BFMTV
Gouvernement
en direct

Gouvernement: fin de la réunion à Matignon entre Michel Barnier et les ténors LR

placeholder video
Ils sont de retour. Le trio de dirigeants LR se rend à Matignon cet après-midi dans le cadre des consultations du Premier ministre Michel Barnier, qui n'a toujours pas choisi de gouvernement, onze jours après sa nomination.

L'ESSENTIEL

  • Michel Barnier est devenu Premier ministre il y a exactement onze jours, et n'a toujours pas choisi son gouvernement. Lire l'article
  • L'extrême droite maintient la pression. Jordan Bardella a appelé Michel Barnier ce matin à ne pas être "le continuateur" de la politique d'Emmanuel Macron sous peine de s'exposer à une motion de censure. Lire l'article
  • Le Premier ministre reçoit cet après-midi les dirigeants de LR (son parti politique) Bruno Retailleau, Gérard Larcher et Laurent Wauquiez. Lire la brève
  • Michel Barnier enverra les documents du projet de budget pour 2025 "dans la journée" au président de la commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel, qui a menacé de se rendre en personne à Matignon pour obtenir les lettres-plafonds. Lire l'article
  • Le chef de l'État a proposé ce matin la candidature de Stéphane Séjourné, le ministre des Affaires étrangères démissionnaire à la place de Thierry Breton qui a annoncé quitter la Commission européenne. Une partie de la classe politique s'en agace, à l'instar du patron des communistes, Fabien Roussel. Lire l'article

Michel Barnier n'a toujours pas composé son gouvernement

En quête d'un gouvernement équilibré et renouvelé, Michel Barnier se retrouve sous la pression de la droite, sa famille politique, qu'il a reçue à nouveau ce lundi, et des macronistes qui voudraient en limiter le poids, alors que des échéances budgétaires cruciales se rapprochent.

Le locataire de Matignon n'a toujours pas composé son gouvernement, onze jours après son arrivée au poste de Premier ministre.

Ce direct est terminé, merci de nous avoir suivi sur BFMTV.com Pour suivre la journée du mardi 17 septembre, il suffit de cliquer ici

Procédure de destitution de Macron: les députés PS n'empêcheront pas l'examen du texte mais voteront contre son adoption

Les députés PS ont décidé de voter en faveur de l'examen en commission de la proposition LFI de destitution d'Emmanuel Macron, mais voteront ensuite contre son adoption à l'Assemblée, estimant la procédure "vouée à l'échec", et à donner une forme de "légitimité" au chef de l'Etat.

Leur choix, annoncé par communiqué, devrait être formalisé mardi par les représentants socialistes au bureau de l'Assemblée, sa plus haute instance exécutive. Le NFP y détient une courte majorité qui devrait permettre au texte de passer cette étape. Mais son adoption définitive nécessiterait deux tiers des parlementaires des deux chambres, reste fortement improbable en l'état.

La réunion entre Michel Barnier et les ténors des LR est finie

Le rendez-vous entre le Premier ministre qui planche toujours sur son futur gouvernement et les poids lourds des Républicains s'est achevée en fin d'après-midi, a appris BFMTV.

Autour de la table à Matignon aux côtés de Michel Barnier: le président des députés LR Laurent Wauquiez, son homologue au Sénat Bruno Retailleau et Gérard Larcher, le président de la chambre haute.

Le nouveau Premier ministre continue ses consultations et recevra notamment demain le communiste Fabien Roussel.

"Trahison" ou "humiliation": Ciotti se demande si Barnier a "validé" la probable arrivée de Séjourné à la Commission européenne

La très probable arrivée de Stéphane Séjourné à la Commission européenne pour remplacer Thierry Breton ne passe pas dans les rangs des oppositions.

Éric Ciotti, le président contesté des LR depuis son alliance avec le RN , se demande ainsi le nouveau Premier ministre Michel Barnier a "validé ce choix".

"Si c'est le cas, c'est déjà une première trahison" pour le locataire de Matignon issu des rangs des LR, juge l'allié de Marine Le Pen depuis les législatives sur X (ex Twitter).

"Si ce n'est pas le cas, c'est une humiliation pour lui", tance encore Éric Ciotti.

