Le Premier ministre est revenu, ce vendredi 5 septembre, sur sa déclaration évoquant le "confort des boomers" face à la dette. François Bayrou souhaite les avoir à ses côtés "pour faire baisser" cette dernière.
Laurent Wauquiez a affirmé ce jeudi 4 septembre sur RMC-BFMTV que les députés LR ne censureront pas un éventuel "gouvernement socialiste" ou "un gouvernement du RN", car ils ne font "pas partie de ceux qui font tomber des gouvernements dans ce pays". Patrick Stefanini, représentant spécial du ministre de l'Intérieur a indiqué qu'ils "ne soutiendrons pas un gouvernement dirigé par un représentant du Parti socialiste".
À l'issue de ses consultations, le Premier ministre a, en revanche, affirmé que les partis d'opposition ne s'accordaient pas sur les solutions à appliquer pour faire des économies et alléger la dette.
Alors que François Bayrou sollicite un vote de confiance à l'Assemblée nationale, mardi 8 septembre, un nouveau sondage "L'Opinion en direct", piloté par l'institut Elabe pour BFMTV et publié ce mercredi 3 septembre, dévoile que plus de huit Français sur dix (82%) jugent que la récente actualité politique est "un spectacle navrant donné par une classe politique pas à la hauteur de la situation".
À quatre jours du vote de confiance et de la possible chute de son gouvernement, François Bayrou continue de défendre ses mesures budgétaires pour réduire la dette de la France et notamment sa proposition critiquée de supprimer deux jours fériés.
À cinq jours du vote de confiance, le Premier ministre François Bayrou poursuit ses consultations cette semaine avec les forces d'opposition.
À cinq jours du vote de confiance, le Premier ministre François Bayrou poursuit ses consultations cette semaine avec les forces d'opposition.
ET SI C'ÉTAIT ELLE? (2/4) - La discrète ministre de la Santé et du Travail pourrait être nommée à Matignon après le départ de François Bayrou le 8 septembre prochain. Si son profil suscite un relatif soutien à LR et en macronie, il est très loin de convaincre le PS. Mais Emmanuel Macron, qui avait pensé la nommer en 2022, pourrait jouer cette carte.
Alors que François Bayrou sollicite un vote de confiance à l'Assemblée nationale, mardi 8 septembre, une large majorité de Français estime que la classe politique n'est " pas à la hauteur de la situation".
Le président de la République a "réclamé des accords au plus vite" lors du conseil des ministres, selon un participant à BFMTV. "On avait des trucs qu’on voulait porter, on est inquiet pour la situation générale du pays [...] On va essayer de convaincre jusqu’au bout malgré tout", ajoute-t-il. Une ministre reconnaît, auprès de BFMTV, qu'il y avait une ambiance de fin de cycle, lors des échanges avant le conseil.
Le président de la République a demandé à ses ministres une "mobilisation totale" autour du Premier ministre François Bayrou, à quelques jours du vote de confiance devant l'Assemblée nationale, avant le vote du budget de l'État.
Sophie Primas, la porte-parole du gouvernement, aborde la présentation de l'accord critiqué avec le Mercosur qui est prévue ce mercredi 3 septembre par l'Union européenne. "L'Union européenne, et singulièrement la présidente, (a) entendu les réserves émises", rapporte-t-elle lors du compte rendu du conseil des ministres.
"Le président de la République (a dit) que nous étions dans un contexte international et national singulier", rapporte Sophie Primas à l'issue du conseil des ministres et à quelques jours du vote de confiance sollicité par François Bayrou.
La porte-parole du gouvernement, Sophie Primas, revient sur le vote de confiance sollicité lundi prochain par François Bayrou. "Les chefs d'entreprise (...) attendent un texte sur la simplification de leur quotidien et non une nouvelle période d'instabilité", souligne-t-elle ce mercredi 3 septembre.
Lors du Conseil des ministres Emmanuel Macron a appelé à une "mobilisation totale" autour de François Bayrou. "Il faut se battre jusqu’au bout. Il faut être des acteurs de la responsabilité", a-t-il lancé, indiquent des participants à BFMTV.
Depuis quelques jours, le Premier ministre multiplie les références à ces prénoms. Une manière de se réconcilier avec les électeurs les plus âgés, tout en convoquant une image de la France éternelle, explique à BFMTV Philippe Moreau Chevrolet, spécialiste de communication politique.
Le Premier ministre dit sur BFMTV ne pas envisager la possibilité d'une dissolution en cas de chute le 8 septembre prochain. Mais si Emmanuel Macron ne parvient pas à lui trouver un successeur ou en cas de motion de censure à l'automne, l'hypothèse de nouvelles élections législatives devient très crédible.
