Présidentielle J-16: Jean-Luc Mélenchon est "horrifié" par Marion Maréchal
Jean-Luc Mélenchon et l'invité de "La France dans les yeux" sur BFMTV - BFMTV
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"Macron est le candidat du pouvoir de l'argent": Le Pen pillonne le président lors de son meeting en Gironde
Marine Le Pen est en meeting ce soir à Saint-Martin-Lacaussade (Gironde), à 16 jours du premier tour.
"Entre Macron et nous, c’est le choix entre le pouvoir de l’argent qui profite à quelques-uns et le pouvoir d’achat qui profite à tout le monde", a lancé à la tribune la candidate du RN.
Marion Maréchal "horrifie" Jean-Luc Mélenchon
Le candidat insoumis jette un regard sévère sur Marion Maréchal, soutien d'Eric Zemmour dans la campagne.
"Elle dit que je l'horrifie. C'est mutuel, elle m'horrifie tout autant", avance Jean-Luc Mélenchon ce soir sur M6.
Jean-Luc Mélenchon souhaite rendre la scolarité obligatoire jusqu'à 18 ans
Le député des Bouches-du-Rhône veut rendre la scolarité obligatoire jusqu'à 18 ans contre 16 ans aujourd'hui.
"150.000 jeunes sortent du système tous les ans. On met des jeunes en apprentissage et personne n’en soucie. 25% des contrats sont rompus avant 3 mois. (...) On a besoin de ces jeunes", avance le candidat ce soir sur M6.
Jean-Luc Mélenchon appelle au retour de la conscription de 9 mois pour les jeunes
En cas d'élection, le candidat insoumis souhaite mettre en place la conscription pour tous les jeunes de moins de 25 ans pendant 9 mois.
Elle pourrait avoir lieu dans une caserne militaire ou dans une association, explique-t-il ce soir sur M6.
"Ne vous laissez pas voler cette élection", lance Valérie Pécresse à distance à ses soutiens
Contrainte d'annuler sa présence lors du meeting de Bordeaux ce soir pour cause de Covid-19, Valérie Pécresse a tenu à envoyer une vidéo aux sympathisants qui se sont déplacés pour entendre finalement Patrick Stefanini et Thibaut de Montbrial.
"Ne vous laissez pas voler l'élection", a exhorté la représentante des LR.
Eric Zemmour hué et visé par des projectiles lors d'un déplacement Porte de la Villette à Paris
Le candidat Eric Zemmour a été visé par une bouteille d'eau, des projectiles et une série d'insultes vendredi lors d'une visite médiatique agitée Porte de la Villette à Paris au milieu de toxicomanes et de migrants.
L'ancien polémiste a été visé par une bouteille d'eau, perdant ses lunettes au passage. "Mes lunettes, mes lunettes... C'est ça Paris aujourd'hui, c'est ça la France aujourd'hui", a-t-il estimé.
"C'est apocalyptique, voilà ce que ce sera la France partout dans dix ans", a-t-il encore jugé.
Valérie Pécresse organise un "meeting virtuel" ce dimanche sur Zoom
Positive au Covid-19, la candidate des LR tiendra un meeting ce dimanche sur la plateforme Zoomn une façon pour elle de ne pas laisser le champ libre à Eric Zemmour, lui-même en meeting au Trocadéro à Paris
"Cela peut toucher des personnes qui ne se déplacent pas forcément en réunions publiques", explique son entourage à BFMTV.
Valérie Pécresse répondra aux questions des internautes.
François de Rugy se retire de la vie politique
L'ancien président de l'Assemblée nationale et ministre de la Transition écologique François de Rugy quitte la vie politique, même s'il reste un soutien d'Emmanuel Macron, annonce-t-il vendredi dans un entretien à la revue Fondamental.
"Il est sain dans une démocratie que les fonctions soient limitées dans le temps", justifie le député LREM de Loire-Atlantique, qui ne se représentera pas aux législatives de juin prochain, après un cumul de vingt années de mandats successifs divers.
Il avait dû démissionner en juillet 2019 de son poste de ministre de la Transition écologique après des révélations de Mediapart concernant son train de vie supposé fastueux, photos de homards et champagne à l'appui.
On vous résume ici ce qu'il faut retenir de son interview.
Jordan Bardella: "À droite, le seul vote utile, c'est celui pour Marine Le Pen"
Invité de RMC-BFMTV ce vendredi matin, le président du Rassemblement national - le temps que Marine Le Pen fasse campagne - juge que seule sa candidate est en mesure de battre Emmanuel Macron au second tour.
"La seule voie politique qui soit utile dans cette élection, c'est évidemment le vote en faveur de Marine Le Pen, qui peut gagner et qui peut rassembler une majorité de Français au second tour."
Pour Nathalie Arthaud, Jean-Luc Mélenchon "véhicule des illusions graves sur la période qui va arriver"
Invitée des 4 Vérités sur France 2, la candidate de lutte ouvrière à la présidentielle Nathalie Arthaud s'en est pris au candidat insoumis Jean-Luc Mélenchon, qu'elle accuse de "désarmer les travailleuses et les travailleurs".
"Quand il nous dit que avec lui, on aura la retraite comme ça à 60 ans, ça nous tombera tout cuit, il n'y aura même pas besoin de faire de manifestations etc, moi je pense qu'il véhicule des illusions graves encore une fois sur la période qui va arriver demain où au contraire il va falloir se battre", a-t-elle jugé.
Conditionner le RSA à une activité "doit permettre de s'insérer et de retrouver un emploi", défend Gabriel Attal
Alors qu'Emmanuel Macron a proposé, s'il était réélu, de conditionner l'octroi du RSA à une activité en contrepartie, cela "doit permettre (aux bénéficiaires) de s'insérer et de retrouvr un emploi", a défendu Gabriel Attal ce vendredi sur France Info.