Michel Barnier a affirmé jeudi devant son camp qu'il n'y avait à ses yeux "pas de domaines réservés" au président de la République - traditionnellement la Défense et les Affaires étrangères - préférant évoquer des "domaines partagés".

Pour Manon Aubry, "le coup de force permanent" d'Emmanuel Macron "se poursuit"

La gauche critique vivement le choix d'Emmanuel Macron de proposer Stéphane Séjourné, ministre démissionnaire des Affaires étrangères, comme futur commissaire européen pour remplacer Thierry Breton.

"Macron envoie son clone à la Commission sans consulter personne et au mépris du vote des Français", a commenté l'eurodéputée insoumise Manon Aubry sur X.

"Le coup de force permanent se poursuit", regrette-t-elle encore.

On vous explique pourquoi la démission de Thierry Breton de la Commission européenne et le choix du chef de l'État de proposer le nom de Stéphane Séjourné font polémique ici.

La rencontre entre les chefs des Républicains et Michel Barnier prévue à 15h50

Le trio de dirigeants LR, Bruno Retailleau, Gérard Larcher et Laurent Wauquiez, rencontreront le Premier ministre Michel Barnier à Matignon à 15h50 cette après-midi.

Les communistes Roussel, Cukierman et Chassaigne reçus demain à Matignon

Les communistes Fabien Roussel, Cécile Cukierman et André Chassaigne seront reçus demain à Matignon par Michel Barnier à 16h30.

Ils sont les seuls à gauche à le rencontrer avant la formation du prochain gouvernement. Une position justifiée par Fabien Roussel sur France Inter ce matin au nom d'un état d'esprit à la fois "constructif" et "combatif".

"Moi j’aimerais bien savoir ce que Michel Barnier a dans le ventre, savoir quelle politique il envisage de mettre en œuvre, avec le soutien de l’extrême droite et les exigences du président de la République", a déclaré le secrétaire national du PCF tout en affirmant que son parti entend bien faire entendre ses attentes.

Démission de Thierry Breton: Roussel estime que Macron se "comporte en serpillière" de Von der Leyen

Thierry Breton, le commissaire européen au Marché intérieur, a annoncé démissionner de son poste ce matin affirmant que la présidente de la Commission Ursula von der Leyen a demandé à Emmanuel Macron qu'il ne soit plus le candidat de la France. Face à quoi, le secrétaire national du Parti communiste français, Fabien Roussel, estime que le chef de l'État se "comporte en serpillière" d'Ursula Von Der Leyen en "exécutant ses ordres".

"Quelles que soient nos opinions sur Thierry Breton, en rejetant le choix de la France, Mme Von Der Leyen s’assoit sur notre souveraineté comme jamais depuis Maastricht", écrit-il sur X, estimant cela "scandaleux".

Retailleau, Wauquiez et Larcher reçus une nouvelle fois à Matignon

Un tour de plus à Matignon. Le Premier ministre Michel Barnier reçoit de nouveau, cet après-midi, Bruno Retailleau, Laurent Wauquiez et Gérard Larcher dans le cadre de ses consultations pour composer son futur gouvernement, a appris BFMTV auprès de sources concordantes, confirmant des informations du Figaro.

L'entourage du Premier ministre précise que d'autres personnalités, de sensibilités différentes, sont reçues toute la journée à Matignon dans le même cadre, depuis ce matin et jusqu'à ce soir.

Les trois ténors de la droite avaient déjà été reçus à Matignon le 6 septembre, au lendemain de la nomination de Michel Barnier par le président Emmanuel Macron.

Après avoir longtemps prôné un soutien possible mais sans participation au gouvernement, la droite a acté la semaine passée son intention de faire partie de la future équipe de Michel Barnier, lui aussi issu des Républicains, lesquels ne comptent que 47 députés à l'Assemblée nationale.

Selon le porte-parole des députés LR, il n'y aura pas de nouveau gouvernement "avant dimanche"

Le prochain gouvernement? "On aura du mal à l'avoir avant dimanche", reconnaît le porte-parole des députés LR, Vincent Jeanbrun, sur Sud Radio, en rappelant que la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) devait aussi "vérifier la probité de chacun des membres du gouvernement".