Le Premier ministre ouvre de nouveau la porte à la possibilité de renoncer à la fin de deux jours fériés. "C'est discutable", explique François Bayrou qui tente son va-tout à quelques jours du vote de confiance. La droite lui réclame depuis des jours de faire marche arrière.
Le Premier ministre a défendu une nouvelle fois son projet de budget sur RMC-BFMTV, à quelques jours du vote de confiance qui semble perdu d'avance pour le gouvernement.
En pleine semaine de tractations à Matignon avec les chefs de partis, François Bayrou devrait, ce mercredi 3 septembre, proposer aux Socialistes des pistes afin d'éviter la censure le lundi 8 septembre.
À cinq jours du vote de confiance, le Premier ministre François Bayrou poursuit ses consultations cette semaine avec les forces d'opposition.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
Le président de Horizons Édouard Philippe estime que "les responsables politiques ont une obligation d'échanger ensemble" afin de "construire un budget". Celui-ci, "à défaut d'être parfait et de correspondre parfaitement à ce qu'ils espèrent", permettra d'éviter que "la situation financière du pays se dégrade", d'après Édouard Philippe, après son entretien avec François Bayrou.
Le président du parti Horizons Édouard Philippe estime que "les responsables politiques ont une obligation d'échanger ensemble" afin de "construire un budget". Celui-ci, "à défaut d'être parfait et de correspondre parfaitement à ce qu'ils espèrent", permettra d'éviter que "la situation financière du pays se dégrade", d'après Édouard Philippe, après son entretien avec François Bayrou.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
ET SI C'ÉTAIT LUI? (1/4) - En cas de départ de François Bayrou le 8 septembre prochain après le vote de confiance, le garde des Sceaux fait partie des candidats pour Matignon. Les socialistes ont beau être farouchement opposés à ce scénario, une partie de la macronie y croit.
Après s'être entretenu avec François Bayrou, Gabriel Attal, secrétaire général de Renaissance, a appelé à "travailler avec les autres forces politiques" pour "forger du compromis (...) qui ne sera pas satisfaisant pour tout le monde" mais permettra à la France de disposer d'un budget pour l'année 2026.
Après s'être entretenu avec François Bayrou, Gabriel Attal, secrétaire général de Renaissance, a appelé à "travailler avec les autres forces politiques" pour "forger du compromis (...) qui ne sera pas satisfaisant pour tout le monde" mais permettra à la France de disposer d'un budget pour l'année 2026.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
![Vote de confiance: "J'ai indiqué pour ma part, le choix que j'avais fait [...] pour ne pas rejoindre celles et ceux qui veulent se comporter comme des incendiaires", fustige Bruno Retailleau (LR)](https://images.bfmtv.com/K1kW-EtdoVZLsvkPFYEn0wqDHTQ=/0x0:1280x720/285x0/images/Vote-de-confiance-J-ai-indique-pour-ma-part-le-choix-que-j-avais-fait-pour-ne-pas-rejoindre-celles-et-ceux-qui-veulent-se-comporter-comme-des-incendiaires-fustige-Bruno-Retailleau-LR-2130945.jpg){kind=small}
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
Lors d'une conférence de presse, ce mardi 2 septembre, le ministre de l'Intérieur a présenté son projet de loi dont l'objectif est notamment "de faire reculer la délinquance".
En déplacement à Sartrouville dans les Yvelines mardi 2 septembre, Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, est revenu sur les propositions budgétaires de François Bayrou. Il assure qu'il n'est pas "d'accord" avec "beaucoup de propositions" du Premier ministre.
Le Premier ministre François Bayrou est sur un siège éjectable, à moins d'une semaine du vote de confiance par les députés, prévu le 8 septembre. Le chef du gouvernement poursuit cette semaine ses consultations.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
Les jours de François Bayrou sont comptés à l'approche du vote de confiance, la gauche s'avance déjà sur la succession du Premier ministre, alors que Les Républicains ne veulent pas "mêler" leurs voix aux autres partis d'opposition.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
![Hypothèse d'une dissolution: "Nous ne sommes pas du tout sûrs de gagner [...] la politique, c'est un combat", indique Jean-Philippe Tanguy #FaceABFM](https://images.bfmtv.com/6mgGpuLPhDUEYzVg8gkIggZCzEk=/0x0:1280x720/285x0/images/Hypothese-d-une-dissolution-Nous-ne-sommes-pas-du-tout-surs-de-gagner-la-politique-c-est-un-combat-indique-Jean-Philippe-Tanguy-FaceABFM-2130462.jpg){kind=small}
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques. Les représentants des partis politiques ont débattu ce lundi soir sur BFMTV.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
À une semaine du vote de confiance à l'Assemblée nationale, François Bayrou est plus que jamais sous pression. Le Premier ministre croit toujours possible de se maintenir à Matignon le 8 septembre prochain et vient d'entamer aujourd'hui un cycle de consultations avec les partis politiques.
