D'après le dernier bilan officiel, 22 personnes sont mortes dans l'attaque d'un hôtel de Bamako, vendredi. De nombreux expatriés français vivent dans la capitale malienne mais il y 'a "moins d'Occidentaux dehors", explique une expatriée. L'ambassade de France demande la plus grande prudence à ses ressortissants, sans prendre d'autre mesure.
La ministre de l'Education belge, qui était auparavant ministre de l'Intérieur, s'insurge contre les critiques qu'essuie son gouvernement alors que la commune bruxelloise de Molenbeek est au cœur de l'attention depuis les attentats du vendredi 13 novembre à Paris.
Au troisième jour d'un état de siège, les habitants de Bruxelles tentent de commencer la semaine normalement. Les établissements scolaires sont fermés ce lundi, tout comme le métro et les autres moyens de transports fonctionnent au ralenti. Le gouvernement belge doit se réunir dans la journée pour décider ou non de la poursuite de cette mesure exceptionnelle.
L'actuelle ministre de l'Education belge, qui était auparavant ministre de l'Intérieur, s'insurge contre les critiques qu'essuie son gouvernement alors que la commune bruxelloise de Molenbeek est au cœur de l'attention depuis les attentats du vendredi 13 novembre à Paris. "Je trouve très indécent ce qu'il se passe", regrette. Joëlle Milquet. "Je trouve un peu facile pour certains, pas les autorités officielles, de venir avec beaucoup d'arrogance donner des leçons", développe-t-elle avant de répliquer que l'auteur présumé de la tuerie du Musée juif de Bruxelles est français. Elle rappelle enfin que les problèmes de radicalisation touchent également l'Allemagne, la Suède ou encore le Royaume-Uni.
La police belge avait demandé de ne pas communiquer dimanche sur les opérations antiterroristes menées dans la banlieue de Bruxelles.
Plusieurs opérations policières ont eu lieu dans le centre-ville de Bruxelles et dans la région de Charleroi dans la nuit de dimanche à lundi. Au total, 16 personnes ont été interpellées, 19 perquisitions ont également été menées sans qu'aucune arme ne soit saisie. Mais ce coup de filet d’envergure n’a pas permis d’intercepter l’homme le plus recherché d’Europe: Salah Abdeslam, l’un des terroristes présumés des attentats de Paris. À Moleembek, là où il habitait certaines perquisitions ont été très tendues. Un individu a foncé en voiture sur les policiers. Face à la menace terroriste les autorités ont décidé de maintenir l'état de siège sur la capitale Belge.
Après une vingtaine de perquisitions près de Bruxelles, de Charleroi et de Liège, Salah Abdeslam, l'un des terroristes présumés des attentats de Paris, reste introuvable. D'après le quotidien belge "Le Soir", les autorités l'auraient repéré dimanche dans une voiture en direction de l'Allemagne. Une information que le parquet n’a pas confirmée. Les enquêteurs ont découvert ses empreintes dans la Clio qui aurait déposé les kamikazes près du Stade de France. Salah Abdeslam s’est ensuite dirigé vers le 18e arrondissement où son téléphone a borné. Il devait probablement y faire sauter sa ceinture d’explosifs, mais l’explosion ne s’est pas produite. Salah Abdeslam a ensuite appelé deux amis en Belgique pour qu’ils viennent le chercher à Paris. Son contrôle routier à la frontière belge, avant que son avis de recherche ne soit diffusé, est sa dernière localisation connue des enquêteurs.
Le milliardaire américain que les sondages donnent en tête des primaires républicaines pour la présidentielle de 2016 est favorable au rétablissement de la simulation de noyade, une méthode d'interrogatoire considérée comme de la torture et interdite par l'administration Obama.
Alors que Bruxelles connaît ce lundi sa troisième journée d'alerte antiterroriste maximale, les autorités belges ont annoncé avoir arrêté seize personnes lors de perquisitions. Le suspect clé des attentats de Paris, Salah Abdeslam, reste en revanche introuvable.
