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Mali

Revivez la cinquième journée de l'opération "Serval"

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Sur le terrain comme à l'ONU, suivez une nouvelle journée d'opérations militaires au Mali.

La France, qui bombarde depuis vendredi les colonnes et les positions jihadistes au Mali, envoie mardi des troupes au sol. Suivez, ici, les derniers événements en direct.

>> Retrouvez la synthèse de la cinquième journée de l'intervention militaire au Mali

20h15 - Washington félicite la France
La diplomatie américaine a félicité la France mardi pour son intervention militaire contre des groupes "terroristes" au Mali, précisant que les Etats-Unis fournissaient déjà à leurs alliés français une aide en matière de renseignement.

20h05 - Une trentaine de véhicules blindés français ont quitté l'aéroport de Bamako où ils étaient basés, en faisant route vers le nord du Mali, pour une destination inconnue.

19h54 - Le secours populaire lance un appel aux dons pour la région de Gao
Le Secours populaire français (SPF) a lancé un appel aux dons mardi pour financer des programmes d'aide alimentaire et médicale en faveur de milliers d'habitants de la région de Gao, dans le nord du Mali, théâtre d'une opération militaire franco-malienne .

19h34 - Le Canada souhaite le retour rapide à la démocratie
Le Canada a envoyé un avion de transport militaire géant pour aider les forces françaises au Mali, alors que sa diplomatie a demandé aux dirigeants de Bamako que le pays retrouve rapidement "un régime démocratique et constitutionnel".

19h15 - Les soldats maliens et français sont en route vers une localité aux mains des islamistes, selon des témoins.
Des centaines de soldats maliens et français faisaient route mardi en fin d'après-midi vers Diabali, une localité de l'ouest du Mali prise la veille par des islamistes armés et bombardée dans la nuit de lundi à mardi par l'aviation française.

18h56 - La ville de Konna pas encore reprise par les forces maliennes
"Sur le fuseau Est, nous avons pu stopper l'offensive et les moyens des groupes terroristes, qui se sont répartis entre Douentza et Gao, et à cette heure, la ville de Konna n'a pas encore été reprise par les forces armées maliennes", a indiqué Jean-Yves Le Drian lors d'une conférence de presse au cinquième jour de l'intervention française.

18h54 - 1700 soldats français engagés dans l'opération "Serval"
Le ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian a affirmé que "1 700 militaires" français étaient engagés dans l'opération Serval pour repousser les islamistes au Mali, dont 800 sur le territoire malien lui-même.

18h50 - Copé rend hommage au piloté tué
Le président de l'UMP Jean-François Copé a rendu hommage au chef de bataillon Damien Boiteux, saluant le "courage et la bravoure tout à fait exceptionnels de cet homme".

18h48 - Le MNLA n'existerait plus militairement selon Tiéman Coulibaly
Les rebelles touareg du Mouvement national pour la libération de l'Azawad (MNLA), qui ont proposé d'aider la France, n'existent plus militairement, a affirmé mardi le ministre malien des Affaires étrangères Tieman Coulibaly.

18h42 - Paris demande au Caire de protéger ses intérêts en Egypte
La France a demandé aux autorités égyptiennes d'assurer la sécurité de ses intérêts dans le pays, à la suite d'appels à manifester vendredi au Caire contre l'intervention militaire française au Mali, indique le consulat de France en Egypte.

18h40 - La représentante de l'Union européenne pour les Affaires étrangères remercie la France
Catherine Ashton a remercié la France pour son intervention au Mali mais s'est gardée de proposer tout engagement supplémentaire de l'UE pour soulager Paris.

18h25 - Action contre la faim suspend ses programmes à Gao
L'ONG Action contre la Faim (ACF) annonce la suspension, "pour raisons de sécurité", de ses programmes dans la région de Gao, dans le nord du Mali, en raison des raids aériens français destinés à déloger les islamistes qui contrôlaient ces zones depuis plus de neuf mois.

Elle "s'inquiète des conséquences des affrontements sur la population déjà fragilisée", non seulement pour le centre du pays où les combats ont lieu, mais également dans le Nord, qui se trouve encore plus isolé, et auprès des populations déplacées dans les pays voisins".

18h07 - Pour Claude Guéant, "le risque pour les otages ne s'est pas aggravé"
L'ancien ministre de l'Intérieur interrogé mardi lors de l'émission Preuves par trois AFP/Public Sénat a jugé que "le risque pour les otages ne s'est pas aggravé". "S'ils sont rationnels, nos adversaires islamistes doivent bien se rendre compte que le prix des otages a augmenté et qu'il est très important de les garder en vie", poursuit-il.

17h45 - "La République est en deuil"
Le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a rendu, mardi aux Invalides, un hommage national au chef de bataillon Damien Boiteux, "mort pour la France" vendredi dernier au premier jour de l'intervention française au Mali, saluant son "engagement " et son "courage exceptionnel".

