Guerre en Ukraine: Volodymyr Zelensky a eu "une conversation très approfondie" avec Emmanuel Macron

L'ESSENTIEL
- Vladimir Poutine a salué lundi un entretien téléphonique "utile" avec Donald Trump et a jugé qu'un cessez-le-feu en Ukraine était possible si des "accords pertinents" sont conclus. Lire l'article
- Le président américain a quant à lui déclaré que les négociations entre la Russie et l'Ukraine pour un cessez-le-feu allaient "commencer immédiatement". Lire l'article
- Face au rejet russe d'un cessez-le-feu immédiat, le président ukrainien Volodymyr Zelensky accuse le Kremlin "d'essayer de gagner du temps" pour "poursuivre" son invasion. Lire l'article
- De son côté, l'UE a adopté un 17e paquet de sanctions contre la Russie et attend de Washington une "réaction forte". Lire la brève
Washington ne fait aucune "concession" à Vladimir Poutine, Zelensky salue "l'influence de l'Amérique"
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio a assuré que les États-Unis ne font aucune "concession" à Vladimir Poutine, au lendemain de son appel avec le président américain Donald Trump.
De son côté, Volodymyr Zelensky a estimé que "l'influence de l'Amérique peut sauver de nombreuses vies" et juge qu'il "est important que l'Amérique reste engagée dans le processus" des négociations.
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Le secrétaire d'État américain s'attend à ce que la Russie présente ses "termes" pour un cessez-le-feu "dans quelques jours"
Le secrétaire d'État américain Marco Rubio dit s'attendre à ce que la Russie présente ses termes en vue d'un cessez-le-feu en Ukraine "dans quelques jours".
"À un moment donné, assez rapidement, peut-être dans quelques jours, peut-être cette semaine, la partie russe va présenter les termes qu'elle souhaiterait voir" pour avancer vers un cessez-le-feu, a déclaré Marco Rubio devant une commission sénatoriale.
L'Italie confirme que le Vatican est disposé à accueillir des négociations
La Première ministre italienne Giorgia Meloni a assuré que le pape Léon XIV lui a confirmé au cours d'une conversation téléphonique la disponibilité du Vatican à accueillir des négociations de paix sur l'Ukraine.
"L'entretien fait suite à l'appel téléphonique d'hier avec le président (américain Donald) Trump et d'autres leaders européens au cours duquel il a été demandé" à Giorgia Meloni "de vérifier la disponibilité du Saint-Siège à accueillir les négociations", indique un message sur Whatsapp des services de la cheffe du gouvernement italien.
Volodymyr Zelensky a eu "une conversation très approfondie" avec Emmanuel Macron
Volodymyr Zelensky s'est entretenu avec son homologue français Emmanuel Macron, "une conversation très approfondie", selon le président de l'Ukraine.
"Nous continuons à préparer les décisions au sein de la Coalition des Volontaires; tout devient plus concret", écrit-il sur ses réseaux sociaux, estimant qu'"il est essentiel de maintenir une vision commune".
Après les sanctions européennes, Volodymyr Zelensky estime qu'"il serait bon que les États-Unis apportent également leur contribution"
Après l'adoption par l'Union européenne d'un 17e paquet de sanctions contre la Russie, Volodymyr Zelensky estime qu'"il serait bon que les États-Unis apportent également leur contribution".
Volodymyr Zelensky estime que "l'influence de l'Amérique peut sauver de nombreuses vies"
Sur ses réseaux sociaux, Volodymyr Zelensky estime que "l'influence de l'Amérique peut sauver de nombreuses vies" et estime qu'il "est important que l'Amérique reste engagée dans le processus" des négociations.
"La diplomatie est plus forte lorsque nous sommes unis", écrit le président de l'Ukraine.
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères appelle à "accroître" la pression sur Moscou
"Jusqu'à présent, seule la Russie a fait obstruction aux pourparlers de paix et rejeté un cessez-le-feu inconditionnel. Cela implique que la pression sur Moscou doit être accrue", écrit le ministre ukrainien des Affaires étrangères, Andriy Sybiha, sur X, tout en remerciant l'UE pour son 17e paquet de sanctions imposée à Moscou.
"L'économie russe connaît des problèmes systémiques. Il est temps de lui infliger un coup sévère", abonde-t-il. Andriy Sybiha appelle notamment au "plafonnement du prix du pétrole russe à 30 dollars".
Une brigade formée en France au cœur de nouveaux scandales, une inspection lancée par l'armée
Le média ukrainien Ukrainska Pravda a révélé que le colonel Tarass Maksimov, l'un des commandants de la brigade "Anne de Kiev" formée et équipée par la France pour soutenir l'Ukraine, était impliqué dans une affaire de paiements fictifs et d'extorsion d'argent à ses troupes.
