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Logement sociaux: l’État veut préempter un terrain à Ormesson-sur-Marne

Logement sociaux: l’État veut préempter un terrain à Ormesson-sur-Marne

Devant les caméras, le ministre de la Ville, Patrick Kanner, est venu vendredi faire respecter la loi à Ormesson-sur-Marne. Dans cette commune du Val-de-Marne, le taux de logements sociaux y est extrêmement faible. Patrick Kanner a donc annoncé la construction d’environ 500 logements sociaux sur un terrain vague et n’exclut pas d’exercer le droit de préemption de l’État. Cette décision n’est pas du goût des habitants, ni de la maire d’Ormesson-sur-Marne.

Un ancien soldat sur le départ pour l'Irak: "Les kurdes ont besoin de nous"

Un ancien soldat sur le départ pour l'Irak: "Les kurdes ont besoin de nous"

BFMTV a rencontré un ancien soldat français qui a dévidé avec un dizaine d'autres de partir combattre les jihadistes en Irak, avec les Peshmergas kurdes. Ils se disent écœurés par les exactions commises par les islamistes et en colère face au faible engagement de la France et des pays occidentaux. "Pour nous il est intolérables d'attendre autant et l'action doit être réelle maintenant", explique Ach qui assure appartenir à un groupe complétement indépendant de tout parti ou groupe religieux. "Nous sommes prêts à mourir comme tout soldat qui a fait serment un jour. Mais nous ne sommes pas là pour mourir contrairement à ce qu'il y a en face", explique cet homme qui préfère garder l'anonymat.

Corse: la crise des déchets se poursuit

Corse: la crise des déchets se poursuit

Cela fait près d'une semaine que la collecte d'ordures est suspendue à Bastia, au grand dam des habitants. La crise des ordures ménagères sur l'île de beauté a débuté en juin, mais s'est renforcée lors de la fermeture du plus gros centre d'enfouissement en raison de sa saturation. Les trois autres centres se sont retrouvés débordés et refusent de traiter les déchets. "Quand il fait très chaud, l'odeur des containeurs poubelles est épouvantable", déplore un habitant de l'île. Une nouvelle réunion avec les acteurs locaux est prévue vendredi à Ajaccio.

Des avocats et sociologues dénoncent les droits bafoués des détenus qui travaillent

Des avocats et sociologues dénoncent les droits bafoués des détenus qui travaillent

Un détenu sur trois travaille en prison en France. Pourtant, leurs droits ne sont pas très protégés. Ils sont payés entre 2 et 4 euros par heure, n'ont pas le droit de se syndiquer ni d'assurance chômage ou encore de médecine du travail. Certains juristes et sociologues dénoncent un déni de droit et espère convaincre le Conseil constitutionnel. "Si nous sommes suivis, le législateur sera contraint à la réforme et devra garantir un certain nombre de libertés fondamentales", espère l'avocat Patrice Spinosi.

La tolérance zéro pour l'alcool au volant n'effraie pas les Français

La tolérance zéro pour l'alcool au volant n'effraie pas les Français

L'association 40 millions d'automobilistes lance une campagne qui propose d'abaisser le taux d'alcoolémie autorisé à 0,2 grammes par litre de sang, au lieu de 0,5. L'idée pourrait déplaire, mais elle n'est pas forcément jugée mauvaise par les automobilistes. "Le seuil est bas, alors pourquoi ne pas aller jusqu'au bout", estime un automobiliste. En Europe, deux pays appliquent déjà ces taux et quatre vont même jusqu'à la tolérance zéro.

Instituteur soupçonné de violences: la colère des parents

Instituteur soupçonné de violences: la colère des parents

Un instituteur en fin de carrière a été suspendu et placé en garde à vue mercredi à Pantin, en Seine-Saint-Denis, pour des violences présumées sur ses élèves de maternelle. Quatre familles ont déposé plainte contre l’enseignant. Les faits se seraient déroulés quelques jours après la rentrée. Devant l’école, l’affaire divise: certains parents sont très remontés car ils disent avoir tiré la sonnette d’alarme il y a plusieurs années. Une cellule d’écoute a été mise en place.

Education: les casiers judiciaires des enseignants vérifiés automatiquement

Education: les casiers judiciaires des enseignants vérifiés automatiquement

Les casiers judiciaires de tous les agents de l'Éducation nationale en contact avec les enfants seront désormais vérifiés automatiquement par les rectorats, tout au long de leurs carrières. Auparavant, une seule vérification intervenait au moment de l'embauche. Les syndicats sont d'accord sous certaines conditions. "On attend des garanties, pour que soient seulement examinées des peines en rapport avec des agressions sexuelles", explique Sébastien Sihr, du syndicat enseignant SNUIPP-FSU.

A Montpellier, 16.000 demandes de HLM pour 2.000 logements attribués

A Montpellier, 16.000 demandes de HLM pour 2.000 logements attribués

Les logements sociaux sont insuffisants à Montpellier pour répondre à la demande. Environ 16.000 demandes sont enregistrées chaque année, mais moins de 2.000 logements sont attribués. Aucun n'est actuellement disponible et le délai d'attente minimum est de trois ans. "Le logement privé est terriblement difficile d'accession, du coup, beaucoup de gens se tourne vers le logement social", estime Robert Cotte, président d'AVC habitat.

Pantin: un instituteur soupçonné de violences contre ses élèves

Pantin: un instituteur soupçonné de violences contre ses élèves

Un instituteur a été placé en garde à vue ce mercredi pour des soupçons de violences sur des enfants de petite section de maternelle. Les faits se seraient passés durant le mois de septembre dans une école maternelle de la ville de Pantin, en région parisienne. Quatre plaintes ont été déposées. "Il y a un enfant qui a été jeté à hauteur d'homme contre un mur et un autre enfant qui a été poussé violemment sur le sol. Le premier enfant avait une énorme bosse et la tête en sang", a témoigné une mère plaignante.

Le test de la vente de médicaments à l'unité remis en question

Le test de la vente de médicaments à l'unité remis en question

Le ministère de la Santé a décidé, depuis l'année dernière, de tester la vente de médicament à l'unité, afin de limiter la surconsommation et de faire faire des économies à l’assurance maladie. Les professionnels de santé contestent cette hypothèse. "Le déconditionnement a un coût, c'est du temps. Il a été calculé que c'est au moins un préparateur de plus par officine, sinon deux", a défendu Jean-Jacques Zambrowski, médecin-hospitalier et économiste de la santé.