Pour Kiev, les soldats nord-coréens "ont été retirés" de la région russe de Koursk où ils sont déployés depuis octobre dernier. La raison: les "lourdes pertes" subies face à l'armée ukrainienne.
Le président ukrainien a répondu ce mardi à son homologue russe qui a rejeté des négociations directes avec lui, le jugeant "illégitime".
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé mardi que son pays était prêt à négocier pour mettre fin au conflit en Ukraine, tout en rejetant des discussions directes avec Volodymyr Zelensky et en affirmant ne pas voir de "volonté" de Kiev.
Depuis le début de la guerre en Ukraine en février 2022, la circulation d'armes a explosé dans le pays faisant craindre une augmentation du trafic d'armes à l'international.
Le président ukrainien a estimé ce samedi 25 janvier qu'il était "impossible d'exclure l'Ukraine de toute plateforme de négociation". Dans le cas contraire, "elle n'aura pas de résultats réels", a assuré Volodymyr Zelensky.
Le président ukrainien a déclaré ce vendredi que son homologue russe "veut manipuler le désir du président des États-Unis d'Amérique de parvenir à la paix" en Ukraine.
Depuis l'élection de Donald Trump, les Ukrainiens ont le regard tourné vers les États-Unis où le nouveau président multiplie les annonces en direction de la Russie. Le Kremlin s'est dit prêt à un dialogue "dans le respect mutuel" avec Trump.
Quelques heures plus tôt, l'administration militaire de la capitale ukrainienne avait fait état d'une "menace de missile balistique."
50 prisonniers de guerre ont été échangés, ce mercredi 15 janvier, entre Kiev et Moscou. Parmi eux figurent, selon Volodymyr Zelensky, des civils capturés lors de l'invasion russe.
Au lendemain de l'attaque massive de drones sur plusieurs cibles énergétiques russes, le territoire ukrainien est placé en alerte aérienne nationale. Des coupures d'électricité d'urgence sont également à prévoir dans sept régions ukrainiennes de l'Est, du Centre et dans le Sud.
À la suite d'attaques massives de drones ukrainiens au sud-est de Moscou, ce mardi 14 janvier, deux entreprises industrielles ont été incendiées. Pour l'heure, aucune victime n'est à déplorer.
Les deux dirigeants ont échangé ce lundi sur différents sujets comme "l'achat d'obus pour l'Ukraine" ou sur les désertions au sein de la brigade ukrainienne formée en France. La question d'un "déploiement de contingents" étrangers a aussi été évoquée.
Les troupes russes continuent de progresser dans l'Est de l'Ukraine. Ce lundi 13 janvier, c'est au tour du village minier de Pichtchané de tomber aux mains de la Russie.
Oleksander, qui a été transféré dans huit prisons russes différentes, dit avoir assisté à des scènes de tortures à l'encontre de soldats et de civils.
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé samedi 11 janvier la capture de deux soldats nord-coréen combattant pour la Russie à Koursk.
L'armée russe bénéficie, selon l'Ukraine et les Occidentaux, du soutien de soldats nord-coréens sur le front. Deux d'entre eux ont été capturés vivants et sont actuellement interrogés.
Joe Biden s'est employé à fournir autant d'aide que possible à Kiev avant l'investiture du président élu Donald Trump.
De plus en plus d'étrangers se rendent en Ukraine pour voir la guerre de leurs propres yeux. Ça s’appelle “le dark tourism” et ça consiste à visiter des zones touchées par les bombardements russes. Aujourd'hui, une douzaine d'agences de voyage proposent des circuits similaires dans la région de Kiev, qui n'est plus occupée.
Selon divers bilans fournis par les autorités locales, le président Volodymyr Zelensky et le ministère de l'Intérieur, cette frappe russe sur la ville ukrainienne de Zaporijia a fait entre 32 et 37 blessés.
Si l'Ukraine attaque depuis août la région frontalière russe de Koursk, elle y a intensifié ses opérations ces derniers jours. Pour les spécialistes, l'objectif est clair: Kiev veut renforcer ses positions avant l'arrivée à la Maison Blanche de Donald Trump et le début attendu des négociations.
Alors que se multiplient les accusations d'abus de pouvoir et de mauvaise gestions des hommes, les chiffres oscillent en ce qui concerne le réel total de déserteurs.
La base aérienne accueille des bombardiers stratégiques Tupolev que la Russie utilise pour tirer des missiles de croisière sur des villes et infrastructures essentielles en Ukraine.
Le ministère des Armées a demandé des explications à l’Ukraine après la désertion de “quelques dizaines” de militaires de la brigade Anne de Kiev, créée en 2024, dont environ 2.000 hommes sont formés sur le territoire français.
Mikhaïlo Drapaty, le responsable des forces terrestres ukrainiennes, a indiqué ce lundi 6 janvier, qu'il existait des "problèmes" au sein d'une brigade en partie formée en France. Des désertions sont notées, ainsi que des "problèmes avec le commandement".
Le président de la République a également rappelé ce lundi 6 janvier qu'il n'existait pas "de solution rapide et facile" dans le conflit qui oppose l'Ukraine à la Russie.
"Nous ne pouvons pas, comme européen, laisser la Russie gagner en Ukraine. Nous ne le pouvons pas pour l'ordre international, nous ne le pouvons pas pour notre propre sécurité". Emmanuel Macron évoque la situation en Ukraine et l'engagement de l'Europe face aux Ambassadrices et Ambassadeurs
Le président ukrainien, Volodymyr Zelensky, a répété dans une interview publiée dimanche s'attendre à ce que Donald Trump puisse mettre fin à la guerre menée par la Russie en Ukraine.
L'armée de Moscou affirme que l'armée ukrainienne mène une nouvelle "contre-offensive" dans la région frontalière russe de Koursk, qu'elle a repoussé "l'artillerie et l'aviation".
La Russie a affirmé ce samedi 4 janvier avoir intercepté la veille des missiles américains ATACMS tirés par l'Ukraine et promis "des représailles". Plus tôt samedi, l'armée russe avait dit avoir intercepté la veille, lors de cette attaque, "huit missiles" ATACMS qui visaient la région russe de Belgorod, à la frontière avec l'Ukraine, et plus de "72 drones".
Les enquêteurs ukrainiens ont lancé des investigations sur des cas d'abus de pouvoir et de désertions au sein de la brigade "Anne de Kiev", en partie formée et équipée par la France en 2024.
La justice ukrainienne a fermement condamné un homme accusé d'avoir collaborer avec les forces russes, notamment pour les aides à localiser des frappes de missiles.
Moscou a lancé une vague de 111 drones sur Kiev ce mercredi 1er janvier. Parmi les blessés se trouvent deux femmes enceintes.
Alors que débute une nouvelle année, les soldats ukrainiens sur le front depuis le commencement de la guerre redoutent que les combats ne s'arrêtent pas en 2025.
