Pouvoir d'achat: Jean-Luc Mélenchon juge qu'Emmanuel Macron "est tétanisé"

Le leader de LFI Jean-Luc Mélenchon lors de la présentation du programme de l'alliance Nupes, le 25 mai 2022 à Paris - Thomas COEX © 2019 AFP
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Ce direct consacré à l'actualité politique de ce dimanche 5 juin est désormais terminé. Merci de l'avoir suivi.
Pouvoir d'achat: Jean-Luc Mélenchon juge qu'Emmanuel Macron "est tétanisé"
"Le président de la République est tétanisé et ne sait plus quoi faire" quant au pouvoir d'achat, tance ce dimanche Jean-Luc Mélenchon sur LCI.
"Il est allé au bout d'un système qui ne marche pas", a-t-il ajouté. "Il pense que quand on met du marché partout, tout va marcher", juge aussi le leader insoumis.
"C'est une monarchie présidentielle": Mélenchon juge que l'on "fait semblant d'avoir un président"
Sur LCI ce dimanche, Jean-Luc Mélenchon a qualifié le jubilé de la reine Elizabeth II de "distraction populaire comme une autre", avant d'établir un parallèle avec la France.
"Nous, on fait semblant d'avoir un président mais c'est une monarchie présidentielle", a jugé le leader insoumis, estimant que l'élection présidentielle paraissait "loin". "Pourtant, ça ne fait qu'un mois", a-t-il lancé.
Violent orages: "Ces événements ne seront plus jamais rares", met en garde Jean-Luc Mélenchon
Après les violents orages qui se sont abattus sur la France, qui ont causé la mort d'une femme à Rouen et blessé gravement deux personnes, Jean-Luc Mélenchon appelle ce dimanche soir à "commencer par arrêter de réfléchir une fois qu'on a le nez dedans".
"Ces événements ne seront plus jamais rares, ils vont être maintenant réguliers, le changement climatique est commencé, il est irréversible", a mis en garde le leader insoumis sur LCI.
Xavier Bertrand voit "un agenda caché" d'Emmanuel Macron après les législatives
Le président LR de la région Hauts-de-France Xavier Bertrand a dénoncé dimanche sur France 3 un "agenda caché" d'Emmanuel Macron, sur les retraites ou la réforme judiciaire, qui apparaîtra selon lui après les législatives des 12 et 19 juin.
Il a également considéré comme un "gadget" ou un "déni de démocratie" le "Conseil national de la refondation" voulu par le chef de l'État, qui entend réunir les forces politiques, économiques, sociales, associatives du pays mais aussi des citoyens tirés au sort pour lancer ses réformes touchant au pouvoir d'achat, à l'écologie, aux institutions et aux retraites.
"Il y a un agenda caché", a affirmé Xavier Bertrand dans l'émission Dimanche en politique, en estimant que "les mauvaises nouvelles, ce sera après l'élection".
"Les retraites, pour savoir comment ça se passera, on n'en sait rien aujourd'hui", a-t-il poursuivi, estimant que les ministres "marchent tous sur des oeufs".
"Deuxièmement, vous avez une refonte en profondeur de la carte judiciaire française avec des cours d'appel et des tribunaux judiciaires qui vont être rayés de la carte ou vidés de leurs compétences", a-t-il prophétisé.
Marine Le Pen appelle à "vaincre la malédiction" d'un "système vermoulu" aux législatives
Depuis son fief d'Hénin-Beaumont (Pas-de-Calais), Marine Le Pen a appelé à "vaincre" aux législatives "la malédiction" d'un "système vermoulu", en renvoyant dos à dos Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, les "deux mamelles de la déconstruction de la nation".
"Il est encore temps d'empêcher Macron de disposer de tous les pouvoirs" et de "vaincre la malédiction d'un mode de scrutin injuste, qui maintient en place un système vermoulu, qui ne tient pas par ses résultats mais par la peur entretenue", la "peur du changement" et "la peur du peuple", a exhorté la finaliste de la présidentielle lors de son premier meeting de campagne pour les élections législatives, citée par l'AFP.
"Ce système électoral est une honte et (...) vous devez vous mobiliser pour en corriger les effets néfastes et antidémocratiques", a-t-elle lancé devant quelque 300 militants réunis dans une ambiance de kermesse à l'espace François-Mitterrand de la ville.
