Donald Trump - Kamala Harris: à quelle heure et sur quelle chaîne suivre le débat des deux candidats?

La vice-présidente démocrate et le candidat républicain vont pour la première fois s'affronter dans la nuit du mardi 10 au mercredi 11 septembre lors d'un débat décisif.

Une première confrontation très attendue. Dans la nuit du mardi 10 au mercredi 11 septembre, Donald Trump et Kamala Harris s'affronteront pour la première fois lors d'un débat, à deux mois de l'élection présidentielle américaine.

La vice-présidente démocrate et le candidat républicain vont pour la première fois s'adresser la parole publiquement à partir de 21H00 locales (01H00 GMT mercredi), sur la chaîne de télévision américaine ABC News, ainsi que sur Disney+ et Hulu, devant des millions de téléspectateurs, mais sans public ni notes, pendant 90 minutes.

Dans la nuit de mardi à mercredi, BFMTV diffusera également le débat entre Kamala Harris et Donald Trump. Notre journaliste Patrick Sauce prendra l’antenne à 2h30 en France. Il commencera à 3h. Patrick Sauce sera notamment accompagné de Pauline Simonnet, Ulysse Gosset et Benoît Ballet, qui sera en duplex depuis Philadelphie.

"De nombreux mensonges"

Leur débat, peut-être le seul avant le scrutin du 5 novembre, sans compter celui de leurs colistiers dans trois semaines, sera animé par deux journalistes de la chaîne ABC. Il se déroulera à Philadelphie, la grande ville de l'Etat crucial de Pennsylvanie, dans le nord-est du pays.

"On ne sait pas à quoi s'attendre. Elle a tellement changé de ligne politique au fil des années", a déclaré Donald Trump au sujet de Kamala Harris dans une interview à NBC mardi. Mais il a estimé que cela lui rendrait la tâche "beaucoup plus facile". "Elle n'est plus crédible", a-t-il assuré.

Débat Harris-Trump: à quoi faut-il s'attendre?

14:21

La démocrate a elle averti, dans une interview radio diffusée lundi, que son rival n'avait "aucune limite dans la bassesse et nous devons être préparés à ça". Kamala Harris a aussi dit s'attendre à "de nombreux mensonges" de sa part.

Clément Boutin avec AFP