Les plus jeunes et les derniers sceptiques semblent être le profil-type de ceux qui vont se faire vacciner aujourd'hui. Mais pour de nombreux professionnels de santé, la vaccination baisse encore.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon, était au micro de BFMTV, ce jeudi.
Le professeur Gilles Pialoux, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital Tenon, était au micro de BFMTV, ce jeudi.
Alors que le chef de l'Etat a ouvert la porte à un "allègement des contraintes", le ministre de la Santé a estimé que "la situation ne permet pas encore de réduire les mesures."
Si la barre symbolique des 50 millions des primo-vaccinés n'a pas encore été franchi, cela reste une question de jours désormais. 49,8 millions ont reçu au moins une première dose, mais le nombre de primo-injection est en chute.
Des documents internes à l’entreprise issus de ses propres recherches montrent que l’utilisation du réseau social a des effets négatifs sur une partie non négligeable de ses utilisateurs les plus jeunes. Plusieurs utilisateurs confient à notre micro que l'application leur a déjà créé des complexes. "Ça renforce l'envie et le système de comparaisons" déplore la psychologue Béatrice Copper-Royer.
Des riverains de la salle de shoot installée près de la gare du Nord à Paris expriment leur colère.
Le Covid-19 occupe tous nos esprits depuis des mois. Il faut penser au masque, au pass sanitaire et au vaccin. Jusqu'à oublier que d'autres maladies existent et qu'il faut s'en protéger. En France, les rappels de vaccins obligatoires ne sont pas toujours bien effectués, ce qui pourrait faire réapparaitre certaines maladies...
En déplacement à Illiers-Combray en Eure-et-Loire, Emmanuel Macron a évoqué des allègements de mesures sanitaires dans certains départements où la situation sanitaire s'améliore. "Il y a des départements où on va être amené de toute façon à alléger les contraintes", a évoqué Emmanuel Macron devant une passante, ajoutant qu'"on est sur la bonne voie" au regard de l'amélioration de l'épidémie en France. Par ces propos, le président de la République laisse entendre qu'un possible allègement du pass sanitaire est à l'étude dans les territoires où la circulation virale diminue. Du côté de l'Élysée, on indique à BFMTV que les critères suivis sont les mêmes que d'habitude: taux d'incidence et taux d'hospitalisation.
Toutefois, cela "ne veut pas dire qu'il y a un rejet de la vaccination de la part des élèves car on constate que 68% des 12-17 ans ont reçu une première dose de vaccin", explique la SNPDEN.
Avec un taux d'incidence à 99,2, le pays n'avait pas connu un chiffre aussi bas depuis le 17 juillet dernier
En déplacement ce mercredi à lliers-Combray, le chef de l'État a dialogué avec plusieurs passants et évoqué la situation sanitaire en France.
Au micro de RTL, le professeur et membre du Conseil scientifique a mis en garde sur une possible reprise de l'épidémie cet hiver.
À partir de ce mercredi, les soignants doivent se soumettre à l'obligation vaccinale sous peine de sanctions. Aïcha Haccoun, secrétaire de la CGT à l'hôpital St-Antoine: "On veut que les collègues soient accompagnés (...), ils vont être en grande difficulté sans salaire."
Invoquant un cas de conscience, le médecin généraliste refuse l'injonction de se faire vacciner et doit ainsi renoncer à recevoir ses patients.
A partir de ce mercredi, 2,7 millions de soignants doivent se soumettre à l'obligation vaccinale contre le Covid-19. Environ 10% d'entre eux n'ont pas reçu de première dose. Ils risquent la suspension immédiate, sans salaire.
À partir de ce mercredi, l’obligation vaccinale pour les soignants entre en vigueur. 2,7 millions de professionnels sont concernés, et doivent présenter au moins une dose de vaccin pour pouvoir continuer à travailler. Dans cette clinique privée, à Cagnes-sur-Mer, dans les Alpes-Maritimes, la quasi-totalité des soignants se sont faits vaccinés. Sur les 300 personnes employées, une seule a refusé le vaccin.