En 2017 lors des précédentes législatives, Marine Le Pen avait réussi à faire élire 8 députés, alors qu'elle avait récolté 34% des voix au second tour de la présidentielle.
Polynésie: trois duels entre indépendantistes et autonomistes au second tour
Trois duels opposeront les indépendantistes, soutenus par la Nupes, et les autonomistes de la majorité locale, soutenus par Ensemble!, dans les trois circonscriptions de la Polynésie française, qui a voté samedi pour les législatives avec une semaine d'avance sur la métropole.
Les candidats du Tapura Huiraatira, le parti du président polynésien Edouard Fritch, dominent les deux premières circonscriptions.
Le député indépendantiste sortant Moetai Brotherson, qui revendique ses affinités avec LFI, est bien placé pour conserver son siège dans la troisième circonscription. Vainqueur du premier tour (34,26%) il affrontera Tuterai Tumahai (32,04%), un candidat soutenu par le Tapura Huiraatira mais novice en politique.
Une abstention record
L'ancienne ministre du travail et du tourisme, Nicole Bouteau (42,17%), affrontera au second tour un indépendantiste de 21 ans, Tematai Le Gayic (19,61%) dans la première circonscription.
Le Rassemblement National, qui ne présentait de candidat que dans la deuxième circonscription, s'effondre avec 2,2% des voix.
L'abstention historiquement basse, reflet d'un manque d'intérêt pour la politique nationale, peut aussi s'expliquer par un week-end de trois jours que de nombreux Tahitiens passent sur l'île voisine, Moorea, ou par un rassemblement de nombreux fidèles de la communauté protestante, l'une des églises les plus représentées en Polynésie.
Incidents au Stade France: "Il y a eu des anomalies, a minima des erreurs" pour Christophe Castaner
"Les personnels et les stadiers ont évité une catastrophe" explique Christophe Castaner sur les ondes de France Inter. L'ancien ministre de l'Intérieur revient sur le chaos observé lors de la finale de la Ligue des Champions au Stade France, le 28 mai dernier.
"Il y a eu des anomalies, a minima des erreurs. Je ne suis pas en mesure de dire lesquels. Je souhaite que la transparence soit faite sur l'ensemble du dispositif. Il y a certainement des erreurs qui ont été commises."
"Nous serons à la hauteur des JO en 2024, nous apprenons de cette situation" rassure-t-il.
Il exclut pour le moment, la démission de Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur, ou du préfet de police, Didier Lallement.
Violences sur Jean-Michel Blanquer: "Voir des enseignants commettre ces actes là, c'est un symbole" pour Christophe Castaner
Le patron du groupe LREM à l'Assemblée nationale, Christophe Castaner réagit à l'agression de Jean-Michel Blanquer hier et celle de Marine Le Pen, vendredi. L'ancien ministre est l'invité de France Inter, ce dimanche.
"Je veux condamner toutes ces violences, quelques soient les circonstances et les parties politiques. On voit ces derniers temps une violence qui monte et qui se banalise. La folie des réseaux sociaux y contribue très fortement."
"Voir des enseignants commettre ces actes là, c'est un symbole. C'est triste, mais ils ne sont pas représentatifs de leur profession."
"Jean-Luc Mélenchon c'est comme Marine Le Pen, ce sont des jumeaux de la peur", critique Amélie de Montchalin
"Jean-Luc Mélenchon c'est comme Marine Le Pen, ce sont des jumeaux de la peur. Depuis des années, ils squattent les plateaux télé, le débat politique qu'ils empoisonnent, ils surfent sur des peurs", a critiqué ce dimanche Amélie de Montchalin au Grand Jury de RTL, Le Figaro et LCI.
Pour la ministre de la Transition écologique, "Marine Le Pen surfe sur la peur sécuritaire, la peur migratoire".
"Jean-Luc Mélenchon, qu'est-ce qu'est son véritable projet? C'est un projet qui est d'abord communautariste, autoritaire, il est fasciné par les régimes autoritaires sud-américains, c'est un projet qui est ambigu avec la Russie, c'est un projet qui est très ambigu avec beaucoup de valeurs de la République", a tancé Amélie de Montchalin.
Julien Aubert ne se dit pas opposé à voter "des mesures qui (lui) semblent de bon sens en matière écologique"
Invité à débattre avec la ministre de la Transition écologique ce dimanche au Grand Jury, le député LR Julien Aubert ne se dit pas opposé à voter "des mesures qui (lui) semblent de bon sens en matière écologique".
