Élisabeth Borne fustige "l'attitude inacceptable" du RN après les propos tenus contre Bruno Le Maire
La Première ministre Elisabeth Borne prend la parole à l'Assemblée nationale lors d'un débat sur l'Ukraine, le 3 octobre 2022. - BFMTV
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"L'attitude du Rassemblement national est inacceptable": Elisabeth Borne fustige à son tour les propos tenus contre Bruno Le Maire
La Première ministre Élisabeth Borne a à son tour pris la parole concernant la passe d'armes qui a eu lieu ce mardi à l'Assemblée nationale, après qu'un député RN a insulté Bruno Le Maire de "lâche".
"Les débats sont au cœur de notre démocratie, la confrontation aussi. Mais l’attitude du Rassemblement National est inacceptable. Les insultes n’ont pas leur place dans l’hémicycle. Insulter un ministre n’apporte rien au débat. Les Français attendent mieux de leurs élus", a tweeté la Première ministre.
Emmanuel Macron sera reçu par le pape le 24 octobre, à Rome
L'Élysée a annoncé ce mardi une rencontre entre le pape François et Emmanuel Macron à Rome, le 24 octobre.
Le président français sera reçu en audience privée par le pape au Vatican, au lendemain de sa participation à un sommet inter-religieux. Il s'agira de la troisième visite du chef de l'État au pape François, après celles du 26 novembre 2021 et du 26 juin 2018, a précisé la présidence française.
"Une ligne rouge a été franchie": après avoir été traité de "lâche", Bruno Le Maire renouvelle sa demande d'excuses au Rassemblement national
Ce mardi lors de la séance de questions au gouvernement, le député Rassemblement National Alexandre Loubet a traité le ministre de l'Économie Bruno Le Maire de "lâche".
Dans la foulée, le locataire de Bercy a exigé des "excuses solennelles" du député. Face à sa demande restée lettre morte, Bruno Le Maire à une nouvelle fois réitérée sa demande dans une vidéo partagée dans la soirée sur Twitter.
"L'insulte ne doit pas avoir de place dans notre débat politique national", a-t-il jugé.
Avant de poursuivre: "C'est tout simplement une ligne rouge qui a été franchie dans notre débat démocratique. (...) Je renouvelle ma demande d'excuses au Rassemblement national".
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Après deux députés RN rappelés à l'ordre par Braun-Pivet, c'est au tour d'une député Renaissance d'être sanctionnée
Yaël Braun-Pivet défend une "attitude respectueuse" des députés dans l'hémicycle. De quoi l'avoir poussée à prononcer 2 rappels à l'ordre contre des députés RN lors des questions d'actualité au gouvernement mais également à hausser le ton contre la députée Renaissance Astrid Panosyan-Bouvet.
"Je prononce un rappel à l'ordre parce que vous avez utilisé à la tribune le mot 'xénophobe'", lui a expliqué la présidente de l'Assemblée nationale.
L'élue de la majorité présidentielle venait de dénoncer "l'ADN xénophobe vieux de 50 ans" du RN avant le vote solennel sur la réforme de l'assurance chômage.
"Il est lâche et en plus, c'est un menteur": Marine Le Pen persiste et signe contre Bruno Le Maire
Marine Le Pen est revenue à la fin de la séance des questions d'actualité sur le départ de son groupe après un incident entre un député RN et Bruno Le Maire.
"Oui, le ministre de l'Economie est lâche (...) et en plus, c'est un menteur parce qu'il est venu dire devant la représentation nationale que nous avions voté contre la CVAE, ce qui est faux", (la suppression de la cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises a été en débat en commission des finances NDLR), a lancé la présidente du groupe RN.
Si vous n'avez pas suivi la passe d'armes entre les deux figures, on vous résume tout ici.
Un député RN accuse Pap Ndiaye d'être "un communautariste" et écope d'un rappel à l'ordre
Après le député RN Alexandre Loubet, c'est au tour de Frédéric Boccaletti de se voir infliger un rappel à l'ordre.
"Vous êtes-vous même un communautariste", a lancé cet élu RN du Var à Pap Ndiaye, le ministre de l'Education nationale, après une question sur la hausse du nombre de tenues religieuses dans les établissements scolaires.
"Cette sanction est une médaille": le député RN qui a traité Le Maire de "lâche" juge ne plus avoir "de liberté d'expression"
Le député RN Alexandre Loubet se justifie sur son compte Twitter après avoir traité Bruno Le Maire de "lâche". Il a écopé d'un rappel à l'ordre avec inscription au procès-verbal, entraînant une baisse de 25% de son indemnité parlementaire en novembre.
"Les députés n'ont donc plus de liberté d'expression. Cette sanction est une médaille", a jugé l'élu de Moselle.
"Je les attends toujours": Bruno Le Maire demande à nouveau des excuses au député RN qui l'a traité de "lâche"
Après avoir demandé des "excuses solennelles" au député Alexandre Loubet qui l'avait accusé d'être "lâche" pendant une question sur l'industrie française, Bruno Le Maire persiste et signe.
"Quand un député insulte un ministre qui vient de lui répondre de manière républicaine en le traitant de 'lâche', ce ministre est en droit d’exiger des excuses. Je les attends toujours", a twitté le ministre de l'Economie.
"S'il n'est pas capable de garder son sang-froid, qu'il aille plutôt planter des fraises", l'a tancé de son côté Marine Le Pen au micro de BFMTV, avant de l'accuser dans un tweet d'avoir un comportement "à l'encontre des valeurs de la République".