>> A LIRE AUSSI : Qui sont les soldats français déployés pour "Serval"?

17h42 - Les réseaux Orange et Malitel coupés dans la ville de Gao, selon Malijet

#Mali Les réseaux Orange et Malitel coupés à Gao bit.ly/UNHpSW
— Malijet (@Malijetactu) January 15, 2013

16h55 - Une "propagande" selon Mamère
Le député écologiste Noël Mamère a qualifié de "propagande" les raisons invoquées par le gouvernement pour s'engager militairement au Mali, assumant une "voix discordante" alors que la plupart des partis politiques ont apporté leur soutien à l'intervention.

16h48 - Le Burundi prêt à envoyer des troupes, si on le lui demande.

>> A LIRE AUSSI : L'objectif est d'"éradiquer toutes les bases islamistes"

16h50 - L'Allemagne confirme une aide logistique ou humanitaire
"Nous réfléchissons si nous allons apporter un soutien logistique ou une aide humanitaire", a déclaré la chancelière allemande Angela Merkel dans un entretien avec la radio allemande NDR Info qui devait être diffusée mardi à 16h15 GMT.

16h42 - La Belgique propose deux C-130 et deux hélicoptères à la France
La Belgique a décidé de soutenir l'intervention française en déployant deux avions de transport C-130 et deux hélicoptères d'évacuation sanitaire.

16h40 - L'Algérie et le Maroc autorisent le survol
Le président français François Hollande a également annoncé que le Maroc et l'Algérie avaient autorisé le survol de leur territoire par les avions militaires français engagés au Mali.

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16h30 - Selon Ayrault, les forces africaines se déploieront d'ici une semaine
Le Premier ministre a indiqué à l'Assembée nationale que la France était actuellement "en première ligne" au Mali face aux groupes jihadistes, avant que des "forces africaines" se déploient "d'ici une semaine" sur le terrain.

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16h25 - Les quatre objectifs selon Le Drian

"Assister les forces maliennes dans leur action pour enrayer la progression des groupes terroristes vers le sud, indique le ministre de la Défense.

"Deuxièmement : frapper dans la profondeur les bases arrières des groupes terroristes pour éviter qu'ils ne se ressourcent et ne reviennent vers le sud", selon le ministre.

"Troisièmement, sécuriser Bamako pour assurer la stabilité de cette ville et assurer la pérennité de ses institutions", ajoute-t-il. 

"Et quatrièmement faire en sorte que nos forces préparent l'intervention, l'organisation des forces armées africaines autour de l'état-major nigérian".

16h05 - L'Union européenne accélère les préparatifs de sa mission
D'intenses discussions étaient en cours mardi à Bruxelles afin de permettre aux ministres européens des Affaires étrangères de s'entendre jeudi sur un lancement accéléré de la mission de l'UE au Mali et sur le soutien à la force d'intervention africaine, selon des sources diplomatiques.

15h50 - "L'intervention était la seule solution", selon Hollande
Le président français François Hollande a affirmé mardi à Dubaï que son pays ferait "tout pour libérer" les otages au Mali et que l'intervention militaire était "la seule solution" pour bloquer la progression des groupes islamistes armés.

A LIRE AUSSI : Hollande : "La France n'a pas vocation à rester au Mali"

15h47 - Un "éventuel" soutien militaire des Emirats arabes unis
Le président français François Hollande a affirmé mardi avoir obtenu "le soutien" des Emirats arabes unis pour l'intervention française en cours au Mali.

15h02 - Une minute de silence au Sénat pour les soldats tués au Mali et en Somalie
Le lieutenant Damien Boiteux a été tué vendredi dernier, au premier jour de l'intervention française au Mali. Un autre soldat français a été tué lors d'une opération ayant échoué à libérer samedi, en Somalie, un agent français enlevé en 2009 à Mogadiscio. L'otage, Denis Allex, membre de la DGSE, est présumé mort.

>> A LIRE AUSSI : Pour sa mère, Damien Boiteux a "fait son travail"

15h - Les Etats-Unis disposés à fournir toute l'aide nécessaire à la France
Les Etats-Unis souhaitent rétablir la sécurité au Mali, déclare à Lisbonne le secrétaire américain à la Défense, Leon Panetta, excluant tout déploiement de forces américaines sur le terrain.

14h31 - Selon Jeune Afrique, les combattants jihadistes ont quitté leurs fiefs de Gao et Tombouctou pour se replier vers l'ouest du Mali.

