Le ministre des Transports, Clément Beaune, a affirmé que la SNCF avait pris "un engagement important" pour la bonne circulation des trains en cette période de Noël.
Près d'une cinquantaine de syndicats et associations appellent à ne pas promulguer la controversée loi immigration.
Éric Coquerel (LFI), est l'invité du Live sur BFMTV ce vendredi 22 décembre.
Le président de la région Auvergne-Rhône-Alpes craint une censure de certaines dispositions de la loi par le Conseil contitutionnel et estime révolu le "en même temps" cher à Emmanuel Macron.
Montée en grade après la démission d'Aurélien Rousseau, la ministre est visée par une enquête judiciaire pour avoir reçu des cadeaux "sans les déclarer" des laboratoires Urgo, pour une valeur estimée à 20.000 euros.
La loi immigration a scindé la majorité en deux, et a suscité une vague de démission. Que ce soit Gérald Darmanin qui avait posé sa démission après la motion de rejet d'une première version de la loi immigration. Aurélien Rousseau, ancien ministre de la Santé, qui a démissionné après l'adoption d'une seconde version du projet de loi immigration. Mais ce n'est pas la première fois que ce genre de démissions. Le décryptage de l'éditorialiste politique, Matthieu Croissandeau.
Le patron des Républicains souhaite que le gouvernement prenne "l'engagement solennel" d'appliquer la nouvelle loi immigration, alors que l'exécutif mise sur le Conseil constitutionnel pour censurer certaines mesures.
Le président de la République a fêté Noël avec les soldats déployés en Jordanie pour la lutte antiterroriste au Moyen-Orient.
En six ans, le ministère de la Santé a subi un défilé de ministres. Au total, six ministres de la Santé se sont succédés. Une instabilité ministérielle qui ne présage rien de bon pour un secteur méfiant et sous tension. Le décryptage politique de Matthieu Croissandeau.
Le président français Emmanuel Macron se rend sur une base aérienne en Jordanie ce jeudi 21 et vendredi 22 décembre pour fêter Noël avec les forces françaises déployées à l'étranger et "mettre en valeur l'engagement durable de la France dans la lutte contre le terrorisme", selon l'Élysée.
Montée en grade après la démission d'Aurélien Rousseau, la ministre est visée par une enquête judiciaire pour avoir reçu des cadeaux "sans les déclarer" des laboratoires Urgo, pour une valeur estimée à 20.000 euros.
Le président Emmanuel Macron a assuré devant des militaires français en Jordanie que la France allait continuer à soutenir l'Ukraine dans son conflit contre la Russie même si "cela nous coûte".
La bande de 22H Max réagit à l'interview du président de la région Auvergne-Rhône-Alpes dans le Figaro.
En visite en Jordanie, Emmanuel Macron a dénoncé, devant des militaires français, la "menace" des Houthis du Yémen en mer Rouge.
150 personnalités, parmi lesquelles des syndicalistes, des intellectuels et des artistes, exhortent Emmanuel Macron à renoncer à la loi immigration qui "fracture les fondements de la République" à travers une tribune parue dans l'Humanité.
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
Il est accusé d'apologie de crimes de guerre par ces élus de gauche.
Du lundi au jeudi, Laurent Ruquier présente dans "le 20H de Ruquier" le trombinoscope des personnalités qui ont marqué l'actualité.
Plusieurs dispositions contenues dans le texte sont considérées par la gauche comme de la préférence nationale, une idée popularisée par Jean-Marie Le Pen qui vise à réserver en priorité des prestations sociales aux Français. Les spécialistes de droit constitutionnel sont partagés.
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
Après le ministre de la Santé la veille, la ministre de l'Enseignement supérieur a présenté ce mercredi 20 décembre sa démission. Elle a été refusée.
Une nouvelle motion de censure, déposée après le 23e 49.3 d'Élisabeth Borne, a été rejetée à l'Assemblée nationale. Le budget de l'an prochain est définitivement adopté, tournant la page d'une saison effrénée de son usage.
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
"Nous faisons le choix historique de ne pas restituer d'emplois enseignants au global alors que le nombre d'élèves continuera de baisser", a assuré le ministre de l'Éducation ce jeudi 21 décembre.
La loi immigration devra être "appliquée dans un strict respect des institutions républicaines", a affirmé jeudi le président de Départements de France François Sauvadet, alors que les départements de gauche menacent de ne pas respecter certaines dispositions du texte.
Après l'adoption du projet de loi immigration dans la douleur, la majorité présidentielle était prise jeudi entre le feu de la droite et l'extrême droite, soucieuses que le texte soit exécuté à la lettre, et celui de la gauche, qui conjure Emmanuel Macron de ne pas l'appliquer.
Interviewé par France Inter, l’ancien président de la République, François Hollande, a réagi aux propos tenus par le chef de l’État au sujet de l’acteur ce mercredi soir, lors de l'émission C à vous diffusée sur France 5.
Deux jours après l'adoption au forceps de la loi immigration, le président du Modem pousse Emmanuel Macron à nommer un nouveau gouvernement qui aura "le cap et l'énergie nécessaires".