"Qu'il aille plutôt planter des fraises": après une passe d'armes entre un député RN et Le Maire, Le Pen hausse le ton
Marine Le Pen a justifié le départ de ses députés qui ont quitté brusquement l'hémicycle pendant les questions d'actualité au gouvernement.
"Plutôt que de répondre, Bruno Le Maire menace. Et bien, je suis désolée de rappeler au ministre de l'Economie que les députés RN ne se laisseront pas menacer par un ministre", a expliqué l'ex candidate à la présidentielle au micro de BFMTV.
Le député RN Alexandre Loubet avait accusé quelques minutes plus tôt Bruno Le Maire d'être "lâche", lors d'une question sur l'industrie en France. Le ministre de l'Economie a exigé des "excuses solennelles", au grand dam des élus RN qui se sont donc levés pour quitter la séance.
"S'il n'est pas capable de garder son sang-froid, qu'il aille plutôt planter des fraises", a encore tancé Marine Le Pen.
Après la demande d'excuse de Le Maire qui a été traité de "lâche" par un député RN, le groupe de Le Pen quitte l'hémicycle
La tension est encore montée d'un cran cette après-midi dans l'hémicycle pendant les questions d'actualité au gouvernement.
Le député RN Alexandre Loubet, a interpellé Bruno Le Maire sur l'état de l'industrie en France puis l'a traité de "lâche". Le ministre de l'Economie lui a alors demandé "des excuses solenelles". Sur consigne de Marine Le Pen, son groupe a quitté l'hémicycle.
"De l'essence, nous en avons": mis en cause par le RN, Olivier Véran se veut rassurant face à la pénurie
Le porte-parole du gouvernement a été interpellé par le RN lors des questions d'actualité au gouvernement sur la pénurie d'essence.
"De l'essence, nous en avons", a répondu Olivier Véran.
Avant d'ajouter : "Les Français attendent de nous qu’ils sortent des raffineries. C’est ce que nous allons faire."
"Le blocage pour les millions de Français, c’est vous": Panot accuse Borne d'être responsable de la pénurie de carburant
La présidente du groupe La France insoumise juge la Première ministre responsable du blocage des raffineries après avoir refusé des augmentations de salaires lors du projet de loi pouvoir d'achat en juillet.
"Le blocage pour les millions de Français qui ne peuvent pas aller travailler, c’est vous", a jugé Mathilde Panot.
Face aux blocages des raffineries, Borne annonce avoir "lancé" "une procédure de réquisition"
"J'ai demandé aux préfets d'engager la procédure de réquisition des raffineries", a annoncé Elisabeth Borne pendant les questions d'actualité au gouvernement, en pleine grève des salariés d'Esso-Exxon et Total.
Essence: Borne reconnaît une "situation insupportable" en Ile-de-France et dans les Hauts-de-France
Interrogé par Eric Ciotti sur la pénurie d'essence dans les stations service, Elisabeth Borne évoque "une situation insupportable en Ile-de-France et dans les Hauts-de France".
"On croit rêver face à un tel déni du gouvernement": Eric Ciotti dénonce la pénurie de carburant
En pleine pénurie de carburant, Eric Ciotti a tancé le gouvernement pendant les questions d'actualité.
"Madame la Première ministre, vous avez commencé par nier la gravité de la situation. Non, il n’y a pas de pénurie, rappelait Monsieur Véran (...). On croit rêver face à un tel déni du gouvernement et des difficultés de millions de Français", a jugé le député LR des Alpes-Maritimes.
"Une nouvelle fois, rien n’est anticipé, (...). Face au blocage, nous vous demandons solennelement de faire preuve de responsabilité", a encore reproché Eric Ciotti.
"Nous ne vous laisserons pas faire": les députés refusent la perspective du 49.3 pour le budget
L'examen du budget a commencé dans une ambiance électrique ce lundi après-midi. Le recours au 49.3 semble très probable en l'absence de majorité absolue pour le gouvernement.
"Je demande solennellement au gouvernement de ne pas mettre en place le 49.3 (...) Le débat doit avoir lieu", a avancé Éric Coquerel, le président insoumis de la Commission des finances.
Marine Le Pen, de son côté, a également profité de cette occasion pour critiquer l'action gouvernementale. "Votre plan pour le budget est conforme à votre politique: injuste, coûteux et à coup sûr inefficace", a-t-elle assuré.
Les débats reprendront tout à l'heure, en fin d'après-midi.
"Ça ne sert à rien": François Ruffin n'a "plus envie de hurler sur les bancs de l'Assemblée nationale"
Dans un contexte de vives tensions entre la France insoumise et Renaissance, le député François Ruffin estime que la stratégie d'une opposition bruyante favorise le Rassemblement national.
"Je n'ai plus envie de hurler sur les bancs de l'Assemblée nationale", explique-t-il à France Inter.
"Je l'ai dit au groupe: ça ne sert à rien. Ça renforce le RN", ajoute François Ruffin. Et de conclure dans une référence ironique à la social-démocratie: "Je vais me soc-démiser".
Vers des réquisitions des dépôts de carburants? Ce qu'envisage le gouvernement dans les prochaines heures
L'exécutif envisage des réquisitions département par département alors que la grève dans les dépôts pétroliers du pays continue.
Mais ce geste pourrait entraîner des risques politiques pour le gouvernement, à quelques jours de la marche contre la vie chère de Jean-Luc Mélenchon.
Plusieurs questions devraient porter sur cette thématique dans l'hémicycle.
Si vous n'avez rien suivi, on vous résume tout ici.
Bonjour à toutes et à tous
Bienvenue dans ce live politique consacré à la session de questions au gouvernement de ce mardi 11 octobre à l'Assemblée nationale.
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