"Pour frapper, il faut savoir qui va-t-on frapper. La grande question va être de se mettre d'accord sur les cibles", explique le grand reporter George Malbrunot alors que la France mène en parallèle une semaine diplomatique intense et un durcissement des frappes contre Daesh en Syrie. "On va entrer dans la difficulté de la mise en place opérationnelle cette coalition" internationale, analyse le spécialiste du Moyen-Orient au Figaro. Et personne ne veut aller au sol parce que c'est "un merdier indescriptible" avec 200 groupes armés qui ont des intérêts divergents.
En raison des menaces "sérieuses et imminentes" d'attentats dans la capitale belge, les autorités ont décidé de maintenir ce lundi le dispositif exceptionnel mis en place tout le week-end dans la ville. Depuis samedi, le métro ne circule plus, les écoles et les crèches sont fermées et peu de commerces ont décidé d'ouvrir leurs portes. La Grand Place de Bruxelles est quadrillée par l'armée et un important dispositif policier a été déployé. Les autorités redoutent une ou plusieurs attaques terroristes. Mais chez les habitants les avis sont partagés quant à l’utilité des mesures prises face à la menace. Le niveau d’alerte doit être réexaminé par les autorités lundi dans l'après-midi.
Les autorités belges ayant demandé de ne pas divulguer sur le web d'informations sur les opérations antiterroristes en cours, les twittos se sont amusés à poster une foule de photos de chatons.
Le candidat de l'opposition libérale Mauricio Macri a été élu dimanche président de l'Argentine en remportant le second tour face à son rival péroniste de centre gauche Daniel Scioli.
Face à l'afflux de réfugiés auquel l'Allemagne fait face, la ville de Berlin a décidé d'utiliser l'ancien siège de la Stasi, la police politique de RDA, pour héberger plusieurs centaines de personnes.
Le Premier ministre belge a annoncé ce dimanche soir que le niveau d'alerte maximale sera maintenu à Bruxelles pour la journée de lundi.
Au milieu de l'attaque de l'hôtel Radisson Blu de Bamako, au Mali, vendredi, un homme a su garder son sang-froid pour sauver la vie de dizaines de clients. Le maître d'hôtel de l'établissement a en effet guidé lui-même les forces d'intervention.
Lorsqu’il entend les premiers coups de feu à l’extérieur de l’hôtel Radisson de Bamako vendredi, Tamba Diarra, le maître d’hôtel, ferme immédiatement les portes et dit aux clients de se réfugier dans un couloir. Une attitude qui a permis de sauver des vies. Il raconte la prise d'otages au micro de BFMTV.
Le gouvernement malien a annoncé l’état d’urgence et un deuil national de trois jours après l’attaque, vendredi 20 novembre, d’un hôtel international à Bamako. La prise d’otages a duré neuf heures. Des ressortissants français se trouvaient dans l’hôtel, deux d'entre eux, sortis sains et saufs, témoignent au micro de BFMTV.
Bruxelles a pris des airs de ville fantôme, ce samedi, après la mise en place de mesures de sécurité impressionnantes, en raison d'une menace terroriste "précise et imminente", une semaine après les attentats qui ont endeuillé Paris.
Le groupe jihadiste Al-Mourabitoune a revendiqué vendredi l’attaque de l’hôtel Radisson qui a fait au moins 27 morts. A la tête de cette organisation, Mokhtar Belmokhtar, une figure d’Al-Qaïda au Maghreb islamique.
Ahmad Dahmani, 26 ans, est soupçonné par la Turquie d'avoir été en contact avec les terroristes qui ont perpétré les attentats de Paris.
Ashraf Fayad, d'origine palestinienne, a été condamné à mort pour "apostasie". Il peut encore faire appel.
Après les attentats de Paris, le débat sur le cryptage des données de l'Iphone est relancé aux Etats-Unis.
L’état d’urgence a été décrété au Mali après l’attaque d’un hôtel de Bamako revendiquée par un groupe jihadiste. Au moins 27 personnes sont mortes dans l’attentat et au moins 3 suspects activement recherchés.
L'alerte terroriste a été passée au niveau 4 pour la région bruxelloise en raison d'un "risque d'attentat avec armes et explosifs", a indiqué le Premier ministre belge.