Le Premier ministre "a une équation complexe à résoudre où il faut additionner les forces, donc ça veut dire avoir des personnalités de la droite républicaine et ça ferait sens d'avoir des personnalités comme Laurent Wauquiez, comme Bruno Retailleau, peut être comme Valérie Pécresse, mais évidemment qui doivent s'additionner à d'autres personnalités d'autres formations politiques", précise Vincent Jeanbrun.

Pour Roussel, Mélenchon n'a "pas la capacité à rassembler la France"

Jean-Luc Mélenchon est "un repoussoir" pour de nombreux électeurs, estime le chef des communistes Fabien Roussel, avançant que le leader de La France insoumise n'a pas "la capacité à rassembler la France".

Ne réfutant pas le terme "boulet" utilisé par François Ruffin, qui a rompu avec la France insoumise, Fabien Roussel juge que "c'est un vrai sujet dont il faut pouvoir parler" à gauche. "Est-ce que (Jean-Luc Mélenchon) ne nous empêche pas de rassembler au-delà de ce que nous avons fait aujourd'hui?", s'interroge-t-il.

Budget: Coquerel menace de se rendre en personne à Matignon mardi

Le président de la Commission des Finances, Éric Coquerel (LFI), maintient la pression sur Michel Barnier en menaçant de venir en personne mardi réclamer des documents budgétaires toujours pas transmis à la représentation nationale.

"Aujourd'hui, on lui demande sa réponse et sinon, effectivement, avec Charles de Courson (le rapporteur général du budget, NDLR), nous irons demain (mardi) à Matignon", déclare le député insoumis sur France 2.

Les deux représentants de la commission des Finances disposent d'un droit de contrôle sur place et sur pièces de documents budgétaires.

Les lettres-plafonds fixent les crédits ministère par ministère pour 2025 et, précise Éric Coquerel, "une loi constitutionnelle fixe le fait que nous ayons les documents budgétaires fin juillet".

Roussel temporise concernant le texte du RN pour abroger la réforme des retraites

Le PCF va-t-il voter l'abrogation de la réforme des retraites, présentée par le RN dans sa niche parlementaire du 31 octobre prochain? Fabien Roussel ne répond pas directement à la question sur France Inter, le secrétaire national du PCF renvoyant une décision aux journées parlementaires de son parti, prévues ce jeudi.

"Nous ferons tout ce qui est en notre pouvoir pour (que cette réforme) soit abrogée", promet néanmoins l'ancien député du Nord, battu lors des dernières élections législatives.

Le sujet embarrasse à gauche, les partis estimant que le RN tente de "piéger" le Nouveau Front populaire, certains élus refusant de se voir associer à un texte émanant de l'extrême droite. Pour l'ancienne tête de liste communiste aux européennes Léon Deffontaines, qui n'est pas député, "le piège serait de ne pas la voter", même s'il faut aussi "démontrer systématiquement l'imposture sociale du RN".

Fabien Roussel veut "savoir ce que Michel Barnier a dans le ventre"

Ils sont les seuls à gauche à le rencontrer avant la formation du prochain gouvernement: les dirigeants communistes seront reçus par Michel Barnier à Matignon ce mardi. Une position justifiée par Fabien Roussel sur France Inter au nom d'un état d'esprit à la fois "constructif" et "combatif".

"Moi j’aimerais bien savoir ce que Michel Barnier a dans le ventre, savoir quelle politique il envisage de mettre en œuvre, avec le soutien de l’extrême droite et les exigences du président de la République", déclare le secrétaire national du PCF.

Avant d'indiquer que son parti entend bien faire entendre ses attentes en réclamant "la hausse des salaires", l'"abrogation de la réforme des retraites" et des "moyens pour nos services publics".

Éric Coquerel dénonce un "gouvernement de perdants"

L'insoumis Éric Coquerel tance Michel Barnier sur France 2, accusant le Premier ministre d'être à la tête d'un "gouvernement de perdants", même si celui-ci n'est pas encore formellement constitué, les ministres démissionnaires officiants depuis plusieurs semaines.

