Mara Bernasconi, une responsable de Handicap International, a témoigné de son passage à Gaza au micro de BFMTV. Elle y raconte notamment le sentiment d'oubli des populations gazaouis.
Au moins 1.383 civils ont été tués en Syrie depuis le 6 mars. Ces exactions, menées par des hommes armés soutenant le nouveau pouvoir islamiste, visent une minorité de l’ouest de la Syrie : les Alaouites. Il leur est notamment reproché d’être de la même confession que l’ancien dictateur Bachar-al-Assad.
Le Hamas a dit accepter ce vendredi 14 mars de libérer un otage israélo-américain et de rendre les dépouilles de quatre autres otages binationaux. Israël de son côté a accusé le mouvement islamiste palestinien de "n'avoir pas bougé d'un millimètre" dans les négociations sur la trêve à Gaza.
La France a procédé à plusieurs opérations de rapatriement qui ont cessé à l'été 2023, malgré les condamnations internationales dont celle de la Cour européenne des droits de l'Homme en 2022.
Depuis qu'Israël bloque l'entrée humanitaire dans l'enclave palestinienne, les stocks entrés pour l'aide humanitaire sont au plus bas, alerte le chef du Bureau des affaires humanitaires de l'ONU.
Les États-Unis et l'Ukraine ont réussi à s'entendre sur un accord pour un cessez-le-feu ce mardi en Arabie saoudite. Le projet doit encore être validé par la Russie, mais les Américains ont d'ores et déjà annoncé la levée "immédiate" de la suspension de leur aide militaire. Ce mercredi, le président américain rencontre le Premier ministre irlandais dans le bureau ovale.
Sébastien Lecornu, ministre des Armées, s'exprime sur la guerre en Ukraine lors d'une conférence de presse avec ses homologues européens.
De violents affrontements ont émaillé l'ouest de la Syrie début mars, provoquant la mort de plus de 1.200 civils selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme.
Lundi, le président syrien par intérim et le chef des Forces démocratiques syriennes ont réussi à se mettre d'accord sur une intégration des institutions civiles et militaires kurdes dans le gouvernement national.
Des négociations sur la poursuite de la trêve entre le Hamas et Israël, débutée le 19 janvier, ont été entamées ce mardi 11 mars.
Le président syrien par intérim et le chef des Forces démocratiques syriennes ont réussi, ce 10 mars, à se mettre d'accord sur une intégration des institutions administratives kurdes dans le gouvernement national.
Les explications du journaliste Wassim Nasr, spécialiste des mouvements djihadistes, sur la situation en Syrie.
La minorité alaouite de l'ouest de la Syrie a été visée par une série d'exactions commises par des hommes armés soutenant le nouveau pouvoir islamiste. Leur tort? Être de la même confession que l'ancien dictateur Bachar al-Assad.
Une semaine après la suspension de l’aide humanitaire à Gaza, Israël a annoncé cesser de fournir de l’électricité à la bande de Gaza. L’unique ligne électrique entre Israël et Gaza alimente la principale usine de dessalement d’eau de l’enclave palestinienne qui dessert plus de 600.000 personnes. Sans électricité, des milliers d’habitants risquent donc d’être privés d’eau potable
Des hommes armés soutenant le nouveau pouvoir islamiste ont semé la terreur sur la côte syrienne, tuant de nombreux civils principalement de confession alaouite, une branche de l'islam associée à l'ancien dictateur Bachar al-Assad.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité du nouveau pouvoir en place embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis le jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité du nouveau pouvoir en place embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis le jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Après plusieurs jours de violences meurtrières sur la côte méditerranéenne du pays, le président syrien par intérim Ahmed al-Chareh a affirmé qu'un comité serait formé pour "protéger la paix civile".
Depuis début mars, des affrontements entre fidèles du président déchu Bachar al-Assad et forces de sécurité embrasent la Syrie. Les violences se concentrent sur le littoral syrien, bastion de la minorité alaouite, une branche de l'islam chiite, dont est issu l'ex-président. Depuis jeudi 6 mars, plus de 1.300 personnes sont mortes tandis que la communauté internationale appelle à cesser les combats.