"Sur des mesures qui me semblent de bons sens en matière écologique, pourquoi est-ce que je ne les voterais pas?", a déclaré le député de Vaucluse face à Amélie de Montchalin, tout en rappelant que LR était une force d'opposition.
Pour Robert Ménard, "la réforme de la retraite est une obligation" en précisant qu'il "n'est pas macroniste"
"La réforme de la retraite est une obligation", juge Robert Ménard sur l'antenne de BFMTV ce dimanche. Il se place ainsi en accord avec la réforme proposée par Emmanuel Macron de reporter l'âge de départ à 65 ans.
"Je crois que tout le reste est de la démagogie. Je crois qu'à 65 ans, on peut continuer à travailler. Aujourd'hui expliquer, qu'on va reculer l'âge de départ à la retraite, ça n'a pas de sens. C'est mentir aux genx. Il faut une réponse specifique à ceux qui commence à travailler tôt. "
"Je ne suis pas macroniste. Mais sur la retraite à 65 ans, Emmanuel Macron a raison."
Incidents au Stade France: "Gérald Darmanin est aveugle" pour Robert Ménard
"Je suis sidéré", fait savoir Robert Ménard après les incidents au Stade De France lors de la finale de la Ligue des Champions samedi 28 mai. Invité de BFMTV ce dimanche, il tacle le ministre de l'Intérieur.
"D'un coup, Gérald Darmanin est aveugle. Tout le monde voit qu'il y a un problème, et pas uniquement sur les faux billets".
"Les voyous venaient de ce département, ils ne sont pas Anglais et monsieur Darmanin ne le voit pas. Au moins, on nomme les choses."
Pour lui, le manque de transparence du ministre est lié à la campagne des législatives. "Il y a deux raisons pour lesquels il ne dit pas la vérité, c'est la mauvause conscience. Et il y a de l'électorialisme."
Pour Robert Ménard, Jean-Luc Mélenchon "ne sera pas premier ministre"
"Jean-Luc Mélenchon sait pertinemment qu'il ne sera pas premier ministre", juge Robert Ménard, invité de BFM Politique ce dimanche.
Il tacle le chef de file de La France Insoumise: "C'est un coup politique, il ne sera pas premier ministre. Et cela lui permet de dire n'importe quoi."
Jean-Luc Mélenchon appelle les électeurs à voter pour la Nouvelle union populaire écologique et social lors des élections législatives pour être nommé premier ministre.
Intempéries: "Ça montre que le dérèglement climatique est à l'oeuvre", estime Amélie de Montchalin
Sur le phénomène orageux qui a touché une large partie de la France ces dernières heures, Amélie de Montchalin souligne son caractère "exceptionnel".
"Il est exceptionnel parce qu'il est étendu en surface, c'est rare qu'il y ait des orages sur tout le territoire, et il intervient aussi après une période de sécheresse", a
"Ça montre que le dérèglement climatique est à l'oeuvre et ça monte que nous avons, territoire par territoire, à adapter nos infrastructures pour nous adapter à ce changement climatique", a ajouté la ministre de la Transition écologique.
Robert Ménard ne sera pas candidat à la mairie de Béziers en 2026
"La politique, c'est fatigant", souligne Robert Ménard, maire de Béziers ce dimanche invité de BFM Politique.
"Je suis maire depuis huit ans, je vous garantis que je ne serai pas candidat à ma réélection. Deux fois, c'est épuisant."
Il exclut toute carrière au niveau national, "j'aurai servi ma ville pendant douze ans et j'irai pas faire de la politique dans une autre ville de France".
"Il n'y a pas une écologie de droite ou une écologie de gauche", juge Amélie de Montchalin
"Effectivement, j'ai jamais eu ma carte chez Europe Écologie -Les Verts", a répondu Amélie de Montchalin ce dimanche au Grand Jury, interrogée sur le fait de savoir si elle était militante écologiste.
"Je considère qu'il n'y a pas le monopole de l'écologie dans un parti (...) il n'y a pas une écologie de droite ou une écologie de gauche", ajoute la ministre de la Transition écologique.
Interrogée sur son image de "techno", la ministre fustige la "misogynie".
