa filière hollandaise a payé 2,8 millions d'euros d'impôts en 2014. En France, Google profite de la fiscalité favorable de l'Irlande pour faire passer la plupart de ses contrats, ce qui lui a permis de ne payer que cinq millions d'euros d'impôts dans l'hexagone en 2014.

Atlas, un incroyable robot humanoïde signé Google

Atlas, un incroyable robot humanoïde signé Google

Du haut de son mètre soixante-quinze, il ressemble étrangement aux Stormtroopers de Star Wars. Une armature métallique blanche, des bras, des jambes... Il s'appelle Atlas. Capable de marcher, d'ouvrir des portes, de se baisser pour prendre un carton et même de réagir quand on vient l'embêter. Derrière ce petit bijou d'électronique, Boston Dynamics, une filiale de Google. Une entreprise japonaise a de son côté mis au point un robot samouraï qui reproduit au millimètre près les gestes d'un maître du katana. Disposer d'un bras robotique capable de découper un haricot dans le sens de la longueur n'est pas forcément très utile en soi. Mais ce genre de prouesse représente une vitrine technologique pour les entreprises à l'origine de ces machines, avec des applications qui vont de l'industrie à la défense en passant par le sauvetage en zone dangereuse. - Culture Geek, du jeudi 25 février 2016, présenté par Anthony Morel, sur BFMTV.

Quand la Silicon Valley s'attaque au cancer

Quand la Silicon Valley s'attaque au cancer

La santé, c'est le nouveau cheval de bataille de nombreux géants de la Silicon Valley. En cette journée mondiale contre le cancer, penchons-nous sur quelques initiatives prometteuses. Bill Gates et Jeff Bezos (le fondateur d'Amazon), viennent d'investir dans Grail. Cette entreprise californienne travaille sur un test sanguin pouvant révéler n'importe quel type de cancer avant même l'apparition des premiers symptômes. Une avancée rendue possible par le séquençage du génome, qui permet de détecter dans le sang des fragments d'ADN contenus dans les cellules malades. Google de son côté, a déposé un brevet pour un bracelet qui serait capable de cibler et de détruire les cellules cancéreuses avec des radiofréquences, un champ magnétique ou encore des ultrasons. - Culture Geek, du jeudi 4 février 2016, présenté par Anthony Morel, sur BFMTV.