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"Le concours est terminé mais le combat continue": Vanessa Douillet, échoue dans sa course à Miss France

Vanessa Douillet sur le plateau de BFMTV le 11 mars 2025.

Vanessa Douillet sur le plateau de BFMTV le 11 mars 2025. - BFMTV

Arrivée deuxième dauphine de Miss Châtillon Pays de Dombes, la compagne de David Douillet rêvait de gravir les échelons jusqu'à décrocher le titre de Miss France. Mais ce projet a pris fin prématurément après sa défaite à l'élection Miss Pays de l’Ain ce dimanche 22 juin.

Un rêve qui prend fin plus tôt que prévu. Arrivée deuxième dauphine du concours Miss Châtillon Pays des Dombes, Vanessa Douillet, la femme de l'ancien judoka David Douillet, convoitait le titre de Miss France. Mais la course à la couronne s'est terminée prématurément ce dimanche 22 juin après sa défaite à l'élection Miss Pays de l’Ain.

Ce concours, organisé à Saint-Rambert-en-Bugey, devait être une étape importante pour Vanessa Douillet afin de se qualifier pour Miss Rhône-Alpes, puis pour Miss France. Mais la candidate de 42 ans n'a malheureusement pas réussi à se hisser jusqu'au podium. Les jurés lui ont préféré Noémie Baiamonte, 21 ans. C'est elle qui a été sacrée Miss Pays de l’Ain.

"Le combat continue"

Au lendemain des résultats de l'élection, la compagne de David Douillet s'est confié sur Instagram à propos de cette défaite. "Pas d’écharpe hier soir, mais je porte déjà les trois plus beaux titres du monde: celui de maman", confie-t-elle.

Cette cheffe d'entreprise et mère de trois enfants qui faisait de son âge l'une des forces de sa candidature, après l'élection en décembre dernier d'Angélique Angarni-Filopon, première Miss France de 34 ans, estime que son discours "semble avoir fortement déplu et dérangé un jury et ses organisateurs, ancrés dans d’étouffantes et vieilles habitudes".

"Je ne suis pas qu’une femme de, je suis une femme libre, engagée et déterminée", ajoute-t-elle.

Malgré cette défaite, Vanessa Douillet assure toutefois que "le combat continue" et qu'elle continuera à se battre "pour que la voix des femmes soit entendue, même après 40 ans, même avec des enfants".

Carla Loridan