#Mali : les islamistes ont quitté Gao et Tombouctou mais contrôlent Diabali jafri.co/W2DTFG #Serval
— Jeuneafrique.com (@jeune_afrique) January 15, 2013

14h08 - Le Drian au centre des commandements des opérations aériennes
Le ministre de la Défense s'est rendu mardi matin au centre de commandement des opérations aériennes, situé dans le quartier Balard à Paris, pour suivre l'évolution des opérations militaires au Mali, où les Rafale et Mirage 2000 français poursuivent leurs raids sur les positions des jihadistes.

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13h51 - L'Unesco appelle les armées à protéger le patrimoine culturel du Mali
La directrice générale de l'Unesco Irina Bokova appelle les forces militaires maliennes et françaises à protéger le patrimoine culturel du Mali, déjà gravement endommagé par les islamistes à Tombouctou.

Le Mali compte quatre sites inscrits sur la liste du patrimoine mondial de l'Unesco (Tombouctou, le Tombeau des Askia à Gao, la ville ancienne de Djenné près de Mopti et les falaises du pays Dogon).

13h25 - Juppé estime que l'Europe devrait s'engager davantage
L'ancien ministre des Affaires étrangères estime que l'Europe, dont les "intérêts vitaux" sont concernés, devrait s'engager davantage au Mali, où la France va mener "une opération longue et difficile".

>> A LIRE AUSSI : Quels sont les alliés de la France ?

13h12 - Les premiers soldats nigérians déployés sous 24 heures
"Le président a approuvé le déploiement d'un bataillon, et dans les prochaines 24 heures, une compagnie du bataillon va être déployée", déclare le colonel Yerima, ajoutant que le Nigeria prévoyait d'envoyer 900 soldats au total, soit 300 de plus que prévu initialement.

13h00 - Les chefs d'état-major ouest-africains réunis à Bamako

Les chefs d'état-major de l'Afrique de l'Ouest ont entamé mardi à Bamako une réunion extraordinaire "pour libérer" le nord du Mali des groupes islamistes armés, qui l'occupent depuis neuf mois.

"Nous nous retrouvons aujourd'hui pour parler essentiellement de l'engagement auprès de nos frères d'armes au Mali pour, bien entendu, libérer le nord du Mali", a déclaré lors de la cérémonie d'ouverture le chef d'état-major de l'armée ivoirienne.

12h45 - Les militaires français se préparent à monter au front

BFMTV est allé à la rencontre des soldats français en poste sur la base militaire de Bamako dans l'attente de leur déploiement sur le front. Ils sont plusieurs centaines à préparer leur matériel et affiner leur tactique.

12h30 - Tunis opposé à toute intervention non africaine

La Tunisie s'est dite opposée par principe à toute opération militaire non-africaine sur le continent. "Nous considérons que les problèmes qui se posent en Afrique doivent être résolus dans un cadre africain", a déclaré le ministre des Affaires étrangères tunisien, commentant l'intervention française au Mali.

12h15 - L'opération militaire au coeur de débats au Parlement

Mardi et mercredi, l'engagement militaire de la France au Mali sera au cpeur des travaux parlementaires. Dès mardi après-midi à l'Assemblée, chaque groupe posera une question sur l'engagement militaire lors de la séance d'actualité au gouvernement.

Mercredi à 13 heures, le ministre des Affaires étrangères Laurent Fabius sera entendu à huis-clos et conjointement par les commissions des Affaires étrangères et de la Défense de l'Assemblée. A la même heure, son homologue de la Défense Jean-Yves Le Drian sera entendu, également à huis-clos, par les mêmes commissions, mais au Sénat.

Enfin, un débat sans vote aura lieu mercredi après-midi au Parlement, comme l'a annoncé lundi soir le Premier ministre Jean-Marc Ayrault.

11h45 - Ayrault présidera l'hommage aux Invalides

C'est le Premier ministre qui présidera mardi après-midi l'hommage national au lieutenant Damien Boiteux, "mort pour la France" au premier jour de l'intervention française au Mali. Initialement, c'est le ministre de la Défense, Jean-Yves Le Drian, qui devait présider cette cérémonie prévue à 16h30 aux Invalides.

#Mali Info BFMTV: c'est le Premier Ministre Jean-Marc Ayrault qui présidera l'hommage aux Invalides.
— Patrick Sauce (@SaucePatrick) January 15, 2013

11h35 - Ayrault "conscient des risques" sur les otages français

Le Premier ministre s'est déclaré "conscient des risques" que les opérations armées au Mali font peser sur les otages français au Sahel, mais que "ne rien faire" n'aurait pas contribué à leur libération.

"C'est une préoccupation constante et nous sommes en contact permanent avec les familles. Mais ce sont ceux-là même qui détiennent nos otages qui menaçaient de s'emparer de la totalité du Mali", a-t-il avancé.

11h15 - 150.000 réfugiés et 230.000 déplacés selon l'ONU

Le Haut Commissariat aux réfugiés (HCR) a enregistré 144.500 réfugiés en provenance du Mali dans les pays voisins, dont 54.100 en Mauritanie, 50.000 au Niger, 38.800 au Burkina Faso et 1.500 en Algérie.

