
Ukraine: quatre morts et 21 blessés dans une frappe russe sur Dnipro
Au moins quatre personnes ont été tuées et 21 blessées dans une frappe de missile russe qui a touché un magasin ainsi qu'un bâtiment résidentiel dans le centre-est de l'Ukraine.
Au moins quatre personnes ont été tuées et 21 blessées dans une frappe de missile russe qui a touché un magasin ainsi qu'un bâtiment résidentiel dans le centre-est de l'Ukraine.
Le président russe Vladimir Poutine a affirmé jeudi 28 novembre qu'il n'excluait pas d'ordonner une frappe contre la capitale ukrainienne Kiev avec son missile expérimental hypersonique de portée intermédiaire Orechnik, décrivant une arme terriblement destructrice.
Volodymyr Zelensky a ouvert la porte à un cessez-le-feu si le territoire ukrainien sous le contrôle de Kiev est placé "sous l'égide de l'Otan" avant de récupérer les zones occupées par "voie diplomatique".
Volodymyr Zelensky a ouvert la porte à un cessez-le-feu si le territoire ukrainien sous le contrôle de Kiev est placé "sous l'égide de l'Otan" avant de récupérer les zones occupées par "voie diplomatique".
Volodymyr Zelensky a ouvert la porte à un cessez-le-feu si le territoire ukrainien sous le contrôle de Kiev est placé "sous l'égide de l'Otan" avant de récupérer les zones occupées par "voie diplomatique".
Lors d'un appel avec Volodymyr Zelensly ce vendredi, Emmanuel Macron a dénoncé une "logique d'escalade inacceptable" de la Russie en Ukraine, touchée par de nombreuses frappes ces dernières semaines.
L'armée russe continue d'avancer dans l'Est de l'Ukraine, alors qu'elle tente de conquérir la région du Donbass. Vladimir Poutine menace d'utiliser un puissant missile expérimental sur Kiev.
Les frappes massives lancées ce jeudi 28 novembre ont provoqué des coupures de courant en Ukraine. Le président russe Vladimir Poutine les a présentées comme une "réponse" à l'usage récent par Kiev de missiles américains ATACMS contre le territoire russe.
Le président ukrainien a appelé ce jeudi 28 novembre ses alliés à opposer une "réponse ferme" au "chantage" de Vladimir Poutine qui a menacé quelques heures auparavant de frapper Kiev avec son nouveau missile stratégique Orechnik.
La Russie a ouvert une procédure pénale à l'encontre de James Anderson, un Britannique de 22 ans, l'accusant d'avoir mené une "attaque terroriste" et d'avoir agi en tant que mercenaire au combat.
Les autorités ukrainiennes ont réalisé des coupures de courant d'urgence, notamment à Kiev, Odessa et Dnipro. Une "réponse" de Moscou au tirs de missiles américains à longue portée, a annoncé Vladimir Poutin. Plus d'un million d'Ukrainiens sont privés d'électricité.
Une menace de missiles russes à été détectée par l'armée de l'air ukrainienne tôt ce jeudi 28 novembre. Les missiles visent notamment les régions d'Odessa, de Kherson et de Mykolaïv.
"Cinq militaires ukrainiens ont reculé et se sont cachés dans une maison, qui a ensuite été encerclée par l'ennemi", a précisé le parquet de Donetsk.
Après le feu vert américain, l'armée ukrainienne a utilisé des missiles à longue portée pour frapper des cibles à l'arrière de la frontière russe. Une première dans le conflit.
Lors de la session plénière du Parlement européen ce mardi 26 novembre, sur l'Ukraine, le député Place Publique Raphaël Glucksmann a rappelé l'urgence d'aider l'Ukraine, avant l'arrivée de Donald Trump au pouvoir : "Dans moins de 2 mois, un président n'aimant ni notre continent, ni notre liberté prendra ses fonctions et nous serons seuls face à la guerre sur notre sol, face à notre destin".
L'armée russe gagne du terrain à un rythme de plus en plus rapide en Ukraine, où le conflit s'intensifie ces dernières semaines.
Les États-Unis l'ont confirmé le 12 novembre, plus de "10.000 soldats nord-coréens ont été envoyés en Russie, la plupart sont arrivés dans la région de Koursk, où ils ont commencé à s'engager dans des opérations de combat avec les forces russes".
Le secrétaire américain à la Défense, Lloyd Austin, estime que quelque 10.000 membres de l'armée nord-coréenne se trouvent dans la région russe de Koursk.
Après la frappe du missile Orechnik sur la ville de Dnipro ce jeudi, le président de l'Ukraine Volodymyr Zelensky a déclaré que des échanges se tenaient avec les occidentaux sur "de nouveaux systèmes de défense antiaérienne".
Cette décision intervient au lendemain du tir d'un nouveau missile balistique de Moscou.
"C'est un nouveau développement inquiétant et préoccupant, tout ça va dans la mauvaise direction", a déclaré ce jeudi 21 novembre le porte-parole d'Antonio Guterres, appelant les parties à la désescalade.
Le président ukrainien estime que ce tir d'un missile russe de nouvelle technologie est la "preuve que la Russie ne veut absolument pas la paix".
Si l'usage par la Russie d'un missile intercontinental sur l'Ukraine venait à être confirmé, la diplomatie française déclare que ce serait "extrêmement grave".
Le "voisin fou" russe utilise l'Ukraine comme "un terrain d'essai", a dénoncé Volodymyr Zelensky, dont l'armée de l'air a accusé Moscou d'avoir tiré ce jeudi 21 novembre, pour la première fois de l'Histoire, un missile intercontinental sur son pays.