La présidente du conseil régional dénonce un texte qui "heurte ce qui fonde la société réunionaise".
Le président de la République a été suivi par 2,92 millions de téléspectateurs pour sa première prise de parole depuis le vote de la controversée loi immigration.
Les 32 départements dirigés par la gauche refusent d'appliquer les nouvelles conditions d'octroi de l'allocation personnalisée d'autonomie inscrite dans le texte voté mardi. Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, a réagi en direct ce jeudi dans le Live BFM.
Le ministre de l'Économie et des Finances a estimé qu'"il est bon que tout le monde respecte les décisions de la souveraineté populaire, en particulier les élus", alors que 32 départements de gauche ont d'ores et déjà annoncé qu'ils n'appliqueront pas certaines mesures de la loi.
Invité de BFMTV-RMC ce jeudi 21 décembre, le vice-président du Rassemblement national (RN) estime qu'en cas de censure du Conseil constitutionnel, "il faut réformer la Constitution", et organiser un "référendum" sur la question migratoire.
Apolline de Malherbe reçoit Sébastien Chenu, vice-président de l'Assemblée nationale et député RN du Nord, dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 21 décembre 2023.
Sébastien Chenu, député RN du Nord, est l'invité d'Apolline de Malherbe dans le "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 21 décembre.
Sébastien Chenu, député RN du Nord, est l'invité d'Apolline de Malherbe dans le "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 21 décembre. bfmactu,politique,
Apolline de Malherbe reçoit Sébastien Chenu, vice-président de l'Assemblée nationale et député RN du Nord, dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 21 décembre 2023.
Apolline de Malherbe reçoit Sébastien Chenu, vice-président de l'Assemblée nationale et député RN du Nord, dans "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 21 décembre 2023.
Sébastien Chenu, député RN du Nord, est l'invité d'Apolline de Malherbe dans le "Face-à-Face" sur BFMTV et RMC, ce jeudi 21 décembre.
32 départements de gauche n'appliqueront pas le durcissement des conditions de versement de l'allocation personnalisée d'autonomie prévu dans la loi immigration. Mais pas sûr qu'ils en aient le droit...
Emmanuel Macron a vigoureusement défendu la loi controversée sur l'immigration, comme "un bouclier qui nous manquait", malgré les critiques.
Des dizaines d'acteurs, syndicalistes et politiques signent ce jeudi 21 décembre un appel contre la promulgation de la loi immigration lancé par le journal L'Humanité. On y retrouve notamment Annie Ernaux, Sophie Binet, Jean-Pierre Daroussin ou encore Alice Diop.
Dénonçant une "chasse à l'homme", le président de la République a affirmé mardi soir dans C à vous que l'acteur, accusé de viol et d'agression sexuelle, "rendait fier la France". Des propos qui ont choqué de nombreux élus.
Après l'interview d'Emmanuel Macron ce mercredi soir pour tenter de sortir de l'ornière politique, le Rassemblement national tout comme la droite continuent de se féliciter de l'adoption de la loi immigration. Sylvie Retailleau, en charge des universités, a présenté sa démission pour protester contre la caution des étudiants étrangers. Emmanuel Macron l'a refusée.
Interrogé sur la procédure enclenchée par le conseil de l'ordre de la Légion d'honneur, Emmanuel Macron a affirmé "détester" les "chasses à l'homme" et assuré que l'Ordre n'était "pas là pour faire la morale".
Emmanuel Macron a affirmé que la loi immigration, votée ce mardi à l’Assemblée nationale, était “un bouclier qu’il nous manquait”, tout en concédant que “des choses” dans le texte - qui a été transmis au Conseil constitutionnel - ne le faisait “pas sauter au plafond”. Le chef de l’État a par ailleurs dénoncé la “manœuvre grossière” du Rassemblement national concernant son soutien au texte.
Emmanuel Macron a affirmé que la loi immigration, votée ce mardi à l’Assemblée nationale, était “un bouclier qu’il nous manquait”, tout en concédant que “des choses” dans le texte - qui a été transmis au Conseil constitutionnel - ne le faisait “pas sauter au plafond”. Le chef de l’État a par ailleurs dénoncé la “manœuvre grossière” du Rassemblement national concernant son soutien au texte.
Emmanuel Macron a transmis au Conseil constitutionnel le projet de loi immigration adopté ce mardi à l'Assemblée nationale, alors qu'Élisabeth Borne affirme avoir alerté la droite sur ses "doutes" concernant certaines mesures du texte discuté en commission mixte paritaire.
"Macron et le gouvernement n'ont pas pris les voix du Front national" mais "ont pris ses idées", a déclaré auprès du journal Le Monde l'ancien président de la République, au lendemain du vote de la loi immigration.
Emmanuel Macron a affirmé que la loi immigration, votée ce mardi à l’Assemblée nationale, était “un bouclier qu’il nous manquait”, tout en concédant que “des choses” dans le texte - qui a été transmis au Conseil constitutionnel - ne le faisait “pas sauter au plafond”. Le chef de l’État a par ailleurs dénoncé la “manœuvre grossière” du Rassemblement national concernant son soutien au texte.