Par ailleurs, le nombre de personnes déplacées dans le pays est proche de 230.000, a précisé le bureau de coordination des Affaires humanitaires de l'ONU (Ocha).

11h05 - L'OCI appelle à un "cessez-le-feu immédiat"

Le secrétaire général de l'Organisation de la coopération islamique (OCI), qui regroupe 57 pays dont le Mali, a appelé mardi à un "cessez-le-feu immédiat" dans ce pays. Il a également demandé un retour aux négociations entre les autorités maliennes et les groupes islamistes.

11h00 - Soutien italien à l'opération française

L'Italie, qui avait été prévenue à l'avance de l'opération au Mali, a exprimé son soutien à l'opération française dans le pays, lors d'une conversation téléphonique entre les ministres français et italien des Affaires étrangères, Laurent Fabius et Giulio Terzi.

>> A lire : Qui sont les alliés de la France ?

10h50 - Pour Rocard, la France en a "pour dix ans"

L'ancien Premier ministre Michel Rocard a jugé mardi sur France Inter que la France était engagée dans "une bagarre sur une dizaine d'années" contre le terrorisme.

"Tout cela est très difficile, pas gagné d'avance, nous perdrons des hommes, il y aura des drames, il y aura des contreparties sur le territoire national, tout cela va être assez effrayant", a-t-il prédit. "Mais je pense qu'il était essentiel d'y aller et je veux saluer le président d'avoir su le faire", a souligné Michel Rocard.

10h40 - Le chiffre de 2.500 soldats français "sera atteint"

L'entourage du ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, a annoncé mardi que le chiffre de 2.500 soldats français déployés au Mali serait "progressivement atteint".

10h30 - Pour Valls, la menace d'attentats reste "très forte"

Invité mardi matin de BFMTV et RMC, le ministre de l'Intérieur Manuel Valls a estimé que la "menace" d'attentats était "très forte et permanente" en France, mais que la "plus grande vigilance" devait "permettre d'empêcher des actes sur notre sol".

10h00 - Frappes françaises sur Diabali, position islamiste

L'armée française a mené dans la nuit de lundi à mardi des frappes aériennes sur la localité de Diabali. Les islamistes étaient entrés lundi dans cette ville de l'ouest du Mali.

Selon une source sécuritaire malienne, "au moins cinq" d'entre eux ont été tués et plusieurs autres blessés. Un habitant d'une localité voisine a affirmé avoir vu des islamistes armés prendre la fuite après ces frappes.

9h45 - La Belgique s'apprête à soutenir la France

Le ministre belge des Affaires étrangères, Didier Reynders, a annoncé mardi que son pays s'apprêtait à proposer l'envoi de deux avions C-130 et d'un hélicoptère médicalisé en soutien de l'intervention française.

L'annonce de ce "soutien logistique" sera faite à l'occasion d'un conseil des ministres restreint, consacré exclusivement au Mali, qui se tiendra à la mi-journée à Bruxelles.

9h00 - Arrivée à Bamako de 40 blindés français

Une colonne d'une quarantaine de blindés français venus de Côte d'Ivoire est arrivée dans la nuit de lundi à mardi à Bamako, où elle a renforcé le dispositif luttant contre les forces jihadistes.

Ces éléments de la force Licorne ont quitté leur base à Abidjan lundi matin pour arriver dans la partie militaire de l'aéroport de Bamako vers 3 heures du matin.

8h00 - Hollande annonce un renforcement du dispositif français

Arrivé mardi matin aux Emirats Arabes Unis, le président français a aussitôt annoncé à Abou Dhabi un renforcement du dispositif militaire français au Mali, en attendant l'arrivée de forces africaines pour contrer les groupes armés islamistes.

"Pour l'instant, nous sommes à 750 hommes et ça va encore augmenter (...) pour qu'ensuite le plus rapidement possible nous puissions laisser la place aux forces africaines", a déclaré François Hollande.

7h30 - La France se félicite du "soutien" du Conseil de sécurité

Lundi, à l'issue de consultations à huis-clos sur l'intervention française au Mali, la France a reçu "la compréhension et le soutien de tous ses partenaires" au Conseil de sécurité de l'ONU, a indiqué l'ambassadeur français à l'ONU Gérard Araud.

L'ambassadrice américaine Susan Rice a réaffirmé que son pays faisait "tout à fait confiance" à la France, louant le "professionnalisme" de la France dans son "traitement" de la "menace islamiste".

|||>> L'ESSENTIEL

•  2.500 soldats français seraient "progressivement" envoyés au Mali.

• Les forces africaines devraient se déployer dans une semaine selon Ayrault.

M. T. et L.B. avec AFP