Selon ce média, la brigade fait aussi face à quelque 1.200 abandons de poste, alors que ses effectifs comptent moins de 5.000 soldats, dont environ la moitié ont été formés en France.
"Après la publication de l'article dans Ukrainska Pravda, j'ai ordonné une inspection officielle supplémentaire des faits révélés par les journalistes", a annoncé le commandant des forces terrestres Mykhaïlo Drapaty, cité par le journal.
Retrouvez plus d'informations à ce sujet dans notre article.
Le secrétaire d'État américain dit que les États-Unis ne font aucune "concession" à Poutine
Au lendemain de l'appel entre Donald Trump et Vladimir Poutine, le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, affirme que les États-Unis ne font aucune "concession" au maître du Kremlin.
Vladimir Poutine "n'a pas obtenu la moindre concession", a déclaré Marco Rubio devant la commission des Affaires étrangères du Sénat.
La cheffe de la diplomatie de l'UE Kaja Kallas avait précédemment dit "ne pas avoir vu de pression sur la Russie à la suite de ces discussions". Plus globalement, l'administration Trump est critiquée pour sa politique sur la guerre en Ukraine.
"Rien n'a bougé": des Ukrainiens déplorent le piétinement des négociations
Un accord de cessez-le-feu entre l'Ukraine et la Russie semble encore loin. À Kiev, des habitants interrogés par l'Agence France-Presse font part de leur déception.
"Rien n'a bougé", se désole ainsi Vitali, un ingénieur de 53 ans. Catégorique, Daryna, une étudiante de 21 ans, pense elle qu'"il est inutile de discuter avec l'agresseur", tandis que Victoria, une enseignante retraitée, confie ne "plus (avoir) du tout" confiance en Donald Trump pour trouver une issue au conflit, plaçant désormais "ses espoirs" dans les dirigeants européens.
À Moscou, Sofia, 72 ans, dit pour sa part ressentir de "l'incertitude": "J'aimerais savoir ce qui va nous arriver, pas seulement concernant ma famille, mais concernant notre pays en général".
Volodymyr Zelensky indique avoir discuté avec Ursula von der Leyen d'un "18e paquet de sanctions"
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky affirme sur X avoir discuté avec la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, d'un "18e paquet de sanctions" de l'UE contre la Russie, alors que de nouvelles sanctions viennent juste d'être annoncées.
"Le pétrole russe, les infrastructures commerciales énergétiques, les banques et les mécanismes financiers sont les domaines qui nuisent le plus à la Russie et qui contribuent donc le plus à la paix", précise-t-il.
"Plus la pression sur la Russie sera forte, plus elle sera incitée à progresser vers une paix véritable", déclare Volodymyr Zelensky après avoir "remercié" l'UE pour "le 17e paquet de sanctions.
Que contient le 17e paquet de sanctions de l'UE contre la Russie?
L'Union européenne a adopté un 17e paquet de sanctions contre la Russie qui cible 189 nouveaux navires pétroliers "fantômes" utilisés pour contourner les sanctions déjà existantes contre les exportations de pétrole russe.
Une trentaine d'entités accusées d'avoir aidé Moscou à contourner les sanctions déjà mises en oeuvre sont également ciblées.
Au total, ce sont 342 navires qui sont désormais dans le collimateur de l'Union européenne, selon un communiqué des Vingt-Sept.
Cette flotte "fantôme", constituée de navires souvent vétustes et non immatriculés, opère essentiellement en mer Baltique.
"Mémorandum": une porte-parole russe affirme que "la balle est dans le camp de Kiev"
La porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova, dit espérer que l'Ukraine adopte une position constructive quant à la proposition faite hier par Vladimir Poutine de plancher sur un "mémorandum" sur un "possible traité de paix".
"Maintenant, la balle est dans le camp de Kiev", a-t-elle déclaré, selon Reuters, soulignant que "l'auto-préservation" de l'Ukraine est en jeu.
De son côté, le président ukrainien Volodymyr Zelensky a précédemment précisé ne pas avoir de détails à ce stade sur un éventuel "mémorandum" avec Moscou tout en se disant prêt à étudier l'offre russe.
Ciblant les Européens, Maria Zakharova a également affirmé que la Russie ne se plierait jamais aux ultimatums de qui que ce soit.
"Le jeu est peut-être plus ouvert qu'avec François": le pape Léon XIV, le bon négociateur pour la paix?
Souverain pontife depuis moins de deux semaines, Léon XIV a suggéré d'accueillir au Vatican des négociations entre délégations ukrainienne et russe. Moscou n'a pas commenté cette suggestion, mais elle a reçu l'agrément de Kiev et de ses alliés.