L'obligation vaccinale des soignants avait été annoncée le 12 juillet par Emmanuel Macron. À compter de ce mercredi, les soignants n'ayant reçu aucune dose de vaccin pourront donc être suspendus sans rémunération.
La vaccination obligatoire de plusieurs personnels du secteur de la santé va entrer en vigueur ce mercredi. Par conséquent, ceux qui ne seront pas vaccinés seront suspendus, ce qui occasionne de nombreux problèmes d’organisation. Sur BFMTV ce mardi, Éric del Missier, maire de Charmois-l’Orgueilleux (Vosges), raconte que sa commune n’aura plus de médecin dès ce mercredi.
![Selon Thierry Schifano, "10% de la profession [d'ambulancier] sera absente" avec l'entrée en vigueur de la vaccination obligatoire](https://images.bfmtv.com/DVLrS3fTmKu6qC6okWrjCExOfBU=/0x0:1280x720/285x0/images/Selon-Thierry-Schifano-10-de-la-profession-d-ambulancier-sera-absente-avec-l-entree-en-vigueur-de-la-vaccination-obligatoire-1127865.jpg)
La vaccination obligatoire de plusieurs personnels du secteur de la santé va entrer en vigueur ce mercredi. Par conséquent, ceux qui ne seront pas vaccinés seront suspendus, ce qui occasionne de nombreux problèmes d’organisation. Thierry Schifano, président de la Fédération nationale de la mobilité sanitaire, explique avoir dénombré 10% effectifs en moins chez les ambulanciers.
La vaccination obligatoire de plusieurs personnels du secteur de la santé va entrer en vigueur ce mercredi. Par conséquent, ceux qui ne seront pas vaccinés sont suspendus. C’est le cas de Ludivine Verstraete. Cette aide-ménagère en Ehpad refuse la vaccination et va donc être suspendue.
Le président de la Fédération hospitalière de France et maire Agir de Fontainebleau Frédéric Valletoux était ce mardi invité du Live Toussaint sur BFMTV. Il a dénoncé les menaces et les agressions dont peuvent être victimes les soignants, et "espère que des plaintes vont être déposées".
La cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris Karine Lacombe était ce mardi l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Elle a assuré être toujours victime de menaces verbales "sur les réseaux sociaux, par mail, et dans la rue".
La professeure Karine Lacombe, cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, était l'invitée de Jean-Jacques Bourdin, ce mardi, sur BFMTV et RMC.
Le Pr Karine Lacombe, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, était l'invitée ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.
La cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris Karine Lacombe était ce mardi l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Elle a estimé que "la vaccination est indispensable pour maîtriser les variants".
Le Pr Karine Lacombe, chef du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris, était l'invitée ce mardi de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC.
La cheffe du service des maladies infectieuses à l'hôpital Saint-Antoine à Paris Karine Lacombe était ce mardi l'invitée de Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV et RMC. Elle a affirmé que le vaccin Janssen, administré en une injection, devra être complété par une dose d'un vaccin à ARN messager.
Selon un rapport des centres de pharmacovigilance de Lyon et de Grenoble, publié par l’ANSM, une seule dose de Janssen offrirait une "protection insuffisante" contre le variant Delta. Et les données disponibles « ne permettent pas de confirmer l’efficacité à long terme » de ce vaccin.
Il n'y aura bientôt plus de médecin à Charmois-l'Orgueilleux, dans les Vosges. Le seul présent dans un rayon de plusieurs kilomètres, Gauthier Bein, refuse de se faire vacciner contre le Covid-19 et risque donc d'être suspendu, s'inquiètent les habitants de la commune. Pour continuer à exercer, tous les professionnels de santé ont l'obligation de recevoir au moins une injection de vaccin contre le Covid-19 avant le mercredi 15 septembre. Or, ce n'est pas le cas du médecin généraliste de Charmois-l'Orgueilleux, installé depuis 37 ans dans la commune.
Selon un rapport de Santé Publique France, une large épidémie de bronchiolite pourrait se développer cet hiver chez les nouveau-nés. En cause: le manque d’entrainement immunitaire des nourrissons, protégés par les gestes barrières depuis de longs mois.