"En général, les femmes en politique, souvent, quand on est précises, (...) on est techno, quand on a de l'autorité on est maîtresse d'école et quand on a des résultats on est bonnes élèves", a-t-elle taclé.
"Je suis fâché avec Eric Zemmour", fait savoir Robert Ménard
"Je suis fâché avec Eric Zemmour, on ne se parle plus", fait savoir Robert Ménard ce dimanche sur BFM Politique.
"Je pensais qu'il allait faire une candidature d'union entre Les Républicains et le Rassemblement national. On a eu droit à une campagne folle furieuse avec des positions extrémistes. Il a fait du mal à nos idées en les caricaturant".
"Marine Le Pen a raison de ne pas se mettre d'accord avec lui. Elle ne va pas faire à droite ce qu'a fait Jean-Luc Mélenchon à gauche où c'est n'importe quoi."
Amélie de Montchalin appelle "tous les Français à ne pas surutiliser leur climatisation" qui "consomme beaucoup d'énergie"
Face à la hausse du prix de l'énergie mais aussi au réchauffement climatique, la ministre de la Transition écologique Amélie de Montchalin appelle ce dimanche "tous les Français à ne pas surutiliser leur climatisation (...), ça consomme beaucoup d'énergie".
Au Grand Jury de RTL, Le Figaro et LCI, la ministre tempère toutefois cet appel pour les "ehpad, dans les hôpitaux ou quand on a une personne fragile à domicile".
"Je ne suis pas dans un parti politique", Robert Ménard ne soutient pas le Rassemblement national dans les législatives
Robert Ménard invité de BFM Politique ce dimanche revient sur son soutien lors de la campagne des élections législatives.
"Je ne suis pas partie prénante. J'ai soutenu Marine Le Pen au premier et au deuxième tour de l'élection présidentielle, malgré des désaccords. C'est une affaire de parti politique et je ne suis pas dans un parti politique", souligne le maire de Béziers.
"Je serais scandalisé si demain Marine Le Pen n'avait pas un certain nombre d'élus à l'Assemblée nationale. Je trouve le système injustice."
Mort de Frédéric Leclerc-Imhoff: "Des gens risquent leurs peaux pour qu'on sache ce qu'il se passe", pour Robert Ménard
Robert Ménard est l'invité de "BFM Politique" ce dimanche. Le fondateur de Reporter sans frontières réagit à la mort de notre collègue Frédéric Leclerc-Imhoff, tué le 30 mai par une frappe russe en Ukraine.
"Il y a des gens qui risquent leur peaux pour qu'on sache ce qu'il se passe. Quand on moque les journalistes, c'est un mauvais signe", estime le maire de Bézier.
Le vote a déjà commencé en Polynésie et à l'étranger
Les Français de l'étranger et de Polynésie sont appelés aux urnes depuis hier soir pour la zone Amérique et Caraïbes, et ce dimanche matin dans le reste du monde. C'est le cas de Londres, où les 29 bureaux de vote ont ouvert à 8h ce matin.
Les résultats des 11 circonscriptions des Français de l'étranger devraient être connus cette nuit. La 5e circonscription englobant l'Espagne, le Portugal, Andorre et Monaco sera particulièrement scrutée où Manuel Valls se présente sous les couleurs de la majorité présidentielle, face au le député sortant Stéphane Vojetta qui a décidé de partir dissident.
Vote en ligne
Les résidents de l'étranger qui le souhaitaient avaient déjà la possibilité de voter par internet, du 27 mai au 1er juin, avec une série de couacs techniques et de critiques, ou par correspondance.
Deux candidates LFI critiquées pour s'être affichées avec Jeremy Corbyn
Deux candidates LFI aux législatives à Paris, Danièle Obono et Danielle Simonnet, ont été vilipendées par leurs concurrents et la Licra samedi pour s'être affichées avec Jeremy Corbyn, ex-patron du parti travailliste britannique exclu de son groupe parlementaire pour laxisme face à l'antisémitisme.
Jeremy Corbyn a tweeté une photo de campagne à Paris où il est venu soutenir la députée sortante Danièle Obono (17e circonscription) et la conseillère de Paris Danielle Simonnet (15e circonscription), en lice avec l'alliance à gauche Nupes.
La Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) a aussi fustigé la photo et "la fierté" de Danielle Simonnet, reprochant à Jeremy Corbyn, à la tête du parti travailliste de septembre 2015 à avril 2020, d'avoir "couvert" l'antisémitisme, ce dont il se défend.