Y aura-t-il une possibilité de refuser l'activité?
"Ce qu'a annoncé le candidat, c'est qu'il y ait ces heures en contrepartie pour les bénéficiaires", a répondu le porte-parole du gouvernement et soutien d'Emmanuel Macron ce vendredi, tout en évoquant des adaptations possibles, notamment pour les "mères célibataires". "On cherchera toujours les solutions", a-t-il aussi dit.
"Mélenchon me terrifie", déclare Marion Maréchal
Interrogée sur le candidat pour lequel elle voterait en cas d'un second tour opposant Emmanuel Macron à Jean-Luc Mélenchon, Marion Maréchal a décrit sur France inter "un choix absolument atroce".
"Mélenchon me terrifie. Je ne sais pas ce que je ferais. C'est un choix absolument atroce", a-t-elle déclaré.
Quant à savoir si elle soutiendrait sa tante Marine Le Pen si elle venait à affronter Emmanuel Macron au second tour, Marion Maréchal s'est montrée claire. "Je voterais pour Marine Le Pen".
Marion Maréchal "ne regrette pas du tout" son ralliement à Éric Zemmour
"Je ne regrette pas du tout. Je suis à la place où je dois être. Je retrouve dans Éric Zemmour cette volonté d'unir les droites", a déclaré ce vendredi Marion Maréchal sur France inter, interrogée sur les sondages peu favorables concernant le candidat qu'elle a rallié.
L'ancienne députée a indiqué espérer "une place dans une grande coallition", en cas de victoire de son candidat.
Quant à la brouille avec sa tante Marine Le Pen, qu'elle a décidé de ne pas soutenir, "il n'y a rien de personnel dans cette histoire. C'est une question de politique. Je suis une femme de 32 ans, je vais où j'ai le sentiment d'être la plus utile", a-t-elle déclaré.
Marion Maréchal estime que Poutine est un "tacticien géopolitique"
La directrice de l'ISSEP et soutien à Éric Zemmour a réitéré ses propos formulés il y a quelques années, décrivant Vladimir Poutine comme un "tacticien géopolitique".
"Poutine est un tacticien géopolitique. C'est une analyse", a-t-elle déclaré.
Par le passée, elle avait également formulé le souhait de dîner avec le maître du Kremlin. "L'idée que j'avais en tête à l'époque, c'était qu'il serait intéressant de pouvoir découvrir ce qu'il y a dans la tête de Poutine".
Elle a estimé que le "procès en poutinisme" qui lui était fait était un "procès de mauvaise intention" et a indiqué que la responsabilité de la guerre en Ukraine incombait pleinement au chef d'État russe.
Selon Marion Maréchal, "ce n'est pas en envoyant des armes qu'on réglera le problème" en Ukraine
Interrogée sur France inter, l'ancienne députée RN, aujourd'hui soutien à Éric Zemmour, s'est exprimée contre les livraisons d'armes occidentales à l'Ukraine, afin de l'aider à faire face à l'invasion russe.
"Ce n'est pas en envoyant des armes qu'on réglera le problème", a-t-elle indiqué. "À partir du moment où on envoie des armes, on devient de fait cobelligerant. On se met partie prenante dans un conflit", a-t-elle jugé.
"Remigration": "Mme Le Pen se retrouve une fois de plus du côté de la gauche", tacle Zemmour
Sur Sud Radio ce vendredi matin, Éric Zemmour a évoqué sa proposition controversée de créer une "ministère de la remigration", concept qualifié de "totalement antirépublicain" par Marine Le Pen.
"Mme Le Pen se retrouve une fois de plus du côté de la gauche et du côté de la gauche LFI", a tancé ce vendredi Éric Zemmour, estimant qu'elle avait "dénigré" sa mesure.
Évoquant par ailleurs son meeting au Trocadéro dimanche, à Paris, le candidat d'extrême droite estime que "ça sera le grand moment de cette campagne".
Marine Le Pen organise un meeting en Gironde
Presque deux semaines avant le premier tour, la candidate du Rassemblement national organise un meeting à Saint-Martin-Lacaussade à partir de 18h30.
Selon la dernière enquête réalisée par l'institut Elabe pour BFMTV, Marine Le Pen continue sa progression dans les intentions de vote (20%) et est en bonne position pour se qualifier à nouveau pour le second tour.
Anne Hidalgo avec Bernard Cazeneuve dans l'Aude ce vendredi
Accompagnée de l'ancien Premier ministre Bernard Cazeneuve, la candidate socialiste Anne Hidalgo effectuera un déplacement sur les thématiques de l’agriculture et l’économie locale en Occitanie ce vendredi.
Valérie Pécresse veut réquisitionner les yachts, villas et chalets d'oligarques russes pour accueillir les réfugiés ukrainiens
La candidate des Républicains, invitée de France 2, a proposé de réquisitionner les biens confisqués aux oligarques russes pour accueillir les réfugiés ukrainiens en France. Une mesure similaire à celle avancée par le candidat communiste Fabien Roussel.
Jean Castex refuse le débat proposé par Marine Le Pen
Il lui oppose une fin de non recevoir. Jean Castex, en déplacement ce jeudi en Seine-Saint-Denis, a refusé la proposition de Marine Le Pen de vouloir débattre avec lui.
La candidate du Rassemblement national, opposée à tout débat avec Jean-Luc Mélenchon, Valérie Pécresse ou Éric Zemmour, a fait part de son souhait de débattre avec Emmanuel Macron "ou à défaut avec le Premier ministre" avant le premier tour.
"Pourquoi choisir l’un d’eux plutôt qu’un autre sauf à lui donner un statut… qui est peut-être recherché?", lui répond Jean Castex.
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