Kiev affirme que l'armée russe a utilisé un missile intercontinental pour frapper la ville de Dnipro. Ce type d'arme n'a encore jamais été utilisé dans le conflit.
Les Ukrainiens sont contraints de s'organiser alors que la Russie poursuit ses offensives contre les infrastructures énergétiques du pays.
L'Ukraine fait face à un hiver difficile avec des coupures d'électricité fréquentes dues aux frappes russes. Les habitants, comme Olga, s'organisent avec des bougies et des générateurs, prêts à affronter le froid et les pénuries.
Le président ukrainien s'est félicité ce mercredi de la livraison de mines antipersonnel de la part de Washington, les qualifiant de "très importantes" pour stopper l'avancée russe dans le Donbas.
L'Ukraine accuse la Russie de mener une opération de guerre "psychologique massive", après la fermeture de plusieurs ambassades occidentales craignant une frappe russe.
Le président russe a signé un décret élargissant l'utilisation de l'arme nucléaire, au moment où les États-Unis renforcent leur aide militaire à l'Ukraine.
L'ambassade américaine à Kiev est fermée, Washington craignant "possible attaque aérienne" russe sur la capitale.
Malgré des tensions croissantes et la fermeture de l'ambassade américaine par crainte d'une attaque, les Ukrainiens restent déterminés à ne pas céder au chantage nucléaire.
Les autorités américaines estiment que cette aide supplémentaire pourrait enrayer l'avancée russe de ces dernières semaines.
Dans une interview accordée à Fox News et diffusée ce mardi 19 novembre, le président ukrainien estime que son pays ne pourra pas remporter la guerre face à la Russie si les États-Unis décident de stopper leur aide militaire et financière à Kiev.
Après 1000 jours de guerre, l'Ukraine a frappé la Russie avec des missiles américains, marquant une escalade significative. Moscou a reconnu l'attaque, promettant une réponse "appropriée". Vladimir Poutine a signé un décret permettant l'usage d'armes nucléaires face à des menaces conventionnelles.
Youlia, une femme ukrainienne, a accouché quelques jours après le début de la guerre. Elle espère que le 3e anniversaire de son enfant sera le dernier sous la menace russe.
Alors que ce mardi 19 novembre marque le millième jour d'invasion russe en Ukraine, Volodymyr Zelensky s'est exprimé devant le Parlement européen pour demander davantage d'aide pour mettre fin à la guerre.
"Plus Vladimir Poutine a du temps, plus les choses empirent", martèle Volodymyr Zelensky lors d'une intervention diffusée par vidéo devant le Parlement européen pour marquer le 1 000e jour de l'invasion russe.
À l'occasion des 1000 jours de guerre en Ukraine, le président Volodymyr Zelensky prend la parole au parlement européen ce mardi 19 novembre à Bruxelles
"Nous sommes aux côtés de l'Ukraine, jusqu'à la liberté, jusqu'à une paix authentique, tant qu'il le faudra", Roberta Metsola, présidente du Parlement européen lors de la session extraordinaire à Bruxelles.
Ce mardi 19 novembre marque le millième jour de l'invasion russe en Ukraine.
Youlia, une femme ukrainienne, a accouché quelques jours après le début de la guerre. Elle espère que me 3e anniversaire de son enfant sera le dernier sous la menace russe.
Ces missiles peuvent toucher des cibles à près de 300 kilomètres de distance et permettraient à l'Ukraine d'atteindre des sites militaires en territoire russe. Jusqu'ici, l'administration Biden refusait d'autoriser leur utilisation à travers la frontière avec la Russie.
Alors que la guerre en Ukraine a débuté il y a 1.000 jours ce mardi 19 novembre, Volodymyr Zelensky a dit espérer mettre fin au conflit en 2025 par des "moyens diplomatiques". La Russie a pourtant mené une "attaque massive" dimanche en Ukraine, tandis que Washington a donné son feu vert à Kiev pour l'utilisation de missiles longue portée.
En marge du sommet du G20 à Rio de Janeiro au Brésil, le président de la République a dénoncé la guerre menée par la Russie contre l'Ukraine et a jugé "tout à fait bonne" la décision américaine d'autoriser Kiev à frapper en profondeur le territoire russe.
Le ministre ukrainien des Affaires étrangères Andrïi Sybiga a salué ce lundi l'autorisation des États-Unis d'utiliser leurs missiles longue portée pour frapper le sol russe, estimant que "cela pourrait changer la donne".
La Convention sur l'interdiction des armes chimiques interdit l'utilisation d'agents de lutte antiémeute, dont le gaz CS, "en tant que moyens de guerre".
À seulement quelques semaines de l'arrivée à la Maison-Blanche de Donald Trump, l'administration Biden a autorisé l'Ukraine à utiliser des missiles à longue portée en territoire russe. Un revirement stratégique qui pourrait peser en vue de futures négociations avec Moscou.
Une attaque a été menée par la Russie sur le centre historique d'Odessa, un site classé comme patrimoine mondial en péril, dans la nuit du jeudi 14 au vendredi 15 novembre.
Près de 1.000 jours après le début de la guerre en Ukraine, l'armée de Volodymyr Zelensky manque de soldats pour repousser les forces russes de Vladimir Poutine. Dans les rues de Kiev et des grandes villes du pays, des milliers d'hommes en âge de combattre vivent dans la peur d'être arrêtés par les autorités et d'être recrutés de force. Depuis avril, tout homme de 25 ans ou plus (contre 27 auparavant) peut être appelé pour rejoindre les brigades de l'armée ukrainienne. Et ces dernières semaines, plusieurs jeunes qui n'avaient pas répondu à leur convocation ont été embarqués de force, parfois de manière extrêmement violente.