Le ministère de l'Intérieur a publié son rapport annuel sur l'immigration ce mardi. Dans le détail, 336.700 premiers titres de séjour ont été délivrée en 2024, 21.601 personnes ont été expulsées (+26,7%) et 31.250 sans-papiers régularisés (-10%).
Le patron du PS défend la décision de son parti de ne pas censurer le gouvernement après que François Bayrou a utilisé le 49.3 sur les textes budgétaires à l'Assemblée nationale ce lundi 3 février pour se passer du vote des députés, faute de majorité.
Le président de la République, qui était en visite à l'institut Gustave Roussy pour la journée contre le cancer, a rappelé "la chance" d'avoir le système de santé français. Il réaffirme également que les heures supplémentaires des soignants ne seront pas refiscalisées.
Le syndicat Alliance police nationale appelait les policiers à se rassembler devant l'Assemblée nationale ce mardi pour demander une hausse de leur budget 2025.
Le Premier ministre devrait enjamber les motions de censure qui cherchent à le faire tomber sur le budget de l'État et de la sécurité sociale. De quoi lui permettre de rester en poste jusqu'à l'été, voire plus si le locataire de Matignon décide de se concentrer sur les affaires courantes, à moins que le RN n'en décide autrement.
Mathilde Panot, présidente du groupe LFI à l'Assemblée, dénonce l'attitude des socialistes qui refusent de voter la motion de censure déposée sur le budget. "Ils permettent au pire budget de pouvoir s'appliquer et ils laissent un gouvernement avec M. Retailleau", critique-t-elle.
Vice-président des députés du RN, Jean-Philippe Tanguy a précisé en conférence des présidents que son groupe ne déposerait pas de motion de censure après les deux 49.3 dégainés par François Bayrou sur les textes budgétaires. Un signe de plus que le RN ne votera pas les dispositions déposées à l'initiative des insoumis?
Ce mardi matin, en conférence des présidents Jean-Philippe Tanguy a annoncé que le RN ne déposera pas de motion de censure sur le budget après le déclenchement de deux 49.3 par François Bayrou.
Le maire écologiste de Grenoble, Éric Piolle, appelle à tester les élus et les ministres aux stupéfiants "de façon anonyme". Une proposition qui fait débat.
Confronté au sein de LR à la montée en puissance de Bruno Retailleau depuis la nomination de ce dernier place Beauvau, Laurent Wauquiez temporise et plaide pour le "travail d'équipe".
Estimant avoir "arraché des victoires", le Rassemblement national (RN) choisira de censurer le gouvernement Bayrou ou non ce mercredi 5 février dans la matinée. Jordan Bardella y semble clairement opposé face aux "conséquences lourdes pour l'économie".
Le président du groupe “Droite républicaine” à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez, était l’invité du “Face à face” ce mardi. Il évoque notamment l’adoption du budget de l’État et la responsabilité de la droite, la fronde des patrons et son souhait de voir le travail revalorisé face à l'assistanat.
Laurent Wauquiez, président du groupe "Droite Républicaine" à l'Assemblée était l'invité du Face à Face sur RMC et BFMTV ce mardi 4 février 2025.
Le président du groupe “Droite républicaine” à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez, était l’invité du “Face à face” ce mardi. Il réagit à la popularité de Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur issu des Républicains.
La droite républicaine prône la revalorisation du travail. Une aide sociale unique, plafonnée à 70% du SMIC, est la volonté de Laurent Wauquiez, président du groupe "Droite Républicaine" à l'Assemblée nationale, député de la Haute-Loire.
Laurent Wauquiez, président du groupe "Droite Républicaine" à l'Assemblée était l'invité du Face à Face sur RMC et BFMTV ce mardi 4 février 2025.
Le président du groupe “Droite républicaine” à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez, était l’invité du “Face à face” ce mardi. Il évoque l’adoption du budget de l’État avec le recours au 49.3 de François Bayrou et la levée de boucliers des patrons contre la surtaxe sur les grandes entreprises.
Le président du groupe “Droite républicaine” à l’Assemblée nationale, Laurent Wauquiez, était l’invité du “Face à face” ce mardi. Il évoque l’adoption du budget de l’État avec le recours au 49.3 de François Bayrou.
Le maire écologiste de Grenoble, Éric Piolle, appelle à tester les élus et les ministres aux stupéfiants "de façon anonyme", affirmant qu'il n'y a pas "de raison que les ministres, les cabinets ministériels et les parlementaires" soient en dehors de la "vague" de hausse généralisée de la consommation de drogue.