Éric Coquerel fait référence aux membres de LR et du camp présidentiel qui pourraient rejoindre la prochaine équipe gouvernementale, après avoir pourtant été défaits aux élections législatives.

Quant à Michel Barnier, Éric Coquerel considère qu'il a été nommé pour "continuer à appliquer le programme du macronisme, notamment en matière économique."

Bardella appelle Barnier à ne pas être "le continuateur" de la politique de Macron

Le Rassemblement national continue de mettre la pression sur le nouveau Premier ministre Michel Barnier. Le président du parti d'extrême droite, Jordan Bardella, avertit ainsi sur RTL:

"Si Michel Barnier est le continuateur d’une politique qui a été conduite par Emmanuel Macron depuis (sept) ans et défaite très sévèrement dans les urnes aux élections européennes et législatives (...) alors ce gouvernement tombera."

Sans aller jusqu'à promettre une censure automatique, Jordan Bardella juge également qu'un gouvernement avec Gérald Darmanin, Éric Dupond-Moretti et Xavier Bertrand reviendrait simplement à un "macronisme qui change de vitrine".

Notre article

Le bureau de l'Assemblée se prononce mardi sur la procédure de destitution de Macron

Le bureau de l'Assemblée nationale étudie ce mardi la recevabilité de la motion de destitution d'Emmanuel Macron, présentée par La France insoumise, sans vraiment recevoir l'assentiment de ses autres partenaires du Nouveau Front populaire.

Pour cette raison, un doute subsiste quant à la capacité de cette procédure de franchir le premier obstacle d'un potentiel long chemin législatif, même si la gauche est majoritaire au sein du bureau de l'Assemblée, avec 12 membres sur 22.

Ce week-end, Jean-Luc Mélenchon a appelé les socialistes à "accepter de transmettre" le texte, avançant qu'écologistes et communistes "ont dit qu'ils voteraient la transmission". Qu'elle soit déclarée recevable ou non, cette motion n'a que très peu de chances d'être adoptée. On vous explique pourquoi ici

Le Nouveau Front populaire face au défi de maintenir son unité

C'est LE défi de la gauche: conserver son unité avant d'éventuelles législatives anticipées d'ici l'été prochain dans l'hypothèse d'une nouvelle dissolution décidée par Emmanuel Macron. Une ambition rappelée ce week-end lors de la Fête de l'Humanité, dans l'Essonne, par les chefs du PS, de LFI, des Écologistes et du PCF, au moment où des tensions affleurent.

François Ruffin, notamment, a lancé un pavé dans la marre la semaine dernière, accusant LFI d'avoir "abandonn(é)" une partie du pays.

Le Picard a assumé ce week-end sous les sifflets et quelques applaudissements son "désaccord moral et électoral profond" avec Jean-Luc Mélenchon. Lequel, toujours à la Fête de l'Humanité, a joué l'apaisement, appelant à ce qu'on "dédramatise la discussion à l'intérieur de la gauche".

Reste que d'autres querelles pourraient voir le jour prochainement, avec des différences sur les stratégies à adopter vis-à-vis de la procédure de destitution portée par LFI et du texte d'abrogation de la réforme des retraites présenté par le RN que le PCF pourrait voter.

LFI présentera son propre projet de loi d'abrogation de la réforme des retraites

Le président de la Commission des Finances de l'Assemblée nationale, Éric Coquerel (LFI), a annoncé dimanche sur BFMTV que son groupe présenterait sa propre proposition de loi d'abrogation de la réforme des retraites dans sa niche parlementaire de novembre, estimant ne pas pouvoir soutenir celle du RN fin octobre.

"Nous, ce que nous regardons aujourd'hui, c'est de faire en sorte que d'ici la fin de l'année, on puisse s'assurer de l'abroger mais avec nos propres mesures que nous allons proposer", a expliqué le député de Seine-Saint-Denis.

Concernant l'extrême droite, il y a un "problème" selon lui de "donner une victoire sociale à un mouvement qui propose une politique économique qui n'est pas très différente finalement de celle de monsieur Macron et de lui donner cette caution-là".