Des cadres socialistes ont repris cette critique, en pleine guerre des gauches dans ce XXe arrondissement de Paris, où la rivale socialiste, Lamia El Aaraje a maintenu sa candidature avec l'aval du PS malgré l'accord à gauche derrière Jean-Luc Mélenchon.
Marine Le Pen "est dans les mains de Vladimir Poutine", fustige Bruno Le Maire
Le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire critique ce dimanche matin sur les ondes d'Europe 1 la cheffe de file du Rassemblement national pour sa proximité avec Vladimir Poutine engagé depuis 102 jours dans l'invasion de l'Ukraine.
"Marine Le Pen est dans les mains de Vladimir Poutine. Si elle veut continuer à apporter 800 millions de dollars par jour à Vladimir Poutine, c'est son droit. Mais nous, nous défendons une politique d'indépendance énergétique vis à vis de la Russie, visiblement ce n'est pas la ligne du Rassemblement national."
Pour Bruno Le Maire, le projet de Jean-Luc Mélenchon est "communautariste, autoritariste et communautaire"
Invité du Grand Rendez-vous sur Europe 1, le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire tacle le chef de file de La France Insoumise, Jean-Luc Mélenchon ce dimanche matin.
"Je caractérise [Jean-Luc Mélenchon], par son autoritarisme, son projet est plein d'obligations et de contraintes, par la collectivisation et le refus du travail ", a déclaré Bruno Le Maire.
Pour lui, le projet de son adversaire politique, "est communautariste dans lequel la nation n'est plus une nation universelle et unie mais une somme de communauté dont on respecterait les langues, les mémoires, les coutumes".
"Ceux qui proposent la retraite à 60, mentent aux Français" a-t-il aussi critiqué.
Marine Le Pen en meeting à Hénin-Beaumont ce dimanche
La candidate du Rassemblement national, Marine Le Pen tiendra son premier meeting de campagne ce dimanche après-midi dans son fief d'Hénin-Beaumont dans le Pas-de-Calais où elle se présente au poste de députée.
"Face au système Macron et au danger Mélenchon, mobilisons-nous pour envoyer le maximum de députés RN à l’Assemblée nationale", a-t-elle écrit dans un tweet.
Selon notre sondage réalisé par Elable publié mercredi, le Rassemblement national est crédité à 22% des intentions de vote pour le premier tour des législatives.
Christophe Castaner annonce qu'il veut rempiler à la tête du groupe parlementaire
Le patron des députés LREM, Christophe Castaner a annoncé ce dimanche matin dans les colonnes du JDD vouloir conserver son poste à la tête du groupe parlementaire s'il est réélu dans la circonscription de Forcalquier dans les Alpes-de-Haute-Provence.
"Je serai candidat à la présidence du groupe: c'est là que je suis le plus utile, si les députés me font à nouveau confiance", estime-t-il.
"Dans le courant de l'année 2023, on devrait revenir à une inflation plus raisonnable", selon Bruno Le Maire
"Nous avons aujourd'hui le taux d'inflation le plus faible de la zone euro", a déclaré le ministre de l'Economie et des Finances, Bruno Le Maire, sur l'antenne d'Europe 1 ce dimanche matin.
"Nous avons anticipé cette inflation(...). Notre première responsabilité est de protéger les Français et nous continuerons à les protéger. Dans le courant de l'année 2023, on devrait revenir à une inflation plus raisonnable", at-il prédit.
Robert Ménard sera l'invité de "BFM Politique" ce dimanche
Le maire de Bézier Robert Ménard, soutien de Marine Le Pen sera l'invité ce dimanche de BFM Politique à partir de 12 h.

Les circonscriptions à suivre
Plus que 7 jours avant le premier tour des élections législatives, dimanche prochain. Plusieurs figures nationales jouent leur survie politique dans la course à l'Assemblée nationale comme Jean-Michel Blanquer. Emmanuel Macron a déjà promis que les perdants devraient quitter le gouvernement.
D'autres candidatures, moins connues, ont valeur de test, notamment pour les anciens Républicains qui se présentent désormais sous les couleurs de la majorité présidentielle.
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Bonjour à tous!
Bienvenue dans ce direct consacré à l'actualité des élections législatives en ce dimanche 5 juin.