Après avoir suspendu l'aide humanitaire, Israël a justifié cette décision par le fait de faire pression sur le Hamas "pour ramener tous les otages" qui intervient alors que de nouvelles négociations indirectes sur les modalités de la poursuite du cessez-le-feu doivent s'engager.
Donald Trump a évoqué l'idée d'un plan visant à "faire le ménage" dans la bande de Gaza, disant vouloir envoyer les Palestiniens vers l'Égypte et la Jordanie. Un plan qui "prend forme", d'après le ministre des Finances israélien d'extrême droite, Bezalel Smotrich.
Cela porte le bilan des violences à 1018 morts, dont 273 membres des forces de sécurité et des combattants loyaux au clan Assad.
Selon des neuroscientifiques israéliens, la consommation de MDMA aurait permis à plusieurs survivants un stress post-traumatique beaucoup moins important.
Le nouveau président de la Syrie a appelé les insurgés alaouites du nord-est du pays à déposer les armes "avant qu'il ne soit trop tard", estimant qu'ils ont "commis une faute impardonnable" après une flambée de violences.
Donald Trump a pris la parole ce vendredi 7 mars depuis le Bureau ovale de la Maison Blanche. Il a d’abord évoqué les chiffres du chômage, en hausse. Il a ensuite été interrogé sur la situation en Ukraine, avec les nouveaux bombardements russes sur Kiev et sur les négociations en cours pour obtenir un accord de paix.
Les habitants de la bande de Gaza font face depuis plusieurs jours à l'arrêt de l'entrée de l'aide humanitaire par Israël. Paris, Londres et Berlin ont d'ailleurs exhorté, en début de semaine, Israël à laisser entrer l'aide humanitaire "sans entrave".
Le président américain Donald Trump menace le "peuple de Gaza" si les otages israéliens ne sont pas libérés. "Au peuple de Gaza: un bel avenir vous attend, mais pas si vous gardez des otages. Si vous le faites, vous êtes morts! Prenez une bonne décision", a menacé le président américain dans un message sur son réseau Truth Social.
La Maison Blanche a confirmé ce mercredi des contacts entre les États-Unis et le Hamas, avec, notamment au menu des échanges, des discussions sur des Américains détenus par le mouvement palestinien.
Devant le Parlement, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a menacé le Hamas de "conséquences que vous ne pouvez pas imaginer" si les otages ne sont pas libérés.
Le Hamas insiste pour passer à la seconde phase de la trêve dans la bande de Gaza prévoyant un cessez-le-feu permanent. Mais Israël, soutenu par un plan américain, veut prolonger la première.
L'attaque qualifiée "d'attentat terroriste" par la police s'est produit ce lundi 3 mars à Haïfa, dans le nord du pays. Au moins une personne a été tuée et quatre autres sont actuellement blessées. L'assaillant a, quant à lui, été "neutralisé".
Ce blocage risque de faire dérailler la trêve conclue après 15 mois d'une guerre dévastatrice à Gaza, déclenchée par l'attaque menée le 7 octobre 2023 par le Hamas.
Les Gazaouis se sont rassemblés pour rompre le jeûne lors du premier jour du Ramadan parmi les décombres. Cette période durera 30 jours et intervient le dernier jour de la première phase de trêve et en l'absence d'accord entre Israël et le Hamas sur une prolongation du cessez-le-feu.
Israël a annoncé ce dimanche 2 mars suspendre l'entrée de marchandises et d'approvisionnements dans la bande de Gaza, une décision qualifiée par le Hamas de "crime de guerre". Israël demande une extension de la trêve jusqu'en avril, tandis que le Hamas exige le démarrage de la deuxième phase du cessez-le-feu dans la bande de Gaza.
Le Hamas exige le démarrage de la deuxième phase du cessez-le-feu dans la bande de Gaza, qui doit en principe avoir lieu dimanche mais qu'Israël refuse d'appliquer, préférant un plan de dernière minute d'extension de la trêve jusque mi-avril proposé par les États-Unis face au blocage des négociations.
Le cabinet du Premier ministre Benjamin Netanyahu a annoncé approuvé cette proposition dans un communiqué ce samedi 1er mars.
Dans un message adressé aux participants au sommet extraordinaire de la Ligue arabe consacré aux Territoires palestiniens, le Hamas affirme sa "volonté d'aller au bout des étapes restantes de l'accord".
