Attentats du 13 novembre: les terroristes n'étaient pas drogués

Les auteurs des attaques meurtrières du 13 novembre à Paris et Saint-Denis ont agi froidement, sans aucun substitut, alcool ou drogue quelconque, selon une information diffusée ce mardi par Le Parisien-Aujourd'hui en France.

Les résultats des expertises toxicologiques effectuées sur les neuf terroristes ont révélés qu'aucun d'entre eux n'étaient "dopés".

Après les attentats de Paris, la prise de Captagon, plus communément appelé "la drogue des djihadistes", avait fait parler d'elle comme médicament à base d'amphétamines prisé au Moyen-Orient.

Lors des autopsies des neuf terroristes, seul deux d'entre eux comprenaient des traces "infimes" de drogue pouvant davantage parvenir d'une prise régulière de cannabis pour Brahim Abdeslam ou encore de cocaïne pour la cousine d'Abdelhamid Abaaoud, Hasna Aït Boulahcen, connue pour son goût prononcé pour la fête.

A.-F. Lespiaut