Cette proposition semble avoir plus de chances d'aboutir que si elle avait été mise sur la table par son prédécesseur. Car "jusqu'au début de la guerre, le pape François s'est montré assez ouvert à la politique extérieure de Moscou", rappelle auprès de BFMTV.com François Mabille, chercheur associé à l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) et directeur de l'Observatoire géopolitique du religieux.
"Le jeu est peut-être plus ouvert qu'avec le pape précédent", note-t-il.
Retrouvez notre analyse complète dans cet article.
Nouvelles sanctions britanniques contre la Russie après une attaque record de drones en Ukraine
Le Royaume-Uni a annoncé avoir décidé d'une nouvelle série de sanctions contre la Russie, visant notamment le secteur de la défense, l'énergie et la finance, à la suite d'une attaque record de drones lancée dans la nuit de samedi à dimanche sur de nombreuses régions en Ukraine.
"Les dernières frappes de Poutine montrent une fois de plus son visage belliqueux", a commenté le ministre britannique des Affaires étrangères David Lammy. "Nous l'exhortons à accepter immédiatement un cessez-le-feu total et inconditionnel, afin que des pourparlers puissent être engagés en vue d'une paix juste et durable", a-t-il ajouté dans un communiqué.
L'UE adopte formellement un 17e paquet de sanctions contre la Russie
L'UE a formellement adopté un 17e "paquet" de sanctions contre Moscou, qui cible 200 pétroliers "fantômes" utilisés pour contourner les sanctions déjà existantes, annonce la cheffe de la diplomatie de l'UE Kaja Kallas.
"D’autres sanctions contre la Russie sont en préparation.
Plus la Russie poursuit sa guerre, plus notre réponse sera dure", a ajouté Kaja Kallas sur X.
Un 18e "paquet" déjà en discussions, prévoit en particulier "des sanctions sur Nord Stream 1 et Nord Stream 2", avait souligné la semaine dernière la présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen.
Zelensky accuse la Russie "d'essayer de gagner du temps" pour "poursuivre" son invasion
Volodymyr Zelensky a accusé mardi la Russie "d'essayer de gagner du temps" en faisant traîner les discussions en vue d'un cessez-le-feu dans le seul but de "poursuivre" son invasion de l'Ukraine, au lendemain d'un appel entre Vladimir Poutine et Donald Trump sans résultats tangibles.
"Il est évident que la Russie tente de gagner du temps afin de poursuivre sa guerre et son occupation", a indiqué sur les réseaux sociaux le président ukrainien, dénonçant les "conditions irréalistes" de Moscou.
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L'UE n'a "pas vu de pression sur la Russie" de la part de Washington
"Nous n'avons pas vraiment vu, vous savez, de pression sur la Russie à la suite de ces discussions", a déclaré la cheffe de la diplomatie de l'UE Kaja Kallas en référence à l'entretien téléphonique lundi entre Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine.
"Les Etats-Unis ont déclaré que si la Russie n'acceptait pas un cessez-le-feu inconditionnel, il y aurait des conséquences. Nous voulons donc voir ces conséquences", a-t-elle déclaré peu avant le début d'une réunion des ministres de la Défense de l'UE à Bruxelles.
Le ministre allemand de la Défense estime que Poutine n'est "toujours pas prêt" à faire des concessions
L'entretien téléphonique entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine a montré que ce dernier n'était "pas prêt à des concessions" sur l'Ukraine, a déclaré le ministre allemand de la Défense Boris Pistorius.
"Il n'est toujours pas prêt à faire des concessions et ne parle que d'un cessez-le-feu à ses conditions", a-t-il déclaré à son arrivée à Bruxelles pour une réunion des ministres de la Défense de l'UE.
L'UE attend une "réaction forte" de Washington
L'Union européenne espère une "réaction forte" de la part des Etats-Unis si la Russie continue à refuser un cessez-le-feu en Ukraine, a déclaré la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas.
"Les Etats-Unis ont déclaré que si la Russie n'acceptait pas un cessez-le-feu inconditionnel, il y aurait des conséquences. Nous voulons donc voir ces conséquences", a-t-elle déclaré peu avant le début d'une réunion des ministres de la Défense de l'UE à Bruxelles.
Après son appel avec Vladimir Poutine, Donald Trump a dit hier écarter pour le moment la menace de sanctions "parce qu'il y a une chance de faire quelque chose" à partir des négociations entre Kiev et Moscou.
La Chine dit soutenir un dialogue direct entre Moscou et Kiev
La Chine a apporté son soutien à un "dialogue direct" entre la Russie et l'Ukraine, après l'annonce par Donald Trump du démarrage "immédiat" de négociations entre ces deux pays en vue d'un cessez-le-feu et d'une fin de la guerre, dans la foulée de son échange téléphonique avec Vladimir Poutine.
