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Dijon - Page 15

Appels menaçants dans des lycées: un jeune homme interpellé près de Dijon

Appels menaçants dans des lycées: un jeune homme interpellé près de Dijon

Un jeune homme de 18 ans a été interpellé lundi près de Dijon dans l'enquête sur des appels anonymes menaçant des lycées parisiens courant janvier. Les investigations techniques menées par l'Office central de lutte contre la cybercriminalité (OCLCTIC) ont mené les enquêteurs à l'adresse IP, à savoir le numéro d'identification de la connexion internet du suspect. Le jeune homme est connu pour des faits de délinquance. Son rôle éventuel dans cette affaire reste encore à déterminer et du matériel informatique a été saisi. Depuis 2 semaines, plusieurs grands lycées parisiens et de province, à Lyon notamment sont victimes d’appel anonymes, des appels préenregistrés.

Rebsamen démissionne: "Je n’ai pas l’habitude de fuir mes responsabilités"

Rebsamen démissionne: "Je n’ai pas l’habitude de fuir mes responsabilités"

Après avoir repris ce lundi les rênes de sa ville de Dijon, François Rebsamen remettra sa démission au gouvernement le 19 août. Ses 16 mois à la tête du ministère du Travail ont été marqués par une inexorable hausse du chômage. "C’est très frustrant, j’en conviens", a déclaré l’élu socialiste. "Je n’ai pas l’habitude de fuir mes responsabilités, de quitter le navire", a-t-il ajouté. "Je n’ai pas eu durant cette période la croissance économique qui permette de diminuer le nombre de chômeurs", s’est justifié François Rebsamen, qui prévoit l’inversion de la courbe d’ici la fin de l’année.

François Rebsamen a été rappelé à l'ordre par l'Elysée – 31/07

François Rebsamen a été rappelé à l'ordre par l'Elysée – 31/07

Apolline de Malherbe revient, ce vendredi 31 juillet 2015, dans sa chronique quotidienne "Politique Première" sur la candidature de François Rebsamen à la mairie de Dijon. Elle estime que le ministre du Travail a fait un "mauvais début de campagne", en annonçant qu'il ne démissionnerait pas du gouvernement s'il était élu maire le 10 août prochain. Manuel Valls n'a pas tardé à réagir: selon lui, on ne peut pas être chef d'un exécutif et en même temps membre du gouvernement.