Selfie de l'espace, et baby blues des papas: la semaine des sciences

Le selfie de Rick Mastracchio depuis l'ISS, le 23 avril 2014. - -
Si vous avez tout raté de l'actualité des sciences et de la santé cette semaine, BFMTV.com vous permet de vous mettre à la page en un coup d'oeil.
• Mystère. Météorite ou débris spatial? Une étrange explosion s'est produite dans le ciel de Mourmansk, en Russie, samedi dernier. Une longue traînée est apparue dans le ciel nocturne, et l'objet a ensuite vivement et très brièvement illuminé les alentours.
• Dans l'espace. La capsule non-habitée Dragon de la société américaine SpaceX a atteint dimanche la Station spatiale internationale ISS, à laquelle elle devait livrer du matériel. Parmi ces 2,2 tonnes d'approvisionnement, un scaphandre, des outils, et une unité pour faire pousser des légumes.
• Selfie spatial. Dans cette même station ISS se trouvent actuellement 6 astronautes. Parmi eux, Chris Mastracchi nous a gratifié cette semaine d'un selfie de l'espace. Il était sorti réparer un ordinateur et a admis ne pas avoir réussi sa photo du premier coup.
An EVA selfie. The space suit makes it very difficult to get a good selfie. I tried several today. pic.twitter.com/GvMEOj3ewu
— Rick Mastracchio (@AstroRM) 23 Avril 2014
• Pêche. Qu'ils en mangent ou pas, quelque 60% des Japonais soutiennent la poursuite de la chasse à la baleine, selon un sondage publié cette semaine. Pourtant, la Cour internationale de justice (CIJ), instance judiciaire la plus élevée des Nations Unies, a récemment interdit au Japon de continuer à capturer des baleines dans l'Antarctique.
• Cancers. Des dizaines de vétérans du site stratégique nucléaire du plateau d'Albion souffrent de formes rares cancer. Aujourd'hui, deux vétérans malades ont engagé des procédures en justice contre l'armée.
• Baby blues. Après la naissance d'un enfant, certaines mères sont sujettes à une déprime passagères. On sait désormais que les papas aussi peuvent être sujets au "baby blues".
• Bisphénol. Déjà interdit dans les biberons, le bisphénol A est pointé du doigt dans une étude publiée mercredi. Des chercheurs français ont découvert le rôle d'un nouveau récepteur très sensible à ce perturbateur endocrinien, qui pourrait également provoquer ou aggraver des maladies.