"Nous espérons que les parties concernées continueront de chercher un accord de paix juste, durable et contraignant, acceptable par toutes les parties, par le dialogue et la négociation", a indiqué lors d'un point presse régulier Mao Ning, une porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères.
La Russie a lancé 108 drones contre l'Ukraine cette nuit
L'armée russe a lancé cette nuit 108 drones en territoires ukrainien, indique l'armée de l'air ukrainienne sur ses réseaux sociaux.
93 d'entre eux ont été "détruits", selon Kiev.
Volodymyr Zelensky affirme que Kiev ne se retirera pas des régions qu'elle contrôle
L'Ukraine n'acceptera pas de retirer son armée des régions encore sous son contrôle, mais que Moscou affirme avoir entièrement annexées, a lancé hier le président ukrainien Volodymyr Zelensky.
"Personne ne renoncera à notre terre, à nos territoires, à nos gens", a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse.
"Si la Russie pose des conditions pour le retrait de nos troupes de notre territoire, cela signifie qu'elle ne souhaite pas de cessez-le-feu et ne veut pas que la guerre prenne fin", a-t-il ajouté.
Donald Trump "croit" que Vladimir Poutine "veut mettre fin" à la guerre en Ukraine
S'exprimant depuis la Maison Blanche après son appel avec Vladimir Poutine, Donald Trump a dit "croire" que le président russe était prêt à mettre fin à la guerre en Ukraine.
"Je crois qu'il veut y mettre fin", a déclaré le président des États-Unis aux journalistes dans le Bureau ovale. "Si je pensais que le président Poutine ne voulait pas en finir, je ne serais même pas en train d'en parler."
Donald Trump confie "avoir quelques lignes rouges" sur un éventuel retrait des États-Unis des négociations
Interrogé sur un éventuel retrait des États-Unis des négociations, Donald Trump a confié hier "avoir quelques lignes rouges" qui "feraient retirer" Washington des discussions.
"Mais je ne vais pas dire ce que c'est parce que je pense que ça minerait les discussions", a précisé le dirigeant américain.
"Ce n'est pas la guerre des États-Unis, on s'est retrouvé empêtré dans cette guerre", a déploré le président des États-Unis.
Volodymyr Zelensky demande "des sanctions plus sévères" contre la Russie pour "la pousser vers une paix réelle"
Volodymyr Zelensky, qui a échangé deux fois avec Donald Trump hier, a demandé dans la soirée "des sanctions plus sévères" contre la Russie pour "la pousser vers une paix réelle".
"J'ai réaffirmé au président Trump que l'Ukraine était prête à un cessez-le-feu total et inconditionnel, comme cela a été évoqué, notamment par les États-Unis. Il est important de ne pas édulcorer cette proposition", estime Volodymyr Zelensky.
L'Ukraine et ses alliés favorables à la tenue de pourparlers entre Kiev et Moscou au Vatican
Donald Trump, Volodymyr Zelensky et des alliés européens de Kiev, dont Paris et Berlin, ont jugé "positivement" l'offre du pape Léon XIV d'accueillir au Vatican des pourparlers entre l'Ukraine et la Russie, selon la cheffe du gouvernement italien Giorgia Meloni.
"La disponibilité du Saint-Père pour accueillir des pourparlers au Vatican a été jugée positivement", a indiqué la dirigeante italienne dans un communiqué.
L'Ukraine se dit "prête à négocier directement avec la Russie, quel que soit le format susceptible d'aboutir"
"L'Ukraine est prête à négocier directement avec la Russie, quel que soit le format susceptible d'aboutir", a écrit hier soir Volodymyr Zelensky sur ses réseaux sociaux, précisant "étudier toutes les possibilités" comme des pourparlers en Turquie, au Vatican ou en Suisse.
"Il n'est pas nécessaire de convaincre l'Ukraine, et nos représentants sont prêts à prendre de véritables décisions lors des négociations", a précisé le dirigeant ukrainien.
Un entretien "utile": Donald Trump et Vladimir Poutine ont longuement échangé hier
Bonjour et bienvenue dans ce direct. Hier, peu après son appel avec Vladimir Poutine qui a duré près de deux heures, Donald Trump a affirmé que des négociations entre Kiev et Moscou allaient "démarrer immédiatement".
"Je pense que des progrès ont été accomplis", a déclaré le président américain depuis la Maison Blanche, disant espérer avoir "accompli quelque chose" lors de cet appel qui s'est, selon lui, "très bien passé".
De son côté, le président russe n'a pas consenti à un arrêt des combats mais il a qualifié la conversation d'"utile".
À la presse, il a ajouté que la Russie était prête à travailler avec l'Ukraine sur un "mémorandum" concernant un "possible traité de paix" et a souligné le besoin de "trouver des compromis" chez les deux parties au conflit.