
Egypte : Morsi assure que la Constitution garantit l'égalité
Le président égyptien a cherché à rassurer la population sur la nouvelle Constitution, ce samedi, affirmant que le texte garantit l'égalité des droits de tous.
Le président égyptien a cherché à rassurer la population sur la nouvelle Constitution, ce samedi, affirmant que le texte garantit l'égalité des droits de tous.
Le président égyptien s'est félicité mercredi de l'adoption de la nouvelle Constitution soutenue par les islamistes et en a profité pour annoncer un prochain remaniement du gouvernement.
63,8% des près de 52 millions d'électeurs inscrits se sont prononcés en faveur du projet de loi fondamentale pour un taux de participation de seulement 32,9%.
Les résultats officiels du référendum des 15 et 22 décembre sur le projet de Constitution ont été proclamés par la commission électorale, mardi après-midi.
La commission électorale annoncera les résultats officiels du référendum des 15 et 22 décembre, sur le projet de Constitution controversé, mardi 25 décembre au soir. Les Frères musulmans ont revendiqué la victoire du "oui" dès dimanche.
L'opposition dénonce des fraudes et annonce qu'elle fera appel, après l'approbation dimanche, selon les médias, de la Constitution défendue par les islamistes.
Les islamistes au pouvoir ont affirmé, tôt dimanche, que leur projet de Constitution avait recueilli l'approbation de 64% des votants.
Samedi se tient la seconde et dernière phase du référendum sur le projet de Constitution controversé du président Morsi. La veille, des violences à Alexandrie ont fait des dizaines de blessés.
Après avoir critiqué les Frères musulmans, la danseuse égyptienne Sama Al-Masri défie le président Mohamed Morsi dans une vidéo qui fait le tour des réseaux sociaux en Egypte.
L'ex-président égyptien Hosni Moubarak a été transféré mercredi soir, une semaine après s'être blessé dans sa douche en prison.
Selon le parti du président égyptien Mohamed Morsi, une majorité des électeurs avaient voté pour la Constitution lors du référendum qui s'est tenu samedi.
L'ex-président égyptien Hosni Moubarak s'est blessé samedi en glissant dans sa douche en prison, a rapporté l'agence de presse officielle Mena.
Les bureaux de vote ont ouvert samedi matin peu après 8h locales pour une partie des 51 millions d'électeurs égyptiens. Ils sont appelés à se prononcer sur un projet de Constitution qui divise profondément le pays.
Adversaires et partisans du projet de Constitution en Egypte intensifiaient leurs campagnes jeudi à la veille du référendum.
La proposition du chef des armées de rassembler toutes les sensibilités politiques ne devrait pas faire évoluer la tension en Egypte. Reportage de BFMTV.
L'opposition, emmenée par le Front du salut national (FSN) dirigé par Mohamed El Baradei avait s'approche dans le calme du palais présidentiel au Caire.
Alors que les Egyptiens sont appelés samedi à se prononcer sur une nouvelle constitution, deux coalitions rivales ont appelé à manifester mardi. L'une en faveur du référendum et de la constitution, l'autre contre. Présentation.
Les forces armées assureront la sécurité à l'intérieur du pays en complémentarité avec la police jusqu'à la date du référendum, selon un décret que vient de publier le président égyptien.
Les militaires, qui ont dirigé le pays après la chute de Hosni Moubarak le 11 février 2011, ont lancé samedi un appel solennel au dialogue pour mettre fin à la grave crise entre le pouvoir et l'opposition.
Ces décisions ont été annoncées à l'issue d'une rencontre entre le chef de l'Etat islamiste et des personnalités politiques, quelques heures après que la puissante armée égyptienne eut appelé au dialogue.
Le président égyptien a chargé six personnalités de modifier la déclaration constitutionnelle qui lui octroie des pouvoir accrus.
Une coalition de partis islamistes a rejeté la demande de l'opposition de repousser le vote du 15 décembre sur le projet de Constitution.
L'opposition réclame le retrait d'un décret par lequel le président élu s'est octroyé il y a deux semaines des prérogatives s'apparentant à des pleins pouvoirs et demande le report du referendum sur la Constitution.
Des milliers de manifestants étaient rassemblés vendredi soir au Caire autour du palais présidentiel gardé par l'armée, tandis que le pouvoir a fait savoir qu'il pourrait reporter le référendum sur un projet de Constitution qui divise profondément le pays.
Après des jours de manifestations, le président Mohamed Morsi se dit prêt à reporter le référendum sur la nouvelle Constitution qui élargit ses droits.
Au lendemain de l'allocution présidentielle, les militants anti-Morsi sont encore plus déterminés et demandent plus que jamais sa démission. Dans l'autre camp, on appelle au dialogue pour rétablir l'équilibre et surtout arrêter les violences.
Alors qu'une crise politique secoue l'Egypte depuis quelques jours, le président Mohamed Morsi a appelé au dialogue jeudi soir, dans une allocution télévisée.
Des affrontements entre pro et anti-Morsi ont fait plusieurs morts au Caire, dans la nuit de mercredi à jeudi. L'armée a été déployée aux abords du palais présidentiel.
Les rues du Caire sont à nouveau le théâtre de violents heurts entre opposants et partisans du président Mohamed Morsi. Le politologue et spécialiste de l’Islam Gilles Kepel livre son éclairage sur les causes et les conséquences de ces manifestations.
Alors que Le Caire est secouée par des affrontements pro et anti-Morsi, le spectre d'une nouvelle révolution plane sur l'Egypte. Revivez ici la journée de jeudi.
Cinq manifestants égyptiens sont morts et près de 350 ont été blessés dans les violents affrontements entre opposants et partisans du président Mohamed Morsi qui se poursuivaient dans la nuit de mercredi à jeudi.
Opposants et partisans du président Mohamed Morsi se sont affrontés mercredi à coups de cocktails molotov et de jets de pierres devant le palais présidentiel, illustrant la division d'un pays qui s'enfonce dans la crise politique. Le point de vue de notre spécialiste de géopolitique, Harold Hyman.
Le vice-président égyptien Mahmoud Mekki a annoncé mercredi que l'organisation d'un référendum contesté sur un projet de Constitution serait maintenu malgré les manifestations de protestation. Sophie Pommier, spécialiste du pays, analyse la situation pour BFMTV.com.
En cas d'affrontements, "nous tiendrons M. Morsi pour responsable" avait déclaré Mohamed Waked, porte-parole du Front national pour la justice et la démocratie.
Des dizaines de milliers d'opposants au chef de l'Etat égyptien Mohamed Morsi ont encerclé mardi soir le palais présidentiel au Caire. Ils exigeaient le retrait d'un décret par lequel il a considérablement élargi ses pouvoirs et qui a divisé le pays.
Alors que le projet de Constitution voulu par le président islamiste Mohamed Morsi menace la liberté de la presse, plusieurs journaux indépendants égyptiens ont décidé de ne pas paraître, ce mardi, en guise de protestation.
Le bras de fer continue entre le pouvoir judiciaire et l'exécutif avec comme point d'achoppement la nouvelle et très controversée constitution.
L’Égypte s'enfonce dans sa plus grave crise politique depuis l'élection de Mohamed Morsi.