De retour en France, Valérie Trierweiler fuit la presse

Valérie Trierweiler lors de son départ de Bombay. - -
Son retour est plus discret que son départ. Valérie Trierweiler aura évité les caméras aussi bien à son départ pour l'Inde qu'à son retour. L'ancienne première dame qui est allée soutenir l'ONG Action contre la faim a atterri mercredi matin à Roissy-Charles-de-Gaulle et a quitté l'aéroport sans passer par le terminal des passagers où l'attendaient de nombreux journalistes. Elle s'est ensuite fendue d'un tweet:
"Retour de Bombay. Ne jamais oublier l'essentiel. En Inde, un enfant meurt de faim toutes les 30 secondes".
Retour de Bombay.Ne jamais oublier l'essentiel. En Inde, un enfant meurt de faim toutes les 30 secondes.@ACF_France pic.twitter.com/68HM9CNjpy
— Valerie Trierweiler (@valtrier) 29 Janvier 2014
A la une de Paris Match
Si la journaliste ne semble pas aimer les photos prises dans les aéroports, elle fera la une jeudi du magazine Paris Match, avec cette citation: "Quand j'ai su, j'ai cru tomber d'un gratte-ciel".
En avant-première, la couverture de @ParisMatch cette semaine.En kiosque demain jeudi. #Trierweiler #euromaidan #pfw pic.twitter.com/LbFT6HTqag
— Paris Match (@ParisMatch) 29 Janvier 2014
Valérie Trierweiler y affirme également qu'elle avait "entendu la rumeur" d'une liaison présumée entre François Hollande et l'actrice Julie Gayet, sans y croire. "Il y en a tellement, je n'y faisais plus attention." Selon Lepoint.fr, elle aurait autorisé une des consœurs de son journal à enregistrer ses propos avant de s'opposer à leur utilisation.
Lors de son déplacement en Inde, Valérie Trierweiler s'est également entretenue avec BFMTV, confiant ne pas être "en guerre avec François Hollande", tout en laissant entendre que s'il n'avait pas été élu président, "ils seraient toujours ensemble".