Agacé par les nombreuses fuites en interne, Meta va prendre des "mesures appropriées" pour éviter que de nouvelles informations soient divulguées et envisage de licencier les employés concernés.
Pour Mark Zuckerberg, son nouveau programme de modération deviendra un "meilleur système" à terme. Il estime pouvoir nouer "un partenariat productif avec le gouvernement des États-Unis".
Le groupe de Mark Zuckerberg avait banni le républicain de ses réseaux sociaux en 2021 après avoir encouragé ses partisans lors de l'assaut du Capitole. Le président des Etats-Unis avait porté plainte contre Meta, estimant être victime de censure.
Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche, plusieurs utilisateurs des plateformes de Meta se sont plaints d'avoir été automatiquement abonnés aux comptes Facebook et Instagram du président, du vice-président ou de la première dame.
Meta surfe sur les incertitudes autour de l'avenir de Tiktok sur le sol américain pour attirer les utilisateurs. L'entreprise va lancer un nouveau programme de rémunération pour les influenceurs. À la clé: des bonus allant jusqu'à 5.000 dollars.
Aux côtés de neuf grandes plateformes, Meta et X ont volontairement adhéré à un code de conduite européen renforcé pour lutter contre les messages de haine en ligne.
Selon Meta, le nouveau programme de fact-checking sera d'abord "testé" aux Etats-Unis avant que ne soit envisagée "toute extension à d'autres pays".
Le groupe de Mark Zuckeberg envisage de licencier 5% de ses employés les "moins performants" afin de "relever la barre en matière de gestion des performances". Les postes devraient être remplacés.
Après Elon Musk, c'est Mark Zuckerberg, le patron de Meta, qui s'aligne sur la politique du futur président des États-Unis, Donald Trump. Un changement de stratégie opportuniste qui a commencé dès l'été 2024.
Le milliardaire propriétaire de Facebook, Whatsapp et Instagram s'en est frontalement pris à Apple auprès du podcasteur d'extrême droite Joe Rogan.
Depuis que Mark Zuckerberg a annoncé des changements en termes de modération, les employés sont nombreux à partager leur colère et leur incompréhension en interne.
La diplomatie française a fait savoir qu'elle sera "vigilante" sur le respect de la législation européenne par la maison mère de Facebook et Instagram.
Pour se conformer au DSA, Meta mène une étude pour comprendre, entre autres, les impacts de la fin de son programme de fact-checking sur les utilisateurs.
La ministre française chargée du Numérique, Clara Chappaz, a échangé avec la direction de Meta France, qui lui a assuré que le remplacement du fact-checking par un système de notes communautaires ne concernait que les États-Unis pour le moment.
Depuis l’élection de Donald Trump, le patron de Meta a multiplié les changements pour courtiser le futur président américain, se rapprochant ainsi d’Elon Musk.
Donald Trump s'est réjoui des "progrès" faits par Meta après que l'entreprise a annoncé le remplacement de son programme de fact-checking par un système de notes communautaires similaire à celui de X.
Dana White, président de l'UFC qui a contribué à populariser Donald Trump auprès des jeunes électeurs masculins amateurs de sports de combat, va intégrer le conseil d'administration du groupe californien.
Le patron de Meta, Mark Zuckerberg, a annoncé une série de changements en termes de modération sur Facebook et Instagram.