François Bayrou a utilisé le 49.3 à deux reprises ce lundi, sur le budget de l'État et le projet de finances de la Sécurité sociale, conforté par la décision des socialistes de ne pas voter la censure sur les questions budgétaires. Le PS a en revanche indiqué qu'il déposerait une motion de censure spontanée en réaction aux déclarations du Premier ministre sur le "sentiment de submersion" migratoire.
Quels partis voteront la censure sur le budget ce mercredi après les deux 49.3 déployés par François Bayrou sur les textes budgétaires? En principe, la gauche sauf le PS, dont la décision est décisive, celle-ci assurant au Premier ministre de se maintenir. Le Rassemblement national (RN), lui, ne déposera pas de motion de censure.
Le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau reçoit ce mardi 4 février des responsables musulmans, avec pour objectif de préparer la relance du Forum de l'islam en France, créé par son prédécesseur Gérald Darmanin, il y a trois ans.
Les Républicains vont annoncer une refonte en profondeur ce mercredi 5 février lors d'un bureau politique. Entre Laurent Wauquiez, qui ne cache pas ses ambitions élyséennes, et Bruno Retailleau, porté par sa hausse dans les sondages, la bataille est ouverte pour la tête du parti.
François Bayrou a utilisé le 49.3 à deux reprises ce lundi, sur le budget de l'État et le projet de finances de la Sécurité sociale, conforté par la décision des socialistes de ne pas voter la censure sur les questions budgétaires. Le PS a en revanche indiqué qu'il déposerait une motion de censure spontanée en réaction aux déclarations du Premier ministre sur le "sentiment de submersion" migratoire.
Jean-François Copé, maire Les Républicains de Meaux, était l'invité de BFMTV ce lundi 3 février 2025.
Jean-François Copé, maire Les Républicains de Meaux, était l'invité de BFMTV ce lundi 3 février 2025.
Jean-François Copé, maire Les Républicains de Meaux, était l'invité de BFMTV ce lundi 3 février 2025.
Le ministre français de la Justice, Gérald Darmanin, était en Italie pour visiter les prisons de mafieux en vue de s'en inspirer pour la détention des narcotrafiquants en France.
Faute de majorité à l'Assemblée nationale, François Bayrou a activé cette après-midi son premier 49.3 sur le budget de l'État puis, dans la foulée, un second sur le budget de la sécurité sociale.
Faute de majorité à l'Assemblée nationale, François Bayrou a activé cette après-midi son premier 49.3 sur le budget de l'État puis, dans la foulée, un second sur le budget de la sécurité sociale.
Jean-Philippe Tanguy, député du Rassemblement national, était l'invité de BFMTV ce lundi 3 février. Il s'est exprimé sur les motions de censure déposées par La France insoumise, à la suite de l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption du budget de l'État et d'une partie du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Son parti se réunira jeudi pour décider s'ils en déposeront une à leur tour.
Jean-Philippe Tanguy, député du Rassemblement national, était l'invité de BFMTV ce lundi 3 février. Il s'est exprimé sur les motions de censure déposées par La France insoumise, à la suite de l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption du budget de l'État et d'une partie du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Son parti se réunira jeudi pour décider s'ils en déposeront une à leur tour.
Jean-Philippe Tanguy, député du Rassemblement national, était l'invité de BFMTV ce lundi 3 février. Il s'est exprimé sur les motions de censure déposées par La France insoumise, à la suite de l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption du budget de l'État et d'une partie du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. Son parti se réunira jeudi pour décider s'ils en déposeront une à leur tour.
Jérôme Guedj, député Parti socialiste de l'Essonne, s'est exprimé ce lundi 3 février sur BFMTV au sujet du refus de son parti de voter la motion de censure du gouvernement déposée par La France insoumise, après l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption du budget de l'État et d'une partie du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Laurent Baumel, député du Parti socialiste, s'est exprimé ce lundi 3 février sur BFMTV au sujet du refus de son parti de voter la motion de censure du gouvernement déposée par La France insoumise, après l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption du budget de l'État et d'une partie du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Alma Dufour, députée La France insoumise de la Seine-Maritime, s'est exprimée ce lundi 3 février sur BFMTV au sujet du refus du Parti socialiste de voter la motion de censure du gouvernement déposée par son parti, après l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption d'une partie du budget de la Sécurité sociale et de la totalité du budget de l'État
Le Bureau national du Parti socialiste, avec qui le gouvernement négocie depuis plusieurs semaines, s'est prononcé contre une censure de François Bayrou sur les budgets de l'État et de la Sécurité sociale. Aucun député socialiste ne va voter la censure, comme l'a annoncé le groupe.