François Hollande contre une "candidature unique à gauche" pour la prochaine présidentielle

Pour lui, une candidature unique de la gauche c'est non. François Hollande s'est opposé à cette perspective ce dimanche lors d'une interview pour le Grand Jury RTL-Le Figaro-Public Sénat-M6.

L'ancien président socialiste, auteur ce mois de septembre de l'ouvrage Le défi de gouverner: la gauche et le pouvoir depuis l'affaire Dreyfus jusqu'à nos jours, évoque "deux gauches en France". Avant de développer.

"Il y a une gauche radicale qui a existé même avant le Parti communiste, puis avec le Parti communiste, puis aujourd'hui avec Jean-Luc Mélenchon, puis peut-être demain avec d'autres. (...) Et il y a une gauche réformiste qui, elle, doit être la première."

Dès lors, "on ne peut pas imaginer que Jean-Luc Mélenchon soit le candidat unique de la gauche", et il faudra un candidat "socialiste ou proche du Parti socialiste", avec la volonté de s'adresser "à tous les Français pour être majoritaire", selon celui qui est redevenu député de Corrèze lors des dernières législatives.

François Bayrou favorable au "renouvellement intégral ou quasi intégral du gouvernement"

Un très large "renouvellement" du prochain gouvernement, mais sans "mainmise des Républicains. Voilà la ligne prônée par le patron du Modem, François Bayrou, ce dimanche sur BFMTV.

"Je suis pour le renouvellement intégral ou quasi intégral du gouvernement pour qu'on ait une autre approche, une autre sensibilité, d'autres visages",a-t-il déclaré sur BFMTV, au moment où Michel Barnier multiplie les contacts pour former son exécutif.

"Le message de cette élection c'est qu'on a besoin de rassembler nos forces pour affronter les défis qui sont devant nous", a encore expliqué François Bayrou, écartant "l'hypothèse" d'un gouvernement dominé par Les Républicains, la famille politique de Michel Barnier.

Barnier appelle à garder "l'esprit olympique" et à dépasser les clivages politiques

Le Premier ministre Michel Barnier a appelé ce dimanche 15 septembre à garder "l'esprit olympique" et à dépasser les clivages politiques, au moment où il s'efforce de former un gouvernement avec des personnalités venues de divers horizons.

"Quand les responsables politiques et le pays s'unissent, à tous les niveaux de l'action publique, et par-delà les clivages politiques, rien n'est impossible", a-t-il écrit sur X, au lendemain d'une ultime fête olympique sur les Champs-Elysées.

Le MoDem monte au créneau pour tempérer l'appétit des Républicains

Le MoDem est monté au créneau ce dimanche 15 septembre, son patron François Bayrou en tête, pour appeler le Premier ministre Michel Barnier à ne pas donner trop de poids dans son gouvernement à sa famille politique des Républicains qui revendiquent plusieurs postes clés.

Un exécutif à forte dominante de LR, "ça ne marcherait" pas, a prévenu sur BFMTV François Bayrou, à l'heure où le Premier ministre, lui-même LR, poursuit les contacts pour composer cette semaine un gouvernement qui éviterait la censure à l'Assemblée.

Une nouvelle manifestation contre Macron et Barnier le 21 septembre

Les organisations de jeunesse, écologistes et féministes appellent à une nouvelle manifestation le samedi 21 septembre contre Emmanuel Macron et Michel Barnier, après celle organisée le 7 septembre.

La nomination de Michel Barnier est "un déni de démocratie", dénoncent, dans un communiqué, les différentes organisations qui prendront part à l'événement, parmi lesquelles l'Union étudiante, Attac, le Planning familial ou la Jeune Garde antifasciste.

Onze jours après son arrivée à Matignon, Michel Barnier n'a toujours pas composé son gouvernement

Bonjour à toutes et à tous, et bon réveil. Bienvenue sur ce direct consacré au suivi de l'actualité politique de ce lundi 16 septembre.

La promesse sera-t-elle tenue? Michel Barnier a annoncé que la composition de son gouvernement sera dévoilée "cette semaine". Nommé Premier ministre le jeudi 5 septembre, l'ancien commissaire européen a multiplié les rencontres ces derniers jours avec les formations politiques du camp présidentiel et Les Républicains.

BFMTV