Avec l'entrée en vigueur des sanctions mercredi 15 septembre pour les soignants non vaccinés, l'hôpital de Montélimar va manquer de quelques employés indispensables. La direction est donc contrainte de déprogrammer des opérations.
À partir de ce mercredi 15 septembre, les soignants doivent se soumettre à l'obligation vaccinale sous peine de sanctions. Tour d'horizon des conséquences pour ceux qui ne respecteraient pas les nouvelles règles.
Le professeur Christian Bréchot, virologue et président du Global Virus Network, était sur le plateau de BFMTV ce lundi soir.
Environ un million d'injections de ce vaccin ont été réalisées en France et parmi tous les vaccinés avec ce produit, 32 cas d'infection au Covid-19 ont pour l'instant été signalés.
Les médecins chefs des quatres nations prennent ici le contrepied de l'avis du comité vaccinal britannique, opposé à l'élargissement de la vaccination pour les adolescents de 12 à 15 ans.
Médecin généraliste à Charmois-l’Orgueilleux, Gauthier Bein sera contraint de cesser son activité s’il n’accepte pas de se faire vacciner. Ses patients se mobilisent dans l'espoir d'éviter sa suspension.
Les résidents des établissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes (Ehpad) vont pouvoir recevoir une troisième dose de vaccin contre le Covid-19 à partir du 13 septembre.
Le directeur de l'IHU a déclaré qu'il n'approuvait "aucune menace et aucun harcèlement" après que François Crémieux, directeur de l'AP-HM, a été visé par des inscriptions injurieuses lors d'une manifestation anti-pass sanitaire.
Mercredi, le personnel soignant devra être vacciné, sous peine de ne pas pouvoir exercer et donc ne pas être payé. Mais cette échéance pourrait bien poser problème chez les ambulanciers. Sur l'ensemble du territoire, environ 13% de la profession ne pourra plus travailler, alors que le secteur est déjà sous tension.
Londres vient d'annoncer renoncer à son projet d'introduire un passeport vaccinal pour les discothèques. Le gouvernement le juge désormais inutile en raison du succès de la campagne de vaccination.
L'état clinique du patient, hospitalisé, est "favorable", selon l'Agence régionale de santé (ARS) de Bretagne.
590 morts ont été recensées entre le 1er et le 31 août. Depuis 1983, le nombre de décès mensuels n'avait jamais excédé 179 dans cette collectivité d'outre-mer peuplée de 280.000 habitants.
Mathieu Epardaud, membre de l'équipe de recherche BioMAP-INRAE sur le vaccin par spray nasal, était en direct sur BFMTV. Il a expliqué comment fonctionne ce vaccin par spray nasal en ajoutant que "l'idée n'est pas de se substituer au vaccin actuel mais d'apporter une balance supplémentaire pour essayer de bloquer la contagiosité".
Désormais dominant, le variant Delta est jugé deux fois plus contagieux que le virus historique. Or, plus un virus est contagieux, plus le seuil nécessaire à l'immunité collective est élévé.
Les chercheurs de l'Inrae et de l'université de Tours ont déposé, cette semaine, le brevet d'un candidat vaccin contre le Covid-19 par administration nasale.
L'épidémie de bronchiolite a été particulièrement faible cet hiver, en raison du respect important des gestes barrières. Mais Santé Publique France craint que le manque d'entraînement immunitaire chez les enfants conduise à une épidémie plus importante cette année.
Entre optimisme et maintien de la vigilance, si la baisse du nombre de cas de Covid-19 et d'hospitalisations ces derniers jours est une bonne nouvelle, les autorités sanitaires appellent à ne pas relâcher les efforts pour éviter une nouvelle remontée épidémique.
Pierre Parneix, médecin en santé publique et membre de la commission d'évaluation de la gestion de la crise sanitaire, était en direct sur BFMTV ce vendredi soir.
À l'occasion d'un débat au Sénat sur la situation sanitaire aux Antilles, le sénateur (Les indépendants) s'est lancé dans une diatribe contre les opposants au vaccin et au pass sanitaire, et en particulier les chefs de file du mouvement.