Mathilde Panot, présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale et députée de la 10e circonscription du Val-de-Marne, s'est exprimée ce lundi 3 février sur BFMTV au sujet de la motion de censure du gouvernement déposée par son parti, après l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption d'une partie du budget de l'État.
Début d'une semaine à danger pour François Bayrou. Le Premier ministre a utilisé l'article 49.3 à deux reprises ce lundi 3 février pour la première fois depuis sa nomination à Matignon, afin de faire passer le budget de l'État et une partie du budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée sans vote des députés. Il s'expose ainsi à une double motion de censure, dont l'avenir demeure incertain. Lors du Bureau national, le PS a annoncé qu’il ne voterait pas ces motions de censure.
Mathilde Panot, présidente du groupe La France insoumise à l'Assemblée nationale et députée de la 10e circonscription du Val-de-Marne, s'est exprimée ce lundi 3 février sur BFMTV au sujet de la motion de censure du gouvernement déposée par son parti, après l'utilisation à deux reprises de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption d'une partie du budget de l'État.
Philippe Brun, député Parti socialiste de l'Eure, s'est exprimé ce lundi 3 février sur BFMTV au sujet du refus de son parti de proposer et voter une motion de censure du gouvernement, après l'utilisation de l'article 49.3 par le Premier ministre, François Bayrou, pour l'adoption d'une partie du budget de l'État.
Début d'une semaine à danger pour François Bayrou. Le Premier ministre va utiliser l'article 49.3 à deux reprises ce lundi 3 février pour la première fois depuis sa nomination à Matignon, afin de faire passer le budget de l'État et une partie du budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée sans vote des députés. Il s'expose ainsi à une double motion de censure, dont l'avenir demeure incertain. Lors du Bureau national, le PS a annoncé qu’il ne voterait pas la motion de censure.
François Bayrou déclenche le 49.3 sur une partie du projet de loi de financement de la Sécurité sociale.
Après avoir déclenché l'article 49.3 de la Constitution sur le budget de l'État, le Premier ministre utilise pour la seconde fois cette disposition sur le projet de finances de la Sécurité sociale ce lundi 3 février.
Le Premier ministre, François Bayrou, a utilisé, ce lundi 3 février, pour la première fois depuis sa prise de fonctions, l'article 49.3 de la Constitution qui permet de faire adopter un texte sans vote des députés. En réponse, des motions de censure ont été déposées par les parlementaires.
Députés et sénateurs, réunis en commission mixte paritaire ce 31 janvier, ont décidé de rejeter un amendement déposé au Sénat sur le budget qui prévoyait de supprimer les avantages attribués aux anciens locataires de l'Élysée et de Matignon. Le coût estimé de ces avantages s'élève à 2,8 millions d'euros par an.
François Bayrou a engagé pour la première fois lundi la responsabilité de son gouvernement par l'article 49.3 de la Constitution sur le projet de budget pour 2025, qui lui permet de faire adopter le texte sans vote mais l'expose à une motion de censure. L'Assemblée nationale enchaine sur les débats autour du budget de la Sécurité sociale pour 2025 qui avait provoqué la chute du précédent gouvernement.
Le chef de file des Insoumis, dans une note publiée sur son blog, juge que le Parti socialiste ne fait plus parti du Nouveau Front populaire.
Début d'une semaine à danger pour François Bayrou. Le Premier ministre va utiliser l'article 49.3 à deux reprises ce lundi 3 février pour la première fois depuis sa nomination à Matignon, afin de faire passer le budget de l'État et une partie du budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée sans vote des députés. Il s'expose ainsi à une double motion de censure, dont l'avenir demeure incertain. Lors du Bureau national, le PS a annoncé qu’il ne voterait pas la motion de censure.
Début d'une semaine à danger pour François Bayrou. Le Premier ministre va utiliser l'article 49.3 à deux reprises ce lundi 3 février pour la première fois depuis sa nomination à Matignon, afin de faire passer le budget de l'État et une partie du budget de la Sécurité sociale à l'Assemblée sans vote des députés. Il s'expose ainsi à une double motion de censure, dont l'avenir demeure incertain. Lors du Bureau national, le PS a annoncé qu’il ne voterait pas